Nadia Coste

Tout d'abord, j'ai trouvé que les extraits de textes des fondateurs en début de chaque chapitres, est un vrai plus pour cette lecture, effectivement ils nous apportent des connaissances sur la société Fedeyline.

Ensuite, dès les premières pages, on s'attache à ce petit larveylin, si fragile et différent des autres, il va nous faire découvrir son monde. Bref, on entre très vite dans l'histoire.

Tout au long de ce livre, il va chercher sa place dans cette société à cause de son manque de "marque", mais c'est grâce à son "seul" ami, un gorderive, créature de la mare, qu'il va se sentir moins seul et aussi se dévoiler. Mais voilà, même si un pacte de non-agression a été signé il y a 300 ans, entre les deux peuples (les gorderives et les feydelins), ils ne doivent en aucuns cas cohabiter ensemble, ni se côtoyer.

L'écriture de ce roman est très agréable, les pages défilent très vite et c'est un véritable plaisir que de suivre Cahyl au fil des saisons, et à travers ses apprentissages.

Le thème principal évoqué est la différence par rapport à autrui; bien sûr l'amour et l'amitié sont aussi au cœur de cette histoire.

Nadia Coste a utilisé un très bon vocabulaire pour nous décrire cet autre monde, dans lequel on y entre assez vite et qu'on a dû mal à en ressortir.

La fin, dont je ne dévoilerai pas, est assez surprenante, et attise mon envie de poursuivre mon expédition aux côtés de Cahyl, donc vivement la suite...
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Alors, voilà ce que j'appellerais encore une fois, un accident de parcours. Et apparemment, les accidents me réussissent plutôt bien.



Rien ne me prédestinait à lire ce livre et puis je suis tombée sur la superbe chronique d'Acro, et je me suis dit qu'il fallait absolument que je lise ce livre. C'était comme un appel!



Et puis le livre est arrivé. Et comment ne pas s’émerveiller devant un si beau paquet.











Mais avant d'ouvrir le livre, j'ai eu un doute... celui de m'être trompée. Peut-être que ce livre n'était pas pour moi. Peut-être ai-je été trop enthousiasmée par rapport au charme de l'univers. Et puis j'ai ouvert la première page, j'ai commencé à lire. J'ai savouré Fedeylins du début à la fin!



Maintenant, il ne me reste plus qu'à vous expliquer pourquoi j'ai tant aimé Les rives de ce monde!



J'avoue avoir eu beaucoup de mal à construire mon avis sur ce livre, car mon oeil de comparatiste chevronnée c'est ouvert lors de cette lecture. Fedeylins est un livre extrêmement riche qui m'a beaucoup donné à réfléchir, pendant plusieurs jours.





Ce premier opus d'une Tétralogie est extrêmement bien construit, tant au niveau du texte, du rythme, de l'intrigue, qu'au niveau de l'univers, de la mythologie et des protagonistes qui le compose.



Les Rives du Monde met en scène le personnage de Cahyl, depuis sa naissance, jusqu'à sa quinzième année. Petit Larveylin né dans une bulle, grandira parmi les siens, découvrira le monde qui l'entoure. A travers ses yeux, par ses questions parfois dérangeantes, nous découvrirons la société dans laquelle il vit, nous vivrons sa quête d'identité, la recherche de sa place parmi les siens. J'ai été touchée par ce petit personnage et l'amitié qu'il entretient avec certains protagonistes, touchée au point d'en verser une petite larme vers la fin de l'ouvrage!



Ce premier roman relate donc une quête initiatique, une quête d'identité, et sert également à présenter l'univers des Fedeylins, ainsi qu'expliquer le fonction de leur société. Fedeylins est une société patriarcale reposant sur des textes fondateurs. Une société utopique idéale, où chaque chose est à sa place, chaque être, marqué dès sa naissance prend ainsi conscience de son destin. Un petit monde parfait où tous les habitants semblent heureux. Je dis bien "semble", car hormis les phases de communion lors des rassemblements, et les liens fraternels qui unissent les membres d'une même portée, on pourra remarquer que le jeu des sentiments est assez taboo. Cette société telle qu'elle a été bâtie, se rapproche de ce que l'on pourrait observer chez les abeilles ou chez les fourmis!



Cette société est organisée autour de 5 castes: Les bâtisseurs, qui créent et fabriquent de nouvelles inventions pour rendre la vie des Fedeylins plus agréable et plus facile, Les créateurs, plutôt tournés vers les arts, notamment tout ce qui touche la musique, la danse et l'organisation des fêtes ; Les Prieurs, qui représentent le clergé des Fedeylins; Les Transmetteurs, ceux qui enseignent aux générations futures et qui consignent les connaissances; Les Récolteurs, qui cultivent et stockent la nourriture. 5 pères Fondateurs, tels es dieux incarnés, veillent sur ce petit peuple, et donnent leur destin à chaque nouveau né!



