AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de James Joyce (828)


Marées émaillées de myriades d’îles, en elle, ce sang n’est pas le mien, oinopa ponton, mer vinsombre. Contemple la servante de la lune.
Commenter  J’apprécie          70
L'amour entre deux hommes est impossible parce qu'il ne doit pas y avoir de relation sexuelle et l'amitié entre un homme et une femme est impossible parce qu'il doit y avoir une relation sexuelle.

Commenter  J’apprécie          70
Marchons, marchons, qu’un vin impur (à droite, alignement !) abreuve nos glaviots.
Commenter  J’apprécie          70
He began to talk of the weather, saying that it would be a very hot sommer and adding that the seasons had changed greatly since he was a boy - a long time ago. He said that the happiest time of one's life was undoubtedly one's schoolboy days and that he would give anything to be young again. While he expressed these sentiments which bored us a little we kept silent; Then he began to talk of school and of books. He asked us whether we had read the poetry of Thomas Moore or the works of Sir Walter Scott and Lord Lytton.
Commenter  J’apprécie          70
Mort en mer, la plus douce de toutes les morts connues de l’homme.
Commenter  J’apprécie          60
Polly était une mince jeune fille de dix-neuf ans ; elle avait des cheveux légers et doux et une petite bouche charnue. Ses yeux gris nuancés de vert avaient une façon de regarder en l'air lorsqu'elle parlait qui la faisait ressembler à une petite madone perverse.
Commenter  J’apprécie          60
Entrer ou ne pas entrer ? Frapper ou ne pas frapper ?
La décision de Bloom ?
Commenter  J’apprécie          60
J'avoue tipoter de curiosité pour savoir si quelque chose de quelqu'un n'est pas un peu tipoté en ce moment.
Commenter  J’apprécie          60
L'Histoire est un cauchemar dont j'essaie de m'éveiller.
Commenter  J’apprécie          60
«  Vents de mai dansant sur la mer,
Qui dansez la ronde légère
Dans les sillages, quand plus haut
L’écume s'élève et festonne
D’arches d’argent l’air alentour,
Avez- vous vu mon vrai amour ?
Ô malheureusement !
Pour mai le mois des vents !
L’amour est malheureux quand l’amour
Est absent .. »
Commenter  J’apprécie          60
La douce et triste Yseut s'étouffe, chuchotant dans le froissement des feuilles de la nuit, insidieusement, en direction de Finnegan, pour pécher encore et refaire grincer les ressorts du lit tandis que les premiers rayons de cendre glissent argent pour moquer leurs querelles déroulées sur le tapis de dune à Dollymount.
Page 856
gentle Isad Ysut gag, flispering in the nightleaves flattery, dinsiduously, to Finnegan, to sin again and to make grim grandma grunt and grin again while the first grey streaks steal silvering by for to mock their quarrels in dollymount tumbling.
Commenter  J’apprécie          60
-Je m'excuse, commença Shaun, mais je préférerais te spinozer un conte de Grimm de la geste de Jacko Esaup, fable un, faible deux. Examinons ici le Casus, mon cher cousin (husstenhasstencaffincoffintussemtossemdamandamnacosaghcusaghhobixhatouxpeswchbechoscashlcarcarcaract) de la Fourmal et de la Cigüe.
Le Cigal chantait et dansait tout le temps joyeux de sa Joycité, [...]
Page 619
I apologuise, Shaun began, but I would rather spinooze you one from the grimm gests of Jacko and Esaup, fable one, feeble too. Let us here consider the casus, my dear little cousis
(husstenhasstencaffincoffintussemtossemdamandamnacosaghcusaghhobixhatouxpeswchbechoscashlcarcarcaract) of the Ondt and the Gracehoper.
The Gracehoper was always jigging ajog, hoppy on akkant of his joyicity
Commenter  J’apprécie          63
Bon, comme on l'a écrit sur l'hebdomadaire de l'Ordre des Mendiants du Pardon des Péchés, le Sittertag-Zindeh-Munaday Wakeschrift(4) [...]

