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Critiques de Lilian Jackson Braun (381)
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Le chat qui disait cheese

Une bombe éclate, et, c’est l’occasion pour Ko-Ko et Yom-Yom, célébrissimes detectives félins, d’entrer en scène... ...



Lilian Jackson Braun écrit des romans fantastiques, se cachant derrière une apparence de policiers. Il y a, toujours, un meurtre, mais, tout le monde l’oublie très vite, l’essentiel étant l’évocation d’un comté imaginaire, au nord du Nord, de ses traditions bizzares, de ses habitants légérement décalés.



Qwilleran ne découvre jamais rien lorsqu’il mène une enquête, car, même s’il est le héros de ces histoires bizzares, le vrai big boss, le petit malin, c’est son chat.



Enfin bref, Lilian Jakson Braun écrit des histoires délicieusement cinglées, un peu bancales et attirantes comme des rêves éveillés.

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Le chat qui allait au placard

Pour l'hiver, Qwilleran a emménagé dans une des vieilles demeures du Goodwinter Boulevard, à Pickax, pour le plus grand bonheur de ses deux siamois. La maison compte une infinité de placards bourrés de vieilleries que Koko s'acharne à dénicher une par une pour les ramener près de son assiette. Pendant qu'il attend "la Grande Neige" en commençant à soupçonner sérieusement que ce n'est qu'une légende locale, Qwilleran apprend le décès de la propriétaire de la maison qu'il occupe. Mais pourquoi une vieille dame riche et aimant la vie se suiciderait-elle dans sa résidence pour personnes âgées, en Floride ? Dans le même temps, un fermier du voisinage disparaît dans des circonstances énigmatiques. La moustache de Qwilleran n'a pas fini de le picoter...



C'est toujours un plaisir de lire ces romans policiers atypiques. Ici, le mystère met du temps à apparaître. Tout comme sa solution. Ce n'est vraiment que dans les derniers chapitres que le fin mot de l'histoire se fait jour. En attendant, on retrouve les ingrédients habituels d'un Le chat qui... Les dialogues pleins d'ironie, frôlant l'absurde, les originalités de Koko, le caractère à la fois grognon et généreux de Qwilleran. Ce n'est peut-être pas le plus marquant de la série mais ça reste une lecture agréable et sans prise de tête. Le genre de lecture doudou idéale en cette fin d'hiver tristounette.

À noter qu'on peut lire les Le chat qui... dans le désordre et de manière discontinue : on s'y retrouve toujours.
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Le Chat qui cassait la baraque

Retour à Pickax



Thelma Thackray, quatre-vingt deux printemps, revient s’installer à Pickax, sa ville natale, qu’elle avait quitté très jeune pour faire fortune à Hollywood. Thelma a acheté l’une des plus belles maisons de la rue principale, elle arrive avec Janice une jeune femme qui lui sert de dame de compagnie, de son neveu Dick et de ses perroquets ! Voilà de quoi alimenter la gazette locale et attiser la curiosité des habitants du comté de Moose, les bipèdes comme les chats, notamment ceux de Qwill, KoKo et Yomyom.

Autant le dire tout de suite, ce volet n’est pas le meilleur de la série des « Le chat qui… ». Il se lit sans déplaisir mais sans réel intérêt non plus, il ne s’y passe pas grand-chose et les évènements qui surviennent, à 600 kilomètres au nord de partout, sont assez prévisibles.

Une petite déception pas totalement compensée par le plaisir de la compagnie des deux siamois…

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Le chat qui mangeait de la laine

Le journaliste Qwilleran hérite de nouvelles responsabilité à son journal, mais le lancement de son nouveau cahier se butera à catastrophes et déconvenues. Les intrigues policières ne sont pas bien méchantes, Qwilleran s'installe de plus en plus dans sa nouvelle communauté et son chat Koko l'aide encore à sa manière. Un gentil divertissement mais j'attends plus de la suite, notamment avec l'apparition d'une compagne pour Koko! Et que les intrigues se complexifient. Tout en gardant de ton badin propre à la série. Est-ce que j'en demande trop?
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Le chat qui aimait la brocante

Chroniqueur au Daily Fluxion, Jim Qwilleran décide d'écrire des articles sur un quartier assez mal famé appelé Came village... Et oui, Qwilleran a des fraits incroyable a vouloir assouvir les goûts de luxe de ses 2 siamois. Et son salaire au Daily Fluxion est loins d’être mirobolant. Aussi décide-t-il de concourir pour gagner le prix spécial de son journal avec ses reportages sur le quartier des brocanteurs où il va aller s’installer d’ailleurs. Il va louer une chambre à l’un deux et ainsi il pourra à loisir explorer ce quartier à la réputation sulfureuse. Mais il ne sera pas le seul à découvrir Came Village, Kao K'o Kung, dit Koko, et Yom Yom, ses deux matous vont eux aussi se livrer à une exploration minutieuse de l’endroit. Alors qu’ils observent avec attention la faune interlope du lieu, des morts suspectes surviennent.