"Etre Fedeylins, c'est accepter!" la devise des Fedeylins! Et Pourtant, au delà de cette simple phrase, se cache un un enjeu plus grand, celui de la tolérance envers des personnes différentes.



De l'autre côté de la mare vivent les Gorderives, que les Fedeylins nomment les gluants, à cause de leur aspect visqueux. Les Gorderives sont un peuple de batraciens féroces, vivant dans une société matriarcale, plus hiérarchisées, où la loi du plus fort règne. Une société de tradition orale où le libre arbitre est maître. Ici, point de destin.



Fedeylins est donc construit sur l'opposition de deux civilisations, qui ont pourtant la même Histoire, et qui vivent côte à côte. Ce sont deux sociétés qui grâce à un pacte de non agression, s'acceptent, mais ne se tolèrent pas. Deux sociétés qui ne se comprennent pas.



Chaque chapitre est introduit par un texte issu des précieuses tablettes de la bibliothèque Fedeylins et qui retrace l'Histoire de ce petit peuple. Ainsi, bien plus que le parcours de Cahyl, nous découvrons les instants clés de l'Histoire Fedeylins, mais également, les textes philosophiques qui nous permettront de mieux appréhender ce minuscule univers!



J'ai vraiment adoré ce premier ouvrage du début à la fin et je n'ai pas trouvé de point négatif, si ce n'est que le tome 2 sort dans trop longtemps! Et j'ai vraiment hâte de retrouver Cahyl!



La Fantasy Française a un nouveau visage, un nouvel univers, et ce nouvel univers s'appelle Fedeylins! Et ce genre de Fantasy, j'aime! Ce livre est vraiment mon coup de coeur de l'année!
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😍Un nouveau roman très sympa paru chez Syros dans l'excellente collection "dans la peau" !

💬Intelligent, bien écrit, Une semaine dans la peau de mon frère permet de se mettre à la place de l'autre et d'aborder différents profils d'ados.

💬Kilian est en 6e, il est plus à l'aise sur un terrain de foot qu'en classe, son meilleur ami n'est pas dans le même collège que lui et plutôt qu'être seul, il traîne avec des ados qu'il n'apprécie pas plus que ça. A la maison, il est l'éternel "trop jeune" comparé à son frère Nolan, brillant élève de 3e, à qui tout semble réussir. Mais c'était sans compter sur un échange d'airpods qui entraînent un échange de corps...

🧐Et si finalement, chaque place avait ses avantages et ses inconvénients ?

😍Un roman qui se lit très bien, qui fait réfléchir à la place de chacun y compris dans la famille, à ce que l'on peut changer, et à l'image que l'on donne...

👉A proposer dès 10-11 ans, lorsque le collège devient un centre d'intérêt...
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J'ai eu le plaisir de recevoir ce roman il y a quelques mois, après l'avoir gagné à un concours organisé Scrinéo. Je suis franchement ravie de ma lecture, ça été une excellente découverte !



Nadia Coste nous entraîne dans un monde aux décors inspirés de la Grèce antique, j'ai beaucoup aimé cette ambiance, rendue très visuelle et immersive par la plume de l'autrice !



Le récit nous est narré par une conteuse qui explique aux jeunes élèves l'histoire de leur pays. J'ai apprécié la construction du roman, alternant entre quelques passages de la conteuse et l'histoire de Sophia et Théo qui se déroule plusieurs années auparavant.



Je dois avouer qu'il a des petites lenteurs au début du roman mais je ne me suis pas ennuyée pour autant. L'intrigue est tellement prenante et passionnante que ça ne m'a pas dérangé et c'est pour moi un mal nécessaire pour poser correctement les bases de l'histoire ! Dès les premiers chapitres j'ai été prise par les mystères entourant la dyspnoïa, cette maladie étrange qui donne de l'originalité à l'histoire. Elle touche les élèves ayant passé leur examen, généralement les plus doués mais on ne sait pas comment ou pourquoi ces élèves en particulier. C'est très intriguant !



Ce roman parle d'amitié, de persévérance, d'éducation pour tous, de magie... J'ai totalement été séduite par ce one-shot !

Brett est un garçon qui se fait racketter et harceler. C’est compliqué pour lui et semble sans issue. Un jour, il a enfin la possibilité de fuir et termine dans un hangar où la porte d'un ascenseur s'ouvre pour le sauver. Ce sauvetage se traduit par un voyage dans le futur. Il apparait rapidement que la personne qui l'a sauvé et avec qui il était en train de devenir amis a un lien de parenté avec lui. Lequel ? Je vous laisse le découvrir, en tout cas, rester dans le futur n’est pas envisageable, il va falloir retourner dans le présent et s'arranger pour pas trop modifier le futur. Les questionnements vont être autour de la façon de laisser le futur tel quel tout en ayant conscience que Brett se faisait harceler, il veut que ça s’arrête et surtout aimerait ne pas se faire passer à tabac. Mais ces éléments font partis de sa vie, comment faire pour modifier sa situation en préservant un futur assez proche de celui qu’il a aperçu ? J’ai eu un peu peur de tomber sur une facilité scénaristique ou dans une solution qui n'est pas forcément celle qui serait une bonne idée à transmettre aux jeunes lecteurices. Heureusement ce n’est ni l’un ni l’autre, il y a juste la finesse qu'il fallait avec l'originalité qu'il fallait pour montrer l'intelligence de ce jeune Brett face à cette situation. C’est intéressant car ça permet de rassurer les personnes qui pourraient être victimes elles aussi de ce genre de choses qu’elles ont peut être à disposition toutes les ressources pour arrêter la spirale du harcèlement et bien sur sans jamais les culpabiliser elles de ce qu’elles subissent. Brett va avoir la possibilité de trouver une solution qui lui convient sans changer complètement le futur. C’était très intéressant ça fonctionne bien c’est un chouette texte.

