Sarah Marquis

J'ai eu beaucoup de plaisir à lire "Instincts" de Sarah Marquis. Ce qu'il y a de fort dans ce récit d'aventure c'est l'authenticité ! Ici, pas de place pour du blabla comme c'est de plus en plus le cas de certains autres auteurs d'aventures. Instincts va à l'essentiel, la lecture est fluide et Sarah partage de nombreux anecdotes qui font de ce livre une force.

Je m'y suis retrouvé à plusieurs reprises et malgré que l'Australie ne soit pas un pays qui m'attire, j'ai adoré découvrir une petite partie de ce monde.

Super aventurière (de quoi faire pâlir certains aventuriers masculins dont la presse parle un peu trop) !



[Livre acheté en librairie indépendante]

Cette aventure est encore une fois bien menée et écrite, et donne envie de voyager ! J'admire le courage de Sarah Marquis et sa volonté qui la mène au bout du voyage. 14 000 km ce n'est pas rien, bravo à elle pour cet exploit ! Sa détermination est inspirante.

Livre très intéressant qui nous emmène une nouvelle fois en voyage sur les traces de Sarah Marquis. Elle nous apprend tout un tas de chose sur les pays qu'elle traverse, elle décrit des paysages époustouflants. La manière dont elle raconte les choses et les événements est telle que l'on a vraiment l'impression d'y être.



J'ai par contre eu un peu de mal à certains moments avec la manière dont elle parle des gens qu'elle rencontre. J'ai trouvé qu'elle avait un regard un peu négatif parfois donc cela m'a un peu gêné.



Toutefois, c'est un livre très agréable à lire.

J'ai lu ce livre il y a quelques années. J'en garde un bon souvenir ! A travers son livre Sarah Marquis a surtout mis l'accent sur les difficultés rencontrées et notamment celles liées aux hommes de la Mongolie (et de leur perception du monde occident et notamment de la femme). L'histoire n'est pas là pour vendre du rêve comme une agence de voyage. L'auteure délivre ici Son aventure comme elle l'a ressenti (ses peurs, ses joies, etc.). Je me rappelle d'un passage lorsqu'elle est prise dans une tempête en plein désert qui m'a fait frissonné ! A découvrir !

Sarah Marquis s'est engagée sur les terres hostiles de l'Australie: crocodiles, serpents, araignées, feux de forêt, déshydratation et faim sont au rendez-vous. On perçoit que ce périple a été intense pour l'auteure qui nous livre ses impressions, ses doutes, on la suit dans son voyage initiatique où les épreuves permettent de renouer avec soi-même et de prendre conscience de la vraie valeur de la vie. Je trouve qu'elle passe des messages plus directs dans ce livre, en évoquant notre manière de consommer ou d'acquérir de la nourriture, sans être moralisatrice pour autant. Pourquoi consommer si mal en achetant des produits qui viennent de si loin, farcis de produits chimiques et de pesticides qui nous rendent malades? Consommer local, en échange direct avec le fermier, c'est consommer mieux et cela apporte des bénéfices à tout le monde. Elle évoque aussi la notion de prise de risque et notre difficulté à sortir de notre zone de confort, alimentés par la peur de l'insécurité. Profitons-nous vraiment de notre vie? Saisissons-nous réellement notre liberté? Elle évoque aussi l'amour, la mort, tout se qui compose l'essence de notre vie, et même si ce ne sont que des passages de son livre, ils nous rapprochent de ses convictions, de sa vision des choses pour mieux comprendre, à travers son écriture. J'ai bien apprécié la lecture, on la suit tout au long de son voyage, on espère surtout qu'il ne lui arrivera rien pour qu'elle puisse marcher encore très, très longtemps, afin qu'elle vienne ouvrir les fenêtres de nos maisons pour nous montrer ce qu'il y a de plus beau sur notre belle planète.

