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Critiques de Simon R. Green (161)
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Traquemort, tome 1 : Le proscrit

L'impératrice Lionnepierre XIV, a destitué Owen Traquemort, le Seigneur de Virimonde et elle emploie des moyens étonnamment disproportionnés pour l'éliminer, aurait-elle des buts cachés ? - Issu d'une famille à la longue tradition guerrière Owen s'était pourtant retiré loin de la Cour en tant qu'historien et pensait être à l'abri des machinations politiques, c'est à n'y rien comprendre. Cependant le temps n'est plus à la réflexion mais bien à l'action, et notre héros va être obligé de se plonger dans la vie à laquelle il essayait d'échapper s'il veut survivre ! Il n'a d'autre choix que de fuir, mais curieusement les destroyers de "la Garce de fer" ne sont jamais loin, malgré tous ses efforts pour leur échapper, et c'est en fuyant qu'il en vient à croiser d'autres rebelles qui finiront par s'associer pour survivre - et pour survivre le seul moyen c'est d'écraser l'Empire, et tous les moyens seront bons …





Beaucoup d'action, ça démarre sur les chapeaux de roues avant de changer d'atmosphère lorsqu'il est question de l'impératrice, de sa cour, et des multiples intrigues qui s'entrecroisent à Golgotha, et ça ne se limite pas à la noblesse, il faut aussi compter avec les clones, les espsis, les cyber-rats et autres rebelles sans droit traqués par les forces de l'Empire. Du côté d'Owen les adversaires se multiplient, Lionnepierre a lancé à sa poursuite ses wampyres, des espsis de combat conditionnés et même un alien indestructible, mais notre héros n'est pas en reste en s'alliant à un rebelle professionnel sur le retour, des aventurières de prime abord pas très claires, un homme amélioré, avant de réveiller un ancêtre et de faire copain avec un loup garou, sa bande développe même ses capacités au contact d'un mystérieux artefact alien, pff, ce n'est que le premier tome et les protagonistes s'accumulent dans la diversité, alors que les I.A rebelles de Shub et deux races d'alien possiblement agressives ne sont pas encore entré en lice - ça promet pour la suite !





Un page turner qui incite, lorsqu'on a tourné la dernière page, à entamer de suite le second tome, ça tombe bien je l'ai reçu ce matin. Un space-opera à l'allure soutenue allégé par un zeste d'humour bienvenu et de multiples allusions que les amateurs apprécieront, je ne puis que vous conseiller de tenter l'aventure …
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Traquemort, tome 1 : Le proscrit

Traquemort... Où le space op ultra dense.. que pour un premier tome prends-toi le bien dans les dents !



Traquemort... Rien que le nom...

Traquemort futur pirate de l'espace... Mais nan aucun rapport avec Solo.... Ni même Albator... quoi que.

Traquemort noble banni, noble déchu... noble en fuite...

bon.. Traquemort ça va... on s'en fait une bonne idée assez vite, ainsi que ce monde galactique... l'étendue de cet univers, vu les nombreuses planètes...

Mais damned, le nombre de protagonistes, d'endroit, pour un premier tome m'a laissée pantoise... si si... le genre « je me souviendrais jamais de tout ce monde-là... » et je dois admettre que ce fut le cas...

Et puis les rôles, les intrigues, les clans, les buts annexes, les conflits, les ennemis, les potes, les questions sur avant, sur pourquoi, sur qui est qui, qui est quoi... et bon y vont où là.. C'est laquelle déjà ?

Un sacré bordel foisonnant... Alors quand c'est comme ça... y a deux solutions, ou on sort le papier et le crayon pour noter des trucs histoire de... ou on lâche prise.. on dit OK... pas grave... je verrais bien de toute façon qui s'en sort... perso j'ai plutôt tendance à faire ça..

J'aime bien Green aussi..

Parce qu'au final, comme d'hab j'ai envie de dire... Bin

Y a de l'aventure.. l'aventure comme quand on est môme et qu'on imagine...

Y a de l'humour... plein. Même si l'humour est un peu noir. J'adore particulièrement l'OZ...

Y a des noms qui font rêver Brumonde, Shandarkor...

Y a cette frontière diffuse entre les genres, comme d'habitude avec Green... y a du médiéval fantastique au milieu de pistolets lasers, et de bonds dans la galaxie...

Y a comme d'habitude, les bons mots, ce ton hardboiled... ce cynisme désabusé.. sur l'humain et ses travers... ils sont tous fous, pour une raison ou pour une autre, sont plein de fêlures de cassures.. de bêtises, fanatisme...

Et pourtant, y a cette naïveté qu'on retrouve aussi toujours chez Green, pour une raison ou pour une autre.. parce que trop de cynisme tue le cynisme... et puis personne n'est parfait...

Y a aussi quelques grosses ficelles, quelques bons frissons, un peu de tension parfois... beaucoup de déviances de toutes sortes... parce que faut pas croire, la galaxie c'est pas super choupi... nan... un peu glauque, de sacrées horreurs même...

