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Critiques de Michel Ragon (135)
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Le marin des sables

Ce court récit, plein de fureur, de violence et de nostalgie décrit la vie - à peine romancée - de l'Olonnois, fameux pirate français du XVIIe.

Fuyant la pauvreté de la Vendée, un jeune homme plein de rêves atterri aux Caraïbes où il se fait boucanier. La vie est rude, l'amatelotage imposé et la découverte des indiens arawak passionnante, malgré les sombres présages de leur disparion. Très vite, le démon de l'aventure le pousse à rejoindre les flibustiers, et à s'associer avec leurs chefs les plus en vue afin de monter la première grande expédition contre Maracaibo.

Lu d'une traite, à 20 ans, ce roman fut le parfait relais des romans autobiographiques de Garneray pour affermir ma passion naissante pour la littérature maritime et sceller le destin de mes nuits à tourner des pages pleines d'embruns.
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Le marin des sables

Un one-shot sanglant sur un homme, l'Olonnois, qui va prendre la mer en tant que matelot dans le but de se rendre dans les caraïbes.

Au cours de son voyage, il va croiser différents personnages, des tribus, prendre part à des massacres jusqu'à devenir le capitaine d'un navire.



J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce récit et à voir où cela allait me mener. C'est triste et très sanglant. Je n'ai clairement pas été le bon public pour cet ouvrage.

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Le marin des sables

Au 17ème siècle, un jeune homme de vingt ans originaire des Sables-d'Olonne s'embarque à la Rochelle à destination des Caraïbes, en quête de la "terre des délices du coeur". Le Paradis ?



Ce qu'il va trouver de l'autre côté de l'océan en est bien éloigné : entre la guerre avec les espagnols, la violence, l'esclavage, le massacre des derniers indiens Arawaks et la piraterie, la vie de celui que l'on surnomme l'Olonnois prendra une tournure inattendue puisqu'il deviendra un des pirates les plus redoutés de son époque.



"Le marin des sables" est avant tout un roman d'aventures, d'une facture plutôt classique dans la forme.



Ce qui le rend particulièrement intéressant, c'est qu'il ne s'agit pas d'une oeuvre de pure fiction puisqu'il repose sur une solide et passionnante base historique : l'âge d'or des flibustiers dans leur lutte sans merci contre la marine et l'occupation espagnole.



(.../...)



Ma critique complète peut être consultée sur mon site.
Lien : https://www.bourez.net/conte..
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Le marin des sables

Pirates et flibustiers, guerre, sang, chasse à l'or ... On retrouve tous les bons ingrédients d'un grand roman d'aventures !

Et l'Ollonois ! Quel grand personnage, il nous entraîne dans l'histoire de sa vie, ce garçon parti de rien qui a de grandes ambitions.

Un vrai roman de pirates !
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Le marin des sables

Un grand roman, pas seulement d'aventures maritimes, d'histoires de corsaires et de flibustiers, de l'île de la tortue très proche d'Haïti, mais c'est aussi un roman initiatique sur la recherche du bonheur, l'avilissement de l'homme par la richesse. L'histoire contée d'une moitié de la vie d'un jeune homme qui part en exil de France vers l'aventure sur les mers et la quête du passage pour trouver "la terre du délice des coeurs".
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Le marin des sables

Michael Ragon raconte de manière romancée l'histoire d'un flibustier ayant réellement existé, l'Olonnois. Ces flibustiers, vivant généralement sans femme, étaient souvent homosexuels ou bisexuels d'où les quelques passages, peu nombreux, courts, jamais érotiques, dans lesquelles est abordée très chastement l'homosexualité masculine. Ce n'est absolument pas un livre gay, mais un superbe roman d'aventure, très bien écrit, au vocabulaire riche, rythmé à souhait et sans temps mort. Très bon moment de lecture!
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Le marin des sables

Un peu déçu par cette bande dessinée que l'on m'avait vantée.