Un récit de voyage bien écrit et prenant dans lequel Sarah Marquis, une très grande marcheuse et une aventurière nous fait part de son voyage de la Sibérie à l'Australie en passant par la Mongolie. Elle a rencontré des animaux sauvages plus ou moins dangereux, des hommes bons ou des trafiquants de drogue. Elle a subi les températures les plus extrêmes, eu quelques maladies qui l'ont stoppée dans son parcours mais elle s'est toujours relevée. Une femme hors du commun qui va au bout de sa passion et qui sait savourer les petites joies (ne pas avoir faim, dormir sans peur, savourer un peu de riz...). Un bémol toutefois, le récit reste superficiel et elle raconte trop peu les rencontres qu'elle a faites.

Dans ce récit qui nous raconte le périple de Sarah Marquis à travers la Tasmanie , région sauvage et aux forêts inexplorées , l'aventure bien que passionnante démarre un peu tard avec la description des préparatifs , bien qu'indispensables .

Une belle aventure , mais au titre un peu trompeur car le Thylacine est évidemment absent et plus ou moins évoqué .

Pour le négatif beaucoup de mot anglais et latins pour les noms des plantes et les animaux ...

Un périple intéressant et dangereux mais avec beaucoup de courage et de volonté , avec un tigre supposé aperçu dans un fleuve , mais avec un gros doute quand même ...

Bien sûr le Tigre est au final surtout une métaphore sur la volonté de se surpasser et de continuer malgré les embûches et les souffrances , mais je m'attendais à autre chose .

Énorme déception avec ce livre. Le prologue donne le change, bien qu'il ne présente pas grand intérêt. Quelques remarques anecdotiques sur la prédation sexuelle dont l'auteure a pu faire preuve lors de ses expéditions en Mongolie choquent un peu, mais passons...

Et puis, ce sont les premiers chapitres qui arrivent. Le drame... Lourdeur stylistique des "coups de théâtre" proposés, absence complète de réflexion de fond... Je ne suis pas allé plus loin que les trente premières pages et je ne me risquerai pas, à nouveau, à lire du Sarah Marquis.

Adepte des récits de voyage et sensible à ce qui touche à l’Australie pour avoir eu la chance d’y avoir vécu, j’ai sauté sur ce livre. Une femme qui raconte son aventure à pied, ce n’est pas commun. Fan de la première heure d’Alexandre Poussin, de son écriture et de sa vision de la vie, je suis sûrement partie avec trop d’attentes.

Ce qui m’a beaucoup surpris dans ce livre, et je vois que je ne suis pas la seule, c’est le jugement, parfois le mépris et l’évitement des autres humains. Étant une femme moi-même, je comprends cette crainte de l’autre qui existe malheureusement, pourtant, dans un tel récit, on a envie de voir quelqu’un qui va au devant de tout ça, qui va à la rencontre de l’autre, s’ouvre aux cultures et aux avis même divergents. Il est compréhensible cependant que l’auteure ne souhaite pas se mettre dans des situations difficiles, évidemment, pourtant, sa plume m’a semblé négative et très peu portée sur la rencontre, au contraire.

Peut-être que si le thème avait été la marche, seule, dans la nature dans un but de se surpasser sans jamais demander l’aide de l’autre, ça m’aurait plus touché. Au final, je suis ressortie de ce livre avec une sensation que l’auteure était antipathique, ce qui était très décevant. L’aventure n’en reste pas moins impressionnante, mais le livre doit être lu avec du recul et en connaissance de cause.

Sarah Marquis nous entraîne dans sa folle aventure de de trois ans de marche solitaire de la Sibérie au nord de l'Australie. Un témoignage vibrant d'une démarche de survie en milieu sauvage pour cette jeune femme au courage et à la détermination exceptionnels. A livre absolument pour les amateurs d'expériences extrêmes.

C'est le premier livre de Sarah Marquis que j'ai lu, et quelle découverte ! Son aventure est absolument incroyable, et son récit tout autant. On découvre ses rencontres avec les populations locales, tantôt chaleureuses, tantôt déroutantes, parfois dangereuses. Ce livre et un concentré de rebondissements, vraiment je ne me suis pas lassée une seconde !

