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Critiques de Michel Dufranne (129)
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Triangle rose

Andréas, un vieux monsieur, se remémore sa vie suite à la question de son arrière petit-fils sur l’Allemagne nazi. Jeune homosexuel, Andréas vit sans se préoccuper du lendemain. Malheureusement, la montée du nazisme et de la haine des homosexuel va mettre fin à son insouciance.



Le triangle rose est le signe distinctif que les homosexuels devaient porter dans les camps de concentrations.





J’ai adoré cette bande-dessinée qui nous parle d’une population déportée dans les camps que l’on passe trop souvent sous silence. L’auteur concentre son propos, non sur la vie dans les camps (elle est abordée mais brièvement) mais sur la monté de la haine contre les homosexuels. De tolérés, ils deviennent vite l’objet de poursuite par les nazis, jusqu’à leur internement dans les camps. Ce qui m’a impressionné le plus, c’est la vitesse à laquelle les choses peuvent changer. En même pas un an, Andréas passe d’une vie d’insouciance où il affiche ses amours à une vie où il doit se cacher et où il risque sa vie. Ce qui m’a le plus révoltés, c’est que même après la fin du nazisme, les homosexuels n’ont pas été reconnus comme des victimes mais limite comme des profiteurs par la population allemande. La fin de la bande-dessinée est floue : on ne sait pas si Andréas s’est vraiment livré à son arrière-petit-fils (dans ce cas, pourquoi ne réagit-il pas quand il apprend qu’il ne s’agit pas vraiment de son arrière-grand-père) ou s’il s’est juste remémoré son passé pour lui seul. La dernière page nous explique le paragraphe 175 et son histoire jusqu’à son abrogation en 1999. Heureusement que cette partie « documentaire » est là car il est beaucoup question de ce paragraphe qui est à l’origine du malheur d’Andréas et de ses amis.





Les illustrations sont réalistes. Certaines images sont très fortes et dégagent des émotions contradictoires. Le passé, traité dans un très beau noir et blanc est « encerclé » par la couleur du présent. Cela donne une impression d’immersion dans les pensées d’Andréas et, à la fin, cela nous donne l’impression de se réveiller d’un mauvais rêve.
Lien : http://hellody.canalblog.com/
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Triangle rose

Un sujet poignant autant dans la construction des personnages (adolescents et grand-père) que dans le récit. Toutefois les choix dans le dessin gènent parfois la lecture, dommage...
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Triangle rose

Je n'ai pas beaucoup aimé le dessin de cette BD mais le sujet m'a particulièrement marquée. Je savais certes qu'il y avait eu des homosexuels dans les camps de concentration (et des tziganes, et des handicapés, dont on parle fort peu malheureusement) mais je n'aurais jamais imaginé que ceux qui avaient survécu aux camps seraient encore, à leur libération, non seulement non reconnus comme de "vraies" victimes, mais de plus détestés par les autres survivants qui leur reprochaient d'être encore en vie alors que tant de gens "bien" étaient morts. Considérés comme des criminels (article 175) et donc non indemnisés ... et poursuivis par la justice jusqu'à ce que l'homosexualité ne soit plus un crime ! (1988 en RDA)
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Les trois mousquetaires, tome 1 (BD)

J'ai eu plaisir à retrouver les personnages que j'affectionne dans cette adaptation du roman. A voir si le charme perdure sur les autres tomes...!
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Souvenirs de la Grande Armée, Tome 1 : 1807 -..

J'ai découvert cette série grâce à un jeu-concours de Babelio. L'occasion de me replonger dans des lectures passées sur l'Empire. J'ai aimé la façon de traiter les campagnes napoléoniennes par la vie quotidienne et projetée d'une unité de cavalerie. Rien des traitements dont bénficiait la Garde. Il faut trouver à se loger, à se nourrir, se déplacer sans cesse. Et encore, les cavaliers ne sont pas les plus à plaindre. Une série tout à fait recommandable, pour remettre en perspective les grandes batailles de l'Empire.
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Souvenirs de la Grande Armée, tome 3 : 1809 -..

Evocation de de l'Epopée Napoléonienne au travers des souvenirs du soldat Marcel Godart, dit Le Belge.



On assiste à la vie quotidienne des soldats de la Grande Armée.

Malgré un dévouement sans faille à Napoléon, les soldats doutent d'eux mêmes, se posent mille questions, et, surtout ont peur de mourir.

Sous couvert d’une petite intrigue amoureuse, c’est surtout l’histoire d’une vengeance qui vit son aboutissement 40 ans après la Bataille d’Albensberg (avril 1809).



Les recherches historiques sont rigoureuses, exactes tout en donnant des scènes épiques, et, quelques intrigues savoureuses de la part de certains protagonistes !!!