À l'heure où l'on ne cesse d'alerter sur la baisse de niveau et le manque de savoir, Nadia Coste a créé un monde imaginaire où le ce dernier viendrait des mots qui auraient un côté magique (à prendre cette fois, au premier sens du terme) : elle a écrit une histoire qui se déroule sur des îles imaginaires mais qui ne sont pas sans rappeler celles de la Grèce (il suffit de lire le nom des personnages et surtout de tous les lieux et surtout de comprendre comment ils sont formés) où le pouvoir des mots fait peur car il est la clé du pouvoir (notez la métaphore de ce roman) Certains rêvent d'intégrer l'élite et d'autres refusent même d'apprendre à lire de peur d'attraper une mystérieuse maladie qui rend les individus incapables de s'occuper d'eux-mêmes, comme s'ils avaient perdu leur esprit : ils sont atteints de "dys" (comme les troubles dys) "pnoïa" (si j'ai bien cherché l'étymologie, le suffixe renvoi au mental) donc ils sont atteints de troubles mentaux.

On va donc suivre deux jeunes gens, Sophia et Théo, deux meilleurs amis mais aux ambitions bien différentes : la première rêve d'intégrer l'école de Philopolis, là où se situe la Cité du Savoir tandis que son ami, lui, rêve d'être pêcheur et ne veut pas apprendre à lire car son frère est revenu de cette cité, atteint de la fameuse "dyspnoïa" mais le destin va les rattraper : Sophia finit par aller dans l'école dont elle rêve depuis toujours (bien que ses parents ne le souhaitaient pas) et Théo qui s'est mis à voler (tout d'abord pour survivre et aider sa famille et pour une autre raison que je vous laisse découvrir) n'a pas d'autre choix que de quitter son île s'il ne veut pas être envoyer dans les mines où à 11 ans, il mourra sans nul doute. Pas ravi de quitter sa famille qui a besoin de lui depuis que son frère est devenu inutile, il sait qu'il n'a pas le choix mais aussi, il sait qu'il pourra surveiller son amie Sophia et ainsi, l'empêcher de passer cet examen afin qu'elle ne devienne pas malade, comme son frère. Mais leurs mondes sont désormais séparés : la jeune fille évolue dans les hautes sphères en attendant l'examen qui décidera de son destin final, tandis que Théo rejoint les rebelles qui se sont réunis dans une sorte de Cour des Miracles afin de chasser ceux règnent sur leur île. Sophia réussira-t-elle son examen et échappera-t-elle à la terrible maladie ?Théo arrivera-t-il à échapper à ceux qui cherchent à dominer et à brimer toute révolte? Arrivera-t-il à empêcher Sophia de passer cet examen? Réussira-t-il à la protéger? Qui sont ces maîtres de la Cité du Savoir? Qui sont ces rebelles? Qui a raison? eh bien, vous le saurez en lisant ce bon roman, très bien écrit de Nadia Coste.



Mon avis : Soyons clairs, c'est un roman pour adolescents voire pour adultes (la tranche d'âge indiquée est de 13/18 ans) mais il faut surtout que ces adolescents soient de bons lecteurs : l'histoire est très originale, bien construite et il y a beaucoup de descriptions (nécessaires à la compréhension, hein?) et malheureusement, cela les fait souvent fuir. De plus, il faut un temps certain pour rentrer dans l'action.

C'est un roman très très bien écrit : outre le fait que les noms choisis ont pour la plupart un sens réel (je me suis amusée à essayer de retrouver les étymologies grecques afin de percevoir la subtilité des choix de l'auteure), l'histoire prend le temps de se mettre en place afin que l'on comprenne ce qui se déroulera et il y a plusieurs niveaux de lectures. Il est évident qu'un enfant de 13 ans ne comprendra pas la même chose que quelqu'un de 18 ans, voire d'un adulte.



