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Critiques de Marie-Paul Armand (176)
La Courée, tome 3 : Benoît

tres bon livre !! une bonne saga familiale, il faut lire les trois tomes !!
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Le Vent de la haine

Un livre exceptionnel.
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Un bouquet de dentelle - Le muguet bleu

J'ai beaucoup aimé ce livre en dehors de l'histoire d'amour qui raconte les amours impossibles des différentes classes sociales l'auteure nous dévoile des informations sur la vie dans le nord à cette époque là c'est riche et intéressant je me suis régalée étant moi meme originaire du nord de la France .
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La Courée, tome 2 : Louise

Louise une mère courage et ce jusqu'à la fin. La 1ère GM lui prend l amour de sa vie mais elle se bat pour son enfant et continue à vivre.
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La Poussière des corons

Pas le roman que j ai préféré mais il permet de voir l univers des mines à travers d autres yeux que ceux de Zola et dans un style tout aussi appréciable
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Le Vent de la haine

Une histoire qui montre malgré les horreurs de la seconde guerre mondiale qu elle relate que nos enfants nous forcent à avancer, évoluer et surtout pardonner même le pire. A méditer
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La maîtresse d'école

Ont est tres vite porté par l'histoire , ont ce met a la place de Celine , qui personne ne comprend autour d'elle sont desire d'apprendre et d'enseigner et la peine qu'elle ressent envers pierrot .. Puis sa fille ensuite , j'ai vraiment beaucoup aimer , il ce lit tres facilement .
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D'un anniversaire à l'autre

Petit recueil de nouvelles très intéressantes. A lire le soir, l'hiver au coin du feu (si on a une cheminée !).
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Un bouquet de dentelles

J'ai lu tous ses romans. C'est que du bon ! Je l'adore !
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Le Vent de la haine

J’ai lu tous ses romans. Dans cette histoire elle nous conte l’histoire d’une femme durant l’exode de la seconde guerre mondiale. C’est terrible et très émouvant. Attention avec cet auteur il vous faut préparer vos mouchoirs.
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Au bonheur du matin

Voici un livre que j’ai beaucoup aimé !! J’aime bien les romans dits « régionaux » mais généralement je reste dans ma région ! Mais là, je suis tombée « amoureuse » de la couverture !

Le roman se passe pendant la guerre, ça faisait longtemps que je n’avais pas lu de livre sur cette période. On suit avec plaisir cette petite fille, Rosalinde, dans ses « aventures », on sourit avec elle, on pleure avec elle ! Sans connaître cette guerre, on peut facilement comprendre ce que ressentaient les personnages tant le style nous emporte !

...

Pour la critique en entier :

http://fr.blog.360.yahoo.com/blog-zuFKL90zcqSVg15KKAdN.4dC.w--?cq=1&p=102
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Au bonheur du matin

Une très grande saga sur des femmes courageuses et attachantes du nord de la France; elle rappelle la vie d'autrefois, dure et magnifique. Passionnant.
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La Poussière des corons

Bel ouvrage qui nous plonge dans le quotidien des mineurs.

Quelle leçon d'humanité et d'entraide dans ce monde hostile qu'était la mine.

On y découvre des gens authentiques qui malgré tout ce que ce milieu leur otait ils aimaient vivre dans le coron. Car autant la mine prend des vies autant la vie n'en devient que plus vive et joyeuse au sein de la communauté des mineurs.

Belle découverte.
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La Poussière des corons

Très belle histoire de famille. Un livre qui raconte l'histoire de la mine du 20ème siècle et les différents événements que la France a vécu au même moment. Ce livre est l'histoire de plusieurs familles de miniers. Très bien écrit et on a envie de savoir la suite.
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L'enfance perdue - Le journal d'Olivier

Un sujet effleuré qui aurait pu être approfondi



Dans le roman du terroir, le livre tient sa place. il décrie très bien l'existence à la ferme dans ces époques, les difficultés traversées pendant les deux guerres.

L'écriture est toujours aussi fluide et aisée à lire.

