Lois Lowry

Quoi ? Le Passeur a une suite ? Il fait même partie d’un quadrilogie ? Disons que j’ai appris ceci après avoir lu le « premier » tome. Et franchement, je suis super déçue d’avoir lu cette « suite » que aujourd’hui. L’Élue est à la hauteur du Passeur. Durant cet avis, je risque de comparer ces deux romans, et je m’en excuse par avance.

Pour en revenir à nos moutons, l’Élue est une jeune fille nommée Kira qui, dans un monde pour la loi du plus fort règne, survit grâce à son don unique de la broderie. Elle survit, car elle est considérée comme inutile pour ce monde de brute, possédant une jambe-tronc.

J’ai mis plusieurs mots entre guillemets, car je ne considère pas cette série comme une suite. Je pense qu’ils peuvent se lire séparément, c’est en tout cas le cas pour ces deux romans là.



Comme je l’ai dit, ce roman a été un véritable coup de cœur pour moi . Lois LOWRY a une écriture tellement belle, tellement… je ne sais pas. C’est beau. Elle arrive à rendre un monde terriblement laid beau. Elle arrive à arrondir les bords avec sa prose. Je pense que c’est pour cela qu’elle est appréciée en Outre-Mer (chez nos amis les anglais par exemple). Son écriture nous fait ressentir des choses pas possibles, indescriptibles. Nous ressentons de l’amour, de l’effroi, de la haine, du dégoût, de l’espoir… Tout un panel que je ne serai décrire avec précision.

Parfois, j’ai presque pu sentir la respiration inquiétant de Jamison contre mon oreille. Nous lisons pour faire respirer les personnages, c’est comme si lire leur insufflait la vie. Les romans comme cela sont rares, surtout ceux adressés à la jeunesse. Ce petit plus qu’à L’Élue le fait arrivé tête de mes coups de cœur.

Parlons des petites gens qui composent ces pages. Chacun des personnages apporte un brique à l’édifice qu’est ce roman, aucun n’est mis de côté. Ils sont tous complets, avec leur qualités, leur défauts. Même les méchants ont quelque chose d’attachant ! Ce que j’ai beaucoup aimé, avec eux, c’est qu’ils ne sont pas violant avec les mots ou avec leurs actes (enfin, en publique). Ils ont quelque chose de vicieux, en eux, qui les rend dangereux. Oui, c’est ça : ils sont dangereux, pas méchants. Ils sont une ombre qui planent au dessus de la tête de Kira, un serpent tapie dans les feuilles en attendant son moment.

Mais il y a un des personnages qui m’a posé un sérieux problème : Thomas, l’acolyte de Kira. Oui, je sais, le mot ‘acolyte’ n’est jamais très mélioratif. C’est fait exprès. Pour moi, Thomas aurait pu faire mieux. Je ne dis pas qu’il est mal construit, attention. Mais selon moi, il aurait pu avoir un peu plus d’impact dans l’histoire. C’est une plante verte qui sert juste à donner la réplique – et faire de belles choses avec le bois. Il est inutile, tout ce qui Kira exécute c’est avec l’aide de Matt, le petit garçon de huit ans adorable qui vit dans le quartier le plus pauvre du village ! Thomas est le seul défaut que je peux formuler sur ce roman, qui sans lui aurait atteint la perfection.



Ce qui m’avait le plus plu dans Le Passeur, c’était cette relation avec les couleurs – enfin plutôt l’absence. Dans L’Élue, on parle aussi énormément de couleurs, broderie oblige. J’adore. Ca rend l’écriture que plus visuelle. J’espère que dans les deux prochains tomes, le rapport aux couleurs sera conservé. Si Lois LOWRY garce ceci, je suis persuadée que Le Messager et Le Fils feront eux aussi partie de mes coups de cœur.
Lien : http://lamouchequilouche.wor..

