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Critiques de Lilian Jackson Braun (381)
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Le chat qui jetait des peaux de banane

Il me semble qu'au fil des tomes, c'est de moins en moins policier, et de plus en plus une chronique de la vie dans le comté de Moose. Assez peu de suspens ici, si l’on connait la série, on se doute assez vite de ce qui va se passer. Et de restau en petits bouffes, j'ai parfois pensé au Clan des Sept qui passent leur temps à manger !!



Mais j'ai toujours du plaisir à lire cette série, j'ai peu à peu l’impression de faire partie de cette petite communauté, et j'aime les retrouver. Dans un volume où il est encore question de théâtre. (Et d'intempéries, mais c'est bien normal quand on est à 600 km au nord de partout !)

Si vous n'avez jamais lu cette série, je pense que vous risquez d'être un peu déçu : de nombreux personnages qu'il est difficile de distinguer si on ne les pratique pas depuis de nombreuses pages. Un roman où le côté policier n’apparaît que vers la fin. (et une fin qui nous laisse un peu sur notre faim !!)

Mais si comme moi vous avez l'impression d'être un citoyen de Pickax, vous retrouverez avec plaisir tous vos amis, et les chats bien entendu.

Sans oublier que dans cet opus, on assiste à un événement important et attendu : l'ouverture, enfin, d'une librairie, qui sera tenue par Polly, elle abandonne pour cela la direction de la bibliothèque.

Et dans cette librairie, un "bibliochat" très conscient de son importance !



J'ai dans cet opus découvert le mot Limerick, que j'ignorais totalement.

(Définition, au cas où je ne serais pas là seule !):

Poème burlesque composé de cinq vers, en littérature britannique.



Un grand merci à Rose Marie qui a bien alimenté mon début de collection de tous ces chats !
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Le chat qui connaissait Shakespeare

(...) Cet épisode est particulièrement sympathique pour ceux qui, comme moi, ont commencé par les lire derniers romans de la série, du fait qu’on y apprend beaucoup de choses sur les débuts de Qwill à Pickax et sur les personnages que l’on retrouve dans les tomes suivants.



Comme dans toutes les aventures de ce sympathique trio d’enquêteurs, on a l’impression qu’il se passe finalement assez peu de choses. Et pourtant la lecture est très addictive et on a hâte de découvrir pourquoi Koko fait une fixation sur Shakespeare et comment cela va aider Qwill a démêler le mystère qui nous est proposé.



Le quotidien des personnages n’a rien de très palpitant, mais l’intérêt de le découvrir réside dans le pittoresque des lieux et les manies des habitants. Les légendes locales ont leur vie propre, également, et l’ensemble de l’univers est très riche, rempli d’anecdotes loufoques ou surprenantes.



Le charme de la série, y compris ce tome, réside donc plus dans son contexte que dans les enquêtes proposées, mais je passe toujours un excellent moment avec les aventures des habitants de Pickax. A dévorer sans modération! (...)
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Le chat qui aimait la brocante

Encore un belle aventure policère pimentée par le jeu de nos deux matous.

Une belle écriture et un parfum surrané dans l'ambiance générale du livre.

J'aime et j'en redemande.
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Le chat qui avait un don

C'est le dernier tome de la série et j'avoue que je suis triste de quitter Qwil, Koko et Yom-Yom de cette manière. En ce qui me concerne ce tome n'apporte rien, il traîne en longueurs et l'intrigue est inexistante. L'auteure fait un peu de remplissage en nous remémorant différentes affaires précédentes. Bref, ce tome qui clôture une série que j'ai appréciée pour la plupart des opus, est une déception.
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Le Chat qui inspectait le sous-sol

Dans ce nouvel opus des "Le chat qui...", Qwill décide de prendre des vacances dans son chalet d'été qu'il veut faire agrandir. Le calme et la sérénité du lieu vont vite se faire oublier face aux problèmes rencontrés lors des travaux.

