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Critiques de Sue Townsend (154)
La femme qui décida de passer une année au lit

J'ai tellement entendu parler de ce roman comme d'un ouvrage hyper drôle que j'ai été un peu déçue, surement car j'attendais beaucoup de ce livre, notamment de rire aux éclats du début à la fin.

Or, ce ne fut pas le cas !



J'ai passé un bon moment avec ce roman, Eva est une femme qui m'a beaucoup intéressé. Les personnages sont pas mal, l'ensemble est original.

J'ai apprécié l'histoire, mais je pensais rire beaucoup plus.

Il se lit très vite, j'ai profité de mes vacances pour le lire presque d'une traite.

J'ai sourit plusieurs fois, j'ai apprécié l'humour anglais de l'auteur.



Mais je dirais : vite lu, vite oublié. J'ai aimé sans pour autant adorer ou dire waouh en le refermant.



Je ne regrette pas ma lecture, je le conseille mais niveau humour anglais, ce n'est pas le meilleur roman du genre que j'ai lu.



Un peu déçue donc :) Surement car j'en avais beaucoup entendu parler, et dans ces cas là on s'imagine souvent un livre si génial qu'on ne peut être que déçue quand on le lit :)
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La reine et moi

En 1992, Sue Townsend imaginait sans ciller que la famille royale britannique était obligée de quitter Buckingham. De la reine mère à lady Diana, en passant par le prince Philip.

Après la victoire du Parti républicain populaire voici que les Windsors s'installent en banlieue.
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La femme qui décida de passer une année au lit

Malheureusement, je n’ai pas aimé ce roman autant que je l’avais espéré. Je suis sans aucun doute passée totalement à côté, car je n’ai pas ri, je n’ai pas été émue ou touchée.



Pourtant, l’idée de Sue Townsend est intéressante. Eva, après dix-sept ans de bons et loyaux services décide de rendre son tablier. Elle se met au lit et ne compte pas en sortir avant un certain temps. Au début, son entourage ne la prend pas au sérieux. Selon eux ce n’est qu’une manière d’attirer l’attention, voire une petite dépression. Rien de bien grave. Toutefois, les mois passent et Eva ne sort pas de son lit. Son histoire se répand, la machine médiatique s’emballe et on ne parle plus que d’elle. Quant à la fin, elle m’a laissée plus que perplexe. Elle arrive d’un seul coup et le livre se termine abruptement.



La suite sur le blog !! :)
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La femme qui décida de passer une année au lit

Je l’ai lu il y a un mois déjà et je dois avouer que mon avis sera mitigé. Mais je tiens tout de même à remercier les éditions Charleston pour cette découverte.



Les jumeaux d’Eva quitte le nid familiale afin de commencer leur vie à l’université. La coupe est pleine pour cette mère de famille et épouse bien sous tous rapports. Elle décide sur un coup de tête qu’elle passera une année dans son lit. Comme je le disais mon avis va malheureusement être un peu mitigé. J’ai trouvé ce livre au final assez pessimiste. On a l’impression que pas mal de malheurs sont réunis : la femme trompée, un mari incompréhensif, des enfants hackers, asociaux et insociables, une ado dérangées après une enfance difficile… C’est dommage car l’humour que ce roman contient en est terni. Je n’ai pas vraiment apprécié les caractères très stéréotypés des personnages : ils en perdent leur humanité et leur singularité.



Bien sûr tout n’est pas noir, je me suis surprise à sourire en m’imaginant certaines situations. Le personnage le plus attachant est Eva. Je la plains franchement quand je vois les gens qu’elle doit supporter au quotidien. Ils sont tous plus « empotés » les uns que les autres. En ce qui concerne les autres protagonistes, ils sont à la limites du détestable et du supportable exception faite d’Alexander. Ce personnage est vraiment la touche de fraicheur et d’humanité de ce roman. J’ai vraiment aimé la fin. Je pense que c’est ce que j’ai préféré dans ma lecture et ce qui m’a le plus touché. Par contre, j’ai l’impression que le fait de rester au lit pendant un an n’a pas vraiment fait avancer le situation d’Eva. Je ne vois pas bien la finalité en réalité. Pareil en ce qui concerne le déclic d’Eva pour quitter son lit qui reste assez flou.
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La femme qui décida de passer une année au lit

Vous pensiez qu'en restant un an au lit, vous éviteriez tous les problèmes ? Et bien détrompez-vous ! Et c'est Eva qui l'apprend à ses dépens. Après le départ de ses jumeaux pour l'université, elle décide de se coucher... et de ne pas se relever. Elle ne pensait sans doute pas voir débarquer dans sa chambre mère, belle-mère, mari, maîtresse du mari et inconnus persuadés qu'elle est une sainte capable de résoudre tous les problèmes. Sue Townsend nous entraîne dans un univers un peu déjanté, qui mêle humour et sensiblité. Un bon moment de lecture.
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La reine et moi

A la suite de l'élection d'un opposant politique, la reine, accompagnée de sa famille, doit vivre un logement social d'un quartier défavorisé, sans aucun avantage.



Les situations cocasses qui en découlent sont décrites avec beaucoup d'humour. Elizabeth va apprendre à faire le thé, aider une voisine à accoucher et va trouver des solutions aux problèmes banals et quotidiens qu'elle ne connaissait pas. Pendant ce temps, son mari tombe en dépression, Charles jardine et Diana a des questions bien frivoles. Même le chien se désolidarise en allant courtiser hors de son standing.