Certes le cadre historique est intéressant, c'est l'époque où nos valeurs morales supérieures s'imposaient aux indigènes d’Amérique.

Les quelques rappels de la servitude volontaire consentie par les pauvres européens qui s'engageaient avec des rêves plein la tête se retrouvant à effectuer les basses besognes de leurs propriétaires est une entrée intéressante.

La guerre entre espagnols et français également, par barbares natifs interposés.

Le personnage de l'Olonnais me semble dans cette bande dessinée assez loin de l'image que j'avais du personnage historique. Si un adjectif le qualifiait dans mon esprit, c'était cruel. Ici, c'est presque une gentille victime homosexuelle jetée dans le maelstrom de la grande histoire et contraint à quelques massacres de ci et de là...

Graphiquement, j'ai trouvé l'ensemble très coloré mais fade. Paradoxal...

Aucun abordage violent, les scènes s'y référant ont été habilement évitées pour y préférer des pages rougies par le sang des victimes.

Pour faire album jeunesse? Pour éviter de dessiner des choses difficiles?

Je ne sais pas, n'ai pas tranché mais cela m'a laissé un arrière goût d'incomplétude. Tant pis.

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Le marin des sables

Milieu du XVI° siécle: Fuyant la misére et rêvant de voir l'autre côté de l'océan, un jeune garçon s'engage à La Rochelle. Curieux de tout, avide d'apprendre, au fil des opportunités et des rencontres il va mener sa vie tambour battant.

Sous la plume magistrale de Michel RAGON , nous suivons cet homme parfois détestable et pourtant attachant.

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Le Musée du XXe siècle de Michel Ragon

Paris, Sur les quais , samedi 17 février 2024-



COUP DE COEUR !



Déniché par hasard une vraie pépite, auprès d'une bouquiniste passionnée et passionnante ( quai de l'Hôtel de Ville)...Moment de discussion sympathique autour de Léon Werth, l'ami de St Exupéry." Victoire " ( prénom de cette bouquiniste) était ravie d'échanger sur cet écrivain qu'elle trouvait injustement méconnu...Ce qui explique sûrement son plaisir redoublé d'échanger sur cet auteur avec une cliente qui connaissait !!



Et au final, je suis repartie enchantée, avec ce catalogue consacré à un écrivain- critique d'art que j'affectionne tout particulièrement depuis fort longtemps : Michel Ragon...que j'ai rencontré la toute première fois par ses recherches et écrits sur les " écrivains prolétaires "...; ensuite j'ai pris connaissance de ses textes sur l'Art et l'architecture, pour finir par ses romans très vivants sur Rabelais et sur

l' Amitié entre Clémenceau et Louise Michel...



Revenons à cette publication datant de 20 ans.Il s'agissait d' un hommage de la Vendée au célèbre critique d'art et à l'auteur des " Mouchoirs rouges de Cholet" accompagné par les oeuvres de ses amis peintres et sculpteurs: Atlan, César, Corneille, Dubuffet Harting, Guitet, Poliakof, Viallat, Soulages Vasarely, Mathieu, Fautrier, Zao Wou- Ki, etc.



De très beaux textes de ses autres amis écrivains finissent d'illustrer à merveille le parcours aux milles vies de cet autodidacte, grands amis comme Michel Chaillou, Amin Maalouf, Robert Sabatier, etc.



(***un incident d'enregistrement m'a " écourté brutalement cette critique !!!)



Je notais , entre autres, mes préférences d'oeuvres entre celles de Gaston Chaissac (" le volet à tête verte"- 1964 & " Totem à deux visages"- 1960), Jacques Poli ( " Entrée de la vie "-1995), Zao Wou-ki

( " 5 juin 99"- 1999),Hans Hartung ( " T 67- h 25" - 1967) .).... Moins familière et moins attirée par l'art abstrait, j'ai toutefois choisi ce catalogue -hommage pour le parcours très large, très ouvert de ce romancier- critique d'art audacieux...