Et puis de la technologie, même si quand même un sabre à son côté c'est la classe...

Y a de la vie dans cette galaxie là... même si on meurt quand même pas mal... et des fois c'est un peu sale.. y a pas mal d'hémoglobine... ça tache un peu quoi...

Et pourtant si dense... foisonnant de tout... sur tout...

Questions existentielles, sur le monde l'homme et ses dérives... même si on est au milieu d'arènes de combat, ou perdu dans la jungle à la recherche d'une cité mythique.. Quand je vous dis que ça a un côté Med-fan...

Et pourtant non.. on est est dans le froid de l'espace, on va sur des planètes inconnue.. des rebels, des traites, l'empire ou une cinglée/psychopathe/impitoyable... rayer la mention inutile... heu .. y en a pas... Où donc une impératrice règne sur la galaxie de façon sanglante...

Ah si y a un petit côté Star-wars...

Mais pour être franche, pendant ma lecture j'y ai très peu pensé.. J'avais d'autres choses qui passaient dans ma tête...

Nan je l'avais bien Traquemort et sa bande de bras cassé récoltés tout au long de cette aventure... Même si il reste plein de questions en suspend...

Et ça c'est plutôt chouette... ça donne envie de lire le deux...
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Darkwood, tome 1 : La nuit de la lune bleue

(...) Je commence par vous déconseiller de lire la 4e de couverture, je trouve qu’elle en dit trop par rapport à la façon dont démarre l’histoire.



De cet auteur, j’avais lu le 1er tome de la série Traquemort, que j’avais beaucoup apprécié. La Nuit de la Lune Bleue se situe nettement au-dessus dans mon petit palmarès personnel, bien que reprenant les mêmes recettes.



Car nous sommes ici encore une fois dans du bon gros blockbuster, un peu bourrin parfois, avec de l’humour, de l’ironie, quelques facilités et/ou grosses ficelles, mais ça fonctionne super bien. Parce que les personnages sont bons, déjà: intéressants, fouillés, avec une réelle présence. L’intrigue quant à elle, si elle commence sur le ton humoristique et parodie la fantasy traditionnelle, est très bien ficelée et ne connaît aucun temps mort. Il se passe toujours un tas de choses, il y a énormément d’action, d’aventure et de magie. Et, surtout, même si on commence sur le ton parodique et qu’on reste dans le divertissement, l’histoire tient la route. C’est intelligemment mené, l’auteur ne prend pas son lecteur pour un idiot et fournit des réponses qui en valent la peine. (...)
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Nightside, Tome 1 : Vieux Démons

Bon, bon, bon. Commençons par les choses qui fâchent. Vous allez un peu me maudire, si bien sûr après lecture de cet avis vous songez à acquérir cette petite merveille d’humour noir. Car mesdames et messieurs, seuls les trois premiers tomes de cette série, qui en comporte douze, ont été traduits par Bragelonne. Ajouté à cela, la parution est relativement ancienne (2007), ce qui augure d’une chasse au trésor pour trouver un exemplaire à vendre. Adeptes des tablettes, donnez-vous en à cœur joie, car une version ebook existe.



J’ai tout bonnement A-DO-RÉ ce premier tome, un bijou d’urban fantasy d’un point de vue masculin, celui de l’impayable John Taylor. L’écriture est percutante et addictive comme ce n’est pas permis. Familière et élaborée à la fois, elle offre des descriptions mêlant l’extraordinaire à l’ordinaire et des dialogues bien sentis qui comportent des explications franches et drôles. Ce qui fait la force de cette série, c’est un mélange explosif composé d’un personnage humain à l’humour noir décapant et d’un univers parallèle, le Nightside, original et inquiétant, sachant que ces deux éléments sont collés l’un à l’autre à la Super Glue. En effet, John est un pur produit du Nightside, un baroudeur en ces lieux qu’il hait et aime à la fois. Il a d’ailleurs une façon de les décrire tout en fascination et en répulsion, les deux sensations étant contagieuses pour le lecteur.



Après avoir fui le Nightside cinq ans auparavant, John, un détective privé capable de retrouver n’importe quoi et n’importe qui, accepte malgré tout d’y retourner pour sauver une adolescente fugueuse. Ce retour aux sources est l’occasion pour nous d’en apprendre plus sur son passé, sur son don, mais également sur sa place dans ce Londres parallèle où les époques se mêlent, les monstres sont affamés et les âmes en perdition. C’est une ville étrange, qui défie les lois de la logique, dans laquelle les émotions les plus extrêmes vous saisissent, et où le danger rôde à chaque coin de rue.