Dans cette histoire tendre, où l'on sourit beaucoup, se dessine en creux une critique sociale du Royaume-Uni. Mais la reine reste un personnage fort sympathique, pleine de sang-froid, de courage et de sollicitude.



Une lecture très agréable.
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La reine et moi

"La reine et moi" de Sue Sue Townsend est une satire féroce où les tête couronnées remplacent les acteurs de la série britannique "Eastenders".

Ce livre a été présenté au club de lecture de la bibliothèque de Tubize le vendredi 1er avril par Christiane.
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La femme qui décida de passer une année au lit

Eva, qui vient de fêter ses 50 ans, voit avec plaisir ses deux jumeaux, Brian Jr et Brianna, quitter le nid familial pour poursuivre leurs études à l’université. Alors que Brian, son mari conduit les deux adolescents sur le campus pour leur installation, Eva s’allonge sur son lit tout habillée et…..ne quittera pas celui-ci pendant les 12 prochains mois.



Au début, son entourage pense qu’il s’agit d’une dépression passagère et que tout rentrera très vite dans l’ordre. Mais Eva persiste et la panique gagne son mari : qui va s’occuper de lui et de la maison ? Les jumeaux, loin des yeux loin du coeur, ont vite fait d’oublier leur mère. Il ne reste que Ruby, la mère d’Eva, ainsi qu’Yvonne, sa belle-mère, pour finalement s’occuper d’elle.



D’autres personnages entreront dans la vie d’Eva qui, bien que recluse, va susciter l’engouement des foules et des médias.







A travers un récit loufoque parfois, comme savent si bien le faire les écrivains anglais, Sue Townsend met en lumière les questionnements d’une femme de 50 ans : depuis 17 ans elle s’est consacrée à ses enfants, à son mari, aux tâches ménagères. Elle se voit vieillir. Elle a besoin de réfléchir afin de savoir quelle suite donner à sa vie.



Je n’ai pu m’empêcher de faire un parallèle avec l’excellent film « La crise’ de Coline Serreault où Maria Pacôme quitte son mari pour partir avec son prof de yoga, laissant ses enfants grands complètement désorientés…. !!!!







Ah, quelle jubilation ! Celles qui, comme moi, ont dépassé la cinquantaine comprendront ….. !
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Dans la peau de Coventry

Si vous cherchez une histoire plausible, passez votre chemin. Ici, c'est déjanté et ubuesque, plein d'humour anglais et de situations irréalistes. Au fil des pages, vous croiserez un couple d'excentriques dont le fils fait rôtir des pigeons dans sa chambre, un mari qui se soucie plus de ses tortues que de sa femme, un premier ministre dans une bien mauvaise posture ou encore un flic aux méthodes très douteuses.




Lien : http://croqlivres.canalblog...
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La femme qui décida de passer une année au lit

J'ai beau être maman de jumeaux et bien connaître la problématique de la fatigue que cela implique, je n'ai pas accroché à ce livre et me suis même arrêtée aux alentours de 300p. J'ai trouvé que l'auteure partage vraiment bien tout ce qui a trait à la charge mentale de l'héroïn, Eva. Elle nous partage bien toutes ces menues actions, invisibles, qui font tourner le foyer sans que personne ne s'en aperçoive. Par contre, les personnages périphériques ne m'ont pas convaincue et finalement lassée.
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La femme qui décida de passer une année au lit

Le titre de ce livre m'a étonné et m'a attiré.

Les premières pages, les premiers chapitres sont joliment parsemés d'un doux humour Britannique.

Puis, les chapitres passant l'atmosphère change, devient plus pressante avec l'expression d'un vrai douleur incomprise.

C'est un joli livre divertissant, mais dont la fin m'a laissé sur ma faim, peut-être n'est elle pas à l'image de la qualité des premiers chapitres.
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La femme qui décida de passer une année au lit

j'ai cru emprunter à la bibliothèque un livre plein d'humour, mais en fait.... ce n'est as si drôle. il y a des personnages sympathiques, voire très... des personnages antipathiques, et beaucoup avec un peu des deux :) mine de rien on a l'occasion de s'interroger avec Eva, l'héroïne du livre. mais aux deux-tiers du livre j'ai un peu peiné à poursuivre ma lecture. je ne vis pas en Angleterre mais quand même, beaucoup d'invraisemblances. finalement happy end je crois avoir compris, les amoureux se retrouvent, les imbéciles sont punis et les bons se rapprochent. what else? ^-^
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La femme qui décida de passer une année au lit

Je viens de passer, non pas une année avec Sue Townsend, mais quelques jours avec son roman.



Je ne connaissais pas du tout l'auteur(e) et ai acheté ce roman au détour d'une braderie. Et j'ai pris un réel plaisir à le lire.



Eva est une femme de cinquante ans qui a passé l'intégralité de sa vie d'adulte, et de femme, important de le préciser, à s'occuper de son mari et de ses deux enfants, ces derniers trouvant ça on ne peut plus normal. Alors, quand elle découvre une tache sur un fauteuil qu'elle a mis du temps à restaurer, elle décide que trop, c'est trop. Ses jumeaux surdoués étant partis à l'université, elle va désormais s'occuper d'elle. Et voir si elle compte aussi pour les autres...



C'est un roman loufoque, très humour british (j'aime beaucoup) et j'ai souri voire ri à plusieurs reprises. Ce fut une très bonne partie de lecture même si je comprends que ce roman puisse rebuter