Sarah Marquis

C'est le seul roman de Sarah Marquis que j'ai lu et je ne peux donc pas le comparer à ses autres récits d'aventure.

Personne ne pourra nier que le périple raconté ici est tout simplement incroyable : des milliers de kilomètres parcourus, seule, dans des endroits tous plus désertiques et isolés les uns que les autres. J'ai été très impressionné par le courage et cette envie d'aller jusqu'au bout de l'auteure.

Si le style d'écriture proposé se lit plutôt bien, c'est dans le comportement de l'auteure que j'ai relevé des points noirs. Elle désire voyager seule, se découvrir elle-même et se reconnecter à "Mère Nature", certes, mais il est dommage qu'elle n'essaie pas plus d'aller à l'encontre des différents autochtones qu'elle rencontre. Elle donne parfois l'impression de fuir le contact humain, alors qu'à mon sens tout voyage a aussi pour but d'échanger et de découvrir de nouvelles cultures.

Les très nombreuses évocations de Mère Nature, son lien avec la Terre, les Arbres ... pèsent également un peu sur le récit lorsque l'on ne possède pas la même connexion que la narratrice.



Un voyage extraordinaire donc, qui fera - je pense - rêver plus d'un marcheur solitaire; mais une voyageuse qui, paradoxalement, peine à s'ouvrir au monde et aux personnes qui l'entourent. Alors certes, une marche solitaire a aussi pour but la découverte de soi, mais il est dommage de ne pas découvrir les autres et tout ce qui nous entoure par la même occasion.

J'ai détesté ce livre, parce qu il est l antithèse de ce que fait Sylvain Tesson, qu il n a rien a voir avec l usage du monde de Nicolas Bouvier, parce que traverser un pays c est aussi rencontrer des gens, c est aussi partager la nourriture locale, c est passer un poste frontière en craignant de se prendre une rafale de kalachnikov si ses papiers sont mal remplis.

J ai lu ce livre avec un agacement constant.

traverser un pays c est aussi s arrêter a une boulangerie pour acheter une pâtisserie locale, c est déambuler dans un marché pour gouter les fromages de pays ou les charcuteries du terroir, s enivrer d un peu d alcool du coin... Ne cherchez pas ça ici.

Avancez jusqu au prochain magasin de graines bios, ça vous passera.

Presque trois ans de marche en solitaire de la Sibérie à l'Australie, voilà qui avait a priori de quoi me séduire. Sarah Marquis n'en est pas à son coup d'essai, elle a déjà deux expéditions à son actif et elle part avec une charrette adaptée à son périple et tout l'équipement nécessaire.

Ce qu'elle aime c'est marcher seule et se fondre dans la nature. Peu importe le temps, les difficultés souvent énormes, tout est oublié pour quelques moments d'émerveillement et de symbiose.

Seulement voilà, tout au long de ma lecture, je n'ai pas compris ce qui la motivait vraiment. Je n'ai pas compris non plus pourquoi elle tenait tant à traverser des pays sans en rencontrer les habitants. La description qu'elle fait des autochtones, surtout masculins est la plupart du temps négative. En tant que femme seule, elle est une proie et souvent en danger. Le nombre de fois où elle se cache pour établir son campement parce que des groupes d'hommes la harcèlent ! Elle avance la peur au ventre et fuit au maximum la population.


Lien : http://legoutdeslivres.canal..

