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Critiques de Ruth Rendell (471)
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2 doigts de mensonge

Bon livre de détente et de plaisir quant à l'écriture. Félicitations à Jonathan-Frédérik Hel Guedj pour la traduction.
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2 doigts de mensonge

Voilà une lecture bien plaisante, je m'attache de plus en plus à Ruth Rendell...

Atmosphère anglaise à souhait, avec la grande maison aux pièces mystérieuses, la famille foldingue qui vit en huis clos entre deux tasses de thé. Le pasteur, le médecin et le peintre bohème à cheveux longs qui ravage le coeur des ex fans du pasteur...Et des personnages à part, très intéressants.

Kerstin, toute jeune étudiante venue de Suède, est engagée pour s'occuper de John Cosway, un homme de 39 ans considéré par sa famille comme un schizophrène. De fait, l'homme est étrange. Mais sa famille encore plus. Que se cache-t-il derrière cette histoire de folie que l'on raconte à tous ? Bien des secrets que j'ai dévorés avec un très grand plaisir...

Ruth Rendell, une belle conteuse grâce à qui on peut s'échapper loin du quotidien. Que demander de plus ?

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2 doigts de mensonge

Un bon Ruth Rendell, bien mené et noir à souhait. Je le considère toutefois comme mineur comparé à d'autres romans que j'ai pu lire d'elle (Jeux de mains étant mon préféré) : certains personnages sont presque trop caricaturaux dans le sordide et certains points de l'intrigue manquent peut-être un peu de réalisme psychologique (contrairement à ce à quoi elle nous a habitué). Cela reste cependant une bonne lecture.

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2 doigts de mensonge

Une jeune infirmière suédoise est engagé pour s’occuper de John, fils d’une famille anglaise qui vit de façon recluse dans une vielle demeure. Dans la famille Cosway, nous avons la mère, vieille acariâtre qui tyrannise ses enfants : John qui n’est pas si fou que ça, mais se comporte néanmoins bizarrement ; Ella la prof qui habille ses poupées et se chamaille constamment avec sa sœur Winifred, cette dernière doit se marier avec le pasteur du village ; Ida qui semble se contenter d’être la femme de ménage de la maison et enfin la cadette, Zorah qui a su s’échapper de cet univers morbide La jeune suédoise va découvrir que la folie est présente dans bien des esprits de cette famille particulière où le drame va finir par surgir.

L’auteur plonge nous dans une atmosphère lourde. Les personnages s’y révèlent tordus, cruels, fragiles, ambivalents complexes. On peut reprocher quelques longueurs à ce roman qui n’en tient pas moins le lecteur en haleine

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2 doigts de mensonge

Pour moi, Ruth Rendell est capable du meilleur comme du pire. Ici, le roman est réussie. Elle nous plonge à merveille dans une ambiance étouffante, suffoquante, et pourtant, son talent fait qu'on n'a surtout pas envie de poser le livre, et de laisser les personnages à leurs malheurs.



Ces cinq femmes ne savent que se déchirer. Elles ont accumulé rancoeur et aigreur les unes envers les autres. Le roman est un très bel exemple d'une famille sans amour, sans communication. Julia est une mère castratrice.

[...]

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Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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2 doigts de mensonge

une étrange maison, une famille compliquée et taiseuse, et les souvenirs d'une infirmière qui y séjourna... le tout façon Ruth Rendell, avec des secrets, des lieux importants, des personnages secondaires mais primordiaux. Un roman pas si noir, mais loin d'être rose.
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2 doigts de mensonge

Lu dans le cadre de mon pioche dans ma PAL du mois de février, j'ai dès le début était intriguée par cette histoire familiale et l'envie de vite tourner les pages pour connaître la fin m'a prise rapidement. L'histoire est racontée, 35 ans après par une femme qui jeune fille a été embauchée par une famille, disons un peu spéciale, pour s'occuper du fils de la famille atteint de troubles mentaux. L'auteure a réussi dès les premières pages a susciter ma curiosité et j'ai lu ce livre avec le besoin de connaître le dénouement de cette histoire, je pense que heureusement que ce suspense été présent car sinon j'aurais trouvé ce livre un peu longuet, certaines scènes sont assez répétitives, le fait que ce soit raconté par une personne qui nous relate l'histoire comme si elle était assise dans un fauteuil en face de nous est au bout d'un moment un peu lassant. Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment de lecture, mais ce livre ne sera pas un souvenir inoubliable et ne fera pas parti des livres dont j'aurais envie de conseiller à tout le monde.

