Olivier Dupin

Les situations, le ton humoristique font de ce livre un album résolument moderne et décalé.
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Une nouvelle adaptation du petit chaperon rouge version Japon (on apprécie les clins d'oeil à la langue nippone) ; l'histoire est plaisante à lire et la seconde lecture pour les adultes se fait toute en finesse. Les illustrations sont très jolies et nous transportent au pays du Soleil Levant.

Encore une histoire de conte traditionnel détourné (c'est devenu une tarte à la crème dans l'édition enfance). Ici, le Petit Chaperon Rouge.

Pas vraiment d'intérêt de la part des enfants auxquels il est destiné, d'autant que l'enchainement du récit n'est pas des plus clairs pour eux.

Quant au dessin, on n'aime ou on n'aime pas. Moi pas plus que ça, mais les enfants testés, plutôt oui.

Lu avec mon fils de 7 ans. Il a très vite reconnu le conte détourné. Les codes sont bien respectés et les enfants comprennent vite. Mon fils, lui, n'a pas, accroché avec les illustrations, moi non plus d'ailleurs.

Par contre, le clin d'oeil au fil des pages est sympathique ( les canards qu'on voit évoluer). On en attendait presque une histoire en parallèle.

Une lecture fort sympathique même si ce n'est pas un coup de coeur . Un bon moment de lecture partagée et l'occasion de se rappeler le conte du Petit Chaperon rouge.

La chute et les hypothétiques retombées sont amusantes à envisager avec un enfant bon parleur!

Merci pour le gain ( et la découverte) grâce à Masse critique.

Une présentation générale claire : les deux auteurs, fille et père, ont voulu dénoncer le harcèlement scolaire et ont choisi de s’appuyer sur une métaphore animale pour que cette situation soit compréhensible par les jeunes enfants et qu’ils puissent l’identifier dans des situations de vie quotidienne.

Un petit garçon, victime dans cette histoire, repère donc un élève de son école qu’il appelle d’emblée « le renard » et qui va devenir son harceleur. Lui seul semble voir que quelque chose cloche dans l’attitude de ce dernier. Petit à petit, ce « renard » va se rapprocher de lui, le regarder bizarrement, sournoisement, le frôler « en prédateur » puis se moquer de lui, l’humilier et le faire tomber. C’est ensuite l’escalade, la bousculade, le cartable abîmé, le ballon crevé, le goûter volé, la trottinette emportée, les menaces et l’intimidation.

[...]



Un album est à mettre entre les mains de tous les jeunes enfants car il leur permet de mettre le mot « harcèlement » sur des situations qu’ils ont peut-être vécues et il leur apporte le message important que, même si on pense que l’on ne peut pas s’en sortir, la parole à un adulte, à l’école ou dans la famille, peut leur donner une issue optimiste.

Une histoire qui peut se lire seul car le texte est simple et le cadre connu de tous. Néanmoins, les métaphores auront besoin d’être explicitées pour ne pas effrayer le lecteur.
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Les auteurs de ce catalogue en ont fait le pari hilarant, proposant à la vente du pâté de petits cochons, un shampoing Raiponce ou encore un café Mère-Grand.
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Un album vraiment intéressant à plusieurs niveaux.

Déjà, au départ, ce qui m'a plu, c'est que l'attrape-rêve, le personnage principal, oui, le vieux monsieur sur la couverture, et bien son job c'est de vérifier que les enfants passent une bonne nuit. Donc il tend l'oreille et quand il entend un enfant faire un cauchemar, il intervient. Une petite fille poursuivi par un loup ? Hop, il sort des baguettes, attrape le loup et... le remplace !

J'ai bien aimé cette image. Ma fille a peur du loup et parfois elle en rêve. Pouvoir lui expliquer qu'il peut être remplacé, parce que ce n'est qu'un rêve, c'est plutôt sympa.



Ensuite, et c'est là tout le but de l'histoire, ce livre nous permet d'aborder le thème du harcèlement à l'école d'une façon très soft. Un petit garçon se fait voler son goûter tous les jours par un enfant plus grand. En plus de lui pourrir la journée, cela commence à lui pourrir ses rêves. Jusqu'à l'intervention de l'attrape-rêve.