Jim Qwilleran n’est pas encore ici le riche héritier qu’il deviendra, non il n’est qu’un simple scribouillard sans le sou. Et c’est sa condition miséreuse qui va l’entrainer dans cette enquête. Une enquête où bien sur ces deux matous vont encore faire des leurs pour aider leur maître à se sortir de là. C’est fort amusant, plein de fantaisie, un poil décalé bref une lecture qui donne le sourire et que tout le monde devrait entreprendre par ces temps maussades. Un des titres que je recommande fortement dans cette série policière.


Lien : https://collectifpolar.com/
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Un roman policier des années 60 qui nous plonge dans le milieu de l'art aux États-Unis. On s'attache plus au journaliste et à son chat qu'à l'enquête elle-même. L'auteure nous dépeint avec humour ce milieu artistique ou tout est histoire de point de vue et manière de l'imposer.

Une chouette découverte.
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Le Chat qui voyait rouge

Le journaliste Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, et ses deux chat siamois Koko et Yom Yom reviennent sur la scène, vingt ans après. Le journaliste de Daily Fluxion est maintenant chroniqueur gastronomique et retrouve son amour de jeunesse Joy, mais celle-ci disparaît et voilà que recherches, investigations, craintes et soupçons arrivent au rendez-vous.

L'intrigue qui annonce au début des rebondissements palpitants reste faible, légère, trop légère, sans chair, et l'humour est pâle et mal nourri. Intrigue et humour deviennent transparents, crient famine, et pourtant les recettes abondent mais ce n'est pas elles qui nourrissent le lecteur. Les pièces du puzzle n'arrivent à me convaincre et la fin encore moins.

Koko farceur et taquin, et Yom Yom chatte douce et séductrice sont presque démunis de leurs qualités et leurs trouvailles, bêtises ou signes annonciateurs restent sans nerf, avec un suivi plutôt amorphe.

Décevant.

Lilian Jackson Braun a fait beaucoup mieux

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Le chat qui flairait l'embrouille

Bof,bof,bof, vite lu vite oublié ce livre.

Je me suis ennuyée, le récit ronronne, le côté policier est tarabiscoté et hautement improbable, et j'ai trouvé l'humour bien vieilli. A part l'anecdote des scamadiddles qui m'a bien fait rire (ça se trouve sur internet pour les curieux), et un pseudo- haïku amusant, je n'ai pas trouvé grand-chose dans ce livre de Lilian Jackson Braun.
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Le chat qui faisait la bombe

Je retrouve encore une fois avec plaisir le comté de Moose, ses habitants habituels, Mr Q et ses chats. Et Pickax, qui s'apprête une fois de plus à faire une grande fête, pour son cent cinquantième anniversaire.

Avec tout ce qu'on peut y attendre d'ennuis en tout genre, météorologique ou pas.



J'ai trouvé ce roman plus agréable à lire que certains autres parmi les derniers de la série (notamment le précédent, Le chat qui jetait des peaux de banane.)

Cependant, côté policier, c'est quand même très léger. Avec d'abord une mort dont on ignorera à la fois la cause et le coupable (ou alors je n'ai pas lu assez attentivement ?). Puis quelques incohérences à mes yeux. Je me suis parfois demandé si même la traductrice ne commettait pas quelques bizarres erreurs.



J'ai eu plaisir à voir mentionner ici le roman "Trois hommes dans un bateau, un de mes premiers livres que je me souviens avoir lu enfant. (Et que j'ai toujours). Me faisant découvrir l’humour anglais absurde !



Bref, une distraction agréable pour moi, mais à réserver aux inconditionnels de la série.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Le chat qui avait un don

Même mes petits lecteurs de CM savent qu'il ne faut pas raconter la fin quand on présente un roman.

Mais cet éditeur-là l'ignore apparemment.

Grrr !! J'ai malencontreusement posé mes yeux sur la 4e de couv' et vlan, j’apprends ce qui va se passer à la page 118 soit pratiquement les deux tiers du livre, et même presque la fin m'est expliquée (mieux d’ailleurs que dans le roman en fait !).