Encore un ouvrage agréable à lire et sans prise de tête. J'ai un peu moins accroché que d'habitude. Je ne sais pas trop pourquoi, sans doute le sujet qui ne m'a pas vraiment passionnée.

En bref : sympa mais sans plus.
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Le chat qui faisait la bombe

Koko a un nouveau jeu, se laisser tomber sur un coussin...ou une tête bien chevelue depuis une hauteur où il domine la sitaution.



Pourquoi saute-t-il sur la tête du neveu des Ledfield?



La célébration de Pickax Now se passe plutôt bien, pour une fois que les idées de Hixie Rice ne tombent pas à l'eau, au propre comme au figuré.



Mais quoiqu'en dise le chef de la police, tout n'est pas si calme à Pickax, et les morts suspects continuent, annoncées par le hurlement sinistre de Koko.
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Le chat qui jetait des peaux de banane

Qui est Alden Wade, nouveau venu dans la troupe de Pickax?

C'est un beau ténébreux, qui ne laisse pas les femmes indifférentes, y compris Poly.

Un acteur de la troupe meurt dans un accident, une célibataire de longue date saute le pas, un nouveau commissionnaire chevelu apparait au Quelque Chose...

Quel est le lien entre toutes ces anecdotes?

Poly est survoltée par l'ouverture de la nouvelle librairie qui a mobilisé toute son énergie ces derniers temps. Mais ces événements sont ternis par les catastrophes qui se déroulent autour d'eux.

Alors Koko et la moustache de Qwill entrent en action, et sa plume sait rendre hommage aux grands disparus.
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Le Chat qui parlait dindon

Le dindon sauvage est une espèce disparue depuis au moins trente ans du comté de Moose. Et pourtant, Qwill, Koko et Yom Yom en ont vu apparaitre devant eux, devant le belvédère de la propriété de Qwill.Rêve? Mauvaise digestion?

En parallèle, Qwil s'investit dans les commémorations historiques de Pickax et de Brrr.

Mais il tombe encore une fois sur une affaire louche. Une histoire de famille, d'héritage, et quelques morts en plus à la clé...



L'auteure prévoit-elle la fin de la série?



Avec un peu de recul, oui, on peut le dire. Car il ne reste après ce titre que trois romans dans cette série féline. Ainsi que deux suppléments exploitant les productions de Qwill.



C'est probablement pourquoi elle remercie, avant le prologue, ses proches, son mari, et ses chats qui l'ont inspirée pendant cinquante ans.
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Le chat qui aimait la brocante

Ce roman m'a plu à de nombreux titres, et j'ai replongé dedans avec délices !

Le monde de la brocante est un terrain connu pour moi, car j'ai vécu quelques années en immersion dans cet univers de débrouille, de poussières, et de passions. J'y ai retrouvé des "Personnages" comme j'ai pu en croiser dans la vie, et les remarques des clients m'ont fait beaucoup rire ("Oooh, ma grand-mère avait la même, tu te rends combien on aurait pu en tirer ?" etc) : c'est assurément un univers que l'auteur maîtrise particulièrement.

L'intrigue policière est la plus aboutie des ces trois premiers romans que je viens de relire. Qwill verse dans l'enquête franche, plus que dans les spéculations . Il mène l'enquête , sans hésiter à se faire aider de Koko. Rien de surnaturel, il est simplement persuadé que le chat pressent certains évènements, en particulier les évènements dramatiques. Koko se révèle effectivement d'une grande aide,  coïncidences ou pas ; cela importe peu en fait.

Qwill n'a rien d'un "homme à chat", ou du moins de la caricature que l'on peut s'en faire. Il a , à 45 ans , un charme viril qui semble plaire à beaucoup de femmes. Il est lettré, intéressant, et passionné d'histoires criminelles. Le début du roman le décrit ainsi : "Il n'y avait rien en lui de bien remarquable, en dehors de l'exubérance de sa moustache-et de sa sobriété : il était plus de minuit, neuf jours avant Noël, et cet homme , sortant du bar du Club de la Presse, n'était pas ivre." C'est d'ailleurs dans ce roman que l'on en apprend un peu plus sur sa vie. Dans sa jeunesse, il a été marié, et reporter criminel à New York. C'est  suite à un divorce douloureux qu'il va sombrer dans des années d'alcoolisme, dont il est sorti avant le début du "Chat qui lisait à l'envers", le premier roman qui raconte ses aventures . Désormais, c'est un Qwill guéri mais endetté qui est là, avec ses deux chats d'adoption, récupéré au grès de  ses enquêtes.

