Lisa Azuelos

Avec son très joli et très parlant titre « La vie en ose », Lisa Azuelos nous offre uns très jolie histoire dans laquelle se mêle harmonieusement le feel-good à celui du développement personnel, qui intervient tout le long du récit mais avec subtilité. Grâce au personnage d’Alice, qui est à de multiples carrefours de sa vie, on va suivre une sorte de reconstruction ou plutôt une nouvelle construction de vie tournée vers le fait d’avoir le courage d’oser. Et d’oser quelque soit les circonstances et le domaine. Ainsi, travail, amour et amitié changent dans la vie d’Alice qui a tout simplement pris l’initiative de s’affranchir de différents diktats et d’oser. Oser vivre sa vie. En allant directement au coeur des choses, il émane beaucoup d’espoir et de douceur dans ce récit au sujet d’une vie insoupçonnée, qui prend un angle différent parce que l’on a décidé d’inverser simplement un curseur.
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Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Je crois que bien des femmes qui liront ce commentaire comprendront rapidement dans quel état d'esprit est Alice.

Quand toute sa vie, on a été la femme de, et la mère de. Qu'est-ce qu'on est une fois que les enfants ont quitté la maison, une fois que le mari est partie avec une femme plus jeune que nous, et bien, c'est dans cet état que se retrouve Alice.

Mais cette remise en question n'est pas triste, n'est pas amère, non au contraire, c'est avec humour que l'auteure nous amène dans cette direction.

Alice, qui doit par obligation, et bien oui, la pension alimentaire est coupée, maintenant que les enfants sont au loin, elle doit donc se trouver un emploi pour subvenir à ses besoins. Alors qu'elle croyait avoir trouvé le poste de ses rêves comme styliste, et bien non, elle se retrouve vendeuse, avec des collègues pas très invitantes.

Afin de se retrouver, elle écrira son journal, dans ce petit cahier rose qu'elle avait offert à sa fille, mais qui ne l'a jamais utilisé. Et j'ai adoré, à lui ce petit bout de papier, elle peut bien lui dire ce qu'elle pense vraiment, ce qu'elle a envie, que se soit pour le travail, ou le comportement de ses enfants qui prennent un peu tout pour acquis, et même pourquoi pas le postérieur de ce beau jeune homme qui prend des cours de danse.

C'est un roman qui se lit rapidement, qui nous fait sourire, qui nous fait rire, et qui, oui, il faut le dire nous fait réfléchir grandement.

Pourquoi ce syndrome du nid vide, ne serait pas le début d'une partie de la vie, où l'on pense à soi, chose que nous nous avons perdu l'habitude de faire. Qu'on se le dise, à compter de maintenant, les enfants devenus grands, les hommes, et bien ça passera après.

Lisa Azuelos, nous offre un petit trésor à lire du début à la fin, une réflexion oui, mais avec le sourire, Alice est une femme sympathique, on voudrait lui dire, oui, c'est le moment de penser à toi, fonce, et c'est ce qu'elle va faire ! Je vous recommande ce petit coup de cœur, qui m'a drôlement fait du bien !
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Lisa Azuelos … je connaissais la réalisatrice, Comme t’y es belle fait d’ailleurs partie de mes films préférés, mais l’autrice m’était totalement inconnue. C’est donc avec le secret espoir d’y retrouver l’humour et la fraîcheur de ses films que j’ai commencé ce roman.



Après avoir affronté le départ de son mari pour une autre femme, Alice, 53 ans, doit maintenant faire face à l’envol de ses enfants, devenus trop grands pour continuer à se faire couver par maman.

Deux options s’offrent désormais à elle : se terrer définitivement dans cet appartement devenu un nid vide déprimant ou prendre sa vie en main.

C’est la seconde qu’elle choisira, avec pour leitmotiv « L’ennemi, c’est la peur ». Et si finalement oser était la clé du bonheur ?



Ce roman met en avant une période de la vie que bon nombre de mères traversent. Comment redevenir femme quand on a passé plus de la moitié de sa vie à être mère et épouse ? Comment retrouver confiance en soi quand notre mari nous a quitté pour une femme qui pourrait être sa fille ? Que faire de toute l’énergie et de l’amour que l’on déployait jusqu’alors pour que ses enfants ne manquent de rien ?

A la manière d’un feelgood, ce livre apporte quelques clés distillées avec humour et légèreté par Lisa Azuelos au fil des pages.



En ce qui me concerne, je n’ai malheureusement pas retrouvé le côté pétillant des films de l’auteure. Mais cela reste néanmoins un roman très plaisant et qui parlera j’en suis sure à de nombreuses femmes

J'avais adorer le film donc j'ai adorer le livre !

Ce qui sont fans de LOL comme moi c'est à lire !!!

