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Critiques de Frédéric Dard (1535)
Du Brut pour les brutes

Un bon cru !



Très bon San Antonio : Période "âge d'or" (1960) : pas trop de digressions, intrigue plausible, un Pinaud égal à lui-même et un Béru en pleine(s) forme(s).

Comme souvent, une résolution de l'énigme vite expédiée...mais qu'importe!
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Renifle, c'est de la vraie

Je n'ai pas retrouvé les bons mots et autres contrepèteries habituelles.
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Y a bon, San-Antonio

Y'a bon San-Antonio, paru en 1961, est à l'orée de la grande périodes des San-Antonio. Celui-ci emmène le commissaire en Afrique pour la première fois si ma mémoire est bonne.

L'opus débute par la démission du lamentable Pinaud, et une petite fiesta organisée en son honneur. Ce premier tiers reprend tous les codes comiques de San-Antonio et nous mène de gags en calembours avec un rythme des plus jouissif.

Le reste du roman s'occupe de l'enquête, qui bien que très exotique, manque un peu d'épaisseur et se termine assez rapidement. L'absence de ses deux sbires doit jouer...

(y'a) Bon San-Antonio, mais rien d'incroyable non plus. Hâte tout de même de lire le prochain...
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Messieurs les hommes

Une vraie intrigue sans Béru, ni les copains, mais un beau portrait de gangsters des 50's.

F Dard s'amuse avec les mots dans ce volume: ça tombe bien, on aime ça!
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Du mouron à se faire

Pas le meilleur San Antonio

Ni sur le plan de l’intrigue, ni sur celui du langage fleuri.

Malgré tout, il comporte son lot habituel de cadavres et retournements de situations.

Et au final le but recherché est atteint : un bon moment de détente.
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Y a-t-il un Français dans la salle ?

Déçu , c'est le mot qui résume ce que je pense de cet ouvrage.

Je n'ai pas trouvé la gouaille que j'attendais et l'histoire elle même n'est qu'un empilement de comportements malsains ... Bof
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Une gueule comme la mienne

Une gueule comme la mienne est un très bon roman de Frédéric Dard, facile et rapide à lire. Entre deux livres plus actuels, j'aime bien revenir à un petit polar de Frédéric Dard qui me permet de passer un bon moment.
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Ma langue au chah

Revoilà le commissaire San-Antonio, toujours affublé d'Alexandre-Benoît Bérurier. Cette fois-ci, ils sont à Téhéran, ils filent un cador du cambriolage français venu sans aucun doute, pense leur patron, y faire ses emplettes.



Evidemment, rien ne se déroule comme prévu et certaines rencontres, notamment féminines, vont révéler aux deux hommes les faces cachées du royaume d'Iran. Les milles et Une nuits, version San-Antonio.



A l'occasion des soixante-dix ans de San-Antonio, Pocket réédite certains titres. J'ai déjà eu la chance de lire San-Antonio chez les Gones, je renouvelle donc avec cette aventure datée de 1970. Datée, c'est un peu le cas, depuis le régime du pays à changé et certaines exagérations de l'auteur en matière de sexe, puisqu'ici, il faut bien le dire, on en arrive au viol, presque consenti, sont gênantes. Bien que non bégueule -j'ai lu cette histoire avec décalage, car avec San-Antonio il faut toujours y être et avec l'idée que ce livre est écrit il y a presque cinquante ans-, il reste néanmoins que certaines scènes ne passeraient plus aujourd'hui. Est-ce mieux, est-ce moins bien ? Je ne sais pas, je ne juge pas, surtout aujourd'hui une histoire écrite en 1970 et qui plus est une histoire de genre san-antoniesque.



Ceci étant dit, ce n'est pas le meilleur livre de San-Antonio, c'est un peu long malgré les réparties drôlissimes de Bérurier qui ne s'encombre ni de grammaire ni de syntaxe :



"Bon, je manque à toutes mes inconvenances, déclare le radieux, que je te présente Mistresse Caroline Bitalaviock, dont j'ai eu l'honneur de rencontrer dans l'avion. C't'une femme charmante, veuve en tant que surcroît, et qu'a accepté qu'on fasse chambre commune pour écraser les frais." (p.83).



Sans oublier les géniales descriptions de Frédéric Dard qui a torturé, trituré, personnalisé, san-antonié la langue française comme pas deux : "On s'écarte devant moi. Y'a un sillage précédateur, ce qu'est extrêmement rare chez les sillages. Je tournevire avec plus d'aisance. Je périscope mieux à loisir. Tant et si bien que je finis par renoucher mon trio fantôme. Il est au bout d'un étroit boyau au long duquel se succèdent des ateliers de batteurs de cuivre." (p.40) Recopier un extrait de San-Antonio, c'est prendre le risque que le correcteur d'orthographe s'affole, et encore là, j'ai choisi l'un des moins douloureux pour lui.