L'arrivée de Yom Yom donne une touche agréablement féminine au duo Qwill-Koko : Lilian Jackson Braun arrive à transcrire l'étonnement de Qwill devant les réactions de sa nouvelle colocataire. C'est un bonheur pour les amoureux de la gent féline.

On fait ici la connaissance d'Iris Cobb, qui deviendra un personnage récurrent dans plusieurs romans suivants.

Lilian Jackson Braun prend aussi la défense des quartiers anciens que les mairies laissent pourrir : on rase tout, on fait du neuf ! Sa description des maisons victoriennes sous la neige est un bonheur, et même si elle n'en fait pas des pages l'atmosphère est prenante et agréable. Elle parle de l'absence d'aide aux commerçants, des difficultés imposées aux nouveaux venus dans le quartiers (comme une caution exorbitante réclamée pour l'installation du téléphone).

J'ai tout aimé dans ce roman, donc : les personnages, l'intrigue, le décor, la narration distinguée et piquante de l'auteur.
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Le chat qui mangeait de la laine

Deuxième enquête de Qwilleran, qui est encore une fois bien aidé par son chat. On fait également la connaissance d'un second chat, Yom-Yom, qui va désormais accompagner Qwilleran et Koko dans la trentaine d'aventures qu'il leur reste à vivre.



Le roman se lit très bien, même si l'énigme est assez simpliste et pas forcément très fournie.
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Le Chat qui sniffait de la colle

Cet ouvrage est le 8ème de la série, Qwill a déjà hérité mais il n’habite pas encore dans la grange, il commence le théâtre mais tout s’arrête lorsque deux membres de la troupe sont assassinés.

Koko sniffe la colle des livres et Yom Yom est très perturbée. Qwill a du mal à interpréter les signes que lui envoient ses chats mais il finira forcément par découvrir la vérité.

Encore un épisode très sympathique de cette sage des « Le chat qui… ». C’est toujours un plaisir de retrouver les différents protagonistes et de les voir évoluer au cours du temps, notamment les relations de Qwill avec les femmes et Pollie en particulier.

En bref : à lire si vous aimez cette série !
Lien : http://voxpopuleek.fr/2014/0..
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Le chat qui donnait un coup de sifflet

James Qwilleran (dit Mr. Q) et ses deux chats siamois, Koko et Yum-Yum, vivent dans la petite ville fictive de Pickax, située dans le comté de Moose, à «400 miles au nord de partout ailleurs." Bien qu'elle ne l'ait jamais déclaré officiellement, les villes, les comtés et les modes de vie décrites dans la série sont généralement considérées comme étant calqués sur ceux de Bad Axe, Michigan, où Lilian Jackson Braun résidait avec son mari jusqu'au milieu des années 1980. Et cette petite ville est peuplée de véritables « caractères », de personnages hauts en couleurs qui, tous, gravitent autour de notre journaliste milliardaire, Mr Q. Celui-ci, avec son humour pince-sans-rire, est également un vieux célibataire, très courtisé mais défendu de la gente féminine par ses deux chats.

Cette fois, l’intrigue tourne autour d’un amateur de trains, très riche, qui disparaît en emportant le capital de sa banque, avant un audit. Les siamois, comme tous les chats, c’est bien connu, ont d’autres perceptions du monde que les êtres humains. Leur maître, perspicace, prend en considération chacune de leurs attitudes. Mais quand l’un d’eux déclenche une coupure de courant dans tout le comté, il doit bien reconnaître qu’en plus d’avoir neuf vies, les chats sont des sources d’énergie vibratoire.