Il y a plusieurs histoires et époques qui s'entrecroisent : on a tout d'abord, un récit dans le récit : une conteuse explique ce qui s'est passé longtemps avant la naissance des enfants à qui elle narre ce qui s'est déroulé longtemps avant leur naissance et celle donc de Sophia et Théo, qui elle, est souvent en parallèle car ils ne vivent plus ensemble lorsque la jeune fille rejoint la cité du savoir et que Théo doit se cacher et donc qu'il rejoint la guilde des voleurs : De plus, c'est un récit à la troisième personne et au passé et franchement ça fait du bien (or, il parait que ça aussi, ça en fait fuir certain(e)s pffffff)



Sophia est une jeune fille déterminée qui veut absolument tout d'abord apprendre à lire alors que ses parents ne veulent pas (mais elle le fera seule) : quand elle réussit à intégrer l'école en utilisant la magie des mots, c'est sa volonté qui lui permettra de franchir les TRES nombreux obstacles qui vont se mettre devant elle. Elle ne comprend pas toujours Theo qui refuse, lui, d'apprendre à lire et leur amitié va aussi subir des épreuves. Mais c'est une jeune fille intelligente et brillante et cela lui permettra d'avancer et de comprendre les enjeux qui se cachent sous ces pouvoirs des mots.



Théo, lui, est un jeune garçon plus frondeur et très malin : il refuse d'apprendre à lire car son frère est revenu brisé, atteint de cette maladie mentale et n'est plus que l'ombre de lui-même. Bien que pauvre, il essaie au mieux d'aider sa famille et ai amené à voler pour cela et comme d'autres avant lui, il va le payer très cher. quand on ose braver les lois. Mais dans son malheur, il va rencontrer Solan qui va l'empêcher, à 11 ans, d'être envoyé aux mines (d'où il ne reviendrait pas) et sa vie à lui aussi, va changer : comme Sophia, il va donc aller à Philopolis mais ne sera pas du même côté. Comme son amie, c'est un garçon intelligent et rusé, généreux et qui sait aussi ce qu'il veut et cherche à comprendre ce qu'on leur cache (bien qu'au coeur du savoir, Sophia, la sage, va se poser malgré tout des questions et...)



Ces deux personnages principaux vivent donc très proches mais leurs vies ne se croisent que très peu et pourtant... Les personnages secondaires sont très utiles car ils leur permettent d'évoluer et de révéler leurs vraies personnalités. Comme dans tout roman, il y a les méchants et les gentils, je vous les laisse découvrir.



Bref, c'est une histoire originale et très très bien écrite : elle s'adresse, c'est mon avis, à un public plus proche de l'âge adulte, avec une bonne maîtrise du vocabulaire et capable d'apprécier toutes les petites subtilités glissées ici et là. . De plus, l'action met beaucoup de temps avant de se lancer et au contraire, la fin va très (un peu trop?) vite. C'est une jolie métaphore sur l'importance du savoir mais surtout de celui qui détient la vérité ou la sagesse et ce qu'il ou elle peut être amené à en faire.







C'est donc une jolie découverte, bien menée, bien faite et à conseiller à un bon lectorat.


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J'ai apprécié cette lecture, mais sans plus. J'ai trouvé que les personnages se laissaient trop facilement convaincre.

J'ai aimé l'arrière-plan futuriste et post-catastrophe.

Les personnages sont réalistes dans le traitement des émotions (à part leur revirement trop rapide).

A travers la fable écologiste, il y a aussi un message sur l'accueil et le regard que l'on porte à l'Autre. D'ailleurs, le personnage principal, Jaro, est noir de peau. Petit clin d'œil aussi, avec les deux papas de Manuela.

Un roman intéressant, qui peut accrocher sans conteste les adolescents, mais qui manque trop de substance à mon goût.

Les évènements ont lieu en 2074, où la reproduction de l’humanité ce fait par le biais de clonage. Notre personnage principe Marie-Louise, surnommée Malou, est issue de ce procédée tout comme sa grande sœur Julie et sa petite sœur Clara. Ce procédé est issu d’une crise de la natalité qui a eu lieu en 2020 depuis pour procréer des cellules mammaires sont prélevés soit sur la mère soit sur le père.



A la suite d’un banale accident Clara (la petite sœur de Malou) se casse le bras celle-ci faisant la remarque à Malou que ces sœurs se sont également cassés le bras au même âge soit à10 ans, tout comme leur mère. Cette simple remarque suffira à plonger Malou dans le doute. En effet elle et ses sœurs ont vécu les mêmes accidents que leur mère aux mêmes âges.



Malou doit trouver les réponses à ses questions puisque leur mère est internée depuis 30 ans en hôpital psychiatrie, si elles subissent les mêmes accidents et maladie elles pourraient donc également sombrer dans la folie. A travers ses recherches et surtout l’aide de Sam elle va découvrir l’effet ricochet, une anomalie dans l’ADN lors du clonage.



L’histoire me semblait géniale on est dans un monde postapocalyptique ça parle de clonage tout ce que j’aime. Mais je suis un peu déçue on ne sait pas grand-chose sur le monde en 2074, on apprend également rapidement l’histoire du clonage dû à une crise de la natalité sans avoir plus de détail. Certains éléments auraient pu être plus développé.