Les illustrations, quant à elles, sont superbes ainsi que précises, nettes. Certaines pourront paraître dures, horribles pour tous ceux qui possèdent une âme sensible.

En effet, les scènes de boucheries, se déroulant sur les champs de batailles et dans les « hôpitaux de fortunes » où les médecins soignaient, emputaients les bléssés à tour de bras, sont représentées aux détails près. La mort y est omniprésente.



En ce qui me concerne, j’ai pris plaisir à lire cette BD. Le fait de ne pas avoir lu les deux premiers tomes ne m’a guère gêné.

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Journal d'une Femen

J'ai pas beaucoup aimé le traitement du personnage d'Appoline, et que la conclusion soit plus ou moins que les révolutions ne se font que si on est jeunes ...

J'ai détesté : la pensée réac des copines - la fin complètement nulle où Apolline rentre parfaitement dans l'heteropatriarcat - la "blague" lesbophobe d'Appoline a sa mère - le discours putophobe de tout le livre - les valeurs putophobe des femens - la façon de représenter les corps de manière très normé de Séverine Lefebvre.

Bref, je ne conseille pas.
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Bruxelles Noir

Un recueil de treize nouvelles policières qui ont pour cadre la capitale belge et nous entraînent dans les méandres de la ville, du Palais de justice à l'abattoir d'Anderlecht.

Une nouvelle fois les éditions Asphalte ont la magnifique idée de nous faire découvrir des auteurs et leurs univers. Découvrez la collection « Asphalte Noir », c’est une merveille !!! Et l'humour belge est irrésistible


Lien : https://collectifpolar.com/
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L'ombre d'antan

1 préface. 14 récits. 1 dossier historique. 26 auteurs (scénaristes et dessinateurs) français et serbes. Tout cela pour rappeler les liens qui ont uni les deux territoires durant la Première Guerre Mondiale. Afin de tout comprendre, je vous renvoie au livre, très bien fait. Je ne saurais pas aussi bien vous expliquer. Chaque très courte BD est très différente autant dans le dessin que dans le récit. Évidemment, j'aurais aimé, parfois, que cela dure plus longtemps. Je pense surtout à "Entre ciel et Terre"





A découvrir !



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La chute du Dragon Noir, Tome 1 : Nadir

Une BD c'est un couple (la plupart du temps)

un scénariste (une histoire, un adaptation d'un roman) et un dessinateur (l mise en images de cette histoire)

Je comprends mieux maintenant que ce tome 1 n'est pas eu de suite

Une histoire correcte plombée par un dessin brouillon (qui rappelle plus le story board), une overdose de flous (jusqu'à la couverture), du coup un irrégularité dans le trait (personnages difficilement reconnaissables) et des raccourcis (qui rendent les scènes moins compréhensibles)

Bref, je ne suis pas un habitué des critiques négatives, mais je pense que n'est pas Frazetta qui veut
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Triangle rose

Ce que j'en pense:



Cette BD nous présente Andréas, un homosexuel persécuté durant la Seconde Guerre Mondiale. Tout commence avec son petit fils qui a besoin de l'interviewer pour un devoir de collège. Le jeune homme ne s'attend pas vraiment à ce qui l'attend...



Le scénario est très accrocheur et nous fait découvrir un nouveau pas de l'Histoire. Au collège et au lycée, les enseignants abordent souvent le pan xénophobie mais la persécution des homosexuels passe souvent à la trappe. Avec ce livre, j'ai découvert l'horreur de l'intérieur. C'est affreux, poignant, effrayant... Franchement, je manque de mots... Le lecteur sait bien qu' Andréas va s'en sortir et lorsqu'il sort des camps, on découvre une autre horreur...



Les illustrations sont violentes. Le parti pris du noir et blanc est judicieux. La couleur est seulement utilisée pour les moments du présent ou encore pour le petit triangle rose qui ressort dans les dessins sombres. Ils apparaissent comme une cible. Les visages sont émaciés. Les vignettes sont poignantes et sûrement en dessous de la vérité. 



Il est impossible de sortir de la lecture de cette BD indemne.