J'ai vraiment apprécié cette lecture. C'était un cadeau de la part d'un collègue que je remercie vivement de m'avoir fait découvrir ce récit de voyage de Sarah Marquis à travers toute l'Asie jusqu'en Australie pendant 3 longues années. La lecture est fluide et on a vraiment l'impression de partir avec elle dans son périple et à la rencontre des différents peuples croisés. Je l'ai trouvé très courageuse de partir ainsi et seule. Beaucoup de situations m'auraient fait abandonner cette longue expédition perso. Mais c'est super intéressant de constater les différentes mentalités en fonction des pays traversés, d'être témoins des belles rencontres faites à l'improviste à l'autre bout du monde dans les moments les plus durs ou les plus incongrus. Ce livre m'a donné envie de lire d'autres récits de Sarah Marquis.

« Sauvage par nature » est un récit de voyage passionnant qui se déroule sur plusieurs continents et sur trois années. Malgré les nombreuses galères et souffrances, Sarah Marquis s'accroche et parvient à terminer son périple.

Le style littéraire est plus abouti que dans « L'aventurière des Sables ». Cependant, j'aurais aimé que les parties sur le Laos et la Thaïlande soient plus développées.

Le cahier photos situé en milieu d'ouvrage est un bonus sympa car on y voit des gens qu’elle a rencontré, des photos de ses campements et des paysages qu’elle a traversé.

Un livre que je conseille à tous les lecteurs qu aiment l'aventure et qui souhaitent découvrir Sarah Marquis, véritable Mike Horn féminin.



Site officiel de l'auteure : https://fr.sarahmarquis.com/

Tapez « Sarah Marquis » dans Google. Cliquer sur une vidéo YouTube (interview de s marquis) et vous accéderez à une page proposant plein de vidéos (extraits de ses aventures en Australie, autres interviews...)

Encore une nouvelle aventure qui nous emmène en Australie. Quelle force et courage pour faire autant de km à pied. les paysages sont bien décrits, les rencontres dans ces lieux sauvages et presque inhabités nous sont bien relatées .

Je prends toujours autant de plaisir à suivre Sarah marquis. ❤❤❤

Je viens de découvrir cette exploratrice et autrice accomplie. J'ai aimé lire le récit de son expédition en Tasmanie, cela m'a donné envie de lire ses autres livres par la suite d'ailleurs.



Dans ce récit, j'ai aimé découvrir un territoire encore inconnu, la Tasmanie, sa faune, sa flore, son hostilité, ses pièges, son climat intransigeant, ses belles découvertes, son atmosphère particulière...



Le seul petit bémol (qui n'en est pas vraiment un): Pour ma part, j'aurai passé moins de pages sur la préparation de l'expédition, même si l'on comprend vite que cette étape est cruciale pour arriver au bout de l'aventure dans de bonnes conditions.



Une lecture intéressante et une belle découerte :)

J’avais hâte de le lire car Sarah Marquis est une aventurière incroyable et ces récits d’aventures sont très bien,mais là très grosse déception , la quatrième de couv m’avait vraiment attirée mais le roman n’a pas été à la hauteur de mes attentes Malheureusement j’ai trouvé trop d’incohérences, on saute d’un événement à un autre en passant par des descriptions beaucoup trop longues. J’ai perdu l’envie au cours de la lecture .

Voici un magnifique ouvrage : La Nature dans ma vie de Sarah Marquis. Pour ceux qui ne la connaissent pas, cette auteure suisse a une vie pour le moins fascinante, celle de voyager à pied à travers le monde en solitaire depuis 24 ans. Oui, rien que ça ! Au fil de ses explorations, notre aventurière a découvert comment se préparer à un long voyage et aborder au quotidien un mode de vie sain. Entre deux fragments d’expéditions, elle nous transmet des conseils inspirants à appliquer dans notre vie.



De nombreux chapitres sont au programme en allant de la gestion de son sommeil, au rechargement de ses batteries grâce à la nature, soigner sa peau, méditer, ou simplement s’épanouir dans sa vie. J’ai vraiment adoré cet ouvrage car l’auteure s’adresse directement à son lecteur par de nombreux encouragements, suivre ses rêves, s’assumer, se comprendre, et faire face aux incidents de parcours afin que l’on puise dans son histoire les nombreux avantages d’une vie saine.

C’est un bol d’air frais que je n’ai pas pu m’empêcher de dévorer. Les photographies de ses expéditions dans le désert de Gobi ou en Australie sont sublimes, c’est un ouvrage qui s’observe autant qu’il se lit. Un anti-stress à sortir de sa bibliothèque dès que l’on en a besoin.