Le troisième tome de la série "The Giver" (Le passeur). Une jeune garçon s'intègre parfaitement dans son nouveau village, avec ses nouveaux amis, la fille qui lui plaît, son père adoptif, etc. Il est souvent chargé de transmettre des messages aux villages alentour, et attend de recevoir son vrai nom. Il passe aussi beaucoup de temps dans la forêt, jusqu'au jour où les habitants du village décident de fermer les frontières à tout nouvel arrivant; Matty doit donc s'empresser de retourner dans son ancien village, et ramener sa vieille amie Kira, la fille de son père adoptif, pour qu'elle vienne vivre avec eux.

On retrouve ici les personnages principaux des tomes précédents: Kira, Matt devenu Matty, le père de Kira (dans l'Elue), et Jonas (dans Le passeur), devenu chef du village. C'est appréciable dans la mesure où la fin des deux premiers tomes donne envie de savoir ce qui arrive aux personnages.

À mon avis, pour réellement apprécier ce 3e tome, il faut avoir lu au moins l'Elue; en effet, j'ai pris nettement moins de plaisir à lire Messager que les deux autres. Je trouve l'histoire moins crédible et on accroche moins (comme le fait que les personnages aient un don surnaturel). Enfin, ce n'est que mon avis. L'intrigue met du temps à se mettre en place, puis s'accélère à la fin dans la forêt; ce passage est d'après moi le plus réussi dans cette oeuvre, extrêmement bien écrit et haletant. La fin avec la mort de Matty est sublime. C'est une belle fin, qui délivre finalement un beau message à travers cette allégorie de la forêt qui s'épaissit selon les sentiments des hommes, et reflète bien notre société actuelle.

J'ai été déroutée par le changement de traduction: dans Messager, le vieux chien de Matty s'appelle Brindille, mais dans l'Elue, c'est Branch. Je sais que ce n'est pas grave, mais c'est un peu pénible.

Dans tous les cas, je n'ai pas retrouvé l'émotion que j'avais ressentie en lisant le Passeur.

J'ai eu envie de lire ce roman car le film correspondant sort bientôt dans nos salles : la bande d'annonce était très tentante et l'histoire, assez intéressante.



Je l'ai lu très rapidement et j'en ressors assez perplexe, je dois bien l'avouer....



Ne vous attendez pas à un roman d'action car il y en a très peu, voire pas du tout, on a ici un roman entièrement tourné vers la réflexion. L'Auteur a imaginé un monde où l'être humain n'a pas son mot à dire, tout est choisi pour lui que se soit son nom, sa famille, son partenaire, son métier......Et bien évidemment un parallèle va être fait avec notre société actuelle, avec nos émotions, nos sentiments nos défauts, nos qualités



Alors oui, dans le monde de Jonas, il n'y a pas de guerre, personne ne meurt de faim, pas de divorce, pas de conflit mais en échange ils perdent complètement leur libre arbitre, ils perdent leurs émotions, sentiments...Est ce que cela en vaut vraiment la peine ? Peut-on se satisfaire d'un tel monde ? La réponse est très subjective et si je peux vous donner mon avis, je préfère vivre comme on vit aujourd'hui même si je sais que cela n'est pas facile tous les jours, qu'on se trompe souvent, mais au moins nous vivons !



J'ai éprouvé beaucoup de sympathie pour Jonas qui prend des décisions difficiles, qui se pose beaucoup des questions et se reproche son manque de savoir, une fois qu'il sait, que la vie peut être autrement.



En ce qui concerne l'univers, vous avez seulement les fondations de cette société, on ne vous explique pas les raisons d'un tel système, on vit seulement le moment présent avec Jonas.



Je termine par la fin qui m'a complètement laissé sur ma faim (c'est le cas de le dire !), je ne m'attendais pas du tout a ce que cela se termine comme ça, pour moi il manque vraiment soit un second tome soit une fin un peu moins ouverte.


Lien : http://www.everbookautrement..

