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Critiques de Jack Manini (255)
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La guerre des amants, tome 3 : Jaune Berlin

20 ans ont passés depuis que Natalia et Walter se sont quittés. Ils ne se sont jamais revu et depuis la seconde guerre mondiale les a un peu plus éloigné. Walter travaille toujours pour l'art, il fait partit de la MFAA plus connue sous le nom de "monuments men". Il sillonne les ruines françaises pour sauvegarder les œuvres d'art qui peuvent l'être. Et bientôt le voilà à Berlin à chercher celles que les allemands ont volés. De son coté Natalia fait de même mais pour le compte de Staline.



Dans ce troisième tome nous nous éloignons des discours hermétiques, qui nous avaient tant ennuyé dans les tomes précédents, pour nous consacrer à quelque chose de plus concret et de plus intéressant : le sort des œuvres d'art lors de la seconde guerre mondiale. De mon avis l'histoire des monuments men aurait pu être plus approfondie même si le cahier historique à la fin revient dessus.

Nous concluons cette série avec les retrouvailles tant attendues! c'est émouvant ^^

Le dessin reste simple et efficace. Ils ont réussis à faire vieillir nos personnages tout en gardant suffisamment de caractéristiques pour nous permettre de les reconnaitre.
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La Guerre des amants, tome 2 : Bleu Bauhaus

Si le premier tome était principalement basé sur l'histoire d'amour avec pour contexte la révolution russe, dans celui-ci la politique de l'époque est encore plus développé. Je devrais même dire qu'il y a certaines pages assez longues auxquelles je n'accroche pas voire auxquelles je ne comprends pas grand-chose.

Je n'y ai pas trouvé mon compte dans cette BD ni vraiment beaucoup d'intérêt.

Pour autant les dessins sont très sympas et j'ai tout de même envie de découvrir ce que va devenir notre petit couple. En espérant une amélioration sur l'intrigue.
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Albanie : La loi du Kanun (Intégrale)

J'ai plutôt bien aimé cette Loi du Kanun car ces trois albums nous font découvrir une Albanie comme on ne la connaissait pas : celle des années 60 et du communisme d'un autre âge avec des coutumes assez curieuses dans le principe comme ce code d'honneur. L'Albanie était encore il y a peu de temps l'un des pays les plus fermés du monde. Cette incursion m'a paru très instructive.



La lecture de ces albums fut particulièrement agréable grâce à une intrigue bien maîtrisée. Le trait du graphisme ainsi que la mise en couleur directe à la fois terne et grisâtre me semble également tout à fait réussi compte tenu du contexte particulier. Les plans sont travaillés. Les proportions des personnages sont respectées. Bref, une incontestable maîtrise graphique.



On se surprend à avoir de la sympathie pour le personnage principal malgré ses méfaits car on dépasse ici le cadre du simple voyou...



Par ailleurs, on est surpris par la direction prise par le scénario à la fin du récit alors que rien ne le prédestinait réellement.
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La fille de l'Exposition Universelle, tome 2

Le second tome traite de l'exposition universelle de 1867 où la petite Julie est devenue une belle femme ressemblant à Esméralda. L'aventure et l'amour seront au rendez-vous pour notre plus grand plaisir. Cela demeure toujours aussi captivant. Cap sur le troisième et dernier tome.

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Tomoë, tome 1 : Déesse de l'eau

Pas facile de suivre une histoire quand elle porte sur l'Histoire d'un pays, dont je connais bien peu de chose. Heureusement, un riche dossier en fin de lecture m'a aidé à mieux comprendre.

Sinon je prenais cela pour un "banal" scénario d'aventures.

Pour ce qui est du dessin, il m'a plus d'une fois fait penser aux estampes Japonaises - à commencer par la couverture - et donc j'ai vite été séduite.

