Citations de Honoré de Balzac (7091)
Que prouve un mari? Que, jeune fille, une femme était ou richement dotée, ou bien élevée, avait une mère adroite, ou satisfaisait aux ambitions de l'homme ; mais un amant est le constant programme de ses perfections personnelles.
Pierre GRASSOU était un peintre non reconnu car il copiait vaguement des peinture de grand artiste . Mais en acceptant de faire une peinture d'une famille très riches et en se mariant avec leur fille il deviendra encore plus célèbre qu'avant en pouvant mettre ces tableau au salon .
L'idée première de la Comédie humaine fut d'abord chez moi comme un rêve, comme un de ces projets impossibles que l'on caresse et qu'on laisse s'envoler ; une chimère qui sourit, qui montre son visage de femme et qui déploie aussitôt ses ailes en remontant dans un ciel fantastique. Mais la chimère, comme beaucoup de chimères, se change en réalité, elle a ses commandements et sa tyrannie auxquels il faut céder.
Il chiffra sa spéculation sur le journal où la mort de son frère était annoncée, en entendant, sans les écouter, les gémissements de son neveu.
Quant à maître Cruchot, il embrassa la jeune fille tout bonnement sur les deux joues et dit : « Comme ça nous pousse, ça ! Tous les ans douze mois. »
"Il ne suffit pas pour être un grand poète de savoir à fond la syntaxe et de ne pas faire de fautes de langue !"
"Ma peinture n'est pas une peinture, c'est un sentiment, une passion !"
L'âme humaine est une fée, elle métamorphose une paille en diamants; sous sa baguette les palais enchantés éclosent comme les fleurs des champs sous les chaudes inspirations du soleil.
Vu à distance, ma vie est comme rétrécie par un phénomène moral. Cette longue et lente douleur qui a duré dix ans peut aujourd'hui se reproduire par quelques phrases dans lesquelles la douleur ne sera plus qu'une pensée, et le plaisir une réflexion philosophique. Je juge au lieu de sentir.
Si tu me possèdes, tu posséderas tout,
Mais ta vie m'appartiendra, Dieu l'a
voulu ainsi. Désire et tes désirs
seront accomplis. Mais règle
tes souhaits sur ta vie.
Elle est là. À chaque
vouloir je décroîtrai
comme tes jours.
me veux-tu ?
Prends. Dieu
T'exaucera.
Soit !
La baronne mit un doigt sur ses lèvres et Hortense regretta cette plainte, le premier blâme qu'elle laissait échapper sur un père si héroïquement protégé par un sublime silence.
- Adieu, mes enfants, dit Mme Hulot, voilà le beau temps revenu. Mais ne vous fâchez plus.
Mais produire ! Mais accoucher ! Mais élever laborieusement l'enfant, le coucher gorgé de lait tous les soirs, l'embrasser tous les matins avec le coeur inepuisé de la mère, le lécher sale, le vêtir cent fois des plus belles jaquettes qu'il déchire incessamment, mais ne pas se rebuter des convulsions de cette folle vie et en faire le chef d'oeuvre animé qui parle à tous les regards en scuplture, à toutes les intelligences en littérature, à tous les souvenirs en peinture, à tous les coeurs en musique, c'est l'Exécution et ses travaux. La main doit s'avancer à tout moment, prête à tout moment à obéir à la tête.
L'enlèvement soudain de cette perruque sale, que le pauvre homme portait pour cacher sa blessure, ne donna nulle envie de rire aux deux gens de loi, tant ce crâne fendu était épouvantable à voir. La première pensée que suggérait l'aspect de cette blessure était celle-ci : " Par là s'est enfuie l'intelligence ! "
“La haine, comme l'amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va.”
L'histoire se passe à la fin de 1612 .C'est un jeune peintre Nicolas Poussin qui se présente à la porte de Porbus qui est un grand peintre ,qu'il admire .Il est accompagné du vieux maitre Frenhofer .Dans l'atelier il est fasciné par le tableau commandé par Marie de Médicis ,marie l'égyptienne mais maitre Frenhofer étudie la peinture et exprime son avis.
Porbus copie cette nature, mais il ne parvient pas à restituer la vie.
Frenhofer lui reproche qu'il à hésité entre deux systèmes se sont la couleur et le dessin. En quelques coup de pinceau Frenhofer insuffle la vie dans l'œuvre mais il n'arrive pas p à terminer la belle noiseuse. Poussin propose au vieux maitre de faire poser la femme qu'il aime ,Gillette ,ce que Frenhofer
La lucidité, de même que les rayons du soleil, n'a d'effet que par la fixité de la ligne droite, elle ne devine qu'à la condition de ne pas rompre son regard; elle se trouble dans les sautillements de la chance.
Il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent pas.
Les affections de l’homme se satisfont dans le plus petit cercle aussi pleinement que dans une immense circonférence.
Le père Goriot, que dire de ce livre ?
Étudiant, on m'en a imposé la lecture, j'ai eu peur des pages et du style d'écriture. Mais une fois la lecture commencée, un autre soucis s'est posé, une longue est abondante description me perdait lors des premières pages de l'oeuvre.
Une fois ces pages descriptives passées, le livre est un vrai régal !
On regrette finalement que les pages ne soient pas plus longues. Une histoire magnifique, des personnages particuliers et bien marqué, l'amour d'un père débordant nous touche beaucoup, ce livre nous fait naître des sentiments, de colère parfois par la dureté de ses filles. Le père Goriot est vraiment attachant.
Un super livre, je remercie finalement mon professeur qui me l'a fait découvrir, un livre qui se dévore au final et qui donne de nombreux points au baccalauréat ;)
Un homme qui se vante de ne jamais changer d'opinion est un homme qui se charge d'aller toujours en ligne droite, un niais qui croit à l'infaillibilité. Il n'y a pas de principes, il n'y a que des événements ; il n'y a pas de lois, il n'y a que des circonstances : l'homme supérieur épouse les événements et les circonstances pour les conduire. S'il y avait des principes et des lois fixes, les peuples n'en changeraient pas comme nous changeons de chemises