AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Lilian Jackson Braun (381)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Le chat qui jouait Brahms

Sur toute la série des chats qui…, ce volume joue en quelque sorte le rôle d’élément perturbateur.



En effet, les 4 premiers titres permettent aux lecteurs le personnage de Jim Qwilleran. Sa personnalité, son rapport à son travail, son côté fouineur, l’arrivée des chats dans sa vie, sa situation personnelle, ses liens avec les femmes…



Celui-ci nous présente le premier personnage atypique du comté de Moose, Tante Fanny, et place Qwill dans la situation d’héritier des milliards de sa tante, et l’obligation pour lui de vivre au moins cinq dans cette région du Pays d’en Haut. De là découleront tous les autres volumes de la série.

Mais reprenons ce titre. Qwill se sent d’humeur morose dans sa ville du Middle West, et décide de partir trois mois dans une cabane dans les bois près de sa ‘’tante’’ pour écrire un livre. Mais rien ne se passe comme prévu. Il fait la connaissance d’un monde qui lui parait étrange. La devise semble être ‘’omnes sciunt’’. Tout le monde savait, ‘’mais personne ne voulait secouer le cocotier. Il fallait un étranger comme [lui] pour mettre le pied sur la fourmilière’’.



Mais tout le monde savait quoi ? Car l’air de rien, il se passe des choses pas très claires dans ce pays candide à la frontière canadienne : trafic de drogue, d’alcool, de prisonniers évadés….Qwill a du pain sur la planche.

Commenter  J’apprécie          50
Le chat qui donnait un coup de sifflet

Pourquoi bouder son plaisir ? Cette collection des chats me rappelle de bons moments.
Commenter  J’apprécie          50
Le chat qui déplaçait des montagnes

Une aventure très agréable et palpitante de Qwilleran, Koko et YomYom. Ici changement de décor pour les montagnes des Potato, où la retraite de nos amis ne va pas être de tout repos, un nouveau mystère doit être résolu et un vrai meurtrier découvert!
Commenter  J’apprécie          50
Le chat qui vivait haut

C’est avec plaisir qu’une fois de plus j’ai retrouvé notre très cher Qwill et ses deux chats siamois.

J’ai préféré cet épisode au dernier que j’avais lu (Le chat qui jetait des peaux de banane).

Le ton est toujours égal : léger, sans prise de tête et très agréable. Les personnages toujours aussi bien décrits et avec la bonne dose de suspens.

Je sèche un peu sur cette chronique mais ce qui est sûr, c’est que j’ai beaucoup aimé ce livre et que je vous le conseille !

J’avais dit que je lirai les autres livres de cette série en anglais mais ce n’est pas encore pour cette fois et puis j’avais aussi envie de les lire dans l’ordre mais encore une fois, ce n’était pas le cas… Affaire à suivre…
Lien : http://voxpopuleek.fr/2013/0..
Commenter  J’apprécie          50
Le Chat qui parlait aux fantômes

Qwil et sa moustache ont encore flairé une nouvelle bizarrerie, cette fois lors de la mort de son amie Iris. Il ne croit pas à une crise cardiaque fortuite, il est sûr et certain qu’Iris est décédée de peur et que cette peur a été induite volontairement par quelqu’un de son entourage. Le coup de pouce salvateur de Koko pour dénouer ce sac de noeuds arrive bien entendu à la fin de ce tome.



Cette histoire est agréable car la suspicion de Qwil mène le suspens tout au long de l’histoire. Elle change d’une enquête traditionnelle puisque « le meurtre » est insidieux et que la victime est morte d’une crise cardiaque induite par la peur… Sujet assez atypique !
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
Commenter  J’apprécie          50
Le chat qui vivait haut

Une fois n'est pas coutume, Lilian jackson Braun structure son livre différemment, mais c'est pour mieux nous faire entrer dans le vif du sujet, la mort de son héros, Jim Qwilleran, alias Mr Q, ce gentil milliardaire prêt à aider tout le monde à Pickax.

Et c'est d'ailleurs ce qui l'a perdu. Il se trouvait dans le Pays d'En-Bas, où s'est bien connu, la criminalité règne. Il comptait y passer l'hiver pour répondre aux sollicitation d'une ancienne connaissance.

Le roman retrace sa décision de passer l'hiver plus au sud, les péripéties qu'il a rencontrées dans son installation avec ses chats au quatorzième étage d'un immeuble appelé le Casablanca.