Sarah Marquis est une marcheuse au long cours d’origine suisse. Aussi téméraire que le célèbre Mike Horn, elle s’est lancé le défi de parcourir l’Asie du Nord au Sud à travers la Mongolie, le désert de Gobi, la Chine, le Laos, la Thaïlande et l’Australie, soit un périple d’environ trois ans dans des conditions particulièrement difficiles. En Mongolie, elle devra passer chacune de ses nuits, loin de tout village, en se cachant des autochtones, pour éviter de se faire voler, violer ou trucider. En Chine, où l’accueil ne fut guère plus chaleureux, elle fut reçue à coups de pierres par les enfants, arrêtée et persécutée par la police. Elle dut interrompre plusieurs fois sa progression pour toutes sortes d’ennuis de santé, mais jamais elle n’abandonna tant qu’elle n’atteignit pas son but :un certain arbre perdu dans le bush australien, endroit précis où elle avait rencontré et adopté son chien D’Joe, un red heller ou bouvier d’Australie qui l’accompagna dans sa première traversée du continent. En 2013, elle reçut le prix européen de « l’Aventurier de l’année », distinction amplement méritée au vu de ses exploits.

« Sauvage par nature » est un récit d’aventures et d’exploration tout à fait classique, dans la lignée de ceux de Bernard Ollivier (« La longue marche »), de Tesson et Poussin ou de Mike Horn. Pourtant Sarah Marquis semble avoir encore plus de mérite que ses prédécesseurs hommes, si l’on considère que, voyageant comme une femme seule, elle se retrouve souvent dans la peau d’une proie potentielle dans de nombreux territoires. À lire ce livre, on comprend que la réalité du terrain n’a pas grand-chose à voir avec les descriptifs des catalogues sur papier glacé des agences de voyages incitant à partir dans les-dits pays (seule exception, l’Australie où elle put bénéficier d’aide et de soutien désintéressé). Le style est fluide, clair, efficace. L’auteure sait faire partager ses souffrances, ses doutes, ses peurs. Le lecteur reste un peu sur sa faim car tout n’est pas conté par le menu comme dans un carnet de route classique. Il reste cependant admiratif devant tant de courage, de ténacité, d’audace et de résistance face à l’adversité. À conseiller aux amateurs de grands espaces et d’aventures authentiques.
Lien : http://www.bernardviallet.fr

Traverser à pied la Mongolie, la Sibérie, la Chine, le Laos, la Thaïlande, l'Australie, en ne prenant quasi aucun contact avec les habitants, les fuyant même. Curieuse idée, triste manière de parcourir le monde, simplement en marchant droit devant ! Parcourir ainsi des milliers de kilomètres, pendant trois ans, sans contacts humains me déçoit très fort. Elle fuit les contacts humains, peut-être parce qu'elle est femme et marche seule ? Il manque de chaleur humaine, de contact avec l'autre, sauf quand elle téléphone avec son chien resté à la garde de sa mère.

Elle veut être seule, seule avec elle-même. J'aurais aimé en apprendre sur les populations rencontrées.

J'ai préféré de loin "A pied, de Moscou à Compostelle" de Werner van Zuylen (Ed. Racine, sept. 2014). Il a parcouru 4.500 km à pied en cinq mois, seul, faisant des rencontres merveilleuses, trop courtes, a vécu des moments inoubliables qu'il nous partage avec chaleur et enthousiasme. Même s'il a vécu des situations déprimantes et angoissantes. A lire.



Sarah Marquis écrit "évitant la source de tous les problèmes, les gens" … Etant seule et femme, je comprends qu'elle ait des inquiétudes, mais à ce point ? C'est dommage car il manque la dimension humaine à ce récit. Elle a pourtant été officiellement couronnée de lauriers pour ses marches...

Très déçue.

J'aime beaucoup les récits d'explorateurs ou découvreurs mais celui ci ne m'a pas emballer. D'abord, j'ai eu du mal à suivre Sarah Marquis dans son périple. Il manque au livre une carte globale et les cartes des chapitres sont mal faites. Ensuite, pour parler plus du fond, l'auteur écrit plus pour elle que pour les lecteurs. Un exemple frappant, elle parle à plusieurs reprises de l'arbre de son arrivée en Australie, on comprend bien l'importance de cet arbre mais on ne saura jamais pourquoi. Et il est difficile de faire tenir 3 ans de voyage en 300 pages ce qui donne parfois un aspect tres décousu.

intéressant mais malheureusement pas assez profond. Les anecdotes sont souvent baclées et les pointes, que le lecteur attend, manquent. Souvent des moments vécus restent sans explications. On se demande si Sarah Marquis a tout simplement fait ce choix de ne pas approfondir ou si peut-être elle même se contente de situations sans chercher à comprendre les raisons devdifférents comportements. A part ça, chapeau à cette grande aventurière qui m'a fait voyager.