Alors d'accord, même si ces romans sont présentés en collection Détective, ils ne sont plus vraiment policiers. Mais tout de même, je préfererais lire à mon rythme que de découvrir la fin avant d’avoir lu !

J'ajouterai que c'est parce que je trouve la couverture très moche que j'avais posé le livre à l'envers, contrairement à mes habitudes. Et il n'y a pas de chat nu dans l’histoire !

Bref, j'aime les éditions de La Loupe parce que c'est très confortable de lire en grands caractères, mais là franchement ...



Venons en tout de même au fond !

Ce que j'aime dans cette série, c'est surtout l'ambiance, retrouver au fil des tomes la vie de Pickax, ses personnages hauts en couleurs.

Au fil des épisodes, il y a de moins en moins d'intrigue policière.

Voire pas du tout ici, même s'il est vaguement sous-entendu que la mort (de la page 118 !!) n'est pas vraiment accidentelle, et Koko suggère 1 coupable !



En outre, j'ai trouvé le tout assez brouillon, sautant d'un personnage et d'une anecdote à l'autre.

Peut-être parce que je l'ai lu trop rapidement, mais j'ai eu du mal à y voir un fil directeur. L'autrice ne semble pas très bien savoir où elle va, ni où elle veut mener son histoire. C'est plutôt la chronique d'une petite ville, avec ses différents événements, et Mr Q en fil conducteur.



Il s'agit je crois du dernier de la série, et ce n'est sans doute pas plus mal, même si je regrette la disparition de Lilian Jackson Braun (à 98 ans).

Il semblerait qu'il soit resté un épisode inachevé ensuite.



Après toutes ces critiques, je dois avouer que je l'ai lu sans déplaisir ! Depuis le temps, je me sens un peu comme une exilée loin de Pickax, qui aurait plaisir à retrouver la gazette de son village !



Et un coup de chapeau à la traductrice, car les poésies, limericks et autres ne doivent pas être évidents à traduire.
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Le Chat qui voyait rouge

Un roman sans grand intérêt avec une intrigue très classique et sans suspense.

La seule originalité réside dans le fait que l’enquêteur-journaliste est aidé dans son enquête par ses chats siamois espiègles, ce qui rend le tout plutôt amusant.
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Le Chat qui cassait la baraque

Un tome assez atypique, puisqu'on n'est pas vraiment certain qu'il y ait eu meurtre.

Mais comme toujours, on a plaisir à retrouver Mr Q, ses chats, tous les personnages du Pays d'En Haut, et quelques nouveaux hauts en couleurs.

A ne pas lire forcément comme un polar, mais plutôt comme une chronique. Je ne me lasse pas de ces petits romans, je me sens de plus en plus "chez moi" dans le Comté de Moose !!


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Le Chat qui inspectait le sous-sol

Et dans la foulée, j' ai déniché le tome suivant. Sans aucune lassitude.



Entre la chaleur, l'absence de glaçons, et aussi ... l'absence de Polly, Qwilleran se décide à quitter son appartement au-dessus du garage pour le chalet de la fondation K. au bord du lac, et s'apprête à y passer des vacances tranquilles et reposantes.



L’arrivée s'annonce finalement assez peu reposante pour un non bricoleur, mais peu importe, une curieuse entreprise est toujours prête à le dépanner, vu qu'il peut payer.

Et il a même la prétention de faire ajouter une aile au chalet, celui-ci s'avérant un peu juste pour lui plus les chats.

Et tout se déglingue ... Tous les charpentiers se mettent à disparaître, tout dans le chalet se détraque, Mr Q se retrouve même bloqué sur une île en pleine tempête.

Quant à l'extension ...



Finalement, la fin des vacances sera sans doute plus reposante en regagnant Pickax !
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Le Chat qui volait une banque

Encore un épisode bien sympathique des aventures de Qwill et de son "chat si malin". Un vol de bijoux et un meutre, il n'en faut pas plus pour mettre notre journaliste sur la piste du coupable.

Comme à chaque fois, c'est un régal de lire un nouvel opus de cette saga. Je vois la fin venir et j'appréhende car je n'ai pas envie de me séparer de tous ces personnages.

En bref : à lire !
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Le chat qui regardait les étoiles

C'est l'été, Polly est en vacances avec sa soeur, Qwill décide donc de passer 3 semaines au calme dans son chalet au bord du lac. Mais bien évidemment, ces 3 semaines ne seront pas de tout repos et il va encore se retrouver mêler à quelques mystères locaux.

Ce tome est plutôt court et un peu décevant. Il ne se passe pas grand chose et il y a assez peu de suspens.