L'annonce de sa mort sème la consternation à Pickax, et son ami Arch Riker se rend sur place pour réclamer le corps pour identification....et se trouve nez à nez avec un Qwill plus que jamais surpris des paroles de son ami!!!!

De péripéties en rebondissements, l'auteure retrace les mésaventures de son héros, pressé de retrouvé le ''grand nord'' et ses amis.
Commenter  J’apprécie          50
Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

D'accord, tous les volumes de cette série ne sont pas terribles, il ne s'y passe souvent pas grand chose, mais je me suis dit que je les lirai tous parce que, finalement je me suis beaucoup attachée à Qwilleran (sans u ! ! !) et à ses deux chats, Koko et YomYom
Commenter  J’apprécie          50
Le Chat qui n'était pas là

Incipit: Fin août, seize habitants du comté de Moose, partie éloignée des Etats-Unis à 600 kilomètres au nord de partout, entreprirent un voyage organisé en Ecosse autour des îles de l’Ouest et des Highlands, des lochs, landes, châteaux, fermettes, estuaires, ruisseaux, collines, sommets et gorges. Seuls quinze en revinrent et les survivants rentrèrent chez eux en état de choc.



Encore un résumé qui dévoile des éléments spoilant l’histoire, je vous le remplace donc par le 1er paragraphe du roman, qui me semble assez parlant et a le mérite de ne pas spoiler des évènements de l’intrigue n’intervenant qu’à la fin du livre!



Je n’ai pas grand chose d’inédit à vous dire sur ce tome, il est dans la même veine que le reste de la série et m’a vraiment fait passer un bon moment.



Les personnages hauts en couleurs, les facéties des chats et les éléments comiques fonctionnent toujours avec moi et j’ai dévoré ce livre aussi vite que les circonstances (je n’étais pas seule pendant mes vacances) me l’ont permis.



La répartition des rôles hommes-femmes, assez traditionaliste, est un élément qui me gêne un peu parfois dans cette série, mais elle est ici contrebalancée par la conscience qu’en ont les personnages féminins, qui ne manquent pas de faire remarquer l’omniprésence d’un certain sexisme dans le groupe.



La résolution du mystère est assez simple à comprendre. Ce n’est pas forcément celle que j’aurais choisie, mais l’ensemble est cohérent .



Bonne lecture, une valeur sûre pour passer un moment sans prise de tête dans un univers réconfortant.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
Commenter  J’apprécie          40
Le chat qui disait cheese

Koko et Yom-Yom mènent l'enquête

Un livre détente pour commencer l'été.

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Qwill et ses deux chats à Pickax où le quotidien des habitants risque d'être perturbé par l'organisation de festivités autour de la gastronomie, dont le clou sera une soirée dégustation de fromages. Fromages dont Qwill se fait un devoir de goûter en avant première, la soirée devant se dérouler dans sa grange, aidé dans cette tâche par les chats qui n'en perdent pas une miette ! Mais plus que ces festivités, c'est l'installation dans le vieil hôtel de Pickax d'une femme mystérieuse (dont Qwill fera connaissance par hasard au moment même où une bombe détruit précisément la chambre où elle était descendue, tuant l'une des jeunes femmes de ménage) qui aiguise la curiosité de toute la ville.

Qwill et sa moustache, Koko et Yom-Yom et leurs vibrisses sont bien décidés à résoudre le mystère avant l'inauguration de l'exposition culinaire même si un nouveau meurtre, par abeilles interposées, complique encore l'énigme...

J'adore la série "Le Chat qui..." de Lilian Jackson-Braun publiée dans la collection Grands Détectives de 10/18. Je suis surtout fan de ces chats dont les comportements sont finement observés par l'auteure et dans lesquels, tous les cats-lovers retrouveront ceux de leurs félins.

Délicieusement suranné, à consommer sans modération !

Commenter  J’apprécie          42
Le chat qui jetait des peaux de banane

Je ne vais être aucunement objective, car j'adore la série des "le chat qui" ! Je les lis en ordre chronologique et celui-ci est le 27e ! J'ai bientôt fini la série et ça commence à me faire de la peine...



Les principaux protagonistes sont Jim Qwilleran, journaliste et chroniqueur du journal d'une petite ville. Ainsi que ses deux chats, Koko et Yom Yom, Koko aidant souvent Jim à "résoudre" des enquêtes !



A chaque opus, il y a un ou plusieurs morts, et je dois dire que ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus. D'ailleurs si je devais les décrire, je ne parlerais pas de la série des chats comme des polars. Tout au plus comme des enquêtes un peu façon "whodunit" mais ce ne sont même pas les thèmes principaux des romans.