Friande de récits de voyages, admirant particulièrement Sylvain Tesson, j'ai été attirée par le titre de cet ouvrage...Déception!

Outre le fait qu'il est mal écrit, à aucun moment l'auteure ne nous permet de partager sa découverte des espaces traversés.Et surtout quelle vision noire de l'humanité! Où se trouve donc l'intérêt d'écrire ce récit?...

L'auteur reste très superficielle, nous narre ses petites aventures mais n'en tire rien de profond. Une certaine infantilité est marquée : "ma maman" est réitéré, elle voyage en tant qu'européenne de l'ouest et nous fait partager son aversion pour les peuples rencontrés : mongols, chinois Hans, russes de Sibérie...

Sauvage, oui, mais de ce fait, une réflexion philosophique ou méditative à partager aurait été intéressante.

Elle ne partage rien avec les lecteurs, comme avec les personnes croisées.

Le livre est donc inintéressant

Sarah Marquis est une femme qui mérite qu'on s'y attarde : son courage, sa bravoure, sa résistance au froid, à la faim, aux tempêtes, son calme face aux dangers... Quelle belle leçon de vie ! J'ai eu la chance de pouvoir l'écouter en conférence en Suisse : passionnée et passionnante, elle sait captiver son auditoire avec humour, franchise et son optimisme contagieux.

Son récit nous emmène de Sibérie en Australie en passant par l'Asie, de quoi alimenter son propre désir d'évasion...

Ayant lu plusieurs ouvrages des récits de Sarah Marquis à travers la planète, j'avais souvent été déçue de son écriture trop simple et répétitive. Ici, j'ai trouvé son récit de meilleur qualité et j'en ai apprécié la lecture. J'ai bien aimé également le fait qu'elle nous apprenne des choses sur l'environnement qu'elle traverse, comment elle a acquis son expérience etc. Par contre son "merci, merci" à tout bout de champ moins

J'adore cette exploratrice que je suis depuis longtemps mais force est de constater que son récit ne m'a pas touchée... Pas très bien écrit, assez décousu, assez répétitif aussi, l'écriture n'est pas à la hauteur de l'aventure et c'est dommage !

Plus les années passent et plus je ressens cet appel de la nature.



J'adore lire ces récits d'aventure. J'admire ces hommes et ces femmes qui s'aventurent là où personne ne va, seuls.



Ici j'ai découvert @explorer_sarahmarquis . J'ai été bercée par ses mots, emportée en Tasmanie. J'ai vu la beauté de la nature à travers ses yeux, entendu ses sons grâce à ses oreilles. J'ai été émerveillée, j'ai souffert aussi car évidemment explorer le monde n'est pas une promenade de santé et j'ai surtout beaucoup appris.



#jaireveilleletigre est aussi beau à l'extérieur qu'à l'intérieur. Bien plus qu'une exploration c'est une réelle quête de soi et un magnifique hommage à la nature.

Avec cette chronique, je boucle mon année littéraire 2023. Fort heureusement, je l’achève avec une très belle œuvre avec laquelle mon cœur a trouvé de nombreux échos. Sachant que je suis tourné vers les nombreux peuples qui résident sur notre belle planète, j’ai pris beaucoup de plaisir à accompagner Sarah Marquis lors de sa traversée de nombreux pays. Néanmoins, à de nombreuses reprises, j’ai ressenti de la peur pour elle. En effet, sachant qu’une femme se livre à une très grande marche en solitaire, je me suis douté qu’elle allait rencontrer quelques ennuis avec la gente masculine. Fort heureusement, elle achève son aventure sans trop de dégâts, ni traumatisme et avec un peu de chance, cette dame est sûrement en train de traverser un énième pays à l’heure où je rédige ces quelques lignes. Même si ce journal me permet de terminer l’année 2023 et qu’elle m’a offert de très bons moments, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes.