Il reste un grand problème à mes yeux c'est que le titre et la quatirème de couverture annoncent un roman sur la vie de cet orphelin or la parole ne lui est donnée que sur 110 des 306p

Berthe la mère de Yolande plante la situation sur 37p puis suit le récit de Thomas.

S'nsuit le récit de Viviane sur 80p dont on ne comprend pas la raison de la présence au milieu du récit. Certes elle nous raconte la situation de la vie dans ces périodes mais cela ne nécessitait pas un tel développement en regard du titre.

Quant à la rechercher de Yolande, paradoxalement, elle se fait rapidement sur 60p.

Autre interrogation, la présence du journal d'Olivier dont on ne voit pas le rapport avec le reste du livre.



Je suis sorti déçu de cette lecture. Le récit de Thomas aurait pu être davantage étoffé, son ressenti au fil de sa croissance aurait pu être développé.



Il me reste l'impression qu'il manquait de contenu alors on a complété avec le récit de Yolande. Je ne comprends pas non plus pourquoi la partie de la recherche par Yolande ainsi que les retrouvailles a été aussi courte.



Construction très bizarre.

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Le pain rouge

Si vous aimez les livres du Terroir et les romans historiques ce livre est pour vous.

Vous allez vivre dans une famille paysanne à coté de Douai et de Cambrai durant la révolution française. Mathilde, l'héroïne a 20 ans en 1789.

Certains personnages sont réèls tel que Le Bon qui terrorisa la région en guillotinant sans distinction de pauvres gens.

Le village va subir toutes les transformations du passage de la royauté à la république. Leurs souffrances et leurs peurs m'ont fait penser à la période de l'occupation durant la dernière guerre. Il y aura la restriction alimentaire, les arrestations pour simplement une critique, l'aide à un aristocrate, une dénonciation d'un voisin jaloux, les enrôlements de jeunes garçons dans l'armée, le port obligatoire de la cocarde tricolore, les risques d'écouter la messe dite par un prêtre réfractaire la nuit.

Par contre ils pourront acheter leurs fermes et devenir propriétaires.

Mireine



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Soeurs ennemies et autres nouvelles

Trois nouvelles dans ce recueil.

Je n’ai lu que la première : Les sœurs ennemies.

Henriette reçoit une lettre de sa jeune sœur Aurore l’informant que, rentrant des États Unis, elle va venir s’installer chez elle. Aurore qui s’est évertuée toute son enfance à détruire sa vie en exerçant une domination perverse sur sa sœur, aura-t-elle changée ? Henriette saura-t-elle s’affirmer et défendre son foyer ?

Si le thème est intéressant, toujours d’actualité, que dire du traitement…

Henriette ne se rebelle jamais et ne se rebellera jamais. Son « calvaire » s’arrêtera par le départ de sa sœur, sans état d’âme et par un mea culpa de sa famille qui sera désolée d’avoir failli se faire avoir par la belle Aurore, qui par ailleurs trouvera un équilibre et une nouvelle conduite comme par un coup de baguette magique… Moralité : si tu es l’objet d’un harcèlement, point de salut pour toi … sauf accident ! Si au début de la nouvelle on compatit avec Henriette, on sature très vite. L’empathie ne tient pas la route jusqu’à la fin de la nouvelle

Je n’ai pas eu envie de continuer avec les deux nouvelles suivantes. Ce livre, trouvé dans une boîte à lire l’été dernier, continuera sa vie dans une autre boîte, au gré de nos voyages.
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La fille du maître-brasseur

Le premier livre qui m’a fait aimer la littérature de terroir a été Le pain noir de Georges-Emmanuel Clancier. Ce titre m’a menée à ceux de Marie-Paul Armand de qui j’ai lu tous les romans. Lorsque j’ai découvert que cette auteure était décédée en 2011, j’ai été triste de ne plus avoir le plaisir de la lire. Aussi, lorsque j’ai appris que les Éditions Presses de la Cité publiaient un roman posthume inachevé, je me suis réjouie. Cependant, j’ai eu un peu peur de ressentir une frustration, qu’il se termine abruptement. Si vous avez la même inquiétude que j’avais, rassurez-vous, il n’en est rien.