Moi ce que j'aime, c'est le style de Qwilleran, et sa façon de parler, son élégance, son humour, les cabrioles de ses chats, son amitié pour Polly, la description de ses maisons au fur et à mesure des romans, et tous les personnages du petit village de Pickax.

Il y a une magnifique galerie de personnages !



Dans ce roman, on assiste à l'ouverture d'une librairie dans cette petite ville, et il y a 2 morts, une au tout début, et une à la toute fin. Et comme souvent, on apprend la résolution de celles-ci un peu rapidement à la dernière page !
Commenter  J’apprécie          40
Le Chat qui parlait aux fantômes

Des cris étouffés, des coups, Iris Cobb découverte littéralement «morte de frayeur» : des fantômes hanteraient-ils la ferme Musée Goodwinter ? Qwill et ses légendaires siamois investissent les lieux, guettant le moindre bruit mystérieux. Car pour déloger le squelette qui dort dans les placards de la famille Goodwinter, le flair de Koko sera mis à dure épreuve !

À North Middle Hummock, Jim Qwilleran journaliste chevronné, traque le surnaturel.

Nous voilà de retour dans les nouvelles aventures de ces étranges chats siamois détectives, la dizaine je crois ? Et c’est toujours aussi agréable à lire, toujours cet humour aussi british.

Surtout ne vous privez pas, allez découvrir ces trois détectives atypiques. C’est jubilatoire !




Lien : https://collectifpolar.com/
Commenter  J’apprécie          40
Le chat qui regardait les étoiles

le livre que j'ai acheté ET lu n'a pas la même couverture; un tour joué par les petits chats verts? ^-^ bon, comme d'autres critiques le disent, il n'y a pas vraiment d'intrigue à suivre; il se passe des choses bien sûr, quelques morts suspectes mais enfin... non, ce que j'ai le plus ressenti dans ce tome, c'est la vie communautaire made in America. elle est aussi présente dans les autres épisodes de la série, mais là je l'ai ressentie plus fort, peut-être justement parce que le récit n'est pas palpitant. la vie communautaire avec ce qu'elle a de rassurant et de carcan.
Commenter  J’apprécie          40
Le chat qui jetait des peaux de banane

Histoire ennuyeuse,

Histoire terne,

Pas de suspense,

Aucun coup de coeur pour les personnages,

Trop de personnages où on a du mal à suivre,

L'auteure saute d'une histoire à l'autre dans le même chapitre ...

Bref, pour une première avec cet auteure c'est carrément raté !!

Allez ... une caresse pour les siamois !
Commenter  J’apprécie          40
Le Chat qui voyait rouge

J'avance dans les tomes de cette série et je me régale.

Qwilleran est attachant car "humain" avec ses déboires, ses espérances, ses problèmes de la vie quotidienne.

Le couple de chat prend de plus en plus de place dans sa vie et dans ces livres. Et ça, j'apprécie vraiment. Cela en fait une série à part.
Commenter  J’apprécie          40
Le Chat qui sniffait de la colle

Une de mes séries "policières" préférées.

J'ai très très envie de (re)lire chaque volume de la série dans l'ordre, comme pour Jalna !

Car si chaque intrigue est distincte et compréhensible seule, l'ensemble à une vraie cohérence et évolution depuis le temps où Jim Qw habitait encore le pays d'en bas, son héritage et son installation.

Dans chaque volume, on retrouve divers personnages secondaires vivants ou plus, mais dont on parle encore.

Surtout une fois arrivé dans le comté de Moose, où on suit la communauté de ce pays isolé "à six cents kilomètres au nord de partout"

Hélas, 10/18 n'est pas le livre de poche, j'en trouve très très rarement d'occasion.

Neufs je vais me ruiner vu le nombre (si encore ils sont tous réédités) et je me demande où je les mettrais.

Une intégrale serait super !



En attendant, je passe de vrais bons moments à les lire ou relire au gré de mes trouvailles.



Ce volume, le 8 de la série et le 3e je crois qui se passe au pays d'en haut. Jim Q n'habite pas encore dans sa grange à pommes, mais en ville, au-dessus du garage.

Original car présenté comme une pièce de théâtre, chaque chapitre, numéro de scène, lieu, temps, personnages.

Le théâtre y joue bien entendu un grand rôle, tout comme Pickax et le comté de Moose.

Même Qwilleran va se laisser persuader de participer à la troupe théâtrale locale.