On part donc à la pêche aux infos aux côtés d’un John qui nous balade dans des endroits insolites, nous permettant de découvrir la population locale haute en couleur, qui ne le porte pas dans son cœur, ce qui est un moindre mal quand on sait que certains veulent le tuer. Nous avons aussi droit à des monologues intérieurs, qui dévoilent la personnalité attachante de notre anti-héros, tourmenté par ses doutes et sa volonté de changer de vie sans y parvenir. Malheureusement pour lui, et il en est douloureusement conscient, quand vous avez un pied dans le Nightside, il est impossible d’en sortir, encore plus quand vous faites partie de la faune prédatrice qui le peuple.



C’est un excellent tome de mise en place qui se dévore. L’enquête est bien menée, d’autant qu’elle recoupe finalement le passé du personnage. Plein d’humour, empreint d’un réalisme horrifique, de questionnements sur l’humanité en général, cet opus nous appâte dans le Nightside et nous colle une furieuse envie d’y revenir pour le plaisir de suivre les péripéties de John, dont on espère qu’il trouvera enfin les réponses sur sa véritable nature… N’hésitez plus, entrez dans le Nightside, mais méfiez-vous des apparences…
Lien : http://www.place-to-be.fr/in..
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Traquemort, tome 5 : La destinée

Valable pour la série de 1 à 5 (un livre par an) les épisodes 6 à 8 ont été écrits 5 ans plus tard, les personnages initiaux sont morts depuis des siècles et j'ai choisi de ne pas m'engager dans cette nouvelle aventure.



Pour le reste :

Magnifique space opera. Ultra coloré.

Un univers totalement déjanté, exubérant, criard, excessif. cet univers mérite tous les superlatifs.



Les personnages, haut en couleur accrochent immédiatement la sympathie ou la haine, c'est selon. On les suit avec passion.

La lecture est aisée, linéaire.

On ne s'ennuie pas un seul instant. De l'action à tous les niveaux qui va crescendo au fil des tomes.



Tous les thèmes sont abordés (IA, pouvoirs de l'esprit, machines, vaisseaux spatiaux, extra-terrestres etc...)

De l'humour, du suspense.



A lire absolument.
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Traquemort, Tome 4 : L'honneur de Traquemort

Valable pour la série de 1 à 5 (un livre par an) les épisodes 6 à 8 ont été écrits 5 ans plus tard, les personnages initiaux sont morts depuis des siècles et j'ai choisi de ne pas m'engager dans cette nouvelle aventure.



Pour le reste :

Magnifique space opera. Ultra coloré.

Un univers totalement déjanté, exubérant, criard, excessif. cet univers mérite tous les superlatifs.



Les personnages, haut en couleur accrochent immédiatement la sympathie ou la haine, c'est selon. On les suit avec passion.

La lecture est aisée, linéaire.

On ne s'ennuie pas un seul instant. De l'action à tous les niveaux qui va crescendo au fil des tomes.



Tous les thèmes sont abordés (IA, pouvoirs de l'esprit, machines, vaisseaux spatiaux, extra-terrestres etc...)

De l'humour, du suspense.



A lire absolument.
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Traquemort, Tome 3 : La guerre

Valable pour la série de 1 à 5 (un livre par an) les épisodes 6 à 8 ont été écrits 5 ans plus tard, les personnages initiaux sont morts depuis des siècles et j'ai choisi de ne pas m'engager dans cette nouvelle aventure.



Pour le reste :

Magnifique space opera. Ultra coloré.

Un univers totalement déjanté, exubérant, criard, excessif. cet univers mérite tous les superlatifs.



Les personnages, haut en couleur accrochent immédiatement la sympathie ou la haine, c'est selon. On les suit avec passion.

La lecture est aisée, linéaire.

On ne s'ennuie pas un seul instant. De l'action à tous les niveaux qui va crescendo au fil des tomes.



Tous les thèmes sont abordés (IA, pouvoirs de l'esprit, machines, vaisseaux spatiaux, extra-terrestres etc...)

De l'humour, du suspense.



A lire absolument.
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Darkwood, tome 1 : La nuit de la lune bleue

Voici un roman qui attendait depuis fort longtemps dans ma bibliothèque, heureusement grâce à la proposition de lecture commune de Iluze, je suis parvenue à enfin le sortir de mon étagère.



Ma première impression fut, quelle sacrilège de l'avoir laissé aussi longtemps dans l'oublie.



Ce fantasy qui ne paye pas de mine m'a, dès les premières pages conquise de part un humour omniprésent m'ayant souvent provoquée des éclats de rires. Nous nous retrouvons, une fois le premier chapitre entamé dans l'obligation d'esquissé des sourires. Le preux chevalier et prince Rupert perd d'entrée de jeu de sa superbe, affublé d'une immonde et imposante armure l'empêchant de bouger. Juché sur son fidèle destrier La Licorne qui, à défaut de se taire face à son maitre se retrouve à avancer et ployer sous le poids de son hôte. Nous pénétrons dans les aspirations et pensées du Prince Rupert, ce dernier se remémorant les histoires des Ménestrels contant les quêtes héroïques de ses défunts ancêtres mais, en ayant pris le soin d'omettre certain détails fort important comme, le soucis d'éviter les fruits de la forêt ayant des effets laxatif et surtout le timing approprié à adopter pour enlever son armure dans les temps pour soulager sa vessie.

