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Citations de Lil Evans (188)


Aimer, ce n’est pas être capable de pouvoir prononcer trois mots. Le mensonge est si facile. Aimer, c’est avant tout ressentir un souffle sur le cœur, une caresse à l’âme, une joie qui inonde tout votre être et signifie bien plus que des paroles. 
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Rien que le fait de penser à elle me réchauffe le corps, fait battre mon pouls avec vigueur. L'amour qu'elle m’a offert me comble, et mon âme de criminel frétille plus fort que celle d'une adolescente devant une comédie romantique. Mince alors, j’aurais eu honte si cette sensation n'était pas aussi agréable.
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« La vie était faite de drames, de guerres impitoyables, de haine brutale, mais elle était surtout ponctuée de sourires qui ne devaient s’effacer devant la peur. »
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Mais surtout, un rêve peut être dangereux. Car à certain stade de notre existence, il nous obsède tellement que l'on est prêt à tout, absolument tout, pour vous évader et en réaliser ne serait-ce que la moindre partie.
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- Non, tu as parfaitement raison. « Coeur d'artichaut », c'est ainsi que m'appellent mes amis les plus proches.
- Ah bon ? J'aurais juré que c'était « ego surdimensionné », ou éventuellement « sors de chez moi ».
- Il n'y a que toi qui m'appelles de cette façon, poupée.
- Je me demande bien pourquoi. Oh, c'est parce que tu es aussi collant qu'un morpion !
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Tant de choses à faire et si peu de temps avant de tout oublier.
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Si la vie était compliquée, la mort l'était encore bien plus.
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Elle était à peu près sûre que le printemps était arrivé. Elle avait beaucoup lu au sujet du cycle des saisons dans ses livres, les horaires de lever et de coucher du soleil. Grâce à l’horloge située à gauche de ses chaînes, elle savait toujours plus ou moins à quelle période de l’année on était. Oui, grâce à ses livres, elle avait beaucoup appris ; mais il y avait désormais quelques semaines qu’elle n’en avait plus reçu et cela l’attristait énormément.
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"Et le voisin sauta juste devant moi. Je poussai un petit cri de surprise. Je ne m'étais vraiment pas attendue à ce qu'il fasse un truc aussi... stupide. Mais honnêtement, quand je posai les yeux sur lui, je me dis qu'il pouvait faire toutes les stupidités du monde, ça ne me poserait plus jamais aucun problème.

Parce que le voisin était vraiment, vraiment très... Bon, j'étais à court de mots.

La bouche ouverte, les yeux pétillants, les joues cramoisies, je n'arrivais pas à croire que je me retrouvai en pyjama devant le petit nouveau du quartier, avec son sourire de rêve et son corps de rêve. Et ses yeux de rêve. Et... tout le reste. Il était comme un bonbon avec le papier comestible, un régal tout entier.

Bien sûr, il était torse nu, et un torse particulièrement musclé. Pas comme les athlètes professionnels, non, juste ce qu'il fallait. Des vallons bien dessinés sur une peau café au lait, des épaules carrées, des bras forts couverts de tatouages représentant des scènes artistiques japonaises. Ses cheveux noirs étaient rasés et ses yeux noisette avaient quelques touches de jade qui les rendaient magnifiques, intenses. Et qui faisaient d'un simple regard, un tableau torride et dévastateur.

— Heu, salut, dis-je en resserrant mon gilet sur ma poitrine d'une main et en serrant mon téléphone de l'autre.

— Ax.

Il me tendit la main et j'étais sûre que c'était pour m'embêter puisqu'elles étaient prises toutes les deux. Ne pouvant décemment pas laisser mon portable tomber au sol, je lâchai mon gilet et acceptai le contact. Je tentai de serrer pour lui montrer mon agacement, mais de voir le décolleté de ma nuisette le fit sourire et ma poigne n'était franchement pas terrible, de toute façon. Il me secoua vigoureusement la main, faisant danser ce qui aurait dû se trouver dans un soutien-gorge et je mis fin à ce manège en soupirant de frustration.

— Ax ? demandai-je en haussant les sourcils.

C'était quoi ça, un prénom ? Un nom ? Le nom de son chien ?

— Aksel, mais mes amis m'appellent Ax.

— Bienvenue dans le quartier, marmonnai-je.

— Si toutes les voisines m'accueillent dans une tenue pareille, je pense que oui, je me sentirais le bienvenu.

— Ne t'excite pas trop, Aksel. La moyenne d'âge du quartier frôle presque les cent cinquante ans. Et si tu voulais bien lâcher ma main maintenant que tu l'as secouée trois mille fois, je pourrais couvrir un peu la honte de m'être laissée coincée dans cette tenue.