Une ode à l'écriture sous toutes ses formes. Chacun raconte en quelques pages pourquoi il écrit, ses motivations, ses souvenirs, son ressenti face à la plume. J'ai dédouvert de nombreuses histoires en passant de Marc Levy à cette femme immigrée qui ne savait pas lire et qui avec une formation a accédé à al magie des lettres, de Stéphane Bern à ce taggeur. Tous ont en commun que l'écriture est nécessaire à leur vie, qu'elle leur a ouvert d'autres portes, de comprendre mieux le monde, de l'analyser. Au delà des différences, tous ont un point commun : l'écriture rassemble, transforme et aide à vivre. De très beaux témoignages, de très belles réflexions sur la lecture et l'écriture. Je garde ce livre, le premier de la bibliothèque de l'école ETRE d'Ambricourt. Je suis sure que la lecture est une porte vers la paix.

Je ne suis pas du tout encore dans la situation du personnage principale mais j'ai trouvé quand même deux trois choses à retenir.

D'autant que ça parle pas mal des relations enfants/maman, du rôle de la mère dans la vie d'un enfant, de ce que l'on fait ou devrait faire...c'est bien car écrit en tout simplicité.

Bon ça un côté très feel good/développement personnel mais il se lit super facilement par contre !

On se doute bien du happy end, il n'y a aucune surprise la dessus mais voilà il faut vraiment retenir les petits conseils de ne pas se laisser "bouffer" sa vie de femme.

Avec un petit coté développement personnel mêlé à du feel-good, ce roman est très agréable à lire.



Lisa Azuelos nous mène à la rencontre d’Alice, personnage auquel on s’attache rapidement pour sa sensibilité, sa créativité et sa détermination.

Elle nous livre un aperçu de ce que vivent les parents qui voient leurs enfants quitter le nid et se retrouvent avec l’impression d’être complètement inutiles.

Il leur faut apprendre à vivre pour soi et ce n’est pas évident quand on n’en a pas eu l’habitude.



C’est une plume tendre, bienveillante et drôle qui nous accompagne durant la lecture de ce roman que j’ai lu d’une traite.

Ce fut pour moi une très belle découverte. C’était la lecture dont j’avais besoin pour me détendre et me rappeler de penser un peu plus à moi.

Je suis une maman et j’avoue que j’ai souvent besoin d’une petite piqûre de rappel de ce genre.

Comme Alice, un jour mes enfants quitteront la maison et je devrais m’occuper différemment. J’ai encore le temps mais le temps passe très vite et ce livre m’a fait prendre conscience que les bonnes habitudes n’ont pas besoin d’attendre plus longtemps.



À la veille de la rentrée scolaire, je vais donc conseiller à toutes les mamans, et aux papas aussi car nous n’avons pas le monopole du syndrome du nid vide, de lire ce roman.

J’espère qu’il leur fera autant de bien qu’à moi et je suis certaine qu’ils passeront quoiqu’il arrive un bon moment avec Alice.

Un livre court qui se lit très rapidement. Il donne de l'espoir quand on vit la même situation que l'auteur. Certes ce n'est pas de la grande littérature mais on passe un bon moment entre rires et larmes. Un livre à offrir à toutes les mamans seules qui voient leur nid se vider...

Alice, femme de la cinquantaine, se retrouve seule : sa fille Chloé est partie faire ses études de cuisine. Son fils a quitté aussi le nid.

Fraichement divorcée d’un mari qui la quitte pour une jeunette (coup classique) elle va devoir après s’être essentiellement occupée de sa famille (repas, école, devoir, ménage, repassage, course…) va devoir reprendre sa vie en main et retravailler.

Elle trouve un emploi de styliste qui finalement va se transformer en vendeuse….



Sans conviction et en plein tourment, en rangeant la chambre de sa fille, elle découvre un carnet Rose, qui va être son compagnon de route en OSE.



Une très belle aventure que va vivre Alice, ou l’on rencontre aussi son amie Mathilde mais qui ne lui apporte pas l’aide escompter et qui décide de ne plus se laisser faire par cette amie essentiellement tournée vers elle. Ce nouveau départ en Ose dans cette nouvelle aventure fraiche et dynamique qu’on ne résiste pas.



Après lecture et information de ma cop’s @bbpoussy, elle m’apprend que c’est l’auteure et la réalisatrice du film « LOL », un film que j’ai beaucoup aimé dont le sujet est en rapport avec une mère célibataire avec enfants qui reprend sa vie en main suite à une séparation.



J’ai dévoré ce roman par son côté ludique, frais et d’une plume fluide.