Le ton est donc donné et nos vieux contes ne sont pas épargnés et cela fait du bien.

Le prince Rupert est envoyé au début du récit dans une quête, celle de tuer un dragon. Le Roi John en a décidé ainsi afin que son fils puisse prouver sa valeur mais Rupert n'est pas dupe, la seule chose que son Père attend c'est bel et bien sa disparition. Rupert n'en n'a cure et veut prouver à qui le veut qu'il en est capable. Se retrouvant après de longue et périlleuses péripéties lui ayant infligé des cicatrices externes et des traumas internes, le prince parvient enfin devant l'antre du dragon. Dans une attitude et un langage très théâtrale Rupert criera haut et fort son défi à la bête. Le dragon apparaitra et lui proposera un deal, il accepte de le suivre si le prince abandonne l'idée de le tuer et, en bonus il aura une princesse à ramener dans son Royaume. Cette dernière dénommée Julia a été envoyé par sa famille comme sacrifice car se refusant à un mariage arrangé. Le dragon n'ayant pas voulu lui ôter la vie, cette dernière s'est retrouvée à vivre avec lui tout en lui intimant ses ordres. N'est pas bourreau qui veut . Julia porte le titre de princesse mais ce dernier ne lui sied pas au vu de son attitude. Jeune femme indépendante et ne discutant qu’après avoir frappé. Amusée par ce prince chevauchant une licorne, elle acceptera de le suivre dans son Royaume De La Forêt accompagné du dragon collectionneur de papillon et de La Licorne peureuse.



L'auteur a eu le don de savoir mélanger divers genre. à première vu nous pensons être dans une parodie qui m'a souvent rappelé le film Shrek, hors il n'en n'est rien. Le récit assez désopilant au début s’avérera au fur et à mesure de l'avancé de l'histoire assez sombre, violent et glauque. Tous les personnages assez charismatiques apportant énormément au roman évolueront au rythme des drames les frappant peu à peu.

Je me suis très vite attachée au prince Rupert pourvu d'énormément d'humour corrosif, d'intelligence et sachant user de la dérision pour se sortir des pièges de la cour. Chevalier très attachant, courageux, loyale et intègre. Sa relation avec tous les personnages gravitant autour de lui prêtant à sourire. Sa relation avec Julia étant bien au centre de cette aventure. Cette fière princesse m'a parfois fait penser à Fiona de Shrek. Épéiste aguerris pouvant tenir tête à tous les chevaliers de la cour, défendant bec et ongle l'honneur de Rupert en cassant quelques mâchoires et virilité masculine en passant. Une princesse à la fois forte, fragile et touchante.

La licorne, fidèle monture de Rupert possédant énormément de caractère et très fidèle vis à vis de celui qu'il considère pas seulement comme son maitre mais comme un ami. Destrier assez drôle ne pensant qu'à fuir lors des combats, trouvant souvent des cachettes derrière les arbres et ayant la mauvaise habitude de marquer les tentures du château dû au stresse.

Le dragon ayant également un rôle atypique. Ressassant assez souvent sa vieillesse et souffrant de solitude. Ayant pour seule richesse et passion sa collection de papillon. Un personnage à part entière prêt à tout pour ses nouveaux amis.

D'autres sont également présent comme le Roi John, son ami et astrologue Thomas, Le champion de la cour et le frère ainé de Rupert appelé à reprendre la couronne, Harald. Celui là m'a également fait beaucoup sourire par moment de part le lien qu'il aura avec Julia, j'ai encore en tête leur partie de morpions et les raclés subis par le futur Roi. Sacrée Julia! Cependant comme tous les personnages crées par Simon.R Green il sera pourvu d'une part sombre et glaçante.



Qu'ajouter de plus? J'ai beaucoup apprécié ma lecture que j'avais pourtant redouté avant de pouvoir la commencer. Le nombre de pages étant assez conséquente, j'avais peur de m'ennuyer, hors il n'en a été heureusement rien. L'auteur a une écriture fluide et drôle nous poussant à dévorer chaque chapitre avec délectation. En parlant d'eux, j'ai été assez surprise de constater que les chapitres étaient monstrueusement grand, juste pour citer le premier: 75 pages.

Pour conclure je dirai que ce fut pour moi une lecture fraiche et divertissante alliant humour, drame et atmosphère glauque, une habile alternance nous transportant sans réelles fausses notes.
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Darkwood, tome 1 : La nuit de la lune bleue

Un livre que j'ai mis du temps à démarrer. Une erreur fatale !



Une série révélatrice avec un très grand potentiel. Les personnages sont charismatiques car chacun a son petit je ne sais quoi qui le fait devenir attachant.