Le soucis est maintenant de trouver le tome 2, pour aller au bout de ma lecture : il n'est malheureusement pas disponible à la médiathèque.
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La fille de l'Exposition Universelle, tome 1

Les éditions grand angle se lancent dans une série d'albums sur les expositions universelles. On se dit pourquoi pas mais sans plus. en feuilletant l'album, j'ai été conquis par le graphisme et je suis reparti de ma librairie avec un exemplaire sous le bras. quelle belle surprise. Le dessin et la mise en couleur sont très bon. Le scénario est très solide avec de bons rebondissements. Le découpage des planches est très dynamiques avec de magnifiques vues de Paris de la de 1800. Ce qui frappe surtout c'est l'ambiance, ce qui n'est jamais le plus aisé à rendre dans une oeuvre. Les auteurs s'en sortent à merveille avec une excellente connaissance historique de l'époque. On passe un véritable moment au troisième Empire sous leurs traits de crayon. Excellent début de série.
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Arthur Cravan

Certains artistes ont des existences atypiques, hors normes; pour peu que les rêvant, les souhaitant ardemment, ils les transposent dans la réalité au nom de la passion et au-delà de la raison.



Concernant Arthur Cravan, c'est presque d'une sorte de "Poetic n' Boxing Attitude" dont il s'agit.



Les vies de ces hommes sont les fruits de désirs exacerbés assouvis à n'importe quel prix. Elles naissent de choix délibérés profondément enracinés; de la volonté farouche et égoïste, presque désespérée, d'échapper au sort commun. Elles se nourrissent de l'espoir d'échapper à la masse bêlante des contemporains.



Se démarquer, exister dans l'accomplissement puis la force de ses passions, de ses fantasmes.

Il ne faut pas se rêver une vie, mais la vivre.

Si possible dans l'exubérance et le goût savoureux de chaque instant.



Arthur Cravan est de ces êtres-là.

Obstinément et sans retenue.

Mais tout ne se passera pas comme il l'aurait voulu.



Cet ouvrage édité en 2018, signé Jack Manini, dessinateur et scénariste de BD, est la biographie romancée d'un homme peu connu, inattendu, à la personnalité complexe et contradictoire. le lecteur suit son tragique destin juste avant et pendant la Première Guerre Mondiale. C'est aussi le portrait coloré, astucieusement reconstitué et réussi de certains milieux artistiques et de lieux à la mode en ce début de vingtième siècle.

Arthur Cravan va y promener sa haute carcasse de géant (il fait plus de deux mètres) au gré de ses conquêtes amoureuses, de ses fuites en avant face aux avancées guerrières, de ses combats gagnés ou perdus, de son amour de la poésie... etc.



Cravan est un pseudonyme. L'homme est né en Suisse en 1887 de parents britanniques aisés: les Lloyd. Une mère haïe dont il espéra longtemps l'amour mais finira par fuir pour Paris et sa vie de Bohême. Une mère vers qui il reviendra à chaque gros coup dur. Un frère aîné préféré d'elle, vite jalousé. Ce dernier, devenu peintre, initiera la haine farouche de Cravan du milieu de la peinture.



Un milieu familial qu'il abandonne alors que naissent ses rêves:

Il se veut poète, boxeur stylé, critique littéraire .... Il se veut oeuvre d'art à lui tout seul.

_ boxeur amateur, champion de France des mi-lourds déclaré vainqueur par abandon de son adversaire qui ne s'est pas présenté. Inventeur de la "Very boxe". Adversaire de Jack Johnson, boxeur américain noir, champion du monde des poids-lourds.

_Critique littéraire et poète, il est l'éditeur et le seul rédacteur (ce qui n'empêche pas l'usage de pseudonymes) de la revue littéraire "Maintenant" où il aligne excentricités et provocations. Il recevra les témoins de Guillaume Apollinaire en vue d'un duel qui n'aura pas lieu.



Cravan mettra tout en oeuvre pour parvenir à la fortune plus qu'au renom. Il considère "l'art comme un moyen et non comme un but".

Il ne s'abandonnera pas au destin promis de part sa naissance, à la fatalité d'une vie réglée par les convenances des gens de son rang.

Quitte à mentir aux autres et à lui-même, quitte à affabuler, quitte à user d'un brin (ou plus ?) de mythomanie.

Quitte aux polémiques ou grâce à elles.

Quitte aux conséquences. Quitte aux échecs.

Quitte à la fuite devant la menace car sa vie ne se fera pas sans celle des autres de 1914 à 1918. Il lui faudra composer, faire avec. de 1914 à l'Armistice. Cravan, à cause de ses 2 mètres, se cauchemarde cible facile dans les tranchées. Il fait le choix de la désertion et de l'exil (Espagne, New York, Amérique du Sud...)



Carvan est tout et son contraire.

Il y a tant à découvrir ENCORE au sein de l'ouvrage.



