Citations de Patrice Ordas (67)
A une époque où un ouvrier gagne 20 $ par semaine, un aller simple en première classe lui coûterait deux années de salaire.
On exorcise un lieu de ses démons mais les Romanov n'en étaient pas. Ils étaient des êtres humains et c'est toute l'âme Russe qu'ils hanteront désormais...
La taille de la connerie est souvent proportionnelle à la hauteur depuis laquelle elle tombe.
On vieillit vite aussi en temps de guerre. Après tout ça, j'aurai du mal à obéir à mon père.
"Nous sommes morts ! Je le jure..."
- Je ne donne pas cher de vos galons si je me plains au professeur Curie qui ira immédiatement trouver votre général !
- Vous me menacez, vous une femme, une civile ? UNE CIVILE ?!!
- Vous ne savez pas ce que sont les femmes, commandant, elles ne menacent jamais, elles promettent !
- Si tu voyais ça Aurélie... et c'est moi qu'on accuse de tuer des gens ?!
Sait-elle lire au moins? J'ai horreur des incultes. ce sont des gens dangereux par ignorance!
- Himmler veut influencer des hauts dirigeants américains pour que les États-Unis soutiennent les nazis.
- Beaucoup sont déjà convaincus... Charles Lindbergh ou Joseph Kennedy par exemple.
Diane : À quoi servent ces fosses que l'on creuse toute la journée ? C'est pour des fondations ?
Jerzy : Non. C'est pour les morts à venir. Ils sont prévoyants.
Diane : C'est un cauchemar. Un monde pareil n'a pas le droit d'exister.
(...) le pouvoir est le lit d'un cauchemar dont les princesses s'éveillent souillées de sang.
- Le formol est extrêmement douloureux mon Commandant. Mieux vaudrait oxygène gazeux sous pression ou soluté de Dakin...
- Tatata... ! Elucubrations de civils et d'américains ! Faut amputer. En saucisson, c'est mieux pour le pilon. Zou !
- Au front, dans l'urgence, je vous aurais peut-être donné raison, mon Commandant, mais ici...
- Ici vous obéissez aux ordres d'un supérieur comme en première ligne. On ne discute pas.
Remballez vos outils, Lieutenant. Je prends la main pour opérer le moricaud. On vous attend aux bureau des effectifs.
Cette fois nous sommes au complet.
Tu demanderas quand même à Ahota à quelle race appartient ce fauve.
A aucune, il est l’esprit d’Ahota et n’a pas cessé de veiller sur nous. C'est pour cela qu'il ignorait les distances.
Il était dévoué corps et âme à la famille, et inquiet pour la famille Romanov sur les difficultés de leur vie.
- Trois ans qu'on se fait bigorner pour aller chier dans le trou d'à coté. De ceux de 14, on n'est plus que deux à la compagnie. Y en a marre...
Virginia : Ça nage très mal, les sous-mariniers…
-Ne tirez pas! Les nazis ont arrêté ma mère. Ils la déporteront si je ne leur obéis pas...
-Je vais te laisser une chance. Saute!
-Vous êtes folle! à 60km/h je vais me tuer!
-Tous les assassins ont une mère mon garçon. Obéissez avant que nous n'arrivions à la frontière allemande!
-Et vous direz à vos chefs que les français n'aiment voir les allemands dans leurs trains que pour signer l'armistice!
-On m'a transmis votre dossier militaire, docteur... Vous ne souhaitez pas faire carrière dans l'armée j'espère?
-Ce n'est pas mon ambition. L'armée est inhumaine par nécessité, or c'est l'homme qui m'intéresse, mon commandant.
MON PERE, LUI, SA MUSIQUE, C'EST LE MORSE.
On n'emprisonne pas un idéal