Grâce à la lecture de ce catalogue, j'ai découvert l'existence d'un roman, prenant comme objet " l'art contemporain ", intitulé " Trompe- l'oeil" dont je ne connaissais pas l'existence.Je vais partir de suite " en chasse"...



Très joyeuse et satisfaite de cette acquisition, qui m'a appris un bon mombre de nouveaux éléments sur cet écrivain, que j'ai suivi depuis très longtemps,

sans oublier ses 10 années de bouquiniste sur les quais...



En plus du domaine de l'art abstrait, où notre écrivain vendéen excellait, une seconde part de ce texte s'attarde sur son oeuvre littéraire...Un parcours époustouflant aux mille ramifications !



Les textes des amis alternent avec des entretiens, dans lesquels Michel Ragon s' explique au mieux, dans son oeuvre double de Romancier et de critique d'art...sans omettre son parcours d'autidacte, orphelin de père, très pauvre, qui, sans sa détermination et sa curiosité insatiable, n'aurait jamais eu accès à l'Art et à la Culture, en général !



"Comment se prend la décision d'écrire un roman plutôt qu'un autre ? Comment s'effectuent le choix du sujet et le passage à l'acte? Vu de l'extérieur, c'est un processus qui reste un peu mystérieux.



- Il n'y a pas de recette.C'est le résultat d'un besoin, d'un hasard, d' une rencontre et c'est différent pour chaque livre.

" L'Accent de ma mère " est né de la mort de ma mère et de mon désir de voir ce qu'il y avait derrière son accent.

Ça a été pour moi un moyen de redécouvrir ma culture première et l'ambiguïté entre mes deux cultures, rurale et savante.Je pensais que ce livre serait unique, une sorte de testament qui expliquerait à quelques uns de mes amis mes contradictions, mes complexités...."









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Le Prisonnier

Le prisonnier, dont le thème basé sur la correspondance entre un vrai détenu, "courtois" mais plein de "certitudes", fan d'un romancier célèbre dont il affirme connaître l'ex-femme Christine ex- "mannequin d'un grand couturier" et le romancier lui-même, piégé petit à petit,malgré l'exaspération ressentie, donc devenant "prisonnier des chimères" de son correspondant-lecteur, est un roman intéressant.

Le point de vue psychologique de cette relation épistolaire est très fouillé.

Voilà, l'écrivain "jaloux de l'intensité de l'amour du prisonnier pour Christine". Voici l'inconnu persuadé que le personnage romanesque de Flora a été inspiré par Christine.

"Parlait-il de la même Christine?"

L'écrivain la voit douce et l'autre perverse,violente et passible de dérives.

Ne s'agirait-il pas plutôt de Louise ex-maîtresse "effrontée,indocile,"papillon volage"?

Michel Ragon (romancier,essayiste,historien français contemporain qui a obtenu le prix des Lectrices de Elle, le Goncourt du roman historique pour Les mouchoirs rouges de Cholet et le prix des Maisons de la Presse pour Le roman de Rabelais),avec une écriture fluide et percutante à la fois, sait capter l'attention du lecteur et l'interroge sur l'image que l'on a de la personne aimée,sur la différence de milieu social pouvant faire capoter un mariage,sur le rôle joué par le "parvenu" dans un monde qui n'est pas celui de ses origines, sur les personnages issus de l'inconscient d'un romancier et sur la facilité qu'ont leurs fans à confondre réel et imaginaire!
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Le Roman de Rabelais

Découvert dans la petite bibliothèque de mon village, cet ouvrage m'a beaucoup plu. Certes, certains passages semblent un peu longs, comme dans d'autres livres, et on n'en voit pas toujours l'intérêt. Toutefois, le sujet traité par Michel Ragon est passionnant : c'est la vie de Rabelais racontée - et romancée, un homme dont les idées étaient en avance sur son temps.

