Rachel Hawkins

Dans une étrange institution pour ados rebelles…et paranormaux.



Premier roman de l’auteur américaine Rachel Hawkins, Hex Hall est le premier tome d’une trilogie fantastique pour ados publiée aux éditions Albin Michel Wiz. On y trouve tous les éléments majeurs d’une série efficace et prometteuse : une héroïne attachante, de l’humour, un soupçon de magie et bien entendu de l’amour.



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L’année dernière, le premier tome de Hex Hall avait été une bonne surprise. Le 1er septembre, je me suis donc rendu dans ma librairie pour acheter la suite des aventures de Sophie Mercer, cette sorcière un peu gaffeuse qui avait rejoint Hex Hall, un centre pour créatures surnaturelles adolescentes difficiles !



Dans ce tome, Sophie va avoir la chance de passer plus de temps avec son père : cet homme qu’elle n’a jamais vu en dix-sept ans. L’adolescente n’est pas franchement emballée mais, encouragée par sa mère, elle accepte de partir trois mois en Angleterre pour apprendre à connaître celui qui lui a donné la vie et en apprendre plus sur ses pouvoirs. Mais voilà, rien n’est jamais simple pour Sophie, surtout quand on sait que le garçon dont elle est amoureuse a essayé de la tuer.



Dès les premières pages, j’ai compris que l’action ne se déroulerait pas à Hex Hall. J’ai été un peu déçue car je m’étais attaché à certaines élèves et j’avais espéré que l’auteur nous en dirait plus sur eux. Perdu ! Mais j’ai été vite « consolée » : Sophie ne part pas seule en Angleterre puisque sa meilleure amie Jenna ainsi que Cal, le « guérisseur » de l’école, font également partis du voyage ce qui nous permet d’en apprendre plus sur eux. On retrouve l’héroïne comme elle l’était dans le premier tome : franche, maladroite, excessive, drôle, avec un humour toujours aussi cassant.



L’écriture de Rachel Hawkins reste très facile à lire. Le style est claire, limpide et on plonge sans mal dans l’histoire de cette adolescente pas comme les autres. Ne vous étonnez donc pas de lire le livre en une seule fois : quand on commence les premières pages, on se retrouve happé par les aventures de l’héroïne. Un seul petit bémol au roman : la fin trop brusque de l’histoire. Autant vous prévenir, la fin n’en est pas vraiment une. Il faudra attendre pour connaître le dénouement des aventures de Sophie puisque Spell Bound, le troisième tome, sortira le 13 mars 2012… Aux Etats-Unis !


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Comment dire... je dois VRAIMENT arrêter d'être si faible et d'acheter les bouquins qui ne reçoivent aucune critique négative sur le net !! Il est vrai que j'ai aussi été attirée par la couverture originale et qui, pour une fois, a un sens par rapport au récit.

Mais franchement, je n'ai pas pris énormément de plaisir à lire ce roman. J'ai eu du mal à accrocher au début, j'avais l'impression d'être dans un mauvais remake de Carrie. C'est un peu mieux quand Sophie arrive à Hex Hall et commence à prendre ses marques.

"Encore une école de sorcière" pourrait-on se dire. Oui mais non. Hex Hall, ou Hécate (je n'ai pas très bien compris pourquoi il y avait deux noms) est une école pour Prodigiums, c'est-à-dire sorciers, fées, métamorphes et loups-garous. Ajouté à cela les vampires (qui contrairement aux Prodigiums ne sont pas nés ainsi), ou plutôt une vampire, Jenna, la camarade de chambre de Sophie. Les élèves ne sont pas là par choix. Ils se sont trop fait remarquer auprès des humains et le "Conseil" a décidé qu'ils iraient à Hex Hall jusqu'à leur majorité, pour apprendre quelles conséquences désastreuses peuvent avoir leur actes. J'ai bien aimé la présentation, en début d'année, de tous ce qu'avaient dû subir les prodigiums au cours de l'Histoire (le bûchers de sorcières...) Le bâtiment en lui-même est sympatique : tout crasseux et miteux aux yeux de Sophie, il prend en fait la forme que la personne s'attend à voir. L'école est donc assez originale. Et on s'arrête ici pour l'originalité.

Comme Harry Potter, Sophie est une sorcière très très puissante mais qui ne le sait pas car elle n'a vécu qu'avec sa mère qui est humaine. Le secret sur son père est bien gardé, et je dois dire que c'est l'un des seuls éléments que je n'avais pas deviné.