A travers cette histoire, l'auteur fait comprendre aux enfants qu'il est important d'en parler à ses parents, à un adulte, bref, de se confier et de ne pas garder cela pour soit.

Et bien sûr l'histoire se finit bien pour tout le monde.



Je trouve que le message de ce livre est vraiment utile. Faire comprendre aux enfants qu'en cas de problème, surtout, il ne faut pas le garder pour soit, mais en parler.



A la fin, une double-page documentaire sur le harcèlement ajoute un plus intéressant.



Les illustrations d'Ayla Valiyeva sont très jolies et complètent bien l'histoire.



Un livre que je suis contente d'avoir découvert !

Le nom « Blanche-Neige » fait tiquer le narrateur. Non, vraiment, il convient d’effectuer quelques petites modifications. Ainsi, voici l’histoire de Nadège qui se retrouve à devoir échapper à sa belle-mère, la reine, complètement accro aux photos qu’elle poste sur Bastagram. Les abonnés ont en effet osé trouver Nadège jolie, ce qui déclenche la fureur de la reine Kim-Ka.
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Adorable ! Je l'ai lu à mes élèves qui ont adoré et ont beaucoup rigolé !



Branle bas de combat chez les moutons : les prédateurs se rapprochent de plus en plus ! Pire ? Un mouton a disparu ! S'en est trop pour Claude, cheffe des moutons, qui décide d'engager un vigile. C'était sans compter sur Jean-Loup qui décide de faire engager son fils, Jean-Toutou pour pouvoir manger tous les moutons mais y parviendra-t-il ?



C'est une histoire simple et rapide à comprendre pour les enfants qui réagissent très vite au comique de l'histoire et des images. Jean-Toutou est un petit loup trop mignon mais un peu bêta, il réussit à faire craquer tous les enfants et surtout, il les fait rire ! On ne sait jamais ce qu'aura compris Jean-Toutou et cela crée des situations assez cocasses.



Les illustrations sont très colorées et plaisent énormément aux enfants. Il n'y a des informations qu'on ne peut avoir qu'en regardant les images ce qui crée l'envie d'aller vers le livre par soi-même.



En bref, un super album à lire pour le plaisir de regarder de belles images et pour bien rigoler.

Découvrez ce superbe album jeunesse bourré d’humour mais surtout, de jeux de mots délicieux sur nos contes favoris. Une foire aux produits ménagers qui ne pourront que vous plaire et vous être utiles (ou pas). J’ai adoré les illustrations faites de photos et de collages, super originales pour accompagner ce récit déjanté. Il se lit très vite et est accessible dès 4 ans jusqu’à 100 ans ! Alors n'hésitez plus pour vous lancer dans ce catalogue qui va vous mettre le sourire aux lèvres !
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Olivier Dupin et Elodie Duhameau utilisent, selon les principes de la fable, des animaux pour instruire des hommes. Auteur et illustratrice composent un album ambitieux et ambigu sur les relations humaines, entre besoins de liberté et de sécurité. Susceptible d’engager une discussion intéressante avec des enfants, il questionne avec humour notre désir de protection et les dispositifs mis en place pour y accéder.
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Dans cette histoire, un troupeau de moutons décide de recruter un vigile pour se protéger des attaques extérieures. L'occasion pour les loups d'infiltrer l'un des leurs... Rien ne se passe comme prévu dans cet album où un loupiot inexpérimenté fait ses premiers pas de vigile. Les mignonnes illustrations renforcent le caractère humoristique de l'histoire.

Livre reçu dans le cadre de Masse Critique - jeunesse et jeune adulte 2022



Alors ce n'est pas compliqué, j'ai tout aimé. J'en ai discuté avec une professeure des école, elle a adoré et va probablement l'acheter pour sa classe. J'en ai parlé avec une infirmière en psychiatrie et même verdict, c'est un franc succès.



Le thème abordé n'est pourtant pas simple mais c'est si bien construit ! Excusez-moi de commencer par la fin mais la double page finale permettant d'échanger avec les enfants et donnant des informations complémentaires aux adultes est tout aussi utile que pertinente.



Les illustrations sont magnifiques, les jeux de couleurs au top. Les gestuelles, les ambiances, tout est dépeint avec réalisme sans être trop visuel. C'est plus que réussi.