Cette lecture m'a donné envie d'approfondir mes connaissances sur la vie de cet humaniste, et de reprendre un jour prochain la lecture de Gargentua, qui m'avait un peu rebuté il y a quelques années.
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Le Roman de Rabelais

Quand on aime Rabelais,qu'on l'a lu, qu'on connait sa biographie,et qu on lit ce livre de Ragon, il se peut que l'on aime encore plus Rabelais. En tout cas, c'est ce qu'il m'est arrivé.Découvert par hasard au fin fond de la bibliothèque, je me suis régalée de ce court et alerte roman, qui nous montre un Rabelais sous toutes ses coutures, de moine, de médecin, d'humaniste, un homme avide de découvrir,un artiste, un ami fidèle aussi. Sans doute Michel Ragon a t'il fait de François Rabelais un personnage beaucoup plus lisse qu'il ne l'était réellement, mais la vision qu'il offre de cet homme m'a séduite.Il est vrai que ce roman nous montre le vieux Rabelais, celui qui fait le bilan de sa vie.J'aime sa relation avec toute la famille Du Bellay, j'aime sa "servilité" qui contraste étrangement avec sa liberté d'écriture, j'aime l'amour inconditionnel et aveugle qu'il a porte la reine Marguerite de Navarre,j'aime le regard quelque peu méprisant qu'il jette sur Ronsard et j'aime surtout l'admiration inconditionnelle qu'il porte à Clément Marot, poète éternel s'il en est.

Je me suis promenée quelques heures dans ce 16è (siècle , pas arrondissement ;)) si instable et fracturé, avec ses querelles religieuses et inquisitrices,dans l'atmosphère si particulière à Rabelais, où Pantagruel, Gargamelle,Gargantua, Picrochole et Cie font figures de monstres gentils.

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Le Roman de Rabelais

Roman historique très agréable à lire qui permet de découvrir une oeuvre, un homme et une époque. Rabelais croyant sincère (il est moine) s'attire les foudres de la Sorbonne catholique et du rigide Calvin en écrivant Pantagruel et Gargantua. C'est un changement d'époque auquel on assiste, celui du passage de la première Renaissance française, celle de François Ier qui correspond à la jeunesse de François Rabelais, à sa joie de vivre à celle d'Henri II, une époque plus policée symbolisée par la langue de Ronsard et Du Bellay que Rabelais juge trop pauvre, trop épurée, ennuyeuse mais qui a du succès pendant que Rabelais finit seul, pauvre et oublié. Sa langue truculente symbolise la fin d'une époque.
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Le Roman de Rabelais

Plongeon très vivant dans le monde de la renaissance.

A recommander
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Le Roman de Rabelais

Michel Ragon choisit de nous présenter un Rabelais vieillissant et quelque peu aigri, logé à Saint-Maur-des-Fossés dans une masure proche du château du cardinal qu’il sert, Jean Du Bellay, proche de François Ier puis de son fils et successeur Henri II.



Les discussions avec son maître Jean du Bellay, avec son serviteur Gui, un moinillon fugueur, avec son ami Philibert de l’Orme, grand architecte qui influença fortement le domaine et en particulier l’architecture de la Renaissance, permettent à la fois de revenir sur sa vie passée, notamment sur son œuvre littéraire, et sur les problématiques du temps (François Ier est mort depuis peu, Henri II accède au pouvoir, la censure morale, politique et religieuse retient chacun de respirer, les querelles théologiques battent leur plein – le camp du pape à Rome, le camp de Calvin à Genève, et la gallicanisme en France). Le fil conducteur étant que tous veulent le forcer à donner une suite aux aventures de Pantagruel (derrière lequel se cache François Ier) pour faire valoir Henri II, ce qu’il refuse obstinément – au départ.



J’ai trouvé la structure narrative un peu lâche au départ, et peu « prétexte ». Certains points sont traités plusieurs fois avec des approfondissements variés, mais cela donnait par moment une impression brouillonne plus que construite. J’ai beaucoup regretté l’absence de sources bibliographiques et c’est vrai que je m’attendais et j’attendais davantage de détails sur les différentes étapes de sa vie, notamment ses années d’étude.