Bref:



Une BD coup de poing.
Lien : https://aufildesplumesblog.w..
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Candide ou l'optimisme de Voltaire (BD)

J'adore le conte. J'ai trouvé par hasard la bd chez mon frère. J'ai bien aimé. Elle est fidèle au conte. Les phrases clés sont reprises, même s'il en manque certaines notamment cincernant le chapitre sur la guerre. Je regrette le fait que ce soit en 3 tomes ( je n'ai que le 1er) ce qui en rend la lecture plus difficile ... et ce qui la rend un peu onéreuse. Ca aurait été bien pour mes élèves qui aborderaient avec davantage d'enthousiasme ce genre de lecture, mais acheter 3 tomes c'est beaucoup !
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Les trois mousquetaires, tome 1 (BD)

Après avoir lu une bonne critique du tome 2, j'ai décidé de m'intéresser à la série. L'histoire, même si elle est très classique, démarre plutôt bien. Comme dit dans la présentation, on découvre un aspect du personnage de D'Artagnan assez éloigné de celui tracé par Dumas... Genre mercenaire sans trop de scrupules. A côté de lui, un "novice en formation", Alexandre de Bastan, gascon comme il se doit, va découvrir que lorsque l'on est au service du roi, tous les coups sont permis, pourvu qu'ils soient exécutés avec doigté. En toile de fond de ce premier volume, la chute d'une étoile de la cour, Fouquet, intendant des finances dont la splendeur commence à faire de l'ombre au monarque.
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Bruxelles Noir

« Bruxelles Noir » est un recueil de nouvelles à l’ambiance assez sombre publié en 2015 sous la houlette de Michel Dufranne, chroniqueur radio et télé (RTBF) passionné de polars, thrillers, science-fiction et bandes dessinées. 13 auteurs contemporains (tous bruxellois) et 13 nouvelles, avec pour point commun l’exploration du côté « sombre » de la capitale belge.



Avant tout, je dois dire que le polar n’est pas du tout mon genre de prédilection et que je n’avais jamais lu aucun des auteurs de ce recueil. C’est le concept, plutôt original, qui m’a interpellée, et j’ai donc décidé de sortir de ma zone de confort. Le résultat est mitigé. J’ai été surprise par les similitudes de style entre les nouvelles, malgré la diversité des auteurs.



La nouvelle de Paul Colize, intitulée « Une fraction de seconde », inspirée par les tueries du Brabant dans les années 1980, est de loin celle que j’ai préférée. « Ecuador » d’Alfredo Noriega n’est pas mal non plus, avec un narrateur assez attachant offrant une vision assez inhabituelle du Bruxelles « européen ». Certains récits comme « L’Autre Guerre de la Marolle » sont franchement peu accessibles à quelqu’un qui ne connaît pas Bruxelles, et s’adressent clairement à un public très local. Les autres nouvelles sont parfois amusantes, troublantes, absurdes, mais souvent trop tirées par les cheveux pour que la magie opère. C’est le cas de « L’Ombre de la tour » d’Émilie de Béco. Ce récit à suspense sur fond de vengeance et de scandale pédophile aurait pu être très puissant si son dénouement n’était pas aussi invraisemblable.



Au final, pas de coup de cœur qui m’incite à découvrir plus en détail l’œuvre d’un(e) de ces auteur(e)s bruxellois(e)s, mais un concept malgré tout intéressant qui mériterait d’être décliné dans d’autres genres.
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Candide ou l'optimisme de Voltaire (BD)

Oui, vous avez bien lu : il s'agit d'une adaptation en BD du Candide de Voltaire !…

Incongru ? À première vue, oui, bien que les adaptations de chefs-d'oeuvre de la littérature tombés dans le domaine public soient devenues monnaie courante chez certains éditeurs, et Delcourt en fait partie.



À la lecture des 138 planches de cette intégrale (3 tomes), j'ai cependant été complètement convaincu par la qualité de la démarche.



Lire la suite de mon commentaire sur le site Le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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Journal d'une Femen

Intéressante plongée dans l'univers des Femen avec quelques maladresses à mon sens.

J'ai beaucoup aimé l'approche d'une "novice" en quête d'action au sein de ce groupe féministe un peu extrême. L'entrainement et les idées de fond semblent être correctement traité par l'auteur. J'ai par contre regretté des longueurs parfois et des inégalités de rythme, ainsi qu'un dessin parfois un peu bâclé. De plus, la première partie pour moi flirte avec les clichés du genre "tous les mecs sont des violeurs/bourrins en puissance". C'était pénible. Je referme tout de même ce tome avec la sensation d'avoir apprécié dans l'ensemble, mais je reste mitigée...
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Journal d'une Femen

« Journal d’une Femen », a été écrit à quatre mains par Michel Dufranne et Séverine Lefebvre, la dessinatrice.



L’auteur a passé plus de quatre ans auprès des Femens. Quatre années à se demander qui sont réellement ces femmes et pourquoi elles sont à la tête de ces actions, souvent mal jugées et incomprises.



Une BD intéressante, avec de très beaux dessins qui nous rappelle l’univers des mangas.



Comme le dit si bien l’auteur, « Dans ces pages, tout est faux… mais tout est directement issu de la réalité ».



