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Critiques de Jean-Pierre Andrevon (381)
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Sortilèges nocturnes

Lors de la Masse Critique, j'avais été autant attiré par le titre que par la couverture. C'est ce livre que j'ai remporté et je vais avouer que j'ai passer un délicieux moments de sortilèges fantastiques.



Jean-Pierre Andrevon, je ne le connaissais pas. Jamais entendu parler de lui. Il faut dire que je ne suis pas un grand lecteur de fantastique, mais après avoir lu son recueil de nouvelles, j'ai envie d'en découvrir bien davantage. Ensorcelé ? Oui probablement. J'ai été envouté par les thèmes récurrents de son œuvre comme le rêve, la mort, le cauchemar, l'enfance. Les nouvelles parfois se ressemblent et apportent une vision nouvelle. J'ai beaucoup aimé - Un train à prendre, le téléphone sonne. J'ai trouvé l'ambiance blafarde, suave et mystiquement angoissante.



D'autres nouvelles m'ont donné l'envie d'être chez moi et non pas dehors comme l'inondation. Cette nouvelle était assez sombre. Et les crocs de l'enfance a défilé sous mes yeux comme un film sur mes rétines. Toutes les nouvelles apportent un petit côté ténébreux. Tout au long de ma lecture, j'ai eu l'impression d'être enveloppé dans un châle de brume.



C'est un auteur que je vais chaudement recommander, il s'agit d'une belle découverte de cette année 2023 et j'ai vraiment passé un bon moment de lecture. Je remercie encore les éditions Flatland qui comme l'indiquent sur la couverture du livre ont élargi mon horizon et Babelio.
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Un horizon de cendres

Histoire de zombies, les morts reviennent et envahissent le monde. Ils sont partout. On suit l'histoire d'un père de famille, directeur d'un crématorium depuis l'apparition de ces morts vivants, de la disparition de sa femme et de sa fille jusqu'à sa rencontre avec Fatoumata et leur combats pour retrouver une vie normale. J'ai bien aimé ce livre mais surtout le début, après je trouve que l'histoire "stagne" un peu pour une fin un peu décevante.
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Le Monde enfin

Le commentaire de Cathy :



Le résumé de ce roman m'a donné envie de découvrir la vision que pouvait avoir Jean-Pierre Andrevon sur une fin du monde annoncée.

Un vieil homme parcourt la France, qui a été ravagée quarante-cinq ans plus tôt par une pandémie mondiale.

Les hommes ont presque entièrement disparu, les survivants essayent de survivre dans ce monde apocalyptique où la nature reprend ses droits.

Cette lecture a été un peu particulière, il m'a été difficile de rester immergée dans cette histoire.

L'auteur nous propose un récit où chaque chapitre n'a aucun rapport avec le suivant si ce n'est qu'ils ont un lien, cette pandémie.

En fil rouge, nous suivons ce vieil homme qui traverse la France sur son cheval, ces passages sont plein de poésie.

Je viens de passer un bon moment de lecture, quoique j'ai eu du mal à garder le fil, j'aurais aimé avoir plus de temps pour m'attacher aux personnages.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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Le Travail du Furet



Haletant



Extrait :

"400 000 citoyens et citoyennes de notre beau pays, tirés au sort chaque année pour être effacés. Tirés au sort de manière rigoureusement démocratique, égalitaire, tout ce qu'on voudra, mille fois vérifiée par des commissions de spécialistes. Rien à dire : ça marche. Oui camarade, ça marche. On laisse les vioques peinards, on laisse les femmes faire des enfants si elles en ont envie, pour ne pas les stresser dans leur pulsions maternelles. Mais au bout, il y a l'effacement, qui peut toucher n'importe qui. N'importe qui, sauf les effaceurs, les contrôleurs : les furets, comme on a fini par nous appeler. Moi, et quatre cents autres assermentés mâles ou femelles qui quadrillons le territoire, et suffisons à contrôler soixante millions de citoyens. 400 000 effacements chaque année, et ça suffit pour que la population reste rigoureusement stable. Sans quoi ce serait l'effondrement économique."



Premier Andrevon, acheté au hasard sur un marché, juste pour le folio SF. Et bien bonne pioche ! Voilà plusieurs mois que je l'ai terminé, mais le seul fait de remettre le nez dedans pour rédiger cette critique, me rappelle ses dialogues croustillants. Il était effectivement bien savoureux ce p'tit bouquin. Une histoire qui va crescendo. Sombre mais drôle, violente sans plus, descriptive puis haletante. Entretenue par un personnage principal à la dérive, qui n'a d'antihéros que la maigre sympathie qu'il suscite puisqu'il est anonyme.



Je relirai du Andrevon. C'est sûr !