Cependant, j’ai beaucoup apprécié d’être plongée dans l’esprit humaniste bien retranscrit : grâce aux portraits de personnalité telles que François Ier (forcément) et Marguerite de Navarre (qu’il idolâtre à la manière d’un amant courtois d’après l’auteur – quelles sont ses sources ? J’aimerais vraiment le savoir !) ; à l’évocation des amitiés et/ou querelles avec Clément Marot et Calvin ; les jeunes Ronsard et Du Bellay (Joachim, petit neveu du cardinal), futurs membres de la Pléiade qui vont fortement influencer la littérature et la langue française, dans un sens opposé à celui de Rabelais – qui peste donc contre eux ; son travail et ses découvertes et innovations en médecine, se basant sur les sources antiques grecques qu’il a lui-même traduites (et non lu en latin traduit de l’arabe qui avait traduit le grec…).



Pour résumer, j’ai trouvé la forme parfois maladroite et un peu forcée mais le fond très intéressant, me donnant envie d’approfondir encore un peu la période.
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Le Roman de Rabelais

Si on n’aimait pas Rabelais avant de lire Michel Ragon, on saute dessus ensuite. Il faut dire que les deux ont en commun l’humour, la critique des nantis et des prêcheurs de tout espèce et une vision jubilatoire de l’humain.
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Le Roman de Rabelais

Je viens de voir que seulement deux personnes ont lu se livre ici !



Alors tentez de le débusquer à la bibliothèque car c'est un vrai trésor. Nous suivons Rabelais ce moine-médecin-philosophe-écrivain et conseiller des Grands.... un humaniste qui avait tout compris - trop tôt comme beaucoup - c'est un livre frai - actuel - qui vous donne envie de vous replonger dans la lecture de Gargantua et Pantagruel, qui eux n'ont plus, n'ont pas pris une ride.... Ce livre c'est que du bonheur - un bonheur simple et constructif ..

Je le conseille à lire et à relire sans modération.
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Le Roman de Rabelais

C’est lors d’une visite de la maison natale de Rabelais - La Devinière à quelques kilomètres de Chinon en Touraine - que j’ai acheté ce bouquin. C’est un bel endroit, que ce petit manoir, où François Rabelais ne vécu que sa petite enfance et qu’il n’a jamais revu ensuite. Pourtant dans son œuvre il semble qu’il fasse souvent référence à ces paysages, cette campagne et aux hommes de cette région. Le bouquin raconte comment Rabelais en est venu à rédiger le Quart-Livre après avoir arrêté d’écrire, quelques années auparavant, c’est-à-dire à la mort de son bienfaiteur François 1er. En fait Michel Ragon prends ce prétexte pour nous décrire toute la vie de Rabelais en « flash-back », et surtout pour nous montrer ce début de 16ème siècle dans la tourmente des guerres de religion, de l’intolérance ainsi que les difficultés des philosophes humanistes à faire passer leurs idées. J’ai découvert aussi un homme au parcours intéressant en la personne de Michel Ragon, écrivain autodidacte, spécialiste d’architecture, d’art moderne mais surtout de littérature prolétarienne, libertaire et ... de dessins satiriques. Violences religieuses contre Humanisme, le combat est toujours d’actualité, cinq siècles plus tard. A lire donc.
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Le Roman de Rabelais

Franchement je màttendais a un livre plus interessant. Et moins ennuyeux. Je suis déçue
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Le Roman de Rabelais

C'est Vendredi Lecture qui m'a fait pensé à ce titre. L'un de ceux qui m'a le plus marquée... en mal. Vieillot, insupportable et inintéressant (n'importe quelle notice biographique aurait fait l'affaire). Michel Ragon a réussi à me dégouter de Rabelais (et quand après on se dit médiéviste c'est parfois mal compris...) avant même la lecture d'extraits.
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