J’ai profité de cet été 2022 pour me lancer un challenge de lecture et pour relever quelques défis… notamment celui de terminer une série ! Voilà qui est chose faite avec L’Ombre des pères qui m’a ravie !



Cahyl continue son chemin. Dans ce quatrième et dernier tome (ou presque… puisque Nadia Coste a ensuite publié un spin-off baptisé Jivana, du nom d’un personnage secondaire découvert ici), il part en quête de réponses (et de sa mère) dans les montagnes du Rajmalaya, seulement accompagné de son ami Sperare. Là-haut, il espère rencontrer le peuple fondateur et trouver un sens à son existence (et à celles des Fedeylins de façon générale).



Les deux créatures ailées vont affronter bien des dangers dans le désert : des prédateurs impressionnants, des conditions climatiques extrêmes, la faim, la soif, la maladie… mais finalement, le plus dangereux ne vient peut-être pas de l’extérieur ?…

Entre Cahyl et Sperare il est question d’amitié et de confiance mais il semblerait qu’un lourd secret se cache entre eux. Ce dernier tome le révèle au grand jour. J’avoue que si je ne l’avais pas deviné dans les volumes précédents, ça m’a en revanche semblé être une évidence assez tôt dans celui-ci. L’occasion pour Nadia Coste de complexifier un peu la relation des deux amis et amener encore d’autres thématiques intéressantes.



Fedeylins est une série de fantasy jeunesse (que je conseille aussi fortement aux plus grands !) qui parle du destin qui nous est attribué (dès la naissance ?) mais surtout de ce qu’on choisit d’en faire : l’accepter sans sourciller, le modeler à sa convenance ou carrément le repousser.

C’est aussi, à mon sens, une aventure qui parle des dérives possibles des religions/des sociétés : tout le peuple des Fedeylins suit les directives de quelques pères fondateurs et tout le passé, toute l’histoire de ces petites créatures est basée sur des mensonges ou tout du moins sur une vérité largement arrangée au profit de cette poignée de « sages ».



Cahyl, différent des autres Fedeylins, va évidemment se questionner sur ce passé et sur le sens de tout ça ; c’est un jeune héros très attachant et débrouillard (peut-être un poil trop parfait ?). Je me souviens encore l’émotion que j’avais ressentie à sa naissance dans la mare, lors de ma lecture du premier tome il y a environ 10 ans maintenant.

Je suis heureuse du chemin qu’il a parcouru, des choix qu’il a faits malgré les obstacles et les chagrins, et de l’adulte qu’il est devenu alors qu’on le quitte en tournant la dernière page.



Un grand merci à Nadia Coste qui sait toujours planter son décor et offrir des scènes visuellement impeccables. On voit ce que voient les personnages et on ressent ce qu’ils ressentent. Cette incursion dans un monde « minuscule » m’a fascinée d’un bout à l’autre. J’avais l’impression de mesurer quelques centimètres de haut et de découvrir le désert et ses dangers à cette hauteur. Fascinant !



Avec L’Ombre des pères, Nadia Coste offre une conclusion plus que satisfaisante à sa série qui restera pour moi, une des plus dépaysantes et des plus marquantes du genre. J’ai une tendresse toute particulière pour les Fedeylins depuis ma découverte du premier tome, la lecture de tous les autres tomes n’a déçu aucune de mes attentes. Laissez-vous tenter, plongez dans la mare.
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On a tous rêvé un jour d’être petite souris pour voir ce qui se passe de l’autre côté du mur. Et bien, Nadia Coste et Silène Edgar l’ont imaginé pour nous !



Suite à un choc électrique, Hana, élève de 5ème et Mme Morvant, prof de français, vont échanger leur corps ; elles vont devoir vivre une journée entière dans le corps de l’autre. Attention, catastrophes en vue et petits secrets dévoilés. Et si elles ne pouvaient pas revenir en arrière ?



Aussitôt reçu, aussitôt dévoré ! Le titre est à lui seul une invitation à la lecture. De plus, le récit aéré, ne pourra que séduire les jeunes lecteurs. On se laisse totalement prendre au jeu, c’est drôle, vif, les événements s'enchaînent à toute allure et cela fonctionne plutôt bien. On suit les deux histoires en parallèle et on est en totale empathie avec les personnages qui vont évoluer au fur et à mesure du récit.

Les plus jeunes n’auront aucun mal à adhérer à cette histoire, un peu de fantastique et beaucoup de leur univers scolaire… et surtout, ils vont enfin découvrir ce qui se cache derrière cette fameuse porte des profs ! Et même si les autrices s'arrangent un peu avec la réalité, les élèves auront peut être une autre image de leur enseignants. L'inverse est vrai !



Un roman pour faire grandir, avec une chose à retenir : oubliez vos préjugés et apprenez à voir au-delà des apparences ! Vous aurez peut-être une bonne surprise. Une lecture très agréable !