Mitigé donc, mais sur la production incroyable de San-Antonio, il y a forcément des titres moins bons. De l'utilité de rééditer celui-ci comte-tenu de mes remarques de début de recension ?
Lien : http://www.lyvres.fr/
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La Peuchère

Œuvre de jeunesse de l’auteur. Un jeune citadin en envoyé en convalescence dans un village de Maurienne chez « la Peuchère ».
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Foiridon à Morbac City

J'aime bien San Antonio, l'accumulation de jeux de mots, la grossièreté assumée et bien utilisée. Mais dans cet opus, il n'y a rien ou il y a trop, hormis des scènes sexuelles à n'en plus finir, aucun scénario, aucune trame qu'on a envie de suivre. Des 320 pages, il n'en aurait pas fallu la moitié. Je déconseille de commencer cette saga mythique par ce morceau-ci.
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San-Antonio chez les gones

Très drôle, foutraque et prenant, l’album rappelle dans le rythme les envolées survitaminées de Lastman, à l’image du dessin, ultra-dynamique, expressif et cartoonesque, jouant l’excès de proportions pour mieux faire rire, avec des cadrages culottés. Et réservant quelques scènes d’anthologie (DSK à poil, en position kung-fu).
Lien : http://www.bodoi.info/san-an..
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A San Pedro ou ailleurs

Je n'avais jamais lu Frédéric Dard, et je dois avouer que j'ai été très agréablement surpris. J'ai été happé par la curiosité des personnages, de leurs vies, de leur rencontre, et très rapidement par leur histoire d'amour improbable mais pourtant si réaliste.

Ce livre est une réussite, très bien écrit, agréable et envoutant, avec même un petit peu de suspens !
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Céréales killer

C'est la 1er fois que je lis un San Antonio. Malgré que je n'ai pas toujours bien compris la manière de parler des personnages qui est vraiment très spéciale (surtout Béru), et aussi certain jeux de mots. Le livre et l'histoire en elle même ma bien plus.

A savoir aussi que c'est un livre avec des scènes assez crue. La couverture démontre bien le style de San Antonio.
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San Antonio chez les Gones (BD)

Une adaptation des plus réussies qui donne réellement envie de revoir le Commissaire San-Antonio et son équipier Bérurier dans d’autres pérégrinations. Monsieur Sanlaville, y a plus qu’à !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Meurs pas, on a du monde

En voyage à Genève, San Antonio, dès l'aéroport tombe sur un cadavre, celui du préposé aux bagages, mais n'étant pas du coin, laisse les autorités helvètes s'occuper du macchabée. Puis, intrigué par une étrange valise, il la suit, se fait repérer et se retrouve dans une nouvelle histoire, un sac de noeuds ou de serpents puisque nombreux sont-ils de ce genre à fréquenter les pages de ce volume. Par hasard, San Antonio rencontre la délicieuse Marie-Marie, celle pour qui il pourrait bien renoncer à pas mal de ses habitudes...



Je profite d'une disette en nouveautés ou au moins d'un manque d'attrait pour icelles -sauf celles qui précèdent cet article et celles qui le suivent, of course- pour me (re)faire des classiques. Bon, certes, on n'est pas dans Molière, Marivaux ou Balzac voire Proust et d'aucuns ne qualifieraient pas les San Antonio de classiques, mais arrêtez-moi si j'me goure, San Antonio, c'en est bien du classique, non ?

Que dire, que dire ? Si ce n'est que lire un Frédéric Dard de temps en temps, ça ne fait pas de mal. C'est même tout le contraire, ça détend les zygomatiques, ça permet de renouer avec une langue absolument magique et fleurie, argotique et inventive. Alors deux à la suite, vous imaginez la gymnastique faciale...



Les enquêtes finalement, je m'en moque, ce qui me plaît le plus, ce sont les saillies de l'auteur, ses digressions et les rapports que tous ses personnages entretiennent entre eux. Et là, je suis aux anges, je ris, je savoure, je me gausse... Rien à dire San Antonio, c'est du classique, du (pas) sérieux.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Ma cavale au Canada

San Antonio classique : violence, morts en nombre, sexe,... L'intrigue est assez originale.
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La Fin des haricots

Voilà un livre qui détend !!! Pas besoin de réfléchir, on comprend le jargon de la bande !!

C'est toujours un bon moment de passé avec San-Antonio
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Céréales killer

ça sent la fin !
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La vie privée de Walter Klozett

moins intéressant que les autre épisode je le déconseille à ceux qui voudrait démarer la collection par cette opus mais la lecture en est rester agréable.
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Maman les petits bateaux

aventure pleine de rebondissement qui souffre d'un départ un peu "largage au milieux de nulle part" mais bon toujours le style Dard ponctuer par énormément de conquête féminine de la parts de notre commissaire
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