Jack Manini, l'auteur, étale Arthur Cravan sur plus de 200 pages format A4. L'ouvrage se montre long roman graphique passionnant, savoureux et efficace. Il est didactique et pousse à en savoir plus. Je ne connaissais pas Arthur Cravan, le mouvement dada ne m'était pas inconnu... quant à Jack Johnson, belle histoire que la sienne.

C'est une histoire vraie servie par un raconteur d'histoires né.

Scénario et dessins ne sont pas à la traîne l'un de l'autre mais forment un noeud indissociable qui donne sa pleine efficacité dans la souple avancée de l'intrigue. L'agencement des vignettes et des phylactères au sein des pages est un bonheur d'esthétisme calculé. le contenu des bulles n'est ni bavard ni trop sommaire, il tient le juste milieu pour rendre passionnante l'histoire d'un homme si énigmatique. Mention très spéciale aux couleurs soigneusement choisies au regard de chaque situation, finement apposées.



Un vrai et long travail de pro au service d'un lectorat qui ne pourra que le constater et l'apprécier à sa juste valeur.



Merci Mr Manini, Babelio, Masse Critique et la collection Grand Angle.



Voilà j'ai fais mon job. Avec plaisir et délectation. Je vais ranger le bel objet sur les rayons de ma bibliothèque... et y reviendrai un jour car c'est une BD qui se relit, qui comme Arthur Cravan a plusieurs vies..
Lien : https://laconvergenceparalle..
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S.O.S. Lusitania, tome 1 : La croisière des o..

1er mai 1915. Malgré les rappels de l’ambassade d’Allemagne aux États-Unis quant aux risques pris par les voyageurs à traverser des zones de guerre, 1265 passagers montent à bord du Lusitania en partance pour Liverpool.

Parmi eux, beaucoup d’inconnus, mais aussi quelques noms célèbres, artistes ou faiseurs d’opinion… Sans compter des espions et des agents doubles… Car malgré les apparences, le Lusitania n’est pas un navire civil : à l’insu de tous, une cargaison de munitions a été entreposée dans sa cale, transformant le bateau en cible potentiel de l’armée allemande.

Tandis que le bâtiment navigue vers sa destinée, les chemins de quelques passagers vont se croiser et s’entremêler.

Un premier tome de présentation, tout en ombres et clair-obscur, dans lequel, finalement, l’immense navire est peu représenté. Mais son absence même ne le rend que plus présent encore, comme si les cases n’étaient pas suffisamment grandes pour le contenir.

Des personnages expressifs, des motivations et des intérêts variés, des histoires personnelles qui se mêlent à l’Histoire… Tout est en place pour que joue l’orchestre !
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Tomoë, tome 1 : Déesse de l'eau

Japon, 1461



Alors que pour ne pas changer, une lutte de pouvoir s'est invitée dans les couloirs du palais impérial de Kyoto, Hosokawa, le kanrei, ou conseiller suprême du Shogun tente de persuader son frère, Yoshimi d'accepter la succession du trône.



Sans héritier légitime, le frère du Shogun en devient le seul successeur légitime.

Mais Yoshimi refuse, préférant de loin la sagesse de Bouddha et son enseignement aux petits complots de la cour.



Ce refus n'arrange pas les affaires d'Hosokawa, qui y voyait une manière optimale de contrer les ambitions démesurées de Yamana, le "Moine Rouge", qui vise, au minimum, sa position de Kenrei auprès du Shogun.



Pour rendre cette tension encore plus palpable, Hosokawa est même allé jusqu'à épouser Sei, la propre sœur de Yamana. Mais pas question de mariage d'amour, loin de là, juste une occasion pour Hosokawa de la manipuler dans son rôle d'espionnage au profit de son frère.



Pendant ce temps-là, un village de pêcheurs est attaqué par des pirates qui veillent bien à ne laisser qu'une survivante, Sayo, descendante de Tomoë, la déesse de l'eau.



Le roi des pirates, Yoshinaka, est le descendant du grand maître de guerre ... Yoshinaka.



Pendant la guerre de Genpei, deux siècles auparavant, Tomoë Gozen et Yoshinaka étaient époux et leurs batailles ont inspiré un bon nombre de poèmes épiques.



Yoshinaka ne rêve que de reconstituer ce couple mythique, même si Sayo a le même âge que son fils, Oda, et de marcher sur Kyoto.