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J'ai bien aimé cette histoire de sorcière qui essaye de s'adapter au monde réel, mais n'y arrive pas. Elle va donc se retrouver dans une école pour créatures en tout genre. Du suspense, de l'humour, et une pincée d'amour font que ce livre est réussit, vivement la suite!!

je sais pas pour les autre mais moi j'ai adorer c'est une fille qui a vraiment du mal a s'integer et qui lorsqu'enfin elle trouve l'amour le perd d'une manière peu enviable...

Après que sa meilleure amie (et plus ou moins petite-amie) ait embrassé son ex, Millie profite d’une bourse d’étude pour l’internat écossais de ses rêves afin de fuir l'Amérique et ses problèmes. Elle se retrouve ainsi en plein cœur des Highlands, entourée d’aristocrates et, surprise, avec la princesse d’Ecosse comme colocataire.

Le problème : les deux jeunes filles ne se supportent pas.



Le mélange d’Ecosse, de royauté et de ship fxf sur base de mauvaise entente a tout de suite tiré sur ma corde sensible. J’étais obligée de lire ce livre.

On plonge donc dans une petite romance assez mignonne, pas prise de tête et qui se laisse lire tout seule. Ce n’est objectivement pas la meilleure romance de ma vie, c’est facile et rapide, on devine certaines choses très vite, mais c’est un peu la promesse de départ et le roman fait donc très bien son travail. C’est délicieusement cliché et c’est exactement ce que j’attendais. On retrouve l’ambiance des films et/ou des livres où la petite américaine se trouve un prince - un schéma narratif dont je suis fan depuis enfant - mais cette fois, avec deux filles. J’ai été plus que satisfaite de découvrir une déclinaison de mon trope préféré où je me sens représentée (parce que nous aussi on veut nos romances clichées et mignonnes et toutes simples).

Si l’on ne rentre pas vraiment dans la profondeur des personnages, car le livre est plutôt du style “lecture plage” et va droit au but sans se perdre en détails, avec parfois des raccourcis un peu simples, j’ai tout de même beaucoup aimé la princesse Flora !



Je ne savais pas du tout que ce roman était le second tome de Royals, que je ne connaissais pas non plus et qui se concentre sur le frère aîné de Flora. Forcément, il y a des petits clins d'oeils par-ci par-là, mais rien qui n’empêche la compréhension. Je pense que les deux livres sont donc très indépendants l’un de l’autre.
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Après que sa meilleure amie (et plus ou moins petite-amie) ait embrassé son ex, Millie profite d’une bourse d’étude pour l’internat écossais de ses rêves afin de fuir l'Amérique et ses problèmes. Elle se retrouve ainsi en plein cœur des Highlands, entourée d’aristocrates et, surprise, avec la princesse d’Ecosse comme colocataire.

Le problème : les deux jeunes filles ne se supportent pas.



Le mélange d’Ecosse, de royauté et de ship fxf sur base de mauvaise entente a tout de suite tiré sur ma corde sensible. J’étais obligée de lire ce livre.

On plonge donc dans une petite romance assez mignonne, pas prise de tête et qui se laisse lire tout seule. Ce n’est objectivement pas la meilleure romance de ma vie, c’est facile et rapide, on devine certaines choses très vite, mais c’est un peu la promesse de départ et le roman fait donc très bien son travail. C’est délicieusement cliché et c’est exactement ce que j’attendais. On retrouve l’ambiance des films et/ou des livres où la petite américaine se trouve un prince - un schéma narratif dont je suis fan depuis enfant - mais cette fois, avec deux filles. J’ai été plus que satisfaite de découvrir une déclinaison de mon trope préféré où je me sens représentée (parce que nous aussi on veut nos romances clichées et mignonnes et toutes simples).

Si l’on ne rentre pas vraiment dans la profondeur des personnages, car le livre est plutôt du style “lecture plage” et va droit au but sans se perdre en détails, avec parfois des raccourcis un peu simples, j’ai tout de même beaucoup aimé la princesse Flora !



Je ne savais pas du tout que ce roman était le second tome de Royals, que je ne connaissais pas non plus et qui se concentre sur le frère aîné de Flora. Forcément, il y a des petits clins d'oeils par-ci par-là, mais rien qui n’empêche la compréhension. Je pense que les deux livres sont donc très indépendants l’un de l’autre.




