Laissez-moi danser

Lisa Azuelos, ayant connu le milieu du show business dès l'enfance est la réalisatrice du film Dalida,sorti en salles le 11 janvier 2017. de plus, elle publie un livre Laissez-moi danser où elle continue de rendre un vibrant hommage à la vedette chargé d'une émotion immense qui ne laissera sans aucun doute nul lecteur indifférent. Elle y raconte "sa Dalida", après avoir consacré cinq ans de sa vie à la chanteuse. Elle y dresse un portrait dans l'intimité et en miroir de sa propre expérience du show business. Elle y décrit son admiration pour cette grande dame de la chanson française,


J'ai passé deux formidables soirées avec Lisa et Dalida, j'ai pris beaucoup de plaisir à redécouvrir la chanteuse, pour un bonheur fragile, mais intense, embelli de quelques souvenirs inoubliables. D'ailleurs, Ce matin , j'ai les yeux rougis. Certes la fatigue a fini par me gagner. Mais ce serait une erreur monumentale que de penser que les deux artistes ont fini par me lasser. Non en réalité je n'ai pas honte de dire que quelques larmes sont venues troubler ce moment particulier.. J'ai ressenti un profond respect de L'auteur envers la star. Cet écrit m'a conforté dans l'idée que Dalida était une femme qui n'avait jamais triché ni avec ses amis, ni avec ses amants, ni avec son public,Ce qui explique, à mon avis, que trente ans après, elle continue à faire parler d'elle.
Lien : http://www.babelio.com/monpr..

"Laissez-moi danser" voilà un titre prometteur. Chaque élément extérieur du livre laisse penser qu'il pourrait s'agir d'une biographie de Dalida rédigé par la réalisatrice de son biopic. La réalité est tout autre.
Dans le résumé, Lisa Azuelos laisse sous-entendre qu'elle va parler de Dalida et de son amour pour la chanteuse. Mais ce que nous propose, en fait, l'auteure c'est sa vie mise en parallèle avec celle de la star.
Finalement, mon avis sur l'oeuvre est assez mitigé : trop de Lisa pas assez de Dalida. D'autant plus que je ne suis pas convaincue qu'il fut très judicieux de se "comparer" ainsi à la légende qui entoure l'artiste.
Quant à l'écriture, je l'ai trouvé agréable sans être sensationnelle. Rappelons que Lisa Azuelos n'est pas auteure de métier. Certains passages paraissent brouillon, certains rapprochements sont un peu simple. Toujours est-il que le bouquin reste une lecture plaisante sans être un chef d'oeuvre ou un incontournable.

Liza Azuelos, réalisatrice de films très sympathiques comme LOL ou Comme t'y es belle, signe là un roman qui, je le suppose, a été écrit en parallèle de la réalisation de son film sur Dalida. Comme j'aime assez ses films, je me suis dit qu'il serait intéressant de la découvrir en tant qu'auteure.
Bon. Très rapidement, j'ai constaté qu'on ne peut pas être talentueux partout… le style est très lourd, les images utilisées bateaux et toutes-faites, c'est franchement pénible à lire. En dehors de ça, elle effectue sans arrêt des allers et retours entre l'histoire de Dalida et la sienne, ce que j'ai trouvé un poil prétentieux et surtout assez mal venu. La biographie de Dalida quant à elle, est brouillonne, incomplète, désordonnée. Bref, je me suis ennuyée, énervée et je n'ai rien appris du tout.