Point négatif :



• Il m’a manqué ce petit quelque chose pour en faire un coup de cœur. Le contenu est vraiment intéressant et si on m’avait offert la possibilité de poursuivre cette aventure avec d’autres pages, j’aurais accepté de suite. Toutefois, je n’étais pas habité par ce sentiment qui vous pousse à reprendre le bouquin dès qu’il fut posé, après la lecture d’un énième chapitre.



Points positifs :



• La taille aléatoire des chapitres.

• Les cartes se situant à chaque début d’exploration de pays. Cela nous permet de suivre la progression de l’autrice et de s’interroger sur certaines escales annoncées bien avant que ces dernières se manifestent.

• Avec un tel livre, Sarah Marquis veille à rien nous dissimuler et c’est tant mieux. Ainsi, nous pouvons apprécier chaque rencontre effectuée avec les différentes communautés qu’elle a pu croiser sur son chemin et certains humains… sont vraiment à éviter. Combien de fois Sarah a risqué sa vie alors qu’elle se contentait de reprendre son chemin ?

• Ses rencontres avec le monde animal. Vu comment que j’aime les animaux, je n’avais aucun mal à m’imaginer à sa place et je n’ai cessé d’envier sa position. D’ailleurs, on sent très facilement l’amour que porte l’autrice envers ces espèces animales et à partir du moment où l’on partage cette affection, chaque rencontre fut un enchantement.

• La plume de l’autrice. Je l’ai trouvé très agréable, fluide, avec un vocabulaire plutôt riche et en bonus, quelques termes propres au pays qu’elle traversait.

Un récit d'aventure qui détonne. Ici, peu de descriptions de paysages grandioses ou de rencontres fondatrices qui font d'ordinaire le sel de ces récits, même si l'on peut se douter qu'on ne traverse pas La Mongolie, le Laos, la Sibérie et l'Australie à pieds sans en prendre plein la vue.

Sarah Marquis nous livre ici l'envers du décors, celui d'une traversée pédestre en solitaire durant laquelle les rencontres humaines régulièrement teintées de malveillance, l'épuisement physique et le manque de nourriture vont constituer des menaces. On ressort de ce récit sans vraiment de paysage en tête, à part la photo de couverture, finalement. L'intérêt de l'ouvrage réside ailleurs, certainement dans la confrontation avec ce qu'il faut de force et de folie pour se lancer dans une telle aventure, lorsqu'on le lit bien au chaud sous un plaid. C'est essentiellement un voyage dans la tête (et dans les jambes !) de Sarah Marquis, et une invitation à réfléchir sur le dépassement de soi.

Quel parcours, quelle aventure…



C’est avec ce genre de récit d’aventure que j’ai pris goût au voyage et que je suis partie en tour du monde pendant 1 an et demi. Dans des conditions différentes, moins extrême, évidemment, mais toujours avec ce besoin de retrouver la nature, rencontrer les locaux, et me retrouver moi-même.



Je trouve que ce roman est un bel hymne à notre planète et à la nature.



J’aime beaucoup sa vision des choses et je m’y retrouve beaucoup.



Elle nous dévoile aussi ses valeurs et ses convictions sur plusieurs sujets avec notamment notre façon de consommer. Bref j’ai adoré !