(4) Finnegans Wake lui-même devient le Saturday-Sunday-Monday Evening Post. Avec comme le laisse entendre Sitte, cette nuance de description des mœurs, une sorte de Fondement de la Métaphysique des Mœurs. [NDT]
Page 318
Commenter  J’apprécie          60
-disons que ce page d'écriture ne saurait jamais être le produit de la plume d'un homme ou d'une femme de cette période, ou bien ces parties ne sont elles-mêmes qu'additions de conclusion non recherchées sur lesquelles on a sauté à pieds joints, cela équivaut à inférer la non-présence de guillemets (parfois appelée citation) sur n'importe quelle page que son auteur fut toujours constitutionnellement incapable de s'approprier et mésuser les paroles des autres.
Page 172
Commenter  J’apprécie          60
Tout l'art de l'auteur dans cette affaire est de nous faire entrer le plus vite possible dans l'ambiance, les personnages et l'histoire. Joyce y réussit merveilleusement. Avec une habilité toute naturelle, il nous fait comprendre où il veut en venir.

L'écriture est d'une modernité indéniable. Les thèmes abordés (place de l'individu dans le monde, contradiction de la condition humaine...) autant que le style (concis, efficace et sans fioriture) indique une volonté de l'auteur de se diriger vers une réforme de l'écriture.

La nouvelle "Un petit nuage" , qui est à sortir du lot, témoigne d'une clairvoyance prodigieuse dans le traitement de l'évolution de ces personnages. Je me suis identifié très facilement avec l'un des personnages. Le texte à plus d'un siècle quand même.

Ma seule réserve repose sur l'enracinement et le rapport à la ville, que je voulais plus physique ou géographique : ce rapport réside en fait dans le lien que les individus tissent entre eux.

Mais très bonne lecture, à conseiller.
Commenter  J’apprécie          60
Mais les vraies aventures, me disais-je, n'arrivent pas à ceux qui restent à la maison; il faut les chercher au-dehors.
Commenter  J’apprécie          60
La phrase la plus profonde qui ait jamais été écrite, dit Temple avec enthousiasme, c’est la dernière phrase du livre de zoologie : La reproduction est le commencement de la mort.
Commenter  J’apprécie          60
L’art se divise nécessairement en trois formes, chacune en progrès sur la précédente. Ce sont : la forme lyrique, où l’artiste présente son image dans un rapport immédiat avec lui-même ; la forme épique, où il présente son image dans un rapport médiat entre lui-même et les autres ; la forme dramatique, où il présente son image dans un rapport immédiat avec les autres. […]
La forme épique la plus simple émerge de la littérature lyrique lorsque l’artiste s’attarde et insiste sur lui-même comme sur le centre d’un évènement épique, cette forme progresse jusqu’au moment où le centre de gravité émotionnelle se trouve équidistant de l’artiste et des autres. Le récit, dès lors, cesse d’être purement personnel. La personnalité de l’artiste passe dans son récit, fluant interminablement autour des personnages et de l’action, comme une mer vitale. Tu peux constater facilement cette progression dans la vieille ballade anglaise, Turpin Hero, qui commence à la première personne et finit à la troisième.
Commenter  J’apprécie          60
We came then near the river. We spent a long time walking about the noisy streets flanked by high stones walls, watching the working of cranes and engines and often being shouted at for our immobility by the drivers of groaning carts. It was noon when we reached the quays ans, as all the labourers seemed to be eating their lunches, we bought txo big currant buns and sat down to eat them on some metal piping beside the river.

The Encounter
Commenter  J’apprécie          60
"What is this rubbish?" he said. "The Apache chief"? Is this what you read instead of studying your Roman History? Let me not find any more of this wretched stuff in this college. The man who wrote it, I suppose, was some wretched fellow who writes these things for a drink. I'm surprised at boys like you, educated, reading such stuff. I could understand it if you were... National School boys. Now, Dillon, I advise you strongly, get at your work or..."
Commenter  J’apprécie          60



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de James Joyce Voir plus

Quiz Voir plus

Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, quizz

Qui rejoint Scout et Jem chaque été depuis leur rencontre au début du roman ?

Boo Radley
Dill
Personne

10 questions
314 lecteurs ont répondu
Thème : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur de Harper LeeCréer un quiz sur cet auteur

{* *}