La princesse est un vrai garçon manqué, le dragon est un vrai fainéant, la licorne est une vraie flipette et alors le prince est un peu trop sur de lui. Mélangez tout cela et vous trouverez un livre plein d'action, de tendresse et d'humour.



Les descriptions ne sont pas trop longue et donc le livre à plus de 700 ne nous paraît pas si rébarbatif.



Un livre que je conseillerais à tous ceux et celles qui aiment les romans de fantastique assez léger mais en même temps plein de sensationnel.
Lien : http://homelaet.canalblog.com
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Traquemort, Tome 3 : La guerre

Dans cette suite directe du tome précédent, les bases ayant été jetées, la guerre dans toute sa démesure peut éclater. Envoyés sur trois planètes afin de les rallier à la Rébellion ou de récupérer des informations, ceux qui ont traversé le Labyrinthe voient se développer de nouveaux pouvoirs qu'ils ignoraient lorsqu'ils doivent faire face aux forces écrasantes des grandes Familles, à celles de l'impératrice ou aux créations des Furies de Shub. L'impératrice Lionnepierre XIV n'est pas en reste et fait feu de tous bois, à tel point que ses excès diffusés en direct en "GalaxyVision" finissent par générer une révolte générale et sur tous les mondes les peuples se soulèvent, y-compris sur Golgotha, monde capitale où le conflit ne pourra se terminer qu'avec l'élimination de "la Garce de fer" honnie - mais il ne faudra pas compter sur sa coopération.





Tous les personnages vont se déchaîner, tous les moyens vont être mis en action jusqu'au bouquet final, alors que les Familles nobles continuent d'intriguer afin de tirer leur épingle du jeu et que le conflit baigne dans un océan d'hémoglobine.





De l'action, de l'action et encore de l'action, tout y passe, dans la démesure en général, et l'humour grinçant n'est pas oublié. Un livre qui peut être lu et compris sur plusieurs niveaux, mais dans tous les cas un plaisir …
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Nightside, Tome 1 : Vieux Démons

John Taylor est un détective privé spécialisé dans la recherche d’objets perdus, un don né de ses origines puisque Taylor est natif du Nightside, le côté obscur ignoré de tous de Londres. Comme tous les privés, Taylor connait des fins de mois difficiles et l’arrivée de la très riche Joanna Barrett lui apparait donc comme providentielle. Joanna, en effet, lui propose une forte somme pour retrouver sa fille, adolescente fugueuse partit s’encanailler dans le Nightside. Taylor accepte donc de retourner dans ce territoire incertain…à ses risques et perils.



Avec ce premier tome de la saga Nightside, Simon Green n’invente rien mais démontre son talent évident pour sublimer ses influences. Son John Taylor (un hommage au bassiste de Duran Duran?) ressemble à John Constantine et il déambule dans un univers d’urban fantasy inspiré à la foi par le NEVERWHERE de Nail Gaiman et les classiques du polar comme LE FAUCON MALTE. Personnages peu recommandables, femme fatale entreprenante, magouilles, trahisons et rebondissements s’invitent donc tout au long de ses 250 pages de littérature divertissante plutôt bien troussée.



Le Nightside lui-même, quoiqu’à peine effleuré(laissons d’autres découvertes pour les prochains tomes), se montre convaincant avec son obscurité perpétuelle (il y est toujours 3 heures du mat’) et sa galerie de “freaks” déambulant dans ses ruelles inquiétantes. Plusieurs époques et lieux se côtoient avec plus ou moins de Bonheur dans ce quartier magique niché au coeur de Londres. Simon Green parsème l’intrigue de références plus ou moins évidentes, d’emprunts à la culture anglaise (celle, plus fantasmée que réelle ancrée dans l’inconscient collectif depuis “Chapeau melon et botte de cuir” ou “James Bond”) et d’arguments rock & roll, son héros rencontrant notamment le Dieu Punk du Rasoir ou s’enfilant une bière dans un pub bloqué à jamais dans les swingin’ sixties.



Mélange de polar façon série noire retro, d’urban fantasy horrifique gluante et d’humour bien senti, VIEUX DEMONS constitue une plaisante découverte, une lecture “facile” mais très agréable qui donne envie de se plonger rapidement dans la suite.
Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Darkwood, tome 1 : La nuit de la lune bleue

Le Royaume de la Forêt est au plus mal, le Noirbois gagne de plus en plus sur la Forêt accompagné d'une multitude de démons, il faut faire quelque chose. Les vassaux demandent l'assistance du roi, mais les caisses du trésor sont vides et toutes ses troupes sont mobilisées. Il est peut-être temps d'essayer d'agir, en envoyant le prince Rupert, son fils cadet, en quête par exemple, afin de piller le trésor d'un dragon et de ramener sa dépouille afin de la monnayer. Accessoirement se débarrasser du fils cadet embarrassant pour l'héritier ce n'est pas plus mal, Rupert a peu de chance de survivre n'est-ce pas …