— Pourquoi avoir honte ? Moi je te trouve pas mal comme ça. Bon, tu aurais pu faire quelque chose pour tes cheveux, mais...

— Excuse-moi ?"
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— Mes parents m’appelaient...
Louka se pencha à son oreille et murmura d’un souffle chaud :
— Comment t’appelaient-ils, chaton ?
— Ils me disaient...
— Oui ?
— Saloperie.
Derrière elle, les bruits cessèrent. Louka se recula et la regarda, les yeux étrécis par ce qu’elle pensait être de la colère. Un grognement s’échappa de sa gorge, la figeant sur place. Le regard de Louka s’assombrit et, aussitôt, elle serra ses bras contre sa poitrine et s’agenouilla devant lui, la tête baissée. Ses ongles pénétraient la chair tendre de son ventre, tant elle était crispée ; mais aucun coup ne lui brisa le dos. Rien.
— Qu’est-ce que tu fais ?
Elle leva les yeux vers lui, troublée par ce qui était en train de se dérouler.
— Tu es en colère.
— Et alors ?
— Tu vas me punir. Alors j’attends.
— Pourquoi je te punirais ? Et pourquoi est-ce que tu t’agenouilles ?
Il se baissa près d’elle et toucha son visage. Un contact léger, mais qu’elleressentit avec une force incroyable. La chaleur du contact de Louka s’attarda sur sa peau un long moment, faisant naître un picotement agréable dans tout son corps.
— Parce que c’est toujours comme ça que ça se passe... Je suis punie, je dois m’agenouiller, puis tu me frappes. Tu vas me frapper ? Je sais que je l’ai mérité.
— Ça ne se passe pas comme ça, dans mon monde, chaton. Alors, relève-toi, s’il te plaît.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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« À savoir : que je ne suis pas si connard que ça. Ça dépend juste des jours. »
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— Je te préviens, fermez votre porte de chambre ou c’est moi qui débarque avec la tronçonneuse.
— Donne-lui une chance, mamie.
— De quoi ? Ne pas trop crier avant que je l’aie découpé ? Cet homme est un gland, et tu mérites mieux ! Au moins le chêne !
— Ça ne veut rien dire.
— Je suis sûre que Jesse a un gros chêne, lui, au moins. — Oh bordel…
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— Quels signes ? Ceux qui me font entendre du bruit tous les matins à quatre heures quand il te prépare le petit déjeuner ? Ceux qui le montrent en train de veiller sur toi au bar quand on te tourne autour et que tu es épuisée ? Ces regards épris quand tu souris ? Ceux qui sont si soucieux quand tu rentres les yeux humides et le cœur en berne ?
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- J'ai l'impression que tu perds un peu la tête
quand tu te trouves face à un beau mâle.
Quand j'en verrai un, je te le dirai.
Petite peste, râle-t-il en soupirant, quand je lui tire la langue.
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Alors qu'elle se met à trembler à mes côtés, je
ressens ce foutu besoin de la protéger. De la
rassurer. Et je réalise que depuis que je la
connais, nos émotions sont liées. Quand je vais
mal, elle s'inquiète. Quand elle va mal, je veux
détruire ce qui la rend malade. Et quand elle
sourit... Mon Dieu quand elle sourit, rien n'est
terni dans ma vie.
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« Je l’embrasse pour lui dire merci. Pour l’apaiser. Et parce que j’aime ça, cette sensation de l’avoir tout contre moi, juste pour moi. Mon cœur entre ses mains et le sien au creux des miennes. »
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Dans ses yeux, je vois un « c’est juste un taulard » qui me donne envie de vomir. Moi, je vois un homme qui a commis une erreur. Qu’il la regrette ou non n’est pas mon problème. Si je commence à les traiter comme des animaux, comme des souffre-douleurs, comme ils ont traité leurs victimes, ne suis-je pas un peu comme eux, au fond ?
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Le sang, ça ne compte pas, quand il s’agit d’amour. On peut aimer des étrangers bien plus que sa propre famille. C’est ce qu’il y a de plus beau, dans l’amour. Il n’est pas forcé par un lien, un ADN débile.
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Parce qu'en réalité, Isla est plus que ma raison de vivre. Elle est chaque battement de ce cœur qui ne palpite que grâce à elle. De ce coeur qui était mort,et qu'elle a redémarré.
-Ash-
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Je veux que toute ma vie ne tourne qu'autour d'elle, et elle seule. Mon soleil. Mon étoile. La plus belle moitié de mon âme cabossée.
-Ash-
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