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Avant tout, avant de lire cette chronique, j'attire votre attention sur le fait qu'il s'agit d'un tome 2. Il se peut donc que mon avis spoile partiellement, parfois, le tome 1, je n'aurai pas le choix. N'allez donc pas plus loin si vous n'avez pas commencé la série.



Dans ce deuxième tome, Sophie a retrouvé son père, président du Conseil, et découvert leur vraie nature. Accompagnée de Jenna et Cal, elle le suit à Londres pour passer les vacances avec lui et apprendre à le connaître, mais surtout pour mieux comprendre et accepter qui elle est.

La voilà donc arrivée à l'abbaye Thorne, où les membres rescapés du Conseil l'accueille avec bienveillance. Rescapés car, comme l'apprend rapidement Sophie, la situation des Prodigium s'est singulièrement dégradée : l'Occhio di Dio et les Brannick ont fait alliance. Les Prodigium courent un grave danger.

A Thorne, Sophie fait la connaissance de Daisy et Nick, deux jeunes démons. Stupeur puisque Sophie pensait que sa lignée était la seule du genre. Elle comprend alors que la situation est plus grave qu'elle ne le pensait.



Pour moi, ce second tome est le meilleur de la série. Dans la lignée de la fin du tome 1, l'histoire s'assombrit et se complexifie, les personnages sont plus profonds qu'ils n'y paraissaient, et la ligne entre le bien et le mal, entre les bons et les méchants, parait de plus en plus floue.



La romance est moins présente que dans le premier tome et, paradoxalement, cela la rend plus intéressante à mon goût. Malheureusement on sent rapidement se dessiner, dans la deuxième partie du roman surtout, un triangle amoureux qui, je l'avoue, ne m'enchantait pas de prime abord. Ce n'est pas un trope dont je suis très fan en général, et j'ai eu très peur d'être déçue par celui-ci.

Cependant, je l'avoue, l'évolution des personnages a fait en sorte que, tout au long de ce roman (et même pendant une bonne partie du suivant), je me suis beaucoup questionnée sur les motivations des deux prétendants de Sophie, j'ai douté de leur sincérité, et finalement j'ai trouvé leur relation intéressante pour l'histoire.



Ce tome est très riche en rebondissements et révélations en tout genre, et je l'ai trouvé encore plus addictif que le premier. Encore une fois, la fin m'a prise par surprise, avec le sort réservé à Sophie et à son père, et l'incertitude sur d'autres personnages importants. Autant, le permier tome pouvait à la rigueur se suffire à lui-même, autant il est impossible de s'arrêter après ce tome 2, la tension est à son paroxysme et l'inquiétude pour les personnages est bien trop forte. Donc, comme vous l'avez compris, j'ai enchainé directement avec le dernier tome de la série !

Un soupçon de "Rebecca", une pincée de "Jane Eyre" et une bonne dose de manipulation, me voilà plongée dans "la femme à l'étage".



Le début est un peu lent, cette amourette cousue de fils blancs est un peu mièvre, les tentatives de Jane pour s'intégrer dans les desperates housewifes ramollissent l'histoire et je me suis perdue à un moment, me demandant si j'arrêtais ou non ma lecture.



Et puis, dans seul coup, changement d'ambiance...Un corps est retrouvé, les langues se délient, les souvenirs affluent et c'est tout de suite bien plus intéressant !



Qui manipule qui ? Jane est-elle si innocente qu'elle le laisse penser ? Eddie est-il responsable de l'accident, a-t-il tuer pour récupérer l'argent de sa femme ? Bea était elle si parfaite ?



L'auteure creuse chacun de ses personnages,  la psychologie est importante et chaques faits décortiqués pour mieux comprendre les actions de chacun.



L'auteure nous embrouille pour mieux nous surprendre et ça marche ! Oublier le début trop lent et gentillet, l'histoire s'accélère, je voulais comprendre, savoir... Le suspense est bien maintenu et l'épilogue parfait ! Un bon moment de lecture pour ceux qui aiment les thrillers psychologiques.

Un livre qui se lit aisément, une vraie bonne lecture de vacances. On sent qu'il se passe quelque chose de louche, mais quoi ? Et on entre complètement dans la peau de Jane. Attention, lisez tout, jusqu'aux remerciements, moi j'ai dit : AAAAh ! Mais oui, évidemment. Mais sur le coup je n'avais pas remarqué.

plutôt bonne fin de Saga. Sophie Mercer évolue dans ses pouvoirs. je trouve que l'intrigue était intéressante, le rebondissement était surprenant. je reste quand même sur mon idée que les personnages secondaires sont finalement les personnages principaux de l'histoire.