On s’attend à une aventure pure et on est un peu déçu de découvrir au fil de l’eau qu’il s’agit d’une expédition très préparée. Avec tracker permanent, téléphone satellite et assistance en cas de coup dur et hélico TV à la toute fin du périple.

L’auteur est une force de la nature. Elle marche et marche. Se lave quand elle peut. Endure toutes sortes d’épreuves : orages, chaleur, froid, dangers humains, faim.. Vit avec l’amour de son chien D’Joe resté en Suisse. Le livre est beaucoup sur l’expérience humaine personnelle et moins sur la découverte des pays visités. On s’en fait quand même une bonne idée.

Le livre est un peu à l’image de l’expérience : modeste. Il reste des fautes. Mais l’auteur ne vise pas la perfection, mais le témoignage d’un rapport très proche à la nature.

Au final, l’expérience reste assez authentique malgré les sponsors et est agréable et instructive.

Plus que par les qualités d'écriture, qui ne sont pas forcément nécessaires pour ce genre de livre, que par ailleurs je respecte beaucoup, c'est par le récit lui-même que le livre est intéressant. Il ressemble à bon nombre de récits de voyages que j'ai lus, mais chacun a sa propre vérité, et on ne peut nier l'intérêt qu'il y a pour l'auteur de coucher sur le papier les souvenirs de ses pérégrinations. Elle ne manque pas de courage, Sarah, c'est le moins qu'on puisse dire, elle est même sacrément gonflée, mais c'est sa vie, elle est en quête d'on ne sait quoi, le sait-elle elle-même ?

Je vois des bonnes notes de la part des autres lecteurs, et pourtant...

J'en suis à la moitié de ce livre et si je respecte la performance physique de ce périple, je ne vois aucun intérêt d'écrire un livre pour une telle expérience.

Aucune âme de voyageuse partant à la rencontre des autres n'y transpire, au contraire elle a tendance à fuir ceux qu'elle croise. Et cette organisation où son frère sillonne de son côté la cordillère des Andes pour lui planquer ses petits paquets de bouffe lyophilisée....! Désolé mais c'est pathétique de voyager de cette façon.

Si on va " au pays des autres" , la moindre des choses si on se prétend voyageur est tout de même de chercher un tant soi-peu à se nourrir localement.

Remarque qui n'en devient que plus pertinente et que plus tristement cocasse que sur les pages de remerciements des différents sponsors , dont "Gaz naturel" " qui reconnaît dans ma démarche "une énergie durable" .

Ah bon ? Le verbiage de la communication des entreprises est extraordinaire: ils ont aussi eu des déductions fiscales pour financer un tel projet ? Nicolas Hulot a parrainé l'opération avec ses hélicoptères ?



Traverser un cours d'eau et avoir le slip mouillé!

Etre en rupture de stock de PQ!

Non mais,

Quelles aventures!

il n'y a pas de quoi noircir des 1/3 ou des 1/2 pages pour de telles choses insignifiantes.



J'ai un peu voyagé, souvent seul, dans des contrées qui n'étaient pas toujours hospitalières, sans pour autant jamais avoir eu le sentiment de vivre des exploits qui mériteraient d'en faire des livres..... et là je me dis que sans exploit - disons sportif - qui n'a de valeur que pour soi, j'ai vécu des rencontres inopinées avec des gens , j'ai échangé des regards laissés lettre morte avec des jeunes femmes me voyant discuter avec leurs parents,; j'ai eu des moments de joie, des moments d'angoisse , des sentiments de solitude , de la peur lors d'agressions venant de nulle part.

Mais tout ça ne me semblait pas suffisant pour en écrire un livre.

Mais là? Rien , ou si peu que pas.

Le seul intérêt de ce livre serait de se dire: mais comment peut-on faire autant de km , mettre autant de moyens ( c'est quand même un voyage qui a dû coûter un maximum de pognon) pour un si piètre résultat humain et avoir envie d'y aller pour y rencontrer les gens , les côtoyer, faire la causette avec eux, faire un petit bout de chemin avec eux quand l'occasion se présente, et tout ça sans se faire sponsoriser par " le gaz naturel"