Kyoto risque dès lors d'être bien vite témoin de quelques intrigues ou attaques rangées visant à prendre le pouvoir au Shogun !

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La fille de l'Exposition Universelle, tome 1

Suite à une de mes précédentes bonnes lectures, qui déroulait son histoire pendant l'exposition universelle de 1851 (à Londres), je me suis prise de passion pour cette période historique (cf : La Fabrique des poupées). C'est donc pas très naturellement que je me suis jetée sur cette bande dessinée, et j'en sors encore plus passionnée !

Il y a un super document sur l'exposition universelle de 1855, ma soif de savoir en est rassasiée ! D'autant que cette BD s'adresse à tous les publics à partir de 12 ans (je dirai).

Et puis il y a Julie, 12 ans, et sa mère (qui excerce le métier de voyante sans grand don particulier, contrairement à sa fille) et son frère Alponse. Et puis il y a Napoléon III, et les complots mis en place pour le tuer. Et puis il y a le meilleur ami du roi (et militaire) à qui on a enlevé sa femme, pour le faire chanter. Et puis il y a l'exposition universelle. du mystère, de l'histoire, de l'humour, du suspense, un beau graphique (je suis vraiment sous le charme du trait raffiné)....j'ai adoré !
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Le poids des nuages, tome 2 : Crash final

J’avoue avoir été assez déçu par cette série. Cela partait bien avec un contexte historique original : l’Argentine de l’immédiat après guerre, avec Eva Peron dans les parages, et des anciens aviateurs allemands réfugiés cherchant à saboter le prototype d’un nouvel avion de guerre, le Chimango, créé par le français Jean Vatine et piloté par son fils.

Sauf que l’intrigue n’est pas passionnante, Manini a brodé autour d’une histoire vraie en en rajoutant pas mal de romance, et le dessin est lui aussi plutôt quelconque, alors que souvent les dessins d’aviation figurent parmi les grandes réussites de la BD.

Bof et rebof…
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S.O.S. Lusitania, tome 2 : 18 minutes pour ..

Lorsque le commandant Turner est enfin informé de la nature militaire de la cargaison du Lusitania et de la présence d’espions allemands à bord, il est déjà trop tard : le croiseur Juno, chargé de la protection du navire, a viré de bord et un U-boot est déjà dans son sillage. Le 7 mai 1915, une torpille et l’explosion de munitions préalablement sabotées ont raison du transatlantique qui sombre en 18 minutes. Les rares survivants n’ont alors d’autres choix pour éteindre leur tristesse et leur colère que de chercher les raisons et les coupables de cette tragédie.

Patrice Ordas et Patrick Cothias reviennent sur un épisode longtemps mystérieux de la Première Guerre mondiale : les motivations et les manœuvres secrètes pour amener les États-Unis à entrer dans le conflit opposant les pays européens.

Jugé par la suite comme un fait de guerre nécessaire afin d’accélérer le règlement du conflit, le torpillage du Lusitania reprend, grâce au dessin de Manini, sa place légitime : une histoire de destins et de vies brisés, une tragédie humaine.

D’ailleurs, le lecteur ne s’y trompera pas, qui trouvera dans les regards des protagonistes plus de détermination et de force que dans la coque du navire.
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La Guerre des amants, tome 1 : Rouge évolution

Une histoire d'amour et d'amour de l'art sur un fond de révolution.

Walter , un jeune américain rencontre Natalia en 1920 à Moscou, en pleine révolution russe. Ce sont deux jeunes artistes, très engagés. Ils vont très vite devenir l'ami de Kandinsky, qui leur permettra de partir à la découverte du peuple russe, pour un voyage de propagande à la gloire de l'art. Mais ils ne vont pas découvrir que la beauté du paysage et vont vite être confrontés à la dure réalité de la vie quotidienne. Leur couple aussi sera soumis à rude épreuve.

La fin du tome ouvre la voie au suivant : Kandinsky est invité au Bahhaus, et il va les emmener dans ses bagages ....la suite au prochain tome !



Le dessin est réussi et les couleurs sont superbes.

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La Guerre des amants, tome 2 : Bleu Bauhaus

Une BD originale sur l'amour et l'art. le tout sur un fond d'histoire.



