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Critiques de Michel Caffier (12)
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Des mets et des mots

Devant préparer quelques anniversaires d'amis en ce mois de septembre...

mes yeux et mon esprit sont en alerte permanente...ce qui m'a permis de dénicher cette publication lointaine, mêlant "Littérature et Gastronomie",

Histoire littéraire, et anecdotes du petit monde de l'édition ! De quoi, je pense, réjouir un ami montagneux, grand lecteur, et amateur

confirmé de littérature et de "bonne chère" , que j'imagine aisément feuilletant avec "gourmandise" ce beau livre, richement illustré, accompagné d'anecdotes éditoriales, et de commentaires savoureux des académiciens Goncourt..!!



Sont alternés des textes des académiciens de l'académie Goncourt des

premières heures, dont de nombreux textes de Lucien Descaves, dont

ses "Souvenirs d'un ours", qui m'ont particulièrement retenue...

J'a particulièrement retenu ses bagarres pour défendre Céline et son

"Voyage au bout de la nuit"... Il fut très furieux de ne pas y parvenir,

convaincu du talent de ce jeune auteur, au style, et au langage

si atypiques !!



"(...)Si ce -Voyage au bout de la nuit- n'est pas un chef-d'oeuvre ,

convenez qu'il mérite qu'on s'y intéresse ! Il révèle un fameux

tempérament. Notre devoir vis-à-vis de Goncourt est, je vous le

rappelle, d'encourager les tentatives nouvelles et hardies de la

pensée et de la forme. Sous ce rapport, nous ne trouverons pas

mieux. de plus, admettez que je suis reconnaissant à Céline

d'avoir réveillé note jeunesse lointaine, le temps où je découvrais - L'Assommoir- ... »(p. 53) [ Souvenirs d'un ours [III ] --Lucien Descaves (1932)]



Cet ouvrage a l'ingénieuse idée de retracer une histoire littéraire à

travers ce restaurant mythique des "Prix littéraires", je voulais nommer

"DROUANT"....dans l'un des plus vieux quartiers de la Capitale...



Publication préfacée par le doyen, Hervé Bazin, rentré à l'Académie Goncourt, en 1958...Une toile très expressive, en exergue, d'Elsie de Saint-Chamas, représente les Académiciens Goncourt à cette période-là: Robert Sabatier, Edmonde Charles-Roux, Michel Tournier, Françoise Mallet-Joris, Jean Cayrol, Daniel Boulanger, Emmanuel Roblès, François Nourrissier, Hervé Bazin, André Stil...



"Colette raconte

[...] J'ai beau me poser en vieux garçon, c'est un plaisir encore très féminin que je goûte à être la seule femme des déjeuners Goncourt, entourée d'un aréopage d'hommes. Cinq, six, huit, neuf hommes.

D'authentiques hommes- et l'âge ne fait rien à l'affaire-avec des défauts, des

séductions d'hommes. (...) Humainement ils se disputent, et Dieu merci ils sont gourmands...

Aucun d'eux n'a quitté l'amour d'écrire ni l'amour des écrivains.

Qui donc, sinon cet amour, nous soutient, annuellement, sur le chemin pavé d'oeuvres que nous lisons ? Car nous lisons. Nous lisons cent, cent vingt volumes. (...)

Je vous répète que nous lisons. Etrange assemblée, qui sur dix membres compte dix lecteurs scrupuleux!

Consciencieux, capables d'erreurs, capables de récompenser un écrivain encore vert, de faire crédit à une promesse, et de le regretter l'année suivante ...

Croit-on que nous sommes sur un lit de roses, quand sonnent les dernières heures des compétitions ?

(...) Pour me contenter, il faudrait que les Dix fussent une vingtaine- au moins. (p. 95) [ Déjeuner, vote..." le Fanal bleu, Fayard, 1987 ]



Ce bel ouvrage est complété par les menus préférés des 10 académiciens Goncourt, détaillés et illustrés en couleurs....Une lecture très plaisante, riche d'une iconographie très variée [ Retenu dans mes préférences , une très intéressante sculpture des frères Goncourt, en 1896, par Carpeaux,

ainsi qu'une peinture des 10 membres de l'Académie, en 1956, par Bernard Buffet ]





"(...) Habitué des dîners Magny et des déjeuners en ville, Edmond de Goncourt n'imaginait pas d'assemblée littéraire avec discussions et débats ailleurs qu'autour d'une table confortable au menu de qualité. La littérature du XIXe siècle ne lâcha la plume que pour la fourchette. Emile Zola prenait volontiers place au fourneau et adorait la bouillabaisse. A Croisset,

Flaubert servait à ses invités un turbot assorti d'une sauce mémorable pour Maupassant et pour Goncourt. "(p. 11) [Préface d'Hervé Bazin ]



Un ouvrage pour les gourmets, les gourmands, et les amoureux de la Littérature ainsi que de l'Histoire littéraire...! Une belle réussite à "savourer" , "déguster" littéralement !!...















