Citations de Patricia Briggs (520)
He was obviously dead, but since he was a vampire, that wasn't as hopeless a thing as it might have been.
- Dois-tu travailler demain ? Demanda-t-il.
- Non. Pas avant samedi.
- Parfait. Nous pourrons parler demain matin.
Il prit sa petite valise avant d'entrer dans la salle de bains. (p.29)
- Ce n'est plus très loin maintenant, mon gars, dit Tiër. C'est de la fumée qu'on voit là-bas devant nous, pas seulement du brouillard : tu vas voir, on va se trouver une jolie petite auberge dans ce village... On pourra s'y réchauffer.
... "Fuyez", cria-t-il à l'adresse des prisonniers. "Sortez d'ici!" Et ils obéirent, s'échappant du monstre agonisant aussi vite qu'ils le pouvaient, par où ils le pouvaient : sa gueule, ses branchies, son derrière,...
- Je croyais que c'était la version édulcorée, commentai-je.
Calvin ne put s'empêcher de sourire, mais poursuivit son histoire:
- Castor fut le dernier à partir. Il échappa de justesse à l'effondrement du sphincter de la bête, et c'est pour cette raison que les queues de castor sont plates et sans poils.
C'était un savoir dangereux, très dangereux. Il s'était trompé au sujet de l'Aigle, des Ordres qu'il prenait pour des divinités, mais le Traqueur...
Les portes de la cité de Colossaë étaient faites de bronze poli et étaient presque aussi larges que ses murs. Elles donnaient l'impression d'être exactement comme autrefois, à l'époque où le mage Hinnum les avait ensorcelées, il y avait tant de siècles de cela. Là, gravés en haut de la porte gauche, et rédigés dans la langue des anciens mages, étaient écrits les mots suivants : "Basse-Porte".
Hennëa revint un peu plus tard, avec un mince volume. Alertée par les jappements de Gura, Séraphe sortir l'accueillir sur le porche.
Elle tendit les mains, paumes tournées vers le bas, au-dessus de la surface du puits : une force électrique, aussitôt, afflua à l'intérieur de son corps, et la magie, vague abrupte et frémissante, frappa Tiër de toute sa force.
Je grimpais sur l'autel entre les deux faucons avec un brin d'hésitation. Une plaque de bronze était sertie dans la pierre, mais elle était trop usée pour que j'arrive à la déchiffrer.
L'autoroute sur la rive côté Oregon était toujours encombrée, et ce soir ne faisait pas exception. Sur notre rive à nous, dans l'État de Washington, c'était beaucoup plus calme : le fleuve était large et le bruit des voitures était réduit à un ronronnement distant qui se confondait avec les sons de la nuit. Et l'un de ces sons était celui d'un bateau qui dansait près du rivage.
Karrin parvenait à donner des airs de lingerie fine à son holster d'épaule.
Avec sa mise impeccable et ses cheveux noirs de jais striés d'argent pour faire classe, on aurait dit une carrosserie de Rolls sur un châssis de Fiat Punto.
Mac avait fini à l'hôpital. Sa gueule ressemblait à un accident ferroviaire.
« Les loups-garous peuvent être dangereux si vous vous mettez en travers de leur chemin. Ils ont un talent extraordinaire pour dissimuler leur véritable nature aux yeux des humains. Mais moi, je ne suis pas tout à fait humaine. »
Chapitre 1 :
«… Il marqua une pause après avoir traîné la petite fille dans la cuisine avec une irritation qui tendait vers la colère. Son agacement sembla s’évaporer tandis qu’il observait la pièce et que son cerveau, qui n’avait rien d’enfantin, décryptait les émotions de ses occupants.
— Désolé, s’excusa-t-il. Ce n’est pas le moment.
La fillette qu’il avait tirée derrière lui devint subitement coopérative et avança d’un pas.
— C’est tout à fait le moment, au contraire, répliqua-t-elle. J’adore les bagarres. Le sang, la mort, les cris éplorés…
Elle gratta ses cheveux emmêlés, me décocha un regard sournois, puis adressa un sourire ravi à la ronde.
— En-Dessous, dit Adam d’un ton menaçant. Que faites-vous chez moi ?
En-Dessous était un ancien royaume magique. Elle était assez puissante pour avaler des faes et les recracher. Même ceux qui avaient le pouvoir de soulever des océans ou d’ouvrir la terre se méfiaient d’elle. Ses caprices confinaient à la perversité et, quand elle le choisissait, elle se manifestait sous la forme d’une petite fille de l’âge d’Aiden. .…»
Chapitre 1 :
«… Il souleva le corps décapité et le jeta sur son épaule, indifférent au côté gore de la scène. La jambe déboîtée du cadavre se balançait mollement, et le reste du corps pendouillait bizarrement du fait de la colonne vertébrale brisée.
— Je vous laisserais bien le tout, mais il faudrait que j’explique à ma femme que je suis revenu de la chasse sans rien à manger. La tête devrait vous suffire pour l’identification.
Il lança un dernier coup d’œil au crâne esseulé, une ombre de regret sur le visage. Je me demandai s’il avait connu ce gobelin ou s’il était simplement peiné d’avoir eu à tuer l’un des siens.
Lorsqu’il leva le regard et se rendit compte que je l’observais, il marmonna :
— Les yeux, c’est le meilleur.
J’en restai baba.
Il m’adressa un salut militaire assorti de son sourire sérieux, recula d’un pas et se volatilisa. Comme ça. « Pouf ».
Ben laissa échapper un son dubitatif.
Au bout d’un moment, quand l’odeur du roi des gobelins se fut estompée, il lança :
— Puisque c’est ça, casse-toi, et bon appétit.
— Peut-être qu’il plaisantait, suggérai-je sans grande conviction.
J’avais beau apprécier Larry, il demeurait pour moi une énigme. … »
- Pompes funèbres Hauptman, lançai-je. Vous les passez au couteau, on les met au tombeau.
- C'est un loup-garou, maugréai-je. Ils sont doués pour les conneries de ce genre.
Mourir est facile. C'est vivre qui est difficile.
- Quoi ? Demandai-je, distraite.
Il recula pour l'observer de ses yeux chocolat foncé aux pupilles dilatés par le désir.
- Tu me rends heureux. Je ne m'y attendais pas. Je ne le mérite pas. Mais je compte te garder.
- J'espère bien. Il me semble pourtant que ç'avait été clairement précisé le jour de notre mariage. Je te garde. Tu me gardes. Satisfait ou non remboursé.