Je ne retiens pas de ce livre un très bon et grand souvenir... Néanmoins voilà un résumé de l'histoire : les quatre enfants Willoughby, l’aîné Timothy, les jumeaux Barnaby A et Barnaby B, et la cadette Jane, voient leur quotidien morose bouleversé le jour où, sur le pas de leur porte, ils trouvent un bébé. Ils la baptisent Cœur. Ensemble, ils vont se liguer et fuir leurs horribles parents et faire la rencontre d'une petite nounou et d'un vieux artisan confiseur seul, triste et tellement "vieux jeu".

Je n'ai pas trouvé les personnage très attachants et drôles, ils étaient plutôt bizarres et agaçants pour certains... Il y a quelques illustrations qui jalonnent le roman que je n'ai pas trouvé très réussites... Mais les situations étaient assez amusantes à lire, surtout quand les parents envoyaient des cartes postales où ils racontent qu'ils défient la mort mais ne font que la frôler ! Mais bon, c'est un bon moyen de faire découvrir des classiques de la littérature (comme Heidi, Mary Poppins...) avec des petites notes sur quelques titres connus à la fin de l'histoire.

[edit du 23/10/2014]



En voyant que ce livre allait être adapté au cinéma, je l'ai relu. Il laisse toujours une impression très forte. J'ai découvert également qu'il s'agissait en fait d'une tétralogie, il y a donc 4 tomes, mais si mes recherches sont exactes, le dernier tome n'a jamais été traduit en français. Peut-être que les choses vont changer avec la sortie du film.



Par contre je serais curieuse de savoir ce que pensent les personnes qui ont lu le livre de la Bande Annonce du film ? J'ai l'impression qu'ils ont pris de très très grandes liberté avec le livre ? Et vous ?



---------------

[24/04/2014]

Il y a des livres qui laissent une impression forte. Le Passeur est de ceux-là. Lu, il y a déjà quelques années, des bribes me reviennent parfois en mémoire.

Il fait partie des livres que je relirais certainement un jour !



Je pense que c'était mon premier contact avec un monde sans émotions. Un monde où dans mes souvenirs, les gens ne voyaient plus la couleur...c'était très surprenant !

Quel merveilleux petit livre.

J'aime beaucoup Loïs Lowry, mais en général, je ne suis pas très amatrice de fantastique.

Je pensais trouver ici un roman du type du Passeur, ou de l'Elue, que j'avais malgré tout beaucoup apprécié, mais là, elle a réunit deux genres dans lesquels elle excelle.

Une partie fantastique, très bien construite, très tendre, et une partie vie de tous les jours, avec des personnages attachants, abîmés par la vie, et dont on a envie qu'ils s'en sortent.



C'est beau, c'est tendre, c'est beaucoup trop vite lu.



Je ne sais à partir de quel âge on pourrait le conseiller, il est beaucoup plus simple et facile à lire que le Passeur ou l'Elue.

Ce roman de science-fiction se passe dans une société où la loi du plus fort règne.

Seul un village accepte les différences, et accueille toutes les personnes sans discrimination.

Mais, depuis quelques temps, le Village n'est plus comme avant;

certains habitants voudraient fermer les frontières.

Un garçon doté de dons tentera de le sauver.

Un beau livre sur la différence. A lire absolument.

Marie Brethous

Drôle de petit livre où, sous prétexte de respecter les codes des vieux romans jeunesse, Lois Lowry coud une histoire en forme de patchwork gai et un peu foutraque.

C'est l'histoire d'un garçon placé chez une vieille dame, et qui a grand besoin de paix. L'histoire de sa mère, qui se reconstruit doucement après le départ de son mari violent. Et cette histoire est racontée du point de vue de deux passeurs de rêves, de minuscules créatures qui touchent les objets la nuit pour apprendre leur histoire, et qui octroient les rêves. Mais les donneurs de cauchemars rodent autour du garçon, attirés par sa colère...

Passeuse de rêves est un livre très tendre et très joli.

J’ai lu le livre ‘Un été pour mourir’, écrit par Lois Lowry. Je trouve ce roman très bon écrit parce que la question – qui va mourir et quand ? – reste tout le temps dans la tête. C’est la raison pourquoi j’ai lu le livre presque dans un souffle.