Voilà notre héros en route monté sur sa licorne mâle un peu trouillard et la langue bien pendue (heu, vous connaissez la règle pour pouvoir fréquenter une licorne ?). En chemin il devra traverser une portion du Noirbois, occire quelques démons et lorsqu'il trouve un dragon celui-ci est plutôt amical, alors pas de raison de l'occire, tout ce qu'il demande c'est qu'on le débarrasse de la princesse embarassante qu'on lui a offert en sacrifice … Contre toute attente après moult épreuves Rupert rentre au Château de la Forêt, accompagné d'un dragon vivant et d'une princesse, ayant gagné de l'assurance et perdu toutes les illusions qu'il pouvait encore avoir sur la réalité des héros …

Le livre commence comme une parodie humoristique où tous les standards habituels convenus sont tournés en dérision et pervertis. Mais rapidement avec l'avancée du Noirbois le récit devient de plus en plus sombre et classique, et le livre me semble de moins en moins intéressant, même si la pointe d'humour reste présente.





L'écriture est fluide et agréable, mais finalement ce livre n'a rien de transcendant à mes yeux, du correct certainement, mais sans plus, ça n'a pas fait tilt et je n'ai pas réussi à vraiment m'immerger dans le récit, même si la lecture n'était pas désagréable …
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Traquemort, tome 2 : La Rébellion

À la cour ça va de mal en pire, l'Impératrice dispose toujours d'un pouvoir absolu qui lui permet de réaliser sa moindre lubie, souvent au détriment des autres, même si Aliens et autres semblent prendre plaisir à lui rabattre le caquet, à son grand dam. Les grandes familles, elles, n'arrêtent pas d'intriguer, les unes contre les autres et contre la la "Garce de fer" que tout le monde aimerait évincer, un vrai panier de crabes, à ce rythme les familles finiront par s'éliminer l'une l'autre. Pendant ce temps la Rébellion s'organise et prépare ses premières actions contre l'Empire.





Dans la première partie de cette suite directe du premier tome l'auteur nous rappelle souvent les événements antérieurement narrés en les enrichissant et en révélant les tenants et aboutissants, ce qui donne lieu à ce qui pourrait être des longueurs, mais comme c'est fait avec talent c'est surtout une occasion d'approfondir notre connaissance des personnages et du milieu dans lequel ils évoluent.

À Golgotha, la capitale, derrière le paraître se cachent de multiples intrigues et traîtrises, les grandes familles s'affrontent, la rébellion s'agite, alors qu'à la Cour ultra protégée Alien et guerrier fantôme animé par les I.A rebelles de Shub donnent spectacle.

Pendant ce temps le capitaine John Silence et l'investigatrice Givre font une tournée des mondes aliens asservis ou supposés tels par l'Empire, avec leur chance habituelle ils vont certainement encore risquer de perdre leur navire.

Les rebelles eux s'organisent et planifient leur premières actions - les deux cents dernières pages du livre en profitent pour nous relater l'action d'éclat menée sur Technos III, où les intrigues des grandes familles et des forces ecclésiastiques vont se confronter aux rebelles sous l'œil de l'Impératrice en GalaxyVision, un feu d'artifice détonnant où certains vont devoir reconsidérer leur position.

Les personnages hauts en couleur se multiplient, ouvrant le chemin pour des développements certainement intéressants dans les prochains tomes.





Un livre qu'on prend plaisir à dévorer et qui incite dès la dernière page tournée à attaquer le tome suivant …
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Traquemort, tome 2 : La Rébellion

Une excellente suite.

On y retrouve une bonne parties des personnages du premier tome. Owen Trquemort, Hazel d'Ark, Rubis Voyage, Jack hasard, Finlay Campbell qui a rejoint la résistance et bien d'autre.



Dans ce tome on rentre un peu plus dans le vif du sujet comme le titre l'indique on assiste ici au début de la rébellion. Les pièces se mettent en place et le roman est vraiment captivant.



Je le conseille très fortement à tout fan de SF qui aime les bonnes aventures épiques.
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Nightside - Intégrale

Tome 1, vieux démons : un premier tome sympa, raconté à la 1ere personne par John Taylor un détective privé désabusé aux pouvoirs spéciaux qui vit entre deux mondes. Ce roman, qui se lit très facilement grâce à une écriture fluide, plante le décor et laisse présager de bonnes surprises pour la suite. De plus, le fait que le livre soit plutôt court donne du rythme à l'histoire et ne permet pas de temps mort.

Un mélange des genres surprenant et sympathique avec des personnages et des lieux hauts en couleur (une mention spéciale pour leurs noms;-) ).

Tome 2, L'envers vaut l'endroit :un peu déçue par ce 2eme tome, je n'ai pas retrouvé l'engouement du 1er et l'intrigue m'a moins emballée. Par contre, j'ai apprécié la visite dans la planque du Collectionneur, (ça m'a rappelé la série Warehouse 13) ainsi que les informations obtenues sur la famille du héros, j’espère qu'elles seront plus développées dans le tome 3.