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Le travail du furet (et 7 nouvelles)

HA HA HA HA HA , Le travail du furet , ha ha ! Le roman le plus drôle et le plus deguelasse de tout les temps. Franchement , quel chef d'œuvre. Le lecteur arrive à s'identifier à un tueur amateur de western spaghettis. Après tout , tueur , il ne l'était pas contre son gre . Et puis , il n'arrive pas à se rebeller , et reprend son travail à la fin , LOL ! Cet assemblage de bout de papier m'a explosé la rate ! Franchement !
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Le Monde enfin

Un très beau récit de fin du monde, sans concessions, sans vision apocalyptique, juste une nature qui reprend ses droits, les animaux aussi et des hommes de moins en moins nombreux qui ne se posent même plus la question de la poursuite de la race, juste celle de la survie au jour le jour. Pas de violence, de guerre de gangs ou que sais-je comme souvent dans ces récits ; un homme ici, une femme là, quelques rares rencontres (il n'y a plus assez d'humains sur la Terre pour être sûr d'en rencontrer ne serait-ce qu'un au cours d'une vie), presque plus de possibilités donc de se reproduire, on s’achemine tout doucement vers une extinction de l’homme comme d’autres animaux se sont éteints avant eux. On suit les aventures d’une douzaine de personnages dans un monde devenu magique en somme, dans lequel on aimerait se retrouver par-delà les difficultés qu’il faut affronter : toute technologie a nécessairement fini par disparaître... loin de la masse grouillante et inexorable qui nous entoure dans notre monde d’aujourd’hui…
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Cent monstres du cinéma fantastique

L'idée était intéressante. Les auteurs, des spécialistes de la question. Et forcément, il fallait déjà en 1978 faire un choix parmi les milliers de monstres de toutes sortes que le cinéma nous a donnés à voir.

Mais si le fond est irréprochable, la force laisse malheureusement vraiment à désirer. Les photos sur papier mat, mal reproduites gâchent l'envie.

Pourtant où trouver encore un ouvrage qui nous rappelle qui étaient les Tropis, femmes au pelage de Yéti, les Triffides, végétaux bouffeurs d'humains, la gelée humaine ou Yog, la pieuvre interstellaire.

Un petit cocktail de nostalgie, d'humour et de Kitch qui nous fait réouvrir le livre en souriant, de temps en temps.
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La maison qui glissait

Le roman qui ne vous glissera pas des mains !!



On connaissait JP Andrevon avec Le Monde Enfin, qui explorait le sens de l'humanité réduite à quelques êtres errant dans un monde dévasté. Là, l'exploration se réduit à l'horizon réduit d'un immeuble de banlieue. Ses habitants sont passés au crible, comme les passagers d'un avion dans un film catastrophe. Déjà vu ? Non. Enfin pas par moi. La réalité a perdu ses repères et les personnages aussi, ce qui leur permet de se lacher, de dépasser leurs limites comme dirait Nietzsche, de laisser leur "ça" s'exprimer comme dirait Freud. Bref, au début tout est normal, banal ; rapidement tout devient abracadabrant, glauque, horrible. Un point positif : les voisins qui ne se regardaient même pas, se découvrent et sont obligés de faire avec ou contre les autres. C'est savoureux, sans concession, flirtant avec le non-sens, le tout créant un livre passionnant qui effectivement risque de s'accrocher à vous jusqu'à la dernière page.



Alors, faut-il le lire ? Oui, grand oui, avec toutefois un avertissement : âmes sensibles s'abstenir. Les descriptions sont parfois d'une cruauté et d'une crudité assez peu commune !
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Soupçons sur Hydra

Ado, j'écumais les foires aux livres d'occasion et les bouquinistes sur les marchés.

J'ai acheté une grande partie de la collection Fleuve Noir, bien que je ciblais surtout les romans parlant d'extra terrestres, et dans cette collection, ça ne manquait pas.

Me goinfer deux ou trois romans par semaines pendant des années ne m'a jamais rassasié et au contraire, aiguisé mon appétit et augmenté mon appétence pour le genre, malgré un façonnage différent de mes goûts, un aiguisement affiné de ma critique, mais surtout, j'ai découvert des dizaines d'auteurs dont je ne soupçonnais guère l'existance et testé nombre de styles d'écriture.

D'excellents, de moins bons, des "à oublier urgemment", mais un panorama large de ce qui se faisait.

Et de ce qui se fait.

J'y mets une différence car le genre a beaucoup évolué en 50 ans, avec des pavées qui prennent du poids, des écrivains qui ont su faire passer le roman de gare au stade d'oeuvre...bref, une métamorphose que j'ai pû apprécier.

...