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2 doigts de mensonge

Une jeune infirmière est conviée dans une vielle maison en Angleterre afin de s’occuper d’un malade mental. Elle se retrouve dans une famille ou le père est décédé et où la mère règne sur ses 4 filles et son garçon (le malade) pourtant adultes et en âge de quitter la maison. Il y règne une ambiance malsaine. Ce livre est pour moi un petit chef d’œuvre. L’ambiance relatée nous envahit et nous poursuit durant toute la lecture.
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2 doigts de mensonge

Une quatrième de couverture super attrayante et là je me suis dit chouette encore un bon Rendell mais quand j'ai eu fini ce roman eh bien je reste sur ma faim... beaucoup de longueurs, peu d'intrigue et pourtant cette histoire d'héritage, de schizophrène ou encore de famille anglaise névrosée jusqu'à la moelle aurait pu me,tenir en haleine.

La seule chose qui m'ait fait sourire c'étaient toutes les allusions envers les classiques anglais qu'on a pu voir au cours de l'histoire. C'est toujours agréable de voir le clin d'oeil qui apparaît envers Jane Eyre, un Dickens avec ses "grandes espérances" ou encore un domaine comme Manderley.

Bref, ce n'est pas avec ce roman qu'il faut découvrir Ruth Rendell et c'est bien dommage...
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2 doigts de mensonge

Ambiance étouffante dans un manoir anglais, avec cinq femmes aigries qui se déchirent, une mère castratrice, un soi-disant malade, un élément pertubateur... Un cocktail très réussi !
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2 doigts de mensonge

Donc, je me suis lancée la semaine dernière dans le livre de Ruth Rendell : Deux doigts de mensonge, catégorie Prix Mare au Diable, soit prix du Polar ...



Pas folle la guêpe, je n'avais pas acheté mais emprunté le livre à la bibliothèque municipale de ma super banlieue... Je partais pleine d'entrain... si si... après tout Ruth Rendell est connue pour ses romans à suspens, des romans psychologiques dont la fin est une réelle révélation, une surprise bref un choc... paraît-il !



lire la suite en suivant le lien
Lien : http://georgesandetmoi.haute..
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2 doigts de mensonge

Je me demande pourquoi ce livre est dans les "polars", je l'aurais bien vu à côté de Jane Eyre,



J'ai eu du mal à m'imaginer en 1960, très bien fait, c'est délicieusement lent, et long, la fin est comme en accéléré,



j'ai beaucoup aimé
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2 doigts de mensonge

Est-ce vraiment un polar ? Le meurtre n'arrive que dans les dernières pages et il n'est pas réellement élucidé. En revanche, c'est une peinture assez réjouissante, car menée avec beaucoup d'humour, d'une Angleterre rurale qui n'a pas beaucoup bougé depuis Jane Austen : les vieilles demoiselles espèrent toujours épouser le vicaire, les douairières terrorisent toujours tout leur monde. Et nous avons, en prime, une magistrale caricature de play-boy nullissime, pique-assiette et picoleur, qui sème la zizanie partout où il passe, objet de tous les désirs réduit à peu de choses par l'humour de la narratrice.

Question : Ruth Rendel, l'autre grande dame du polar anglais, a-t-elle voulu se mesurer à P.D.James dans l'évocation des atmosphères victioriennes ?

Une bien agréable lecture, en tous cas.
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Amour en sept lettres

Je retrouve Ruth Rendell et sa prose policière, quelques trop nombreuses années après notre dernier rendez-vous dans la collection du Masque.

Ces retrouvailles se font à travers six nouvelles d'amour et de mort.

Six histoires menées par la peur, l'exaspération, la colère,les fantômes du passé, le désir, l'incompréhension...toutes choses qui mènent inéluctablement au drame... en des lieux aussi divers que le Montmartre parisien, un presbytère dans un village anglais, une ferme ou un ensemble résidentiel londonien...

Dans deux de ces nouvelles, les lieux semblent avoir gardé rancunes et miasme de tragédies passées: presbytère immense ou jardin sinistre.

... Et Ruth Rendell, après un avant-propos éclairant de François Rivière, s'y entend à merveille pour nouer et dénouer six pièces tragiques et british, comme digne continuatrice des Conan Doyle, Chesterton, Christie et autres maîtres.