Tome 3, La complainte du Rossignol : Dans cette 3eme enquête, John Taylor a toujours autant le chic pour se mettre dans des situations critiques et c'est toujours aussi sympa. Et c'est l'occasion de rencontrer de nouveaux personnages intéressants. Seul bémol, dans ce tome pas de révélations sur les origines de Taylor et pas de suite traduite en français...

Qu'à cela ne tienne, j'ai passé un agréable moment de lecture avec ces enquêtes dans un univers pour le moins original.
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Darkwood, tome 1 : La nuit de la lune bleue

Petit royaume, un prince et une princesse, un dragon, une licorne... ce roman pourrait faire penser à un conte... si le prince n'était pas un cadet couturé de cicatrices, en sursit pour éviter une guerre de succession, si la princesse n'était pas une bagarreuse aux coups et au langage bien affûtés, si le dragon n'était pas un pacifique collectionneur de papillons, si la licorne n'était pas à moitié pleutre... et si le paisible petit royaume n'était pas à la limite de devenir une nuit éternelle peuplée de démons.

Ce remarquable pastiche de "contes de princes et princesses" manie un humour mordant, un château dont la configuration rendrait fous la plupart des architectes et des personnages en dehors de leurs rôles habituels.

traitrises et coups bas sont légions, et chacun tente de tirer la couverture à soi au milieu d'un pays qui sombre.

Un très bon roman de fantaisie, un peu décalé et bourré d'humour (plus ou moins noir).
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Les aventures de Hawk et Fisher - Intégrale, ..

Ce livre constitue pour moi la seconde incursion dans l'univers de Simon R Green, la première ne m'ayant pas convaincu mais je suis tenace et ne m'arrête pas à une première impression. Car l'écriture de Green m'interpelle quelque part. Quelque chose dans ses lignes me parle et je ne saurais le définir.

Ce tome réunit donc les 3 premières aventures de Hawk et Fisher, que je ne vous présenterais pas. La première ressemble au début à une banale histoire de loup garou mais le ton évolue rapidement et se transforme en une enquête passionnante menée haut la main par nos deux enquêteurs. Le scénario se borne à l'enquête et à sa résolution comme un bon vieux Sherlock Holmes, mais le récit se déroule dans un univers de fantasy. Et là où on attendait les habituels clichés du genre, on découvre une chouette histoire, bien racontée. Je me suis laissé prendre au jeu des deux héros au fur et à mesure de la lecture alors que les premiers chapitres appelaient plutôt ma déception et un certain renfrognement de ma part. Et j'avoue m'être laissé complètement séduire par les deux aventures suivantes car l'auteur utilise le même principe et, en plus, il élargit son univers, nous emmenant toujours plus loin dans son monde. Ainsi il créé un véritable univers de fantasy, une mythologie très personnelle, et d'un coup une vision très particulière du genre fantasy, qu'il revisite à sa façon. Il nous propose de la nouveauté là où plein d'auteur se sont cassés les dents, dans un genre où il devient aujourd'hui difficile de se renouveler. J'émettrai juste un petit bémol concernant les deux personnages principaux dont la psychologie mériterait d'être un peu plus approfondie d'autant que Simon R Green s'attarde souvent sur leur relation, mais il se borne aux indications du moment, aux réactions et sentiments ponctuels dépendant directement des événements, et aux événements eux mêmes.

Il reste que je suis agréablement surpris par cette première intégrale et je m'efforcerai de dénicher la suite dans ma bibliothèque favorite....
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Darkwood, tome 1 : La nuit de la lune bleue

Tous les ans, je guette l'opération Bragelonne "10 ans, 10 titres à 10€". J'aime beaucoup ce principe, car cela permet de découvrir des premiers volumes ou des histoires complètes en grand format à un prix intéressant. En 2014, je m'étais laissée attirer par le résumé de "La nuit de la lune bleue" et avais espéré passer un bon moment. Cela ne fut malheureusement pas le cas : je n'ai pas accroché à cet ouvrage.



Certes, il y a de l'humour et des clichés volontaires, puisqu'il s'agit d'une parodie, cependant c'était un trop. J'ai souri à quelques références, à plusieurs personnages vraiment atypiques et à des situations loufoques... Mais à la longue, j'ai fini par me lasser. J'avais l'impression que l'auteur surenchérissait sans arrêt, traînant alors en longueur. J'ai donc accroché à la première moitié, puis me suis cruellement lassée. L'histoire ne sortait pas trop des sentiers battus, c'étaient surtout les personnages qui faisaient la qualité de l'œuvre... Sauf que je n'ai pas apprécié Rupert, le héros. Je préférais de loin la Licorne couarde qui a un caractère explosif ainsi qu'une langue bien pendue ! Elle apporte un soupçon de fraicheur et un humour plutôt appréciable. Il y a également Julia, cette version plus "hardcore" et engagée de Fiona (Shrek).