Après avoir traversé l’histoire de la révolution russe dans le premier tome, ce tome s'attache à nous faire découvrir la période liée au Bahaus, à partir de 1920. Ça tome bien, elle correspond peu ou prou, à la monté du Nazisme en Allemagne.



L'amour impossible de Natalia et de Walter cimente le scénario de cette série, avec beaucoup d'efficacité.



Cette histoire s'appuie sur de beaux dessins et des couleurs formidables.



Vivement le troisième et dernier tome !
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La petite voleuse de la Tour Eiffel

Une lecture rafraîchissante !



Juliette et Jules, les deux personnages principaux, sont drôles et attachants.

L'histoire est bien construite, et on apprend à la fin que c'est inspiré d'un fait réel.

Tout se déroule début du 20eme siècle, au coeur de Paris, une période que j'adore !



Je vais tâcher de me procurer l'autre tome qui est de la même trame.





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La petite voleuse de la Tour Eiffel

L'originalité du scénario vient du fait que la bande dessinée s'inspire d'un fait réel, "l'affaire des fiches" qui éclata en 1904. Les personnages principaux, un inspecteur de police plutôt fantasque et une jeune et jolie voleuse douée, doublée d'un esprit de Robin des bois. Le vol d'une sacoche d'un membre du Grand Orient contribue à l'origine du scandale. Le style plutôt féminin de la BD ne colle pas tout à fait à ce genre d'évènements, mais la qualité du dessin rend la lecture agréable.
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La petite voleuse de la Tour Eiffel

fantaisie policière

[Résumé] S’appuyant sur la retentissante Affaire des Fiches qui allait faire tomber le gouvernement Émile Combes début 1905, Jack Manini, Hervé Richez et David Ratte composent une fantaisie policière burlesque tout aussi envoûtante qu’indéniablement rafraîchissante.



On y suit l’enquête d’un jeune inspecteur lancé sur les traces d’un audacieux pickpocket qui sévit aux abords de la Dame de Fer et qui s’est emparé, par un heureux ou malheureux hasard, de documents à même de faire vaciller la République.



Les auteurs posent sur leurs personnages fantaisistes un regard plein de tendresse alors que le dessin délicat de David Ratte les rend particulièrement attachants… Dialogues drolatiques et truculents, scènes cocasses et aventures poétiques, rocambolesques et romanesques sont de la partie, pour notre plus grand plaisir de lecteur…
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La fille de l'exposition universelle, tome 3

Une très bonne 3ème histoire, à la hauteur des 2 premières. Ravie de retrouver Julie Petit Clou et ses frères à l’exposition universelle de 1878. Les dessins sont toujours aussi splendides et l’histoire tient encore une fois la route. Le plus est le documentaire de quelques pages à la fin de la bd qui nous permet de visiter l’exposition et qui nous donne des informations.
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Le canonnier de la Tour Eiffel

Conte à la Belle Epoque



Jack Manini et Hervé Richez associent leurs plumes et leurs talents aux crayons délicats d’Eric Ratte pour signer un récit romanesque et poétique qui nous entraîne dans le Paris de la Belle Epoque…



Dialogue, truculents, péripéties burlesques et foisonnante galerie de personnage (parfois inspiré de personnages historiques !) sont de la partie dans ce conte romantique envoûtant et plein de charmes qui mettra du baume au cœur des lecteurs et des lectrices tout en ouvrant grand les portes d’un passé méconnu…
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La fille de l'exposition universelle, tome 3

Tueur né ?

Chaque nouveau tome de la série est l’occasion pour les auteurs de nous immerger dans une époque et de nous entraîner dans les coulisses des différentes Expositions Universelles. Véritables vitrines de leurs temps, elles vont servir de cadre à des enquêtes policière légèrement teintée de fantastique mettant en scène la pétillante Julie Petit-Clou et sa petite famille ainsi qu’une foule de personnages secondaires bien plus profonds qu’il n’y parait, tel ce tueur inquiétant qui sème la mort dans son sillage...



Jack Manini a su trouver le parfait équilibre entre drame et légèreté, grâce au dessin dynamique et joyeusement expressif d’Etienne Willem qui vient contrebalancer la noirceur du récit…



L’album est complété par un dossier aussi captivant qu’édifiant dans lequel Julie elle-même guide le lecteur dans les allées de l’Exposition Universelle et présente les inventions qui ont marqué leur temps et les visiteurs…


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