Avis : INITIATIQUE

Je vais le dire tout net, je me suis régalée. Le mélange des thèmes développement personnel, feel good, nid vide, qui suis-je ? où vais-je ? m’a comblée. C’est bien écrit, c’est ouaté, cela fait du bien, surtout si on n’est pas dans la situation d’Alice. Sinon, cela peut être déstabilisant de se retrouver face au grand vide à combler.

Alice, à cinquante-trois ans, est séparée de son mari et a du mal à l’accepter. Sa fille quitte la maison ; son fils l’a déjà fait. Après toutes ces années passées à s’occuper exclusivement de SA famille, elle se sent perdue mais on sent de la vaillance et peut-être un peu d’envie, ce qui va la sauver. Je ne vous dirai pas qui s’approchera d’elle, mais soyez-sûr que tout ce qu’elle fera vous parlera, vous touchera, vous énervera et in fine vous enchantera. Saura-t-elle trouver son MOI ? Saura-t-elle découvrir ses besoins et ses envies ?

C’est avec un scalpel que l’auteur s’approche et nous amène à regarder ce moment de grand vide, quand le dernier enfant quitte la maison après un divorce surtout, et que la femme se pose la question de savoir « à quoi l’on sert quand on n’est plus la femme ou la mère de quelqu’un ». Mais tout ceci de façon nuancée, subtile, profonde. Avec élégance.

C’est mon premier roman de Lisa Azuelos que je connaissais en tant que réalisatrice. J’ai retrouvé la distance, la pudeur, la franchise qu’elle met dans ses films. Son écriture fluide et souple fait de cette lecture un moment chaleureux et cocooning. J’ai un peu « tiqué » sur la correspondance qu’elle entretient avec elle-même et qui peut nuire au rythme général plutôt enlevé, mais cela permet de se faire plaisir avec quelques pensées positives bien tournées.

C’est un superbe roman pour l’été. Je remercie sincèrement #NetGalley et #Belfond de m’avoir fait parvenir ce service presse.


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Un livre qui se lit très vite. Le journal intime de Lola personnage principal du film LOL. Ayant vu le film, je m’attendais à ce que j’allais lire. C’est un livre très chouette, qui fait passer le temps et qui m’a fait vivre plein d’émotions malgré sa petite taille. Je n’ai qu’une envie regarder à nouveau le film ! Si vous n’avez jamais vu le film, je vous conseille de d’abord lire le livre et ensuite regarder le film.

Alice a cinquante-trois ans. Fraîchement séparée, sa fille, Chloé vient de quitter le nid familial. Pour Alice qui a toujours vécu pour sa famille et surtout ses enfants, c'est un déchirement. Célibataire, seule, elle peine à retrouver un nouveau souffle. Pourtant, elle n'a pas le choix, la vie continue, elle ne peut pas décemment continuer à se traîner sans but.

Le boulot de ses rêves lui passe sous le nez, coup du sort ou de chance? Alice sort enfin de sa torpeur et s'accroche comme elle peut, se reprend, pas à pas, en main.

Alice redécouvre son "moi" et consigne dans un carnet ses avancées, ses doutes, sa nouvelle vie et les surprises qu'elle lui apporte.



Un roman résolument positif.

On n'a pas qu'une vie et notre vie n'appartient qu'à nous-même. Alice va arrêter d'être l'épouse et la "mère de" pour redevenir Alice la femme tout court. Celle qui a des envies, des besoins, des rêves et des désirs. Elle va se découvrir comme jamais, se poser les bonnes questions, s'autoriser à penser pour elle et non plus pour les autres.

C'est une femme ordinaire qui s'accorde le droit d'être extra-ordinaire. Une femme qui apprend à s'occuper d'elle, à s'écouter, à définir ses limites. Celle qui va faire du tri dans sa vie comme dans son appartement. Une femme qui s'affranchit de ses chaînes et qui vit tout simplement.

Je n'avais jamais lu de roman de ce genre. J'ai bien aimé l'aspect développement personnel que l'on peut s'appliquer également. C'est plein de bonnes ondes et de pensées positives, cela fait du bien.
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Prochain livre de mon challenge Bibliothèque. Petit moment de nostalgie quand je feuillette ces pages et que je retombe sur le ticket de caisse, à moitié effacé par les années. Pendant nos sorties régulières, le jeudi, avec ma meilleure amie, on tournait dans le rayon livres de Auchan, près de l’école, et on achetait (sans forcément lire directement nos achats…).



Je connaissais déjà le film, sur base duquel ce « journal intime » a été écrit. Belle écriture, même si c’est un peu compliqué d’accrocher à cette vie si particulière d’adolescente en étant une adulte confirmée maintenant. Au final, c’est la lettre de la mère, à la fin du livre, qui m’a réellement touchée. Je crois que j’ai grandi…



Ce genre de vie, à l’heure actuelle, ne choquerait plus personne. Et pourtant, pourtant… ce n’est pas une vie. C’est une même-pas-adulte qui se comporte comme tel. En vrai, ça m’a fait un peu peur d’avoir une fille, plus tard.