La première qualité de ces enquêtes est l’humour dans les dialogues et dans certaines situations. La seconde est que, à chaque histoire de la série du « Chat qui… », j’ai l’impression de retrouver un univers familier avec ses archétypes, ses lieux dits, ses descriptions de la vie provinciale.

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Le Chat qui parlait dindon

Autant vous le dire tout de suite, ce roman n’est pas le meilleur de la série, et il ne faut surtout pas chercher une intrigue policière solide dans ce récit : elle apparaît disparaît et réapparaît comme un serpent de mer, pour finalement trouver un dénouement qui clôt l’histoire d’une manière qui ne me satisfait pas.

Le véritable intérêt de ce roman est de se replonger dans la vie des pionniers, de la manière dont, aux Etats-Unis, on perpétue leur mémoire jusque dans la création de musée ou de reconstitutions historiques. Il est intéressant de voir tout le soin que Qwilleran passe à collecter des documents, des souvenirs familiaux, l’évidence avec laquelle chacun cherche à préserver ce passé commun. Chacun se retrouve uni par cette passion, par le plaisir aussi de revivre des événements ancrés dans la mémoire familiale. Après le grand incendie qui ravagea la ville, ce sont maintenant le bicentaire de la ville voisine et la grande tempête qui sont commémorés. Les événements auraient presque pu avoir lieu de nos jours, tant les ravages provoqués par l’appât du gain sont toujours d’actualité.

Et les dindons, me direz-vous ? Ils font leur réapparition, dans ce brave compté de Moose, et captent toute l’attention de nos félins préférés.
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Le Chat qui voyait rouge

Il y a peu de temps que j'ai fini de lire le quatrième tome des aventures de Jim Qwilleran et de ses chats Koko et Yom Yom.

Obligé de suivre un régime alimentaire drastique pour sa santé, le pauvre Jim se voit attribuer par un directeur un tant soit peu sadique, tel le supplice de Tantale, la rubrique gastronomique du Daily Fluxion. Au cours d'un cocktail il retrouve une ancienne fiancée, depuis mariée, qui vit dans une espèce de maison des arts où une faune variée cohabite joyeusement (ou pas) sous la bienveillance du maitre des lieux Mike Maus. Une fois de plus Jim déménage et va se trouver un appartement libre dans cette maison où il espère faire la connaissance de ce joyeux monde et parallèlement écumer les restaurants avoisinants pour faire sa chronique.

Malheureusement les apparences sont trompeuses et les mystères vont succéder aux disparitions, une occasion pour Jim de se lancer dans une nouvelle enquête à laquelle les matous seront de précieux adjoints.

L'écriture de L.J. Braun est égale aux précédents romans mais j'ai été un peu déçu par l'enchaînement des événements et de l'enquête. C'est un peu décousu et les soupçons se portent trop facilement sur des suspects… Bref peu de surprises dans l'intrigue même si l'auteur se donne du mal pour nous emmener sur différentes pistes. Notre bon Jim à la moustache frissonnante va et vient, se pose beaucoup de questions, mais arrivera au dénouement de cette histoire non sans amertume. Heureusement qu'il a ses matous.

Malgré tout un bon moment de lecture.
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Le Chat qui voyait rouge

Voici une des premières enquêtes de Jim Qwilleran, bien avant qu’il ne devienne riche, grâce à un héritage providentiel.

Il est donc obligé d’écrire une série d’articles alimentaires (dans les deux sens du terme) et se rend dans une maison d’artiste, dont l’héritier se doit d’héberger des artistes de tout bord et de toutes sortes, dont un couple de potiers. Il découvre qu’il s’agit là de Joy, son ex-fiancée, qui l’a plaquée vingt ans plus tôt. Elle n’a pas changé – du moins, aux yeux de Jim. Elle a des problèmes de couple – c’est embarrassant. Elle ne choisit pas la voie la plus simple pour les résoudre – l’avenir prouvera à Jim qu’il avait raison (je ne vous dirai pas à quel sujet).