La suite de l'aventure de Sophie.

toujours le même reproche avec l'Autriche Rachel Hawking par rapport à la série hex hall, sa longueur. après je trouve que les personnages sont vraiment bien écrit, l'histoire vaut le détour. je trouve aussi qu'on s'attache plus facilement au personnage secondaire que principal.

cette lecture je pense que l'histoire conviendrait mieux à des lecteurs de moins de 16 ans.

Jane a un passé un peu trouble et vient se refugié à . Elle trouve un job de Pet-Sitter dans un quartier huppé et rencontre Eddie, jeune veuf.



Leur relation va assez vite et Jane emménage avec lui. Mais alors, elle découvre l’histoire de Béa et blanche, sa femme et la meilleure amie de celle-ci, mortes lors d’une balade sur un lac.



Accident plutôt tragique quand on sait que Béa tenait entre les mains un empire de plusieurs millions de dollars.



Jane se lie d’amitié avec les filles du quartier et en apprend un peu plus sur Béa et Blanche. Elle comprend qu’entre elles tout n’était pas si rose et quand un évènement vient chambouler sa routine avec Eddie, elle commence à douter.



De plus, ces étranges bruits sourds venant de l’étage de la maison l’intrigue…



J’ai adoré ma lecture, j’ai plongé la tête la première dans ce quartier huppé avec ses ragots et ses habitudes. J’ai adoré le personnage de Jane qui est assez intriguant. Au fil de notre lecture, on en apprend plus sur son passé et celui de Béa et Eddie. On fait des allers-retours entre le passé et le présent et cela rend l’histoire captivante.



Je n’ai absolument pas vu venir le retournement de situation à la fin ! Bref, c’est un bon thriller psychologique, j’ai passé un super moment avec ce livre !

Fraichement débarquée en Alabama, Jane a fui un passé trouble pour devenir promeneuse de chiens dans un quartier très chic de la ville, bien décidée à ne pas laisser passer cette seconde chance que lui offre la vie. Tout bascule quand elle se fait renverser par la voiture d’Eddie Rochester, un riche et jeune veuf qui n’est pas insensible à son charme. Seulement entre les murs de l’appartement d’Eddie, la présente de Bea, sa défunte épouse, continue de hanter les lieux.

Si ce thriller domestique s’inspire ouvertement de Jane Eyre de Charlotte Brontë (vous aurez reconnu les noms des protagonistes), pour ma part j’y ai plutôt vu planer l’ombre de Rebecca de Daphné du Maurier. Les luxueuses résidences de Thornfield Estates n’ont certes pas le charme de Manderley, mais les femmes au foyer désespérées toujours à l’affut du dernier ragot qui peuplent le quartier n’ont rien à envier à Mrs Denver. Car si la mystérieuse disparition de Bea et sa meilleure amie Blanche en mer continue d’intriguer un an après, la nouvelle relation entre Eddie et Jane, la promeneuse de chiens, n’a pas fini d’alimenter les commérages. Au détour de conversations, Jane commence à dresser un portrait de la (présumée) défunte épouse dont elle n’est que le pâle reflet… belle, riche, sophistiquée… La jeune femme est bien décidée à prendre sa revanche sur un passé de misère et à profiter des luxes que lui offre sa toute nouvelle vie… mais la disparition de Bea l’intrigue, et Eddie semble lui cacher beaucoup de choses. Après tout, n’est ce pas toujours le mari le coupable ? Si l’intrigue traine parfois en longueur, l’atmosphère y est étouffante à souhait. Rachel Hawkins réussi à ménager un suspens hitchcockien tout au long du roman, alternant le récit de Jane et les écrits et flashbacks de Bea qui permettent de reconstituer petit à petit le puzzle des événements jusqu’à l’ultime retournement de situation et son final enflammé. Je n’ai qu’un seul regret, le titre du roman qui malheureusement spoile une partie de l’intrigue.

Le début du livre est déroutant .

On se demande si l’on ne s’est pas trompée dans son choix car cela fait roman à l’eau de rose . Bon en même temps s’il était dans ma pal c’est que ce n’était pas un Harlequin😄. Vérification faite on peut poursuivre.



Vous accuserez chacun des personnages tour à tour et ceci jusqu’à la fin .