En plus de ça, même si l’écriture est belle et que c’est un livre rapidement lu (dans le sens qu’il se lit bien), je trouve ça un peu bizarre de lire le journal intime d’une adolescente. C’est vraiment son journal, qu’elle tient quotidiennement (ou presque). Toutes ces pensées intimes qu’on conservait secrètement étant jeunes, nous aussi. À la fin, je me suis sentie comme la mère, choquée de lire et qui ne peut pourtant pas s’arrêter de tourner les pages.

"Laissez-moi danser" voilà un titre prometteur. Chaque élément extérieur du livre laisse penser qu'il pourrait s'agir d'une biographie de Dalida rédigé par la réalisatrice de son biopic. La réalité est tout autre.

Dans le résumé, Lisa Azuelos laisse sous-entendre qu'elle va parler de Dalida et de son amour pour la chanteuse. Mais ce que nous propose, en fait, l'auteure c'est sa vie mise en parallèle avec celle de la star.

Finalement, mon avis sur l'œuvre est assez mitigé : trop de Lisa pas assez de Dalida. D'autant plus que je ne suis pas convaincue qu'il fut très judicieux de se "comparer" ainsi à la légende qui entoure l'artiste.

Quant à l'écriture, je l'ai trouvé agréable sans être sensationnelle. Rappelons que Lisa Azuelos n'est pas auteure de métier. Certains passages paraissent brouillon, certains rapprochements sont un peu simple. Toujours est-il que le bouquin reste une lecture plaisante sans être un chef d'œuvre ou un incontournable.

📚 Alice, la cinquantaine, est séparée de son mari. Elle voit sa fille quitter le nid pour poursuivre ses études. Après les départs successifs de son mari, puis de ses enfants, elle se retrouve seule.



C'est décidé : elle doit changer sa vie. A commencer par un boulot, elle qui a été mère au foyer. La voilà donc vendeuse dans une boutique de décoration, à défaut du poste de styliste d'intérieur convoité.





📚 Un roman fort intéressant qui aborde divers sujets, que ce soit le syndrome du « nid vide », les préjugés sur les femmes mais aussi la dure réalité des femmes ayant consacré leur vie à leur foyer et qui se retrouvent démunies lors d'un divorce.

Une pause livresque avec ce roman facile d'une femme qui se reappropie sa vie, après l'envol du dernier.

Un roman feel good qui se lit vite.

Pour autant je n'en ferai pas une grande consommation.

Pas de grosse surprise, et un peu trop convenu pour moi.

Distrayant.

Un entre deux avant une nouvelle lecture.

Alice divorcée a du mal à trouver un sens à sa vie après être séparée de son mari et ses deux enfants sont suffisamment grands pour se débrouiller. Elle a sans cesse l’impression qu’elle a renoncé à tout et n’arrive pas à se projeter dans tout ce qui concerne le feel good. Alors qu’elle rêvait d’une carrière de styliste, elle se retrouve travailleuse à Happy home. Dépitée, elle prend sur elle et décide de commencer un journal intime pour extérioriser ses ressentis. Un jour, en bas de chez elle, elle découvre un cours de danse mais pas comme les autres. Chacun danse à sa façon, sans aucun jugement de la part des autres participants. Alive met du temps avant d’accepter de lâcher prise et de s’y rendre. En parallèle, elle découvre qu’il y a une vraie demande pour aider à ranger et à faire un panneau représentatif de la vie de son enfant. C’est grace à ce qu’elle a réalisé chez son amie que des clientes potentielles vont la contacter.

C’est un roman qui a fait du bien surtout dans une période difficile. Je suis rentrée facilement dans l’histoire. L’héroïne m’a parfois agacée parfois plu par ses attitudes. Suite sur mon instagram
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Un peu long au départ, ce roman apporte de la douceur, du recul sur sa vie, une dose d optimisme et de servir pièce soin de soi.

La vie se mène en accord avec soi même et non dans un combat contre soi même.

J'ai apprécié ce livre pour sa simplicité. Pour une maman voir ses enfants quitter la maison ce doit être dur, quelle place a t on ? Quel niveau rôle ? Femme, épouse, travailleuse, maman. Mais si s'ils nous finalement ? Alice apprend a s apprivoiser au fils des pages et nous avançons en toute confiance avec elle.

Merci lisa Azuelos

Ce n’est pas vraiment mon genre de livre. Trop de bons sentiments, trop de belles personnes, trop de chance, et ça finit trop bien!

Pas facile d’ émettre une critique, car je crois que c’est plus une question de goût. Certaines y trouveront leur compte, mais c’est un peut trop « feel good » pour moi.