‘Un été pour mourir’ est un roman émotionnelle avec un thème difficile, mais ce n’est pas écrit d’une façon pessimiste. Le langage que Lowry utilise n’est pas difficile à comprendre. Il donne des descriptions simples, mais variés, donc l’histoire est agréable à suivre.

La couverture donne un très bon exemple de l’atmosphère de la vie et la mort. Les couleurs sont sombres.

Le début est amusant et tranquille, mais le titre donne un point négatif autour tout l’ histoire. En lisant il devient clair que c’est Molly qui va mourir pendant l’été. Ce n’est qu’ à la fin (p150) que Molly est morte.

La conclusion de cette histoire se trouve dans la dernière phrase de ce roman : « Et nous reprenons notre chemin ». Mon opinion personnel est que Lowry nous donne le conseil que la vie se reprenne après un malheur grave.

Chez les Willoughby, les enfants décident de devenir orphelin tandis que les parents rêvent de se débarrasser de leur progéniture. Dans ce roman loufoque, on voyage d'une ville tout à fait ordinaire jusqu'au coeur de la Suisse. On rencontre non seulement une drôle de famille, mais aussi un ignoble bébé, une odieuse nounou, ainsi qu'un millionnaire désespéré, créateur du célèbre bonbon Tourbillonno. Une histoire décalée et très amusante !

Un roman bouleversant.

Il faut du temps pour comprendre l'impact qu'a un livre sur nous. Ce roman met mal à l'aise. Une société qui atteint un idéal d'équilibre et de paix... séduisant tableau... et le prix à payer, effrayant. Et moi, lectrice, qui regarde le monde dans lequel nous vivons, je ne peux m'empêcher de penser que la cruauté et l'effroi n'en sont pas exclus, je ne peux m'empêcher de penser que ce livre nous demande aussi d'agir et de protéger cette part d'humanité qui survit tant bien que mal.

Jonas vit dans un monde "parfait" : pas de guerre, de misère, de famine, de chômage, de divorce.... Lorsqu'une personne est jugée inapte (vieillesse, handicap...) elle est élargie... DAns la communauté, le dépositaire de la mémoire est le seul à tout savoir et notamment comment c'était avant et comment c'est en dehors de leur communauté !

Cependant Jonas aimerait bien le découvrir lui aussi.

UN EXCELLENT roman qui mélange science fiction, philosophie et humanisme et qui ménage le suspense jusqu'au bout !

Très original dans le récit.

Une jeune femme qui apprend un métier, une héroïne handicapée. Une personne qui se pose des questions, une intelligence en action.

Très original dans le format.

L'action suit un rythme plutôt lent. Pas de guerre ou de faits d'armes rocambolesques.



Très sympas à lire.

Bonjour ce livre m'a énormément plusj'ai bientôt 14ans et ai vraiment accrochée

Etrange famille que celle des Willoughby... Des parents qui détestent leurs enfants, et des enfants prêts à tout pour se débarrasser de leurs parents! Et attention, ici, tous les coups sont permis... Un roman complètement loufoque, mais assurément drôle! A lire des 9 ans.

Passeuse de rêves – Lowry Lois -

Ecole des Loisirs – Février 2010- 164 p. - (Medium)

ISBN : 978-2-211-08414-7 Prix : 10 €



Résumé :

Petite fait partie des passeurs de rêves. Nouvelle dans ce groupe, elle est formée par Tatillonne qui reconnait ses qualités de délicatesse pour effleurer les objets, mais supporte difficilement ses innombrables questions telle : « Que sont réellement les passeurs de rêves, des êtres humains, des animaux ? ». En fait, leur mission consiste à récolter, les bribes de souvenirs qui se rattachent aux objets. Ensuite, avec plus d’expérience, ils essaient de les combiner et octroyer des rêves à leurs propriétaires. C’est ce qui se passe pour la vieille dame dont Petite et son nouveau tuteur, Vieux et Mince, ont la charge. Mais un jour, elle accueille John un garçon de huit ans, tellement révolté que les saboteurs, « maîtres des cauchemars », s’intéressent à lui.