Ce qu'il fait avec talent bien entendu, mais sans doute pour la dernière fois. Trop de temps consacré au club au gré de Polly !



On retiendra en morale de cette histoire qu'il faut toujours se demander si les gens bien considérés par toute la ville le méritent-ils vraiment ?


Lien : https://livresjeunessejangel..
Commenter  J’apprécie          40
Le chat qui faisait la bombe

J'adore cette série.

Ce sont des polars où les héros sont deux chats siamois qui mènent et résolvent des enquêtes policières. Nous ne sommes ici ni dans le fantastique, ni la série pour enfants. L'auteur ne verse pas non plus dans anthropomorphisme, les chats sont des animaux curieux et attachants mais restent dans leur rôle d'animaux de compagnie.

Néanmoins ils ont d'étranges pouvoirs prémonitoires et aident leur maître à résoudre des énigmes complexes et bien ficelés.

Ces histoires ne sont jamais violentes et mettent en scène des personnages attachants que l'on retrouve avec joie au fil des épisodes.

Les paysages me font penser au Maine ou autres états du Nord des Etats Unis, le lieu n'etant jamais nommé.

Les enquêtes sont menées, mine de rien, par le maître des chats, un journaliste héritier d'une immense fortune et vivant dans une superbe grange aménagée.

Petite particularité des chats: ils détestent être pris en photos !

Amoureux des polars et des chats à vos livres !
Commenter  J’apprécie          40
Le chat qui déplaçait des montagnes

Je relis les romans qui mettent en scène Jim Qwilleran et ses chats, et après avoir lu notamment des auteurs de Nature Writing, ce livre-ci prend une autre résonance.

Jim a besoin de repos, avec ses chats - qui devront faire connaissance avec le vétérinaire du cru. Il n'en trouve pas vraiment, sans doute parce qu'il est une chose qu'il ne supporte pas : l'injustice. Il est des personnes qui luttent pour préserver "leur" montagne, ils ne veulent pas qu'elle devienne la proie de ceux qui ne veulent que leur profit et imaginent déjà des hôtels de luxe et autres établissements très rentables. Ils vivent bien avec ceux qu'ils ont, ce qu'ils produisent de leurs mains, ce qu'ils parviennent à faire pousser, et Jim n'a pas trop de ses vacances pour les découvrir, les rencontrer, les apprécier. Ce n'est pas qu'à un moment, il ne croit pas ce qu'il a entendu dire sur eux - chacun a ses moments de faiblesse, surtout quand on vient d'être victime d'un accident - c'est que les circonstances lui prouvent très rapidement que les gens sont vraiment ce qu'ils paraissent être.

Dans ce soin perdu des USA, tout aussi imaginaire que le comté de Moose, mais tout autant inspiré par des lieux réels, le clivage entre ceux qui ont l'argent et le pouvoir et ceux qui ont le talent et l'espoir chevillé au coeur, au corps, est immense. Dire que la justice est à deux vitesses est aussi une évidence : tout le monde n'a pas la chance d'avoir une famille qui vous soutient, ou de croiser un Jim Qwilleran sur sa route.

La famille peut apporter le meilleur, ou le pire, c'est selon. Les amis peuvent être un soutien précieux, ou vous entraîner dans les pires ennuis. Les romans de Lilian Jackson Braun sont toujours d'une lecture agréable, ils sont plus profonds qu'ils n'y paraissent.
Commenter  J’apprécie          40
Le Chat qui inspectait le sous-sol

une enquête qui fleure la naphtaline, l'eau citronnée et les pinces à vélo.

Un univers paisible et feutré, loin du tapage à la sauce US.

Il y est longuement question de deux siamois plus choyés qu'une paire de nourrissons.

Gentiment plaisant.

.
Commenter  J’apprécie          42
Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Cette première aventure marque la rencontre entre Qwill, journaliste, et le chat Koko. Une énigme policière très prenante, des personnages attachants, une histoire dans la veine des romans d'Agatha Christie. Plonger avec bonheur dans cette série policière très attachante.
Commenter  J’apprécie          40
Le chat qui jouait au postier

Lilian Jackson Braun a commencer la série des ''Chat qui...'' dans les années 60. Les crimes que résout son héros reste donc finalement assez léger. Mais on retrouve tout de même avec énormément de plaisir ses personnages un brin décalés.
Commenter  J’apprécie          40




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Lilian Jackson Braun Voir plus

Quiz Voir plus

Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

10 questions
24 lecteurs ont répondu
Thème : Lilian Jackson BraunCréer un quiz sur cet auteur

{* *}