Le texte n'est pas en reste, la pertinence est toujours de mise, le sujet est amené avec douceur et via une métaphore très douce quand on sait la dureté de cette réalité.



Bref, je ne sais que rajouter, c'est une lecture merveilleuse et une découverte que je ne peux qu'encenser et recommander !

Un grand album cartonné qui se déplie en 3 pans.

Les dessins de la page de droite illustrent la première partie du texte de la page de gauche. Et pendant la lecture de la deuxième partie du texte, on déplie la page de droite dévoilant un théâtre et sa pleine page d’illustrations. Il faut quand même lire une première fois le texte pour savoir quand tourner la page. Le texte étant soutenu, je trouve ce système très ingénieux pour maintenir l’attention du jeune lecteur. Les illustrations sont adorables, fourmillent de détails et ornent également délicatement le texte. C’est somptueux !



La veille de Noël, Augustine s’aperçoit qu’elle a oublié de déposer sa lettre au Père Noël. Lorsqu’elle se rend en courant jusqu’à la boîte aux lettres, elle renverse un lutin et ensemble, ils se retrouvent téléportés au pays du Père Noël !



C’est une très belle histoire de Noël, typiquement le genre d’aventures magiques que j’aurais aimé vivre en étant enfant : rencontrer le Père Noël, visiter son atelier et prendre sa place sur le traîneau le temps d’une soirée. Tous les ingrédients sont réunis pour faire rêver les enfants !
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Est-ce que j'ai le droit d'écrire Fa-Bu-Leux 25 fois pour avoir les 250 caratères requis ?

Naan, parce que vraiment... que dire d'autre ?!

Cet album est une vraie pépite sur le sujet de la maltraitance.

Le texte est délicat, les mots sont justes, bref... parfait.

Les illsutrations sont à la hauteur du texte, avec des gros plans... des plans larges... on lit cel album comme on regarderait un court métrage.

Bon, allez... une mini micro rikiki critique : le choix de la police du texte est un peu Bof... mais on s'y fait.

Peut-être a-t-elle été choisie ainsi (cursive) pour que les enfants se sentent à l'aise ?

Une album jeunesse poignant avec un deuxième niveau de lecture saisissant. On y retrouve le talentueux Quentin Zuttion aux illustrations. Quand la peinture symbolise le violacé des ecchymoses… Tout le récit s'appuie sur cette image, mais aborde en réalité le sujet de la violence familiale. Un album plein de candeur qui traite finalement un sujet grave, avec des mots d'enfants. Il m'a mis les larmes aux yeux, ce petit barbouillé…

C’est le dernier coup de cœur livre de mon fils aîné de 6 ans.

Dans cette série de livres, vous allez suivre les aventures de Thomas le Flamboyant, Marie l’intrépide et Willy l’intello. C’est une très belle découverte de premier roman adapté aux enfant de 5/6 ans.

Mon fils à hâte de lire les autres titres de cette série.
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Je me suis bien amusée à la lecture de cet album qui détourne complètement le conte du Petit Chaperon Rouge.

On suit un loup voulant faire son repas du célèbre personnage mais qui se rend compte que son fils est déjà passé par là ! et ainsi de suite...

Les illustrations colorées vont très bien avec le ton humoristique de l'histoire et la chute est aussi bien trouvée.

Encore une histoire séduisante dans la sélection du Prix des Incorruptibles 2020.
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Un album jubilatoire ! Attention, coup de coeur !



Un affreux crime a été commis par Bernard Jackson et c'est le redoutable shérif de la ville qui va mener l'enquête !

Des personnages hauts en couleurs, un texte à la Audiard, une ambiance western affirmée et un humour décalé sont au programme de cet album original à la morale très d'actualité..... la surconsommation et le gaspillage !

Le lecteur pourra s'amuser à y retrouver les nombreuses références des auteurs (uper, arizone, parking réservé à la clientèle, ).



Les illustrations, les couleurs, la typographie et la mise en page, mais aussi l'utilisation de tous les codes du western, font de l'ensemble un album très cinématographique qu'on n'est pas prêt d'oublier.

Un premier roman sympathique avec toutes ses mésaventures mais qui se termine bien. Le personnage de la mère en fera déculpabiliser beaucoup je pense. Je trouve tout de même qu’il y a beaucoup de texte pour une première lecture.