. Retrouvailles réussies, donc, pour moi;













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Amour en sept lettres

Ayant énormément apprécie L'Analphabète, j'ai profité d'une petite visite chez mon bouquiniste pour me replonger dans l'univers torturé de Ruth Rendell. En dépit d'un titre digne d'un roman à l'eau de rose, mon choix s'est porté sur Amour en sept lettres, recueil de 6 nouvelles, un moyen intéressant de découvrir toutes les facettes d'un auteur.



La première nouvelle est un régal , petit bijou glaçant de cynisme, elle nous plonge dans l'esprit d'une femme idolâtrant son mari. Le récit est simple, clair, et ménage quelques effets de suspense qui rendent la lecture addictive. Le retournement de situation tant attendu surprend par son prosaïsme, mais révèle progressivement l'indicible venin qui peut gangréner un couple jusqu'au drame. J'étais donc grandement satisfait de mon choix après cette première nouvelle. Pour donner une idée du ton de cette nouvelle, on peut l'apparenter à l'écriture de Roal Dahl dans "La Grande Entourloupe" ou "Kiss Kiss".



Néanmoins, si la suite du recueil est tout à fait fréquentable, les nouvelles le composant sont nettement moins percutantes. Mis à part "Victime née", légèrement prévisible mais très bien mené, les autres nouvelles m'ont semblé parfois fastidieuses (la seconde, mettant en scène une enquête policière assez insignifiante) ou pas totalement maîtrisées (les 2 plongées dans le fantastique à la limite du grotesque), quand elles ne sont pas totalement prévisible ("Grain de folie", qui dévoile trop vite ses cartes).



Une lecture dispensable, qui me donne tout de même envie de continuer à parcourir l'univers de cette auteure, notamment dans ses petites études de mœurs macabres.
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Amour en sept lettres

Je ne pensais pas tomber sur un livre de nouvelles en ayant ce livre dans les mains, et pourtant si. Ce sont six histoires courtes policières, toutes assez différentes qui étaient proposés à l'intérieur. Je dois avouer qu'en un sens c'est pas si dérangeant, et que j'ai bien aimé ce concept. Les histoires m'ont toutes intriguées mais finalement j'ai compris le principe, tout va bien, puis d'un coup à cause d'un petit truc tout va mal. Mais c'était vraiment sympa. Même si toutes ne m'ont pas forcément plu, que certaines j'ai trouvé décevantes (il y en a une avec fantôme...On aurait pu s'attendre à ce que non en fait il n'y ait pas de fantôme, mais pas du tout, du coup ça m'a fait un peu peur après coup), d'autres que j'ai trouvé originales (la première ou encore celle avec Brenda qui est assez ennuyantes) L'écriture (ou la traduction ?) était parfois pas très entrainante, masi tant pis. J'ai quand même bien aimé ce livre, et si jamais je recroisais un Ruth Rendell dans ma route, je pense que je le prendrais pour voir.
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Amour en sept lettres

bof lu en 1 jour quand même
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Bon voisinage

Avec Ruth Rendell (1930 – 2015), ce n’est pas tant l’intrigue qui passionne mais la description d’un monde, d’un milieu, d’un microcosme. Mais, ainsi que le déclarait Stephen King « Dès qu'il est question d'histoires d'obsession, de paranoïa et de coïncidences malheureuses, personne ne peut rivaliser avec Ruth Rendell ! ". Dans ce livre, il faut tout de même attendre le neuvième chapitre pour voir un premier cadavre. La construction est très classique, selon un schéma déjà utilisé par Zola dans "Pot-Bouille" ou "l'immeube Yakoubian" de l'égyptien Alaa al-Aswany ... le personnage principal est cette rue typiquement britannique !



Qui, visitant les beaux quartiers comme Belgravia, n’a pas imaginé pénétrer en restant invisible dans ces demeures de style géorgien, ces orgueilleuses maisons bâties de briques mordorées, aux portes flanquées de colonnes de stuc peintes en blanc vernis, avec leur soubassement et leur petit jardin derrière les grilles ouvragées ?



Entrons dans Hexam Place et faisons connaissance avec chacun des habitants. Dans les appartements de grand luxe, on trouve un lord héréditaire (sa femme et sa fille couchent avec son chauffeur), un pédiatre unanimement respecté pour sa gentillesse, un banquier (son épouse le trompe avec l’acteur vedette d’une série télévisée), un couple gay, une vieille princesse de pacotille et sa dame de compagnie depuis plus de 60 ans … et surtout, la foule des gens de maison qui les « servent ».