En bref : on a lu mieux dans cette série.
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Légendes du Comté de Moose

27 légendes et histoires de famille du comté de Moose, de Pickac et des environs collectées par Qwill au cours de ses années passées dans la région. La plupart avaient déjà été intégrées dans les romans précédents au fur et à mesure des pérégrinations du personnage, c'est donc une redite qui n'apporte rien à la série.
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Le Chat qui volait une banque

Après l'explosion du vieil hôtel de Pickax (attentat criminel), la réouverture a lieu quelques mois plus tard, après une rénovation complète. Mais un crime y est commis et des bijoux dérobés. Est-ce une malédiction?

Qwill met son nez dans cette affaire et Koko a les vibrisses qui frémissent.



Une nouvelle aventure de la plume avisée de cette auteure appréciant elle-même les chats.
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Le chat qui connaissait un cardinal

Le riche milliardaire de Pickax, Mr Q, installé dans la communauté depuis quatre ans, vient d'emménager dans une nouvelle résidence, une grande grange octogonale à pommes, haute de quatre étages, restaurée par Dennis Hough, le fils d'Iris Cobb. La grange fait l'admiration de tous mais deux drames s'y produisent à quelques jours d'intervalle, amenant bien des curieux.



Qui en voulait à ce point au directeur du collège de Pickax, Hillary van Brook?

Qwill étant concerné au premier plan par l'enquête en cours, il n'en prend officiellement pas part, mais sa moustache frémit et continue à lui fournir des indices précieux.



Encore une aventure agréable de la ''reine de l'intrigue féline'', une charmante enquête à chaque fois doucement menée, même si les meurtres sont bien présents, révélant différentes facettes du caractère humain...et félin.
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Le chat qui allait au placard

La petite ville de Pickacx attend la Grosse Neige, et c'est dans ce contexte particulier que le roman démarre : l'hiver s'ouvre toujours avec une effroyable tempête de neige, et les habitants du coin sont en plein préparatifs.

Qwill, le personnage principal , est désormais bien installé dans la région, il y a des amis , ses repères, ses habitudes. Il a décidé de continuer à aider les entreprises intéressantes , les particuliers méritants, grâce à sa colossale fortune. Il n'en reste pas moins un fureteur de première, au même titre que son chat Koko. Grace à lui, il découvre des documents, et des objets, qui vont lui permettre de dévoiler des secrets de famille...Et résoudre un meurtre. Fait inhabituel, il aura cette fois ci des adjuvants humains : une vieille dame et son petit fils qui connaissaient Euphonia.

L'intrigue policière y gagne en originalité, parce que d'habitude tout se dénoue un peu précipitamment en fin de roman, alors qu'on assiste ici à une véritable enquête.

C'est un roman agréable à lire, l'auteur n'installe pas ses personnages dans la routine et parsème son récit de remarques décapantes : tout le monde "en prend pour son grade" , et cela avec une grande finesse, au détours de phrase en apparence anodines.
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Le chat qui déplaçait des montagnes

Il y a une énergie dans ce roman que je peux comparer à celle que j'ai trouvé dans Le chat qui vivait haut, jusque là mon préféré de la saga.

Il commence comme un journal à la première personne, ce qui permet une plongée dans le personnage qui est revigorante : au douzième tome, l'auteur surprend encore, et c'est un bonheur.

La résidence de vacances m'a rappelé le décor de Shining de Stephen King, en plus conventionnel bien entendu mais avec autant de malaise instillé dans les décors : le chalet dans la montagne, isolé, lieu d'un crime sordide, recelant des indices et des secrets...

Qwill décide de s'éloigner de Pickax pour réfléchir : il est désormais l'héritier officiel de la fabuleuse fortune de sa marraine, et il se demande si ses cinq ans dans le Comté de Moose ne vont pas fausser ses décisions. J'ai aimé ses nouvelles rencontres, avec des autochtones "pas très différents mais si différents" ,ses réflexions, ses doutes, l'affirmation de son caractère très séducteur et son petit coté capricieux. C'est agréable de découvrir autant d'un personnage au douzième tome d'une saga !

Si un crime est le fil conducteur, ce roman est surtout un très beau témoignage de ce que peut devenir un ilot sauvage si des promoteurs sans scrupule manipulent les autochtones : déboisements, montagnes dynamitées,trafics et malversations en tout genre : l’appât du gain opposé au terrorisme écologique .

Un vrai coup de cœur pour ce roman, tout y est parfaitement équilibré, un bonheur.
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

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