Pour en revenir à ce roman, et sa suite (dont j'ai présentement oublié le nom mais je crois que c'est "Le premier hybride"), il a été pour moi une révélation.

Pour son bestiaire et le monologue qui fait presque les 2/3 du livre.

Mais aussi, je pense, pour l'atmosphère qui a baigné ce moment de mes 15 ans, une sorte de madeleine de Proust sauce space opéra, qui gomme les imperfections et les lacunes, et qui ne laisse que le souvenir sucré.



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Le Travail du Furet

J'ai mis un peu de temps à rentrer dans l'histoire (mais attention à ne pas lire la 4eme de couverture), surtout à cause de l'écriture d'Andrevon qui est un peu cru et assez vulgaire. Cela dit c'est raccord avec le décor et le personnage principal désabusé et ayant un travail ingrat pour le moins.

Le hasard fait, que ma précédente lecture était Ubik, ce qui est plutôt bien tombé vu les nombreuses références notamment le mobilier qui parle et qui se fait payer.

Globalement j'ai bien aimé ce mélange de passages très testostéronés et les passage plus tendre et plus contemplatif. Cette vision du future très sombre mais tellement d'actualité entre ceux qui travail et la masse qui tente de survivre.

J'ai cru voir aussi que le titre complet était : le travail du furet à l'intérieur du poulailler ! c'est encore plus troublant.

J'ai vu qu'il y avait deux suites mais je n'ai pas trouvé beaucoup de lecteurs sur Babelio.

Enfin, un petit plaisir de trouver une référence à Saint Martin d'Hères d'Andrevon qui est originaire de la région Grenobloise... et à Honeywell-Bull-Fujitsu constructeur informatique !
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Le dernier dimanche de M. le chancelier Hit..

Dans cette version de l'Histoire, Hitler ne s'est pas suicidé mais s'est enfui avant la défaite de son pays vers les Etats Unis où il vit caché et protégé par le FBI.



A la vieille de la guerre froide, il participe à une interview télévisée

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Sukran

Comment dire ? Je ne sais pas, c'est bizarre, mais plusieurs éléments m'ont dérangés durant la lecture de Sukran, et je me rends compte que ce n'est surement pas pour les bonnes raisons.



Je passerai assez vite sur l'histoire, somme toute assez classique, de Roland (Rol pour les intimes). J'ai parfois eu l'impression que son avancement dans la société Nord-Sud était un poil trop fulgurante pour être crédible et son retournement de veste totalement téléphoné, mais en soit rien de bien dommageable.



Passons plutôt à ce qui me perturbe tant : mon ressenti. Actualité oblige, je ne peux pas parler d'un roman sur une rivalité Europe - Monde islamique sans parler de l'état islamique. Et pour continuer, je vais devoir faire quelques révélations sur l'intrigue.



Et ce n'est pas tout ! J'aime encore assez bien me dire avec le sourire « Sacré bougre, il avait vu juste » en lisant une oeuvre de science-fiction vieille de plus de 15 ans. Et, inutile de le nier, Jean-Pierre Andrevon a vu juste. Sauf que cette fois-ci, je n'ai pas le sourire aux lèvres. L'arrivée d'immigrants en Europe, causée par nos propres exactions, est une réalité. Et un des protagonistes, Rachid, redoute la montée de l'extrême-droite que ce flux pourrait engendrer en Europe.



Au final, si je retiendrai cette aventure, ce n'est pas pour son la qualité intrinsèque de son scénario, mais pour son étonnant côté divinatoire,bien que la géopolitique ne serve que de toile de fond, et ne soit au final que très peu exploitée.
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La maison qui glissait

Je ne sais pas ce qui m'a déçu le plus : la fin du livre (dans le souci de ne pas spolier les éventuels lecteurs, je ne détaillerait rien de plus)



... ou les scènes de s*** gratuites. Loin de moi l'idée de faire mon bigot, mais quand on a des pages entières qui ne font pas avancer le récit, du s*** pour du s***, j'appelle ça dans le meilleur des cas de la pornographie, ce qui est un genre littéraire à part et ne rentre plus dans la catégorie de SF, et dans le pire des cas, du marketing éditorial de bas étage. Les astérisques sont là pour des questions évidentes de référencement de la critique.
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Les retombées

Ce roman court, récemment rééditée à part entière, est mon premier livre de Jean-Pierre Andrevon mais certainement pas le dernier.



J'ai voulu essayer de la science-fiction francophone en commençant par un petit livre de poche et comme plusieurs me tentaient j'ai laissé la couverture me convaincre. Comment ne pas être charmé par la puissance suggérée par ce champignon atomique qui contraste avec la sobriété du fond grisâtre à la texture de papier au tressage apparent ?

