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Critiques de Georges Perec (686)
Les choses : Une histoire des années soixante

Description plutôt juste d'un couple d'éternels insatisfaits servant de base à une critique de la société de consommation
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Cahiers Georges Perec, n°2 : W ou Le souven..

Deux livres en un : une fiction et une autobiographie. Quel rapport entre les deux ? Aucun, semble-t-il, mais... la suite nous montre qu'il s'agit sans doute de la même histoire, finalement.
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Le condottière

Ce roman est, en fait, le premier que G. Perec a écrit; mais il a été publié d’une manière posthume. Le personnage principal, Gaspard Winckler, est un faussaire qui peint sur commande des copies de tableaux présentés comme authentiques. On apprend dès le début du livre qu’il a tué son commanditaire, alors qu’il finissait de peindre un tableau célèbre intitulé "le Condottiere".

J’ai un faible pour Pérec, tout en admettant que c'est un auteur difficile. Dans le cas présent, j’avoue que les longs monologues de Winckler m’ont semblé pénibles. La fin du roman est plus intéressante et j’ai alors commencé à comprendre le fin mot de l’histoire. Mais, en définitive, "Le Condottiere" n’est certainement pas le chef d’œuvre de Perec.
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Le condottière

Pourtant je l'apprécie Georges Perec, mais là... non. Impossible d'accrocher à ce livre brouillon, fouillis, où l'on se perd sans plaisir (contrairement à La vie mode d'emploi par exemple). Le condottière m'est tombé des mains. Dommage.
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Cahiers Georges Perec, n°2 : W ou Le souven..

Quelle erreur pour moi d'avoir confondu Perec et Pennac ! Autant j'adore Pennac, autant là, impossible de lire plus de vingt pages de Perec sans m'ennuyer à mourir. Ciao Perec, je retourne à Pennac !
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Quel petit vélo à guidon chromé au fond de la cou..

j'ai choisi ce livre tout à fait par hasard, juste pour son titre que je trouvais sympa..je n'ai même lu le résumé avant de l'emprunter à la bibliothèque.



ce titre m'inspirait quelque chose de rigolo et facile à lire, au final pas vraiment.



l'écriture est finalement assez lourde, il y a beaucoup de répétitions (certes, l'auteur change les mots à chaque fois, mais ça veut dire la même chose).

c'est un style qui se veut léger et un peu loufoque (un peu comme Boris Vian bien que pas vraiment pareil), mais au final, je n'ai pas aimé le lire, car trop de répétitions et retours en arrière.



il y a assez peu d'action, même s'il y a un petit suspens. l'histoire tourne autours d'un militaire qui ne veut pas partir en Algérie, et essaie d'y échapper.



je suis quand même allée au bout, car petit livre (une centaine de pages) et je voulais savoir ce qu'il advenait au final, mais je ne crois pas que je tenterai un autre livre du même auteur.
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Les choses : Une histoire des années soixante

une histoire des années soixante qui aurait pu s'appelait une histoire contemporaine voire intemporelle
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Je me souviens

Ce livre n'est constitué que de petites anecdotes ou de souvenirs s'échelonnant entre la 10ème et la 25ème année de la vie de l'auteur.

Amusant et très facile à lire, ce qui donne forcément envie de l'imiter avec ses propres souvenirs et autres réminiscences.
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La Disparition

un vrai excercice de style! écrire un livre sans utiliser une fois la lettre "e" ! quand j'ai appris l'exisitence de ce livre , j'ai tout de suite voulu l'acquérir pour comprendre comment cela était possible. J'ai été ébloui par le talent de l'auteur ; il s'agit d'une histoire et il faut être vigilant pour vraiment s'appercevoir que la lettre "e" a été écartée. L'histoire est là même si je dois reconnaitre qu'elle traine et devient vite confuse ....pour moi en tous cas...Donc bravo!
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La Disparition

Quel talent que de réussir à écrire un livre sans le E. On en oublie l'histoire
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Le condottière

Roman de jeunesse de Perec publié pour la première fois. Une réflexion sur le faux sous fond de roman policier bien tourné quoique parfois trop foisonnant. A lire après le reste de l'oeuvre de l'auteur, permettant d'en comprendre certains des ressorts, certaines des obsessions.
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La Disparition

une seule "lettre " vous manque et tout est dépeuplé. magistrale leçon du quand on court après l'intrigue, on ne voit pas l'essentiel; sans "e(ux) on ne peut plus parler au présent;
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L'art et la manière d'aborder son chef de ser..

Tout part d’un organigramme publié dans Bull Informations et communiqué par Jacques Perriault, un des pionniers de l’informatique en France, et proche de l’Oulipo. Raymond Queneau décline l’invitation à écrire autour de cet organigramme, Perec, lui, accepte de rédiger un texte sur le sujet. Dans la postface, Bernard Magné précise les conditions de l’écriture de cette longue nouvelle dans le contexte des approches de Raymond Queneau et François Le Lionnais.



Il s’agit donc d’un employé décidant de se rendre chez son chef de service pour lui demander une augmentation, mais ce chef « mr x » peut-être là ou pas, c’est le début de l’arborescence de l’organigramme. « Disons pour simplifier, car il faut toujours simplifier » que Pérec va nous emmener dans une sorte d’hélice narrative qui à la manière d’un « Boléro » de Ravel va sembler boucler (au sens informatique du terme) mais avec toujours un petit incrément, une petite variation, un changement de terme ou même l’invention d’un mot -inaristophagisme, que je vous laisse découvrir.