Dans les appartements semi-enterrés (basements) et les combles, voici les chauffeurs, factotum, jardiniers, jeune fille au pair espagnole, femme de ménage rêvant de retourner à Antigua, nounou d’origine pakistanaise follement attachée au bébé qui lui rappelle ses deux enfants morts en bas âge, jeune femme préposée à des tâches de secrétariat ... Ils se retrouvent au pub du coin de la rue pour parler de leurs patrons, nouer des idylles, faire des projets. Celui de June – la vénérable assistante de la Princesse - est de créer une société d’entraide réservée au personnel domestique, la société de Sainte Zita.



Et puis, il y a Dex, un marginal sorti d’un hôpital psychiatrique. Le docteur certifie qu’il est guéri mais entend des injonctions de Peach, son Dieu, qui lui parle dans son téléphone portable. Il travaille ici et là, sur la recommandation du bon docteur Jefferson, dans les jardins ou comme homme à toutes mains… ou à toutes œuvres.



Relations interdites, coïncidences malencontreuses, malentendus en tous genres, crimes inexpliqués et inexplicables : le roman retrace une année de cette société disparate, où les barrières sociales sont plus poreuses qu’on pourrait le supposer a priori. Secrets, effets secondaires de crimes pouvant s’avérer bénéfiques … Le destin frappe où il veut. Mais la vie s’écoule, sans que la police, ici bien démunie, n’y décèle aucun indice. Pas d’inspecteur clairvoyant … ce qui pourra dérouter le lecteur.


Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Bon voisinage

Si vous n’aimez que les romans noirs angoissants, au suspense insoutenable, passez votre chemin. Par contre, si vous avez une préférence pour l’analyse de comportements face à une situation, ce roman de Ruth Rendell peut vous séduire.

Avec son flegme et sa sensibilité très britanniques, l’auteur décortique les personnalités de cette mini société anglaise de Hexam Place.

Sur une centaine de pages se dévoilent chaque riche propriétaire des demeures de la place ( une soi-disant princesse âgée, un riche banquier, un médecin, un couple d’homosexuels, un lord…) et chaque membre de leur personnel ( chauffeurs, jeunes filles au pair, secrétaires, jardiniers, nourrices…).

Petit quartier privilégié où chacun se connaît sans vraiment s’apprécier. Les riches propriétaires ne peuvent se passer de leurs gens de maison, mais ils les exploitent bien souvent sans sentiment ( sauf le docteur Jefferson qui considère son chauffeur Jimmy comme un ami). Les employés sont en première loge de toutes les frasques de leurs patrons et ont chacun des ambitions et motivations bien différentes.

La mort par accident de Rad Sothern, comédien de série télévisée et amant de Lucy Still, au cœur d’Hexam Place va bouleverser l’équilibre fragile du quartier.

Ruth Rendell construit patiemment son intrigue, en tissant les liens entre les différents personnages, en glissant des détails sur chacun. Rien n’est anodin, chaque petite brique aide à construire l’édifice.

Elle imbrique ainsi une histoire d’accident meurtrier avec une analyse de société. La haute société est peinte avec causticité ( une princesse dépassée par le monde moderne, femmes adultères, enfants relégués vers l’amour des gens de maison). Elle insère dans le quartier les minorités taboues ( Indo-pakistanais, les homosexuels, les roux, les fous meurtriers réinsérés dans la société) et toutes les formes de caractères humains ( arriviste, altruiste, intéressé, dévoué, maternelle, intègre, humain, fou, volage…)

Après avoir intégré l’ensemble des personnages, chose peu aisée car ils sont nombreux, le roman est agréable à lire. Dans cette mini société un peu dépassée et caricaturale, les personnalités sont particulièrement bien utilisées et analysées.

Si dans ce roman, l’auteur n’est pas un maître du suspense, elle est un maître de la construction et de la narration.
Lien : http://surlaroutedejostein.w..
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Bon voisinage

Merci tout d'abord à Babélio et aux Editions Des Deux Terres pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération Masse crittique.

Il raconte la vie de domestiques et de leurs employeurs dans un quartier chic de Londres. Dans cette rue, tout le monde s'épie et lorsque l'amant de l'une des bourgeoises de la rue disparaît, chacun a son idée sur la question.

C'est bien écrit et la description d'une certaine société britannique est intéressante, mais le charme n'a pas opéré en ce qui me concerne. Si les domestiques n'avaient de téléphones portables, on pourrait se croire au milieu du XXe siècle et ce côté désuet ne m'a pas emballé. Quand au suspens; il est quasi inexistant. Bref, j'ai été déçue par cet ouvrage.
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