Marianne était très jeune quand elle a compris qu’être née fille ne lui donnait pas les mêmes chances que les garçons. Elle était très blessée par le désintérêt de son père, au sujet de ses résultats scolaires : « À quoi ça lui servira ? (…) Elle n’est qu’une fille. » (p. 40) Secrètement, elle espère toujours qu’il lui exprime de la considération. Mais il ne s’intéresse qu’à son fils, son héritier. Kléber est le maître-brasseur du village. Depuis la Révolution française, les hommes ont pris la succession de leur père. En 1919, lorsqu’il est revenu de la guerre, le père de Marianne a dû rebâtir l’entreprise familiale. Marianne est très proche de sa cousine, Élodie, qui a un an de plus qu’elle. Les parents de celle-ci tiennent le café du village. La Fille du maître brasseur décrit l’enfance et l’adolescence de Marianne. Le manuscrit s’arrête en 1939, alors que la guerre est déclarée. L’héroïne a 13 ans et elle vient de vivre un grand malheur.





J’ai été très touchée par cette petite fille qui se sent rejetée en raison de sa condition féminine. Malgré cette douleur, elle est très attachée à sa famille. Ce roman décrit son quotidien dans une famille respectée et connue. Il dépeint l’art de la bière, si chère à ma région natale, le Nord. Il relate les avancées techniques, comme la voiture, mais aussi les traditions, comme les guérisseuses. Il nous plonge dans la vie d’une famille, en rappelant les tâches attribuées aux femmes. Il montre la réaction d’une enfant, née après la Première Guerre, qui entend que les Allemands reviennent. Les détails de la vie d’antan sont la force de ce roman : place de la femme, connaissances sur les maladies, approche de la puberté, mode de vie, etc. La perception est celle d’une fillette qui grandit à la fin des années 1930 et moitié des années 1940, avec les préoccupations de son époque.





L’ouvrage, préfacé par Line Renaud, comporte un prologue rédigé par Isabelle Armand. La fille de l’auteure cite les ouvrages publiés de sa maman, en les insérant dans la vie de cette dernière. J’ai ressenti beaucoup d’émotion au souvenir de mes anciennes lectures. Dans l’épilogue, elle précise dans quel contexte, Marie-Paul Armand avait écrit La Fille du maître brasseur. Elle nous offre, également, des passages que l’écrivaine avait écrits, mais pas encore intégrés au récit. Aussi, nous savons le destin qu’elle avait imaginé pour ses personnages. Ces bouts de texte permettent de conclure l’histoire. J’ai été très touchée par cette immersion dans le travail d’écriture. En publiant ce roman inédit, les Éditions Presses de la Cité, ainsi que la famille de l’auteure, font un très beau cadeau aux lecteurs de Marie-Paul Armand. J’ai adoré.




Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Le Vent de la haine

Un livre témoignage de la 2nde Guerre Mondiale à travers le Nord et ses habitants.

Cela se lit bien, mais ce n'est pas de la grande littérature.L'auteure ne cesse tout au long du livre de devoiler, à travers son personnage principal, tout ce qui va se passer les pages suivantes, des phrases du style "j'allais vite m'apercevoir qu'il en allait être tout autrement"...Sur le plan du suspense, on repassera. Le personnage de Therese ne me plaît pas, ne pensant qu'à son mari qu'elle attend impatiemment chaque soir pour faire l'amour avec lui... un livre très manichéen qui plairait bien à des lycéens mais qui me dérange personnellement parce que la réalité de la guerre est certes bien décrite mais il manque cette profondeur psychologique.
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L'enfance perdue

On assiste dans ce roman à la construction d'un secret de famille du début à sa toute fin.

L'action se déroule pendant la période de la guerre 39-45 en France, où tous les personnages du roman sont émouvants notamment par leur passé.

J'ai bien aimé ce roman, car on a vraiment l'impression d'être au cœur de cette famille à travers les différentes parties du roman qui sont en fait différents narrateurs.

Par ailleurs, l'écriture est simple et du coup on a juste à se laisser aller dans cette histoire.
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