Cette progression va se faire sur 88 pages - sans aucune ponctuation – comme si les mots et les lettres, telles des électrons circulaient sans obstacle dans ces circuits informatiques pour nous emmener d’un seul trait jusqu’à la fin de carrière de l’employé en question. Cette écriture linéaire accentuant, pour moi, l’impression de partition musicale et expliquant sa rapide transposition en pièce de théâtre.

Je comprendrais très bien que certains lecteurs trouvent ce texte ennuyeux à force de « répétition » apparente mais c’est un de ces exercices de style brillants et spécifiques de certaines œuvres de Georges Pérec, dans la veine de « Lieux » publié récemment, de « Tentative d’épuisement d’un lieu parisien » ou des « 243 cartes postales… », etc.

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L'art et la manière d'aborder son chef de ser..

Un bon moyen de garder le sourire tout au long des quelques soixante pages de ce texte très drôle et sombre en même temps, car il décrit une situation compliquée pour qui s’est déjà lancé dans ce genre de demande auprès d’un patron. Un bel exercice littéraire.
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Je me souviens

Se souvenir…

N’est-ce pas là l’essence pure de la mémoire ? Homme subtil, homme capable, G.P innove toujours, inlassablement.. Ce livre se constitue de bribes, de moments, de signes qui ont constitués la vie de l’auteur. Bien que des références peuvent êtres imprécises ou lointaines, on ressent le besoin pour l’écrivain de rendre hommage à ses mémoires. C’est la qu’est la force de Perec. Car en lisant ce recueil de souvenirs, on éprouve l’envie d’y faire de même et de se souvenir de choses parfois sans intérêts, mais qui restent gravées dans notre mémoire. L’intention n’est pas d’écrire un chef d’œuvre, et c’est justement ça qui est bon. Il faut savoir et pouvoir rendre hommage à l’enfance, aux moments rares ou futiles dans lesquels l’homme affronte le mystère de la vie, où il n’est pas maître de ce qui lui arrive. G.P fait partie à présent des écrivains si originaux que leurs œuvres en deviennent passionnantes. Je recommande ce livre pour quelqu’un qui cherche une lecture simple, mais surtout très belle.
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Tentative d'épuisement d'un lieu parisien

Dans ce livre, Pérec ne cherche pas à impressionner.

Tentative d’épuisement d’un lieu parisien c’est à la fois Perec qui nous pousse dans un ennui profond tout en décrivant ce que Perec cultive le plus : le lieu.

En s’intéressant plus profondément sur l’auteur on retrouve cette thématique du double exil omniprésente au sein de son œuvre. C’est donc toujours plaisant de s’intéresser à cette personne. Malgré cet épuisement que peut ressentir le lecteur, le style de G.P est toujours très agréable. authentique et original. C’est donc un livre qui a la fois peut ennuyer le lecteur mais qui peut aussi le pousser à découvrir une œuvre d’une originalité hors du commun. A lire lorsqu’on prend un café dans un bistrot parisien et que l’on contemple le tumulte et la foule de la capitale française des gens pressés.
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Je me souviens

Qui suis-je pour noter et critiquer un livre de Pérec ? Quand on a fini un de ses bouquins, on ferme les yeux, on ne dit rien, on attend que ça passe... et on se demande quand on va le relire. Chaque livre de Pérec est un monument unique, qui se dresse au milieu des milliers de publications inutiles et sans intérêt. Que j'aimerais tomber sur un nouveau Pérec !
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L'attentat de Sarajevo

"L'attentat de Sarajevo" de Georges Perec est un roman historique qui retrace les événements du 28 juin 1914, date à laquelle l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche a été assassiné.



L'histoire se déroule principalement à Sarajevo, en Bosnie-Herzégovine, au moment où la ville est sous occupation austro-hongroise. L'archiduc François-Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie, se rend à Sarajevo pour une visite officielle. Pendant sa visite, un groupe de nationalistes serbes, dirigé par Gavrilo Princip, décide de mener un attentat pour protester contre l'occupation étrangère.



Le récit est raconté à travers les yeux de différents personnages. Nous suivons notamment la vie de Gavrilo Princip, un jeune nationaliste déterminé à mettre fin à l'occupation austro-hongroise. Nous sommes également témoins des réactions des habitants de Sarajevo face à la visite de l'archiduc.



Le jour de l'attentat, Gavrilo Princip parvient à s'approcher de la voiture de l'archiduc et de son épouse. Il tire plusieurs coups de feu, tuant l'archiduc et son épouse. Cet événement déclenche une série d'événements qui conduiront à la Première Guerre mondiale.



Dans "L'attentat de Sarajevo", Georges Perec explore les motivations et les pensées des personnages impliqués dans cet événement historique. Il examine également les conséquences de l'assassinat de l'archiduc, mettant en lumière les tensions politiques et les rivalités nationales qui ont conduit à la guerre.



Le roman offre une perspective intéressante sur cet événement historique clé, tout en soulignant les conséquences tragiques de la violence politique. Il offre également une réflexion sur les notions d'identité nationale, de patriotisme et de sacrifice pour une cause.
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Cahiers Georges Perec, n°2 : W ou Le souven..

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Cantatrix sopranica L : Et autres écrits scie..

L'auteur étudie le lancement de la tomate qui provoquerait une réaction "yellante" chez la cantatrice et démontre que plusieurs aires de la cervelle était impliquées dans la réponse, en particulier le trajet légumier, les nucléiques "thalamaneux" et le "fiqure" musicien de l'hémisphère nord.



Sur le plan de la rédaction scientifique la marge de progrès est évidente, mais ces textes sont des bijoux de la littérature.
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