Un nouveau titre de la collection Mini Syros lu avec la fille pour son rallye lecture de l’école. Un titre court puisque moins de 100 pages mais qui allient tout ce qu’il faut pour rendre accro: émotion, action , suspens …Brett est un ado de 11 ans qui vit en 1991. En 6e il se fait harceler par la bande de Jeremy Cazalet. Chaque jour les voyous lui piquent son goûter et lui promettent une raclée s’il l’oublie. Ce jour là ne fait pas exception. C’est même pire car ses gâteaux n’ont pas plu à la bande et ils veulent le forcer à leur acheter des pains au chocolat après les cours. Mais Brett n’a pas d’argent et ne veut pas se faire casser la figure alors il n’a qu’une solution : la fuite. Et c’est là que l’aventure la plus irréelle qui soit va lui arriver. En fuyant se cacher dans un vieil entrepôt industriel il sera sauvé par un ado de 14, Lucas sortant d’un ascenseur. Lucas vient de 2015. Et sa mission était bel et bien de sauver Brett ce jour là mais il n’avait pas pensé aux conséquences de ce qui se passerait ensuite une fois réussi ce coup. Nadia Coste nous emmène dans une aventure vraiment intéressante. En mettant en avant des soucis comme le harcèlement, la peur de parler elle rend son roman toujours très actuel. Bien sur tout le monde n’a pas la chance de voir arriver son sauveur du futur. Mais la solution que trouvera Brett pour son avenir est un bel exemple de réflexion et de revanche. En jouant sur les paradoxes temporels, les conséquences d’une action passée sur le futur immédiat ou non on retrouve un peu du Voyageur imprudent de Barjavel. Cela rend le récit captivant et tendu. Même si on suppose un happy end jusqu’au bout on va se demander comment vont se gérer les choses. Et c’est ce que j’ai adoré. De plus nous avons pu échanger avec ma fille sur les événements partagés entre les deux héros, sur le harcèlement surtout et sur les différentes façons de réagir face aux soucis qu’elle pourrait rencontrer un jour. Un bon moment de partage pour lequel je remercie l’auteure et les éditions Syros.

Dans le futur, la téléportation est courante et voilà que Jules et son ami geek découvrent comment voyager dans le temps. Jules se transporte alors à la préhistoire pour aider sa sœur, archéologue dans ses recherches. Or, le voilà coincé des milliers d'années en arrière. Si au début, c'est la panique, très vite Jules trouve sa place à cette époque, bien plus que dans la sienne. Que va-il faire, lorsqu'il pourra revenir ?

la particularité de ce roman, c'est la période qui est décrite : la préhistoire. En effet, ce n'est pas un âge le plus courant dans les livres jeunesses et cela est intéressant d'embarquer pour cette période. Cela étant, le récit reste assez convenu. Il manque de profondeur, d’originalité, c'est un peu cousu de fil blanc. Les personnages des parents sont particulièrement caricaturaux et sans aucun attache.

Cela reste un lecture plaisante.

Joli coup de coeur pour ce roman jeunesse.

Je pensais d'après le titre lire un petit roman drôle sur un voyage dans le temps, mais c'est bien plus que ça.

Car si Jules s'embarque vers l'année - 22 000, c'est pour aider sa soeur qui fait des fouilles au bord de la Vézère, et qui peine à découvrir l'utilité d'un outil.

Mais c'est surtout, parce qu'il se sent très mal dans sa peau et dans sa vie. Au collège, on se moque de son embonpoint, et chez lui, son père le rabaisse constamment et veut diriger sa vie, dans une direction qui ne l'intéresse pas.



2037, la Terre n'a pas beaucoup changé en quinze ans, mais on se téléporte pour se déplacer.

Will, le meilleur copain de Jules, petit génie qui "bricole" beaucoup du côté des télécommunications et autres a une idée, géniale bien entendu (du moins à ses yeux) : transformer la téléportation dans l'espace en téléportation dans le temps, et la faire tester par Jules. Un petit truc tout simple, juste quelques minutes hein ! Mais tout de même vers l'an - 22 000, histoire d'en savoir plus sur le camp de Castel Merle où travaille sa soeur.

Bien entendu, ce ne sera pas aussi simple. Jules va-t-il devoir s'installer dans la préhistoire ?

En attendant la solution, il se pose bien des questions.

Comment communiquer ? Comment survivre quand on est vegan face à une population de chasseurs. Comment éviter de changer le passé. Et plein d'autres.

Mais surtout, il découvre la bienveillance, pouvoir être différent sans être pour autant critiqué.

Jules va vivre des moments très importants.



J'ai craint un moment que cette époque ne nous soit présentée de façon trop idyllique, à travers les yeux ravis de Jules, mais finalement, le côté idéal est quand même un peu remis en question, face à la réalité.



J'ai beaucoup aimé ce roman qui mêle aventure, côté historique et futur en même temps, et réflexions d'un gamin qui a besoin de se chercher.

J'ai terminé ma lecture avec énormément d'émotion.



La couverture ne m'a pas particulièrement attirée, mais elle représente bien l'arrivée de Jules, et avec pas mal d'humour quand on a lu le roman !