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Les grandes heures de la Lorraine

Alors que la Lorraine a été absorbée dans un ensemble sans âme ni sens appelé Grand Est, j'ai eu envie de me replonger dans les grandes heures de l'histoire de ma région.

C'est donc sans surprise que vous lirez que j'ai préféré les chapitres concernant le duché de Lorraine à son apogée, ou bien avant l'Austrasie (rappelons que Metz était la capitale de ce royaume!).

Sinon, je dois avouer que cet ouvrage historique comporte beaucoup de longueurs à force de détails (les chapitres se déroulant pendant la période révolutionnaire m'ont semblé interminables), même si le style de l'auteur est parfois un peu humoristique ce qui aide à les faire passer.

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Le jardinier aux fleurs de verre

Ce livre est sec, sans chair. Les faits sont énoncés sans que soient étudiées la psychologie, la sociologie etc, bref, tout ce qui fait l'intérêt d'un livre.

Et là, le sujet se prêtait particulièrement bien à une étude de l'époque et de Nancy. Car même la ville ne vit pas, dans ce livre.
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Corne de brume

Je ne me suis pas laissée emporter par ce roman, dont l'écriture ne me parle pas. Pour moi, il s'agit plus d'un documentaire sur la vie entre les deux guerres et sur les villes de Boulogne et Nancy à cette époque. C'est très riche en anecdotes, descriptions, citations de textes (chansons poèmes) et en images: voitures de l'époque, objets: la marque Baignol et Farjon m'a rappelé des souvenirs d'école. Mais les personnages m'ont paru sans humanité.
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Le Hameau des mirabelliers

Un roman fort, qui nous transporte entre deux guerres, de 1870 jusqu'à l'été 1914, dans une Lorraine coupée en deux, entre un Nancy libre et un Metz annexé. Pompey, petit village d'une centaine d'habitants, situé tout près de la nouvelle frontière allemande, dans un monde rural avec ses animaux, ses vergers et ses vignes à flancs de coteaux ; cette bourgade calme et tranquille va se transformer en une ville, en entrant de plein fouet dans l'ère de l'industrialisation avec l'arrivée des aciéries et de son monde ouvrier. Un paysage défiguré et un ciel empli des fumées de la fonderie qui marche à plein rendement en fournissant à Gustave Eiffel les éléments nécessaires pour la construction de sa tour ; le noir de suie du chemin de fer en pleine expansion, la disparition des saumons dans les eaux de la Moselle et les constructions à tout va qui vont absorber tous les terrains qui verdoyaient de la plaine aux collines ; voilà le nouveau panorama de cet endroit où il faisait bon vivre. C'est aussi la mise en place des syndicats, les revendications, les premières grèves, les réunions politiques en vue des municipales, la disparition des foires, des marchés et petits commerces au profit des premiers supermarchés qui tendent vers une société de consommation.



Le tout à travers une famille d'irréductibles Lorrains, de l'arrière-arrière-grand-père à l'arrière-arrière-petit-fils ; une belle saga que l'auteur nous conte. Une famille qui a conservé sa maison sur les hauteurs de Pompey, véritable balcon qui était accroché au milieu des vignes, avec vue sur la boucle de la Moselle et la Gueule d'Enfer où la Meurthe se joint à elle, avec son allée de mirabelliers, son potager et son jardin de fleurs, admiré plus tard par Emile Gallé et Louis Majorelle qui s'en inspireront.



Une demeure maintenant enclavée entre les constructions d'immeubles toujours plus nombreux. Dernier havre de paix où la famille Muller essaie de rester soudée malgré les différends. Des hommes et des femmes qui vont jouer un grand rôle dans la vie de la commune, les Collin, les Evrard et les Muller des gens du cru.





Un bel ouvrage à lire qui nous fait voyager dans le Département de la Moselle occupée jusqu'à celui de Meurthe et Moselle vers Nancy ou Toul en passant par les communes annexées ou limitrophes de la nouvelle frontière, Gravelotte, Ars sur Moselle, Jouy aux Arches, Pagny sur Moselle, Mars la Tour, Pont à Mousson et ses fonderies, Frouard et ses hauts-fourneaux, Champigneulles et sa Brasserie etc.



Bien sûr des endroits et une route que je connais bien puisque j'ai grandi dans une ville minière (mines de fer) Jarny en Meurthe et Moselle à 20 km de Metz et suis née à Toul 54.