La quête initiatique du Prince l'amènera à faire de nombreuses rencontres qui lui permettront de "grandir" et de se remettre en question... Tout comme Julia qui sera contrainte de rester au château avec la famille de Rupert. Elle devra affronter malgré elle certains membres de la Cour qui n'ont rien à envier aux nobles de la saga "La Passe-Miroir" ou à quelques protagonistes de GoT... Manipulateurs et avides de pouvoir, personne ne parle ou n'agit sans réfléchir. J'ai bien aimé ce jeu de pouvoir... Mais c'est sans doute dû au fait que Rupert n'était pas présent...



Les codes du monde fantastique sont chamboulées. L'humour est bien présent, mais parfois lourd et cynique. La plume est de qualité, néanmoins j'ai eu du mal à apprécier ce que je lisais. Je me suis tellement lassée et ennuyée avec la moitié du récit, que j'ai fini par être très déçue de ma lecture. Peut-être n'était-ce pas la bonne période pour ce type d'ouvrage ? Après-tout, il a connu un franc succès sur la blogosphère ou sur divers sites littéraires... Deux années sont passée : peut-être mon avis serait tout autre si je relisais ce livre ? Peut-être pas... De tous les cas, il en faut pour tous les goûts. Je suis certaine que si vous aimez les parodies loufoques, les références fantastiques ou les univers similaires à ceux de Terry Pratchett, vous devriez être conquis(e). Pour ma part, je passe mon tour pour le moment...


Lien : https://lespagesquitournent...
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Nightside, Tome 1 : Vieux Démons

Agréable découverte que ce premier volume. Son faible nombre de pages pourra inquiéter le lecteur habitué aux pavés mais cela permet à Vieux démons de garder une intrigue efficace de bout en bout, ne souffrant d'aucun temps mort et évitant une prétention trop gonflante. En bref, du divertissement pas prise de tête mais très réussi, qui aurait tout à fait trouvé sa place dans un magazine Pulp.



L'univers du roman, que l'on pourrait qualifier d'urban fantasy (horrifique, ce qui en continuant dans l'anglicisme donnerait de la urban dark fantasy... oulà !), n'est pas sans rappeler la mythologie Lovecraftienne et donc tous les romans qui en découlent. C'est que Lovecraft inspire beaucoup. Le Nightside est un Londres parallèle où s'invitent les humains mais aussi des dieux, des démons et des créatures issues de nombreux autres univers, planètes ou époques. Les personnages que rencontre John Taylor, amis ou ennemis, sont plus excentriques les uns que les autres, dotés de personnalités bien aiguisées et peu recommandables, comme l'indiquent leurs patronymes sympathiques : Eddie le rasoir ou encore Suzie la mitraille. Certains sont aussi gluants, chitineux, bref, peu humains. John Taylor est aussi poursuivi par des puissances occultes qui veulent lui faire la peau à cause de ses mystérieuses origines (sa mère n'était pas humaine) et de ce qu'il pourrait faire avec ses pouvoirs. Cependant, Vieux démons n'est pas un pur roman d'horreur jouant uniquement sur son glauque contenu : il possède aussi sa dose d'humour, évidemment noir, macabre et cynique, tant dans la narration (de John Taylor) que dans les dialogues aux répliques incisives.



Petit bémol tout de même : arrivé à un certain stade du récit, la fin devient trop prévisible. Contrairement aux héros, je n'ai pas été surprise du sort de la fille de Joanna, certaines descriptions et le titre même du chapitre m'ayant fait deviner le fond du problème. Les sous-entendus de John Taylor m'ont aussi fait deviner trop vite un autre aspect de l'intrigue. Ceci étant dit, ce premier volume de Nightside ne révèle pas tous les mystères entourant notre héros. Je suis donc impatiente de découvrir la suite.
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Le vin de minuit

Deux mondes parallèles, Mystérie et Véritie se cotoient avec leurs propres règles. Il existe quelques passages entre les deux.

Dans Mystérie, les êtres ont des pouvoirs "magiques" mais sont condamnés à jouer leur rôle. En Véritie (notre monde), les gens ont leur libre arbitre mais n'ont pas de pouvoir et sont dans l'ensemble faibles



Le plus ou moins big boss de mystérie râle parce que les gens de véritie ne l'adorent plus et décide donc de raser tout ça, pour avoir son petit Mystérie bien à lui.



Le reste est le roman, d'une lecture plaisante dans l'ensemble. J'ai bien aimé le côté caricatural des gens de Mystérie par rapport au pauvre plouc de Véritie, mêlé à tout à parce qu'il aime la fille qu'il faudrait pas.



Quelques phrases sont de toute beauté comme la citation d'une réplique de Hob que j'en ai tirée.



Hob m'a fait pensé à plusieurs reprise au Caligula de Camus :



CALIGULA :

"Non, Scipion, c'est de la clairvoyance. J'ai simplement compris qu'il n'y a qu'une façon de s'égaler aux dieux : il suffit d'être aussi cruel qu'eux."

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