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Ce livre rassemble deux troupes de jeunes patineurs/hockeyeurs dans une patinoire hantée par un fantôme (un jeune homme mort 30 ans plus tôt). Les chapitres nous orientent vers des personnages particuliers pour avoir différents points de vue. Nous ne savons que peu de choses sur les personnages, leurs caractères ne sont pas très creusés et on ne sait que ce qui est essentiel à l'histoire : par exemple que Maureen est malfaisante parce que jalouse, ou qu'Hugo est homosexuel ce qui va le conduire à se suicider. (Avant, Babelio proposait quelque chose pour masquer le texte à lire, je ne retrouve plus comment on fait, donc ne pas lire la suite si vous ne connaissez pas l'histoire). J'ai trouvé ça pas du tout crédible que le père d'Hugo (flic en plus), mette le suicide de son fils en scène pour que les autres acceptent son homosexualité, ça me semble complètement idiot. D'autre part, que des recherches approfondies n'aient pas été faite en 30 ans pour comprendre d'où venaient les larmes de sang etc du soi-disant fantôme, ça me semble peu crédible aussi. Bref, pour moi, il y a beaucoup d'incrédulité et ça ne se tient pas. Pourtant, j'étais plutôt contente au départ d'avoir une troupe d'ados comme héros... mais non, vraiment, ça le fait pas...

Margot est une fille comme les autres qui va au collège quand une voiture la heurte. Elle se retrouve avec une main et un pied artificiels. Cet accident a bouleversé sa vie, elle est triste et se sent mal dans sa peau, heureusement, son amie est présente pour l'aider.

J'ai aimé ce roman car il est plutôt facile à comprendre et il est très réaliste. Il a une très bonne morale : s'accepter comme on est, et passer outre le regard des autres. Ce livre fait beaucoup réfléchir, il nous oblige à nous remettre en question, à changer nos pratiques et porter un regard bienveillant envers les autres.

Rose

Le livre que j'ai lu s'intitule « Comment je suis devenue un robot »écrit par Nadia COSTE.

Le personnage principal de ce roman est une fille qui s'appelle Margot.

Margot est une jeune adolescente âgée de 14 ans qui va vivre un accident qui va changer sa vie.

Alors qu'elle marchait en direction du collège comme tous les jours, elle fut victime d'un grave accident, un père de famille venait de lui rentrer dedans.

Elle se retrouva alors avec un bras et une jambe amputés et à la place de ses membres elle eut des prothèses en fer.

A cause des remarques, des moqueries et des regards permanents, Margot perdit confiance en elle mais grâce à sa meilleure amie Ambre, elle reprit confiance en elle et ne se préoccupa plus des remarques.



J'ai beaucoup apprécié ce roman car cette histoire est réaliste, ça se passe à notre époque et c'est une situation que tout le monde peut vivre.

J'ai aussi beaucoup aimé la réaction de Ambre, tout ce qu'elle a fait pour Margot car c'est grâce à elle que Margot a repris confiance en elle.

Je pense que cette histoire peut en toucher plus d'un, et peut être leur faire prendre conscience que les moqueries, les regards ou même les remarques peuvent blesser la personne .

Je recommande beaucoup ce roman car il n'y a pas d'âge pour le lire ! (Alice)



Margot est une jeune fille qui doit se reconstruire après avoir été renversée devant son collège. Elle doit vivre avec une main et une partie de la jambe en moins. Il y a des moments plus faciles que d’autres. Elle apprend petit à petit à se construire une carapace pour éviter de trop divulguer ses émotions. Elle devient alors un robot, ce qui la coupe aussi de ses amies malgré elle. Arrivera-t-elle à faire face pour pouvoir se reconstuire ?

Avec ce livre, l’histoire n’est pas plongée dans le patos, mais bien au contraire. J’ai beaucoup apprécié l’histoire en parallèle d’Ambre, qui permet aussi de revenir sur les problèmes des adolescentes. J’ai aussi beaucoup apprécié le courage et l’engagement de cette jeune fille. Je trouve que le soutien qu’elle apporte à Margot est essentiel.

C’est un livre qui se parcourt facilement, ce qui le rend aussi intéressant. (Zendaya)

Ce roman met en scène la difficulté du retour à la vie ''normale'' suite à un accident à travers une histoire réaliste. Dans ce livre on suit l'histoire de Margot, une collégienne banale mais qui a eu un accident : elle était en retard, elle a donc couru pour ne pas avoir un mot dans son carnet mais elle n'a pas regardé la route et s'est faite renverser! On la suit durant tout son rétablissement : de l'hôpital à la rééducation sans oublier le rattrapage scolaire et même le la réintégration sociale. Car depuis son accident elle s'est faite amputer une jambe et un bras, ça lui faisait tellement mal qu'elle a décidé de placer une barrière entre elle et ses émotions! On y suit aussi Ambre, la meilleure amie de Margot, qui doit apprendre à vivre avec sa meilleure amie devenue froide et qui à 'air de ne ressentir aucune émotion mais qui doit en plus gérer ses propres problèmes dus à la forte croissance de sa poitrine et affronter le regard des autres notamment celui des garçons de son collège...