« La Terre est notre trésor à tous, nous en sommes tous les gardiens. »



« Quand ils auront coupé le dernier arbre

Pollué le dernier ruisseau

Pêché le dernier poisson

Alors ils s’apercevront que l’argent

Ne se mange pas. »

Un roman dont je ne suis assurément pas le public cible, pour moi ce livre se rapproche plus de la littérature pour adolescent. J'ai néanmoins apprécié cette lecture où clairement l'auteure puise dans son vécu d'aventurière la matière à une telle histoire. J'avais lu à sa sortie le premier livre témoignage de Sarah Marquis, ce roman premier roman ne va pas me laisser une souvenir indélébile mais il m'a surtout donnée envie de lire ou relire ses autres ouvrages plus biographique, et de me replonger dans ses récits de voyages...

🪷

Un ouvrage comme j’en lisais souvent à l’époque. Cela m’a fait du bien de retourner vers ce genre de lecture et de retrouver les aventures de Sarah Marquis. J’ai lu 𝙄𝙣𝙨𝙩𝙞𝙣𝙘𝙩𝙨 en 2018 et j’ai 𝙎𝙖𝙪𝙫𝙚 𝙥𝙖𝙧 𝙣𝙖𝙩𝙪𝙧𝙚 dans ma PÀL.



Sarah Marquis est une aventurière suisse, une grande exploratrice. C’est une femme qui m’inspire beaucoup par sa sagesse, sa confiance, sa force, sa détermination.



🪷

Cet ouvrage c’est le récit des 15 moments d’expéditions qui ont changé son destin. Elle nous plonge dans une série d’aventures extraordinaires. Des histoires marquantes pour certaines. Un parcours mémorable, que l’on ne peut que féliciter.



À travers certaines expériences, -parfois choquantes-, on en apprend plus sur différents pays et sur certaines de leurs coutumes. C’est fort intéressant. En revanche, cela m’a conforté dans mon idée de ne pas visiter la Chine.



🪷

Suivre son intuition, s’écouter, se faire confiance. Se surpasser, vivre pleinement, foncer sans se retourner !



C’est un roman motivant qui donne envie de se dépasser, de repousser ses limites.

Les illustrations à chaque chapitre sont sublimes.



🪷

J’ai vraiment aimé cette lecture qui en plus de nous faire voyager, nous impressionne et nous motive. Il y a un petit côté « développement personnel » dans cet ouvrage qui m’a bien plu.
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Sur le papier, ce roman avait tout pour me plaire : voyage à travers le monde, découverte d'autres cultures, spiritualité, et même du mystère...



Mais ça ne l'a pas fait DU TOUT >.> le problème principal étant que c'est très mal écrit (sous tous points de vue). On sent que l'autrice a voulu faire plein de choses, parler d'énormément de sujets (sans doute trop) et ce sans avoir la vibe de romancière. Du coup, tout tombe à l'eau.



Pas vraiment de maîtrise narrative, des personnages survolés, et pas attachants, avec des discours peu crédibles, des clichés à la chaîne, des répétitions à n'en plus finir et un style clairement brinquebalant...



Le problème, c'est que ça casse tout : je n'ai eu aucun plaisir à lire (je me suis même demandé si je n'allais pas abandonner purement et simplement), les événements sont trop mal amenés, on ne comprend pas toujours le déroulé, ce qui fait que je n'ai même pas été retenue par l'intrigue et le côté se voulant mystérieux.



De même, tout le côté spirituel qui m'intéressait en priorité m'a paru survolé. Rien n'est approfondi, des phrases qui se veulent "paix avec le monde et soi-même" sortent de nulle part et sont souvent mal amenées, sans cohérence...



Il y a une volonté de bien faire, je ne peux pas le nier, mais ça ne fonctionne malheureusement pas.

Un livre inspirant qui invite à se mettre en marche!

Si vous n'avez pas lu les récits des expéditions de l'auteur, il vous donnera envie d'en savoir plus. Pourquoi ne pas commencer par ces récits avant d'arriver à cette compilation de 15 moments dont elle tire les leçons ? Leçons qu'elle souhaite nous transmettre comme une philosophie de vie. Un livre qui fait du bien et donne de l'énergie!

Difficile à ranger dans une catégorie, il compile aventure, voyage, spiritualité, développement personnel...