Merci à l'auteur dont j'ai appris le décès en 2021, un journaliste, ex-Rédacteur en chef de l'Est Républicain de Nancy, quotidien bien connu des Lorrains, un Monsieur que j'ai côtoyé début 2019 au centre de rééducation de l'hôpital de Neufchâteau où nous étions tous les deux en soins.
Lien : http://jose-lire-et-le-dire...
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La paille et l'osier

Un sympathique roman qui situe son action aux lendemains de la guerre de 1870 et raconte l'histoire de jeunes Alsaciens et Lorrains ayant choisi l'exil pour ne pas devenir allemands. Le déchirement de tout quitter, patrie, enfance, famille et amour parfois est très bien mis en scène par Michel Caffier.

Adrien, le jeune héros, arrive ainsi à Nancy où il exercera différents métiers avant de trouver sa voie et de fonder une famille.

Dans un style très fluide, l'auteur restitue avec beaucoup de réalisme la Nancy de la Belle-Epoque, ville en pleine expansion.
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Le découvreur du Mississippi

Cette biographie de Jacques Marquette est très romancée mais l'auteur nous fait profiter de ses bonnes connaissances historiques sur la Nouvelle France et sur les peuples autochtones de ces pays. Le récit n'en est que plus vivant.
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La plume d'or du drapier

Je n'ai pas pu le finir
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La péniche de Saint-Nicolas

J'ai longtemps hésité avant de mettre mon nombre d'étoiles...Je considère qu'écrire un livre c'est difficile, long, ce n'est pas donné à tout le monde et ma fourchette de notation normalement est entre 3 et 5. J'aurais aimé mettre 2,5mais cela n'est pas possible...

J'ai malgré tout eu du plaisir à lire ce livre parce qu'il évoque ma chère Lorraine et particulièrement des villes où j'ai vécu: Bar-le-Duc et Metz.

Mais bon dès le début une invraisemblance m'a irrité lorsque l'auteur place Rethel (normalement dans les Ardennes) sur le cours de la Moselle entre les Vosges et Trèves.

Au delà de cela l'histoire est trop belle trop lisse trop moraliste presque bisounours sauf quand l'auteur, pour faire rebondir son récit a besoin de tuer la quasi totalité des personnages du Choléra.

Dommage car je sais que Michel Caffier est quelqu'un de très sympathique. Donc en résumé, j'ai lu ce livre jusqu'au bout, j'ai parfois bien aimé mais l'histoire ne m'a pas enthousiasmé.
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Corne de brume

J’ai trouvé cette histoire familiale un peu déconcertante par son manque de consistance. Michel Caffier semble avoir utilisé les personnages de son livre comme une ossature à un récit beaucoup plus proche du documentaire que du roman traditionnel. J’en veux pour preuve les nombreuses références historiques et culturelles de l’entre-deux guerre dont il fait allusion à maintes reprises dans son ouvrage, non sans une certaine nostalgie.

Cette époque marquante de l’histoire est particulièrement détaillée par l’auteur qui met un point d’honneur à rappeler les bouleversements sociétaux, l’instauration des congés payés, le développement du tourisme, les innovations cinématographiques… La seconde guerre mondiale donne un coup d’arrêt brutal à cet essor et signe également l’épilogue du roman qui plonge le lecteur dans la perplexité d’un feuilleton inachevé…
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L'héritage du mirabellier

Suite du Hameau des Mirabelliers, heureuse de retrouver la Saga d'une humble famille Lorraine vivant à Pompey en Meurthe et Moselle aux portes de Nancy. Nous y retrouvons les premiers protagonistes, les 3 frères Muller notamment et leurs épouses, enfants et amis que nous avions connus au lendemain de la guerre de 1870 contre la Prusse. Après l'annexion de l'Alsace et de la partie Mosellane de la Lorraine par les Allemands, nous avions suivis cette famille dans cette industrialisation qui modifiait non seulement le paysage, mais changeait et forçait vignerons, agriculteurs et gens des métiers de la terre à changer littéralement de travail, à vendre, bien souvent sous pression, leurs parcelles de terrains au profit de l'urbanisation. Des familles bien ancrées prisent dans la spirale économique, qui étaient obligées de suivre le mouvement jusqu'à ce que la 1ère guerre mondiale éclate.



Nous les retrouvons dans ce second ouvrage au lendemain de cette guerre 14-18 qui a fait d'énormes dégâts, la Lorraine étant aux premières loges. La génération suivante a bien grandi, fait des études, s'est mariée, les filles surtout se sont émancipées. De nouvelles évolutions surgissent, l'art décoratif, l'automobile, l'aviation, la photographie, la médecine, la radio, hommes et femmes s'emballent et n'hésitent pas à s'exiler de par la France et par le monde pour assouvir leurs passions. Néanmoins un point de ralliement subsiste, le Hameau des Mirabelliers où Léon, l'un des trois frères, résiste et exige à y maintenir les réunions familiales.