Il faudra toute la douceur et l'intuition de Petite et beaucoup de patience pour permettre à John d'échapper à ces saboteurs et de retrouver un certain équilibre.

Mots- clé :

ENFANCE MALTRAITEE//PATIENCE/ /AMOUR MATERNEL / EDUCATION/ REVE/GENEROSITE/FANTASTIQUE/RELATION INTERGENERATIONNELLE.

Commentaires :

Un coquillage, l'amour d'un chien, une photo, c'est de cela que peuvent se nourrir nos rêves alors que nos cauchemars, eux, prennent naissance dans nos douleurs et nos peurs.

Conte court, poétique et original mais d’une lecture aisée, ce livre est attachant et sobre. Un roman d’apprentissage tel que les concocte si bien Lois Lowry.

L’importance de la compréhension des personnes, de la générosité, des petits gestes d'amitié dans la vie de tous les jours sont au centre de ce petit livre très « positif »

Pistes de discussion :

• Apprentissage : la responsabilité des éducateurs (rôle)

• Le rôle des souvenirs dans la vie.

• De quoi rêve-t-on ? Les rêves font-ils du bien ?

• Quelle est la mission des passeurs ?

• Réfléchir sur le sens des noms propres (Tas, La Nouvelle Plus Petite.....) et essayer d'en proposer d'autres tout aussi symboliques mais moins traduits.

• Comparer le rôle des passeurs de rêves et celui des êtres humains bien réels qui les entourent, par exemple pour le "nouveau départ" de John et de sa mère.

L'héroïne se nomme « Petite » et elle est apprentie auprès de « Tatillonne » qui ronchonne parce que son élève pose trop de questions. Leur travail consiste à collecter des informations et des souvenirs en touchant les objets d'une maison afin d'en construire des rêves qu'elles soufflent aux habitants.



Petite s'occupe donc d'une vieille femme qui vit seule avec son chien. Grâce à son toucher très délicat elle arrive à merveille à faire naître des rêves précieux. Ce don lui sera bien utile lorsque la vieille femme va accueillir un garçon retiré à sa mère et qui fait de terribles cauchemars.



J'ai beaucoup aimé cette idée de comment naissent les rêves et me suis attachée à l'héroïne bien évidemment. C'est un roman très sensuel qui fait appel aux petits bonheurs du quotidien contenus dans une couleur, un parfum ou un son chéris.


Lien : http://toutzazimuth.eklablog..

Matty a hâte de recevoir son nom. Pour lui, il sera Messager ! Avec Visionnaire, l'aveugle avec qui il vit, il vit tranquillement à Village. Mais les gens commencent à changer.

Notre avis : Après Le passeur et L'élue, ce roman est encore une fois une réussite !

Lisez la suite en cliquant sur le lien !
Lien : http://123otium.canalblog.co..

J'ai trouvé lé début assez laborieux et j'ai accroché à l'histoire qu'a partir de la moitié. un livre sur le thème de la science fiction qui présente un monde ou tout est régit par des règlements interdisant un grand nombre de sentiments et où ce sont les autres qui choisissent pour votre bien, votre vie futur.

Cette société en surprotégeant ses habitants à finit par leur enlever leur humanité. C'est un enfant qui va avoir la charge de leur rendre ce qu'ils ont perdu.

Le style littéraire reste assez simple, sans doute parce que cette lecture est destinée à de jeunes lecteurs. L'histoire est un peu trop linéaire il ne se passe rien de vraiment inattendu. On devine facilement ce qui va se dérouler, hormis pour la fin triste et touchante qui achève le fabuleux destin de ce jeune et brave garçon.



La vie n'est complète seulement si elle est accompagnée de moments tristes, de souffrance, de haine, de colère, d'amour, de joie, de rire et bien sur de couleurs. Vivre sans tous cela ce n'est pas vivre réellement, c'est le message transmit à travers ce livre.