Vous pensez avoir deviné mais non en fait …

Mais vous vous poserez aussi la question suivante pendant un bon moment de lecture : pourquoi ce titre ? Il y a quelqu’un en haut ? Mais pourtant il s’agit d’une maison individuelle ?



Une bonne lecture à la désespérate housewife

Sophie n’est pas une lycéenne comme les autres, c’est une sorcière. En souhaitant aider une camarade de lycée qui se retrouve sans cavalier au bal du lycée, elle use de ses pouvoirs dans un petit excès d’impulsivité et se retrouve bien embêtée quand cela tourne mal. Elle est donc envoyée dans une école pour créatures surnaturelles : sorcières, loups-garous, métamorphes, fées… Elle se lie d’amitié avec une vampire et tombe sous le charme d’un sorcier, mais un événement se produit, et Sophie devra résoudre un mystère qui plane à l’école et bien choisir à qui elle accordera sa confiance.



C’était une lecture très agréable globalement mais pas transcendante, l'univers aurait peut-être pu être un peu plus poussé dans ce premier tome. Le prologue m’a fait un peu peur, j’avais l’impression de commencer un roman qui se voulait faussement « djeun’s », mais finalement le style d'écriture s’est épuré par la suite, heureusement.

Le roman promet du surnaturel, du mystère et de l’humour, le compte est bon ! Il remplit parfaitement ses fonctions, Sophie est un peu simplette sur les bords mais c’est ce qui fait son charme. J’ai beaucoup aimé le personnage de Jenna, l’histoire de la vampire était sympa et j’aurais bien aimé en savoir encore un peu plus, mais sans être le personnage principal je conçois qu’il était difficile d’épiloguer sur sa propre histoire.

J’ai beaucoup aimé le cadre de l’intrigue, une académie pour créatures surnaturelles avec un internat, des colocataires et des professeurs fantastiques, c’est du type school story mais ancré dans le merveilleux, ce qui rend le tout encore plus appréciable.

Sophie, mi-humaine, mi-démon, doit se faire retirer ses pouvoirs par le Conseil. Elle réussit à se sauver, et doit se réfugier chez ses ennemis les Brannick, chasseurs de démons.

Un dernier tome qui mettra vos nerfs à rude épreuve, action, suspense, rebondissement... La romance et les sentiments sont toujours aussi présents. Le personnage de Sophie a autant d'humour que dans les précédents tomes. Un dernier tome plus sombre et riche en émotion.

Une saga que j'ai appréciée et que je conseille. Une série Spin-off est sortie sur Izzy, en attente de voir une sortie française.
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Ultra girly, cette romance met en scène des personnages de l'aristocratie écossaise... Malgré l'accumulation de clichés c'est bien rythmée et plutôt drôle. L’ambivalence entre le coté rétro des codes de la royauté et l'écriture ultra moderne est très sympa. Pareil pour le contraste entre le pensionnat un peu old scholl et le naturel avec lequel les jeunes gens aborde la sexualité dans toutes ses formes. C'est un véritable conte de princesse des temps modernes .

Ca fait plusieurs fois qu'une collègue me met ce roman ado entre les mains mais la couv ne m'inspirait pas.... j'ai fini par le lire, d'une traite, et je ne regrette pas. Le style est drôle et enjoué et j'ai passé un vrai bon moment de détente. Pongée dans l'univers de la royauté depuis que sa sœur est fiancée au futur roi d'Ecosse, Daisy ne vit pas très bien la notoriété qu'elle n'a pas recherché. Son personnage un brin rebelle et décalé plongé dans la cadre ultra normé de la haute société donne place à des situations amusantes. C'est un peu bourré de cliché mais en même temps c’est l'occasion d'épingler un peu les travers des jeunes gens qui vivent dans des sphères ultra privilégiées.

A lire comme un conte de fée moderne, dont l'unique ambition est d'apporter un moment de distraction.

A plusieurs reprises, je me suis surprise à lire le texte en diagonale. Mais pour autant, je ne me suis pas lassée. Je suis allée jusqu'à la fin du tome et je reprendrais le suivant un peu plus tard. Toutefois, il y a un grand potentiel. J'ai beaucoup aimé Jenna, cette vampire un peu folle qui souffre en silence. Il y a aussi cette intrigue autour d'Archer, ce sorcier qui ferait partie d'un groupe anti-magie. Et puis, Sophie est sympa dans son genre. Elle découvre son potentiel magique tout en apprenant un peu plus sur sa famille. Et, on se rend compte que tout n'est pas si sympa chez les sorciers.
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