Mais Hitler, Mussolini, Franco font parler d'eux de plus en plus fort... La seconde guerre mondiale est enclenchée.



Quelques générations plus tard, qu'est devenu ce Hameau des Mirabelliers ?



Un livre qui m'a autant passionnée que le premier, bien sûr en bonne Lorraine et un tantinet chauvine. Le 20ème siècle raconté avec justesse. Respect à l'auteur qui n'est plus.


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Le Hameau des mirabelliers

Si l’on excepte la transition initiale il y a quelque dix mille ans où l’homme, chasseur-cueilleur de toute éternité (enfin pas plus de 3 millions d’années), se posa et inventa l’agriculture, le XIXème siècle atteste du virage pris par une humanité qui ne voyait pas encore sa perte.

Cette mutation profonde, cette transformation des bases de la société, est la toile de fond du roman de Michel Caffier, ex rédacteur en chef de l’Est Républicain, le quotidien Nancéen bien connu de tous les lorrains.

Cette saga commence en 1870 et se terminera au cœur de l’été 1914, laissant penser à une suite… qui ne vint jamais (enfin, peut-être est elle déjà écrite, se reposant au fond d’un tiroir).

Comme dans tout roman du terroir, on a plaisir à partager les joies et les peines d’une famille qui devra se débattre au milieu d’un monde changeant dont les repères s’évanouissent au gré des avancées (progrès?) techniques et des transformations sociales et morales (perfectionnement?).

Le père de la famille Muller plante un mirabellier le jour de sa mort. C’est le point de départ d’une allée se perdant au milieu des champs et qui sera, très vite, engloutie dans un quartier ouvrier. Car sur ces rives de la Moselle, vont s’élever les hauts fourneaux lorrains. La mutation de la société ne se fera pas attendre. Ajouté à cela, la frontière si proche, coupant une Lorraine en deux et aiguisant mieux qu’une meule l’esprit revanchard d’un peuple spolié d’une partie de son territoire, comme amputé d’un membre. Le général Boulanger saura mieux que quiconque utiliser ces ressentiments et affiner la fibre patriotique dans le jeu politique qui, on s’en rend vite compte, n’a pas beaucoup évolué en 130 ans : mêmes opportunismes de ses participants, même démagogie envers des électeurs qui ne voient que leurs propre intérêt.

Une société en pleine transformation est toujours passionnante. Michel Caffier peint avec précision et justesse cette mutation du monde paysan en monde ouvrier. Même le vocabulaire change. Les journées rythmées hier encore par le lever et le coucher du soleil, des années scandées par le déroulement des saisons, vont être découpées désormais en heures et en minutes, à l’image du développement du chemin de fer (dont un des frères sera employé). Tout autant que l’usine, l’horloge asservira l’homme, le rendant esclave du temps qui passe et qui, forcément, accélérera la vie au point de ne plus avoir une minute à soi tandis que la nouvelle classe dirigeante verra ses profits augmenter selon la loi du « time is money » bien connue des spéculateurs.

C’est la fin d’une certaine liberté et l’arrivée du confort, pourtant les deux semblent antinomiques. Une nouvelle technologie censée nous rendre indépendants de la communauté et de ses contraintes et traditions sociales mais dépendants d’un nouveau système technologique. Cette rupture avec la nature est concrétisée par le remplacement des sons par les bruits, constants, des hauts fourneaux, des wagons de marchandises sur la voie ferrée. L’urbanisation se traduit par l’arrivée d’une population nouvelle, des idées neuves et l’essor des commerces, remplaçant les foires et les marchés avant de se fondre, 50 ans plus tard, dans ces Mecques de la consommation à outrance que seront les hypermarchés (mais cela est une autre histoire).

Partout la nature recule, en témoigne la chasse aux derniers loups. L’adaptation à cette nouvelle société est modérée par les préventions de l’institutrice, travaillant à éduquer les enfants par de puissantes leçons de morale et les adultes par des conseils pour ne pas tomber dans les travers d’une société en mutation où l’on perd rapidement ses repères. L’alcool aidant les ouvriers à oublier douze heures de labeur quotidien devant la lave en fusion mais les asservissant davantage, le déploiement de nouvelles boutiques pour les femmes, attisant un nouvel appétit d’acheter, aiguisant la convoitise. Deux drogues qui seront, deux guerres plus tard, largement remplacées par la voiture et la télévision.

Léon, l’un des frères devenu le porte-parole des ouvriers et, un peu malgré lui, soutien du maire-candidat, finira par ne plus se reconnaitre dans ce monde qui n’aura pas mis une génération à changer du tout ou tout.

Nous vivons depuis les trente glorieuses pareil changement. Sommes-nous seulement capables de nous adapter?



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