Salutations d’Exquimots
Lien : http://www.exquimots.fr
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Triangle rose

Quatre lycéens doivent rendre un travail écrit sur les camps de concentration. Ils aimeraient bien tout "pomper" sur "Wiki" mais ils savent que leur prof n'est pas tombée de la dernière pluie et s'en rendra compte. Un jeune propose d'aller interroger son arrière grand-père. Ce dernier est un rescapé des camps. Il n'en sait pas plus car c'est un sujet très tabou dans la famille.



Andreas Muller est un vieux monsieur taciturne et pas commode, il accueille fraîchement les jeunes et refuse de répondre à leurs questions.

L'intrusion des lycéens dans sa vie a réveillé des souvenirs atroces. En 1932 Andréas est un jeune homme insouciant. C'est un artiste talentueux; il dessine les affiches de propagande pour le parti nazi. Le soir il retrouve sa bande d'amis, tous homosexuels, comme lui. Ils parlent surtout de leurs conquêtes, de sports et aussi de politique. En 1933 Hitler est nommé chancelier,tous sont contents de la montée du nazisme sauf un. Communiste, il devine déjà que les juifs ne seront pas les seuls persécutés de ce régime. Et l'avenir va lui donner raison.



Les meurtres, les arrestations arbitraires se multiplient. Tout le monde a peur, le climat a changé.



Un jour Andréas est arrêté, dénoncé par sa concierge pour mœurs étranges. L'horreur commence. Il est d'abord jeté en prison, battu quotidiennement par ses codétenus il se retrouve obligé de dénoncer ses amis homos. Puis comme il refuse de se faire castrer il est envoyé dans un camp de concentration.



En 1935, les Nazis renforcent la répression de l'homosexualité et utilise "le paragraphe 175". Les homosexuels, perçus comme un péril pour la race car ils "refusent de se reproduire", sont pourchassés, condamnés et envoyés dans des camps de concentration. Dans les camps les homosexuels sont "la plus basse classe sociale".

Pour faire cette BD les auteurs Dufrane, Vicanovic, Lerolle se sont documentés. Le récit, le personnage Andréas sont fictifs mais tous les faits sont basés sur des faits historiques réels.



Andréas va vivre jour après jour des horreurs indicibles. Mais il va réussir à survivre. A sa sortie des camps il continue à être persécutés par les gens, la police.

C'est une BD aussi dure, aussi choquante à lire que Mauss de Art Spiegelman. Mais il faut la lire. Elle doit être dans tous les CDI, car si de nombreux ouvrages ont été faits sur la Shoah, les homosexuels sont les " victimes oubliés" de la mémoire collective.



La réussite est totale, aussi bien pour le graphisme que pour le scénario.






Lien : http://secretelouise.eklablo..
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Triangle rose

J’ai décidé de me plonger dans cette BD parce qu’elle évoque un pan de la volonté d’extermination d’Hitler moins connue, celui de la traque des homosexuels. Les auteurs traitent très bien de ce qu’était la vie des homosexuels pendant la seconde guerre mondiale et après. Ce manque de reconnaissance dont ils ont été victimes.



Bien plus qu’une simple BD sur les homosexuels sous le régime nazi, cette BD montre bien la montée en puissance d’Hitler et ses lois répressives qui vont crescendo.



La fin du livre est me semble-t-il assez subtile puisqu’on a l’impression que l’arrière grand père s’est dévoilé alors qu’en fait les pages de son histoire sont dans sa mémoire. Il ne veut pas les dévoiler. En effet, le grand-père s’énerve et renvoie les lycéens vers les livres et ce n’est qu’après qu’il se rend dans sa chambre face à la tenue qu’il portait dans le camp de travail. C’est donc le droit à l’oubli que demande le personnage de cette BD alors que les vétérans que j’ai rencontrés cette année ne demande que le devoir de mémoire, de se souvenir, le droit à la vérité !



C’est un album très touchant que je recommande vivement ! Le dessin y est très réaliste et très agréable.
Lien : http://lesbavardagesdesophie..
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Triangle rose

Cet ouvrage, bouleversant, met en image une page sombre, longtemps passée sous silence, de l’histoire allemande. Les pages, consacrées au Berlin des années 30, montrent comment une société incroyablement ouverte et tolérante a peu à peu sombré dans la haine et le totalitarisme. Les ressorts de l’antisémitisme et de l’homophobie y sont décrits avec beaucoup d’acuité.



Les dessins sont précis, clairs, détaillés et nous plongent totalement dans la période. La violence des situations m’a pris aux tripes. Mais ce qui fait aussi la force de cet ouvrage, c’est de démontrer comment la haine à l’encontre des homosexuels s’est poursuivie au-delà de la guerre et de la chute du régime nazi, et comment le devoir de mémoire a été trop longtemps nié aux homosexuels.



Un récit poignant et saisissant dont on ne sort pas indemne. Un récit pour ne jamais oublier.
Lien : http://lionelfour.wordpress...
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