Tout semblerait presque paisible, n’étaient des faits qui, pris isolément, étaient déjà dramatiques, mais mis bout à bout, crée un climat de peur et de suspicion dans ce qui devrait être un havre de paix. Autant dire que les nerfs de Qwill sont mis à rude épreuve. Sous tension, presque seul avec ses deux siamois contre tous, il doit répondre coup par coup à chacune des manoeuvres de son adversaire – et aux réactions des autres locataires, parfois extrêmement angoissantes. Et si le chat voit rouge, c’est parce que cette enquête est l’une des plus sanglantes de la série – même en ne tenant pas compte des suicides et morts accidentelles.
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Le Chat qui cassait la baraque

Qu'est ce que je me suis ennuyée !



Parmi les descriptions culinaires, décoratives ou vestimentaires, une mort est venue me réveiller vers la centième page. Mais j'ai failli abandonner après, l'auteure était repartie dans ces longues descriptions.



C'est long, c'est lent, c'est mou.



C'est dommage le titre était alléchant.



Tant pis.
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Le Chat qui remontait la rivière

Voici la suite du chat qui flairait l'embrouille. Il poursuit ses pérégrinations avec Qwill du côté de l'Auberge Casse-Noisette.

Que d'événements racontés d'une plume légère, l'air de rien: meurtre, suicide, crise cardiaque, chercheur d'or et exploitation illicite d'une réserve forestière. On se pose toujours la question de savoir si Koko et ses 60 vibrisses (au lieu de 47 pour la norme) est un chat magistral, ou si le cerveau de Jim Qwilleran (et sa moustache qui le chatouille lorsqu'il flaire du louche) est toujours sur le qui-vive.

Il ne se passe jamais rien d'extraordinaire au Pays d'En-Haut, sauf lorsque notre journaliste enquêteur met le doigt là où ça fait mal!
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Le chat qui mangeait de la laine

Le chat qui mangeait de la laine est le deuxième tome de la saga féline imaginée par Lilian Jackson Braun et dédiée aux enquêtes policières de Jim Qwilleran, comptant à ce jour pas moins de trente épisodes. J'ai consacré un précédent article au premier livre de la série, auquel on peut éventuellement se reporter, sachant qu'il est nettement recommandé de lire ces ouvrages dans l'ordre chronologique.



On retrouve donc notre héros, Jim Qwilleran, nanti de son "super chat" Koko, toujours chroniqueur au Daily Fluxion dans une grande ville américaine ressemblant fortement à Chicago. Le savoureux décalage par rapport à son domaine de compétences initial (la criminologie) se poursuit pour notre plus grand plaisir : après avoir assuré la rubrique artistique, il se voit propulsé dans l'univers feutré et bien tranquille (croit-il !) de la décoration d'intérieur...



Perpétuel néophyte, il sert de médiateur au lecteur dans sa découverte des arcanes de ce monde très codifié, dont les initiés, souvent hauts en couleur, s'expriment volontiers dans un jargon incompréhensible. Comme dans tous les livres de cet auteur, il ne faut pas chercher ici la sainte trinité du polar : action trépidante, violence souvent gratuite et suspens haletant.



... la suite sur mon blog !


Lien : http://lafautearousseau.over..
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Les chats mènent l'enquête dans l'univers de l'auteur, sympathique à lire en bord de mer ou enroulé d'un plaid devant un chocolat chaud. livres de vacances.
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Le Chat qui cassait la baraque

Une vieille dame qui retourne dans son village à 600 Km au nord de nulle part. Elle porte des chapeaux improbables et souhaite créer son club de cinéma. Mais pourquoi Koko déteste-t-il tant la musique de Prokofiev "Le joueur" ? Qui a enlevé les perroquets de la vieille dame ? Que fait Koko lors de la représentation pour le Kit Kat - un club de protecteurs des chatons abandonnés ?... Vous aurez la réponse en lisant ce livre décrivant une fois encore les petits rien du quotidien.

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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

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