C'est assez évocateur de l’œuvre elle-même. On sait qu'une catastrophe est arrivée, peut-être d'origine nucléaire mais sans en être absolument certain, car les circonstances de l'évènement sont floues. Même la quatrième de couverture est très laconique, la seule phrase qui y est inscrite est :



"En 1979, Jean-Pierre Andrevon imagine un coin de France, le jour d’Après."



En effet, l'ignorance est un élément important de l'histoire. On suit notre protagoniste, François, après la catastrophe. Un type tout ce qu'il y a de plus normal à travers lequel le lecteur ressent toute son incompréhension face à un évènement inimaginable. On est jamais sur de rien ; où l'explosion a-t-elle eu lieu ? Une centrale a-t-elle explosé ou est-ce la guerre nucléaire ? Où va-t-on ? Où nous emmènent ces militaires ? Peut-on leur faire confiance ? Ces procédures sont-elles normales ?

Qu'il s'agisse de l'évènement passé, du présent ou du futur, l'incertitude omniprésente plonge ce récit d'anticipation dans une atmosphère anxiogène et réaliste.

Un style concis et fluide rend ces 108 pages très rapides à lire.
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La maison qui glissait

Un bon petit livre de sf, intelligent, bien construit, un peu trop porté sur la fesse à mon goût (mais pourquoi les auteurs français sont-ils autant portés sur le c... même quand ça ne se justifie absolument pas ?!).



La maison qui glissait est un livre intriguant construit sur le principe de un chapitre par personnage, ce que j'apprécie de temps en temps. On apprend ainsi à aimer ou détester chaque personnage selon ses goûts et caractère.



J'avais déjà lu un horizon de cendres de cet auteur mais j'avais eu du mal à accrocher, ce livre m'a donc réconciliée avec Jean-Pierre Andrevon.
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Visiteurs d'apocalypse

Un très bon petit roman sur la fin du monde, à moins que ça ne soit sur le futur de l’espèce humaine, difficile de vous en dire plus sans trop en dévoiler sur l'intrigue qui est, tout simplement, jubilatoire.



La chute est inattendue, même si tout au long du récit des indices bien disséminés nous la laisse petit à petit entrevoir.



Les personnages sont intéressants, certes pas très originaux, voir classiques à ce genre d'histoire, mais sans tomber dans le caricatural.



Le seul bémol, c'est le style qui parfois pèche par son manque de régularité, mais dans l'ensemble c'est plutôt bien écrit, avec des passages émouvants, d'autres plus légers parsemés d'un fond d'humour qui, s'il ne nous fait pas s’esclaffer de rire, arrive à nous faire nous dérider les jugulaires ne serait-ce qu'un court instant.



En conclusion, c'est un bon roman de science-fiction, un roman post-apocalyptique original dont il serait dommage de se passer.
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100 ans et plus de cinéma fantastique et de s..

Après "Les Classiques du cinéma fantastique" de Sabathier, voici venir je crois la nouvelle bible du genre ! Par l'auteur de "Gandahar" !
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Le Monde enfin

J'ai adoré!!! C'est dense, captivant, l'hypothèse de départ reste plausible (l'extinction de l'humanité est assez violente), et l'on suit plus ou moins longtemps différents personnages qui nous poussent régulièrement à nous demander: que ferions-nous.... De plus, Andrevon laisse peu de place à l'espoir, même à la fin, et ne se contente pas d'une happy end.... A lire, même si on est pas fan de dystopie!
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Ce qu'il y avait derrière l'horizon...

Mauvaise journée pour Joseph Wong.

Alors qu'il se réveille après une sieste, il rentre chez lui, se fait agresser par son fils, sa fille, sa femme... Pourquoi ?



Dans ce roman, le pourquoi importe peu, et quand on saura le fin mot de l'histoire, bon... disons qu'on s'en fiche un peu. L'essentiel de l'histoire est une course-poursuite dans une ville étrange par des personnages tout aussi étranges.



Force est de constater que si le livre se lit vite, il comporte énormément de faiblesses qui creusent autant d'écarts entre le livre et l'auteur.

Attention, je ne dis pas que c'est mauvais, mais plutôt que je n'ai pas accroché sur le style où tout est basé sur l'urgence et l'immédiat.

Bref, j'suis pas fan des courses-poursuites littéraires.
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La maison qui glissait

Rien d'original dans ce S.F. inutilement bavard et bien trop long pour le sujet traité.

Le lecteur comprend très vite de quoi il retourne. Il suffit alors de passer aux derniers chapitres, tout le reste n'apportant rien au sens du récit.

Ce pavé de plus de 500 pages aurait gagné à être réduit à 200 pages maximum.
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