Ce livre à pour message , selon moi : ''acceptez votre corps quelles que soient vos particularités physique", c'est d'ailleurs ce que Nadia Coste, l'auteur a raconté à la fin du livre.



C'est un livre que j'ai pris du plaisir à lire , alors que d'habitude je m'ennui en lisant. Vraiment je le recommande fortement et je ne peux qu'être d'accord avec son message



-Mehdi H



J'ai beaucoup aimé ce roman car on peut y retrouver beaucoup de suspens, il est très captivant. Les romans réaliste et narratifs sont mes favoris. C'est un roman poignant mais avec beaucoup d'espoir. On peut y retrouver 2 voix narratrices : 2meilleurs amies Margot et Ambre. On est plongée dans leurs quotidien plein d'action. On peut retenir de ce livre la morale qui va nous servir à notre âge : l'adolescence, " S'accepter comme on est " car a cet âge là tout nous semble injuste. le quotidien de Margot fait réfléchir tout lecteur adolescent ou même adulte.

Je trouve que les thème traités dans ce roman doivent être beaucoup plus employés dans des romans ou autre comme : l'handicap, la période de la jeunesse ou encore la confiance en soi.

Énormément de jeunes auront besoin de lire des romans aussi intéressant et qui comporte des sujets importants. Voici mon avis, je recommande fortement la lecture de ce roman pour les gens qui aime les livre avec des actions et du suspens......



Asmae.ELM

Un jour ordinaire où Margot se rend au collège, quand soudain, une voiture la percute. Elle va devoir se faire amputer d'une main et d'une jambe et se faire placer des prothèses. Elle a beaucoup de mal à accepter son handicap. Heureusement, son amie Ambre va tout faire pour lui remonter le moral et ne pas la laisser seule.

Même si ce livre n'est pas très joyeux, je l'ai beaucoup aimé. Je trouve que l'auteur a fait beaucoup passer les émotions des personnages, ce qui rend l'histoire encore plus palpitante. Il m'a fait aussi me rendre compte que nous n’avons pas tous une vie facile. Quand nous nous plaignons pour une mauvaise note ou une partie de cartes perdue, on ne pense pas souvent que quelque part dans le monde, des gens comme Margot souffrent. J'ai réalisé la chance que j'avais.

Je conseille ce livre aux gens qui aiment les récits de vie.

Sueurs froides m’attendait gentiment sur mon bureau à mon retour de vacances – l’une de mes collègues me l’avait mis de côté, pensant qu’il pourrait me plaire. Un thriller, dans l’univers sportif, il y avait de grandes chances, en effet.



Sueurs froides de Nadia Coste est un roman choral et chacun des personnages a un lien avec la patinoire – joueur de hockey, patineur ou patineuse artistique, coach… – et l’on découvre rapidement que plusieurs personnages ont des petits secrets. Des secrets lourds à porter. Qui vont provoquer une série de morts. Et tout ça dans une ambiance étrange, à cause du fantôme d’un ancien joueur de hockey qui hante les murs et effraie tout le monde.



J’ai accroché dès le départ à Sueurs froides, j’étais curieuse de faire connaissance avec les différents personnages – et je dois dire que j’ai un peu regretté de m’attacher à certains personnages, parce qu’à chaque fois que je le disais que celui-là était sympa, paf, il se faisait tuer.



Mon interrogation principale tournait autour du fantôme – allais-je avoir entre les mains un roman fantastique ou pas – et je craignais le pire, mais finalement, c’est plutôt pas mal – même si c’est assez proche du scénario d’un téléfilm de l’après-midi.



C’est franchement plaisant, un peu flippant, j’ai aimé l’univers de la patinoire et le petit twist final qui glace le sang ! Bref, je recommande !
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..

C'est l'histoire de Margot. C'est une jeune fille qui est en 4ème. Elle est victime d'un accident alors elle se retrouve avec une main artificielle et un pied artificiel. Mais sa meilleure amie Ambre ne va pas la laisser souffrir donc elle va l'aider.

J'ai apprécié cette histoire parce qu'elle montre qu'il faut toujours se battre dans la vie. Ce n'est pas nous qui décidons notre corps mais il faut s'aimer comme on est .Et parce que ça se finit bien.

Je recommande ce livre a ceux ou celles qui aiment les morales , les histoires et les romans.



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Margot est une fille en 4ème qui est victime d'un accident alors qu'elle traversait la rue, elle s'est fait couper la main et un pied artificiel, par l'accident, c'est pour ça qu'elle va devenir un robot. Mais sa meilleure amie Ambre ne va pas la laisser souffrir, elle va l'aider.

J'ai beaucoup aimé ce livre parce que j'ai beaucoup aimé le coté personnel, j'aime les robots, il y avait de l'action

. L'auteur s'est inspiré de la technologie.

Je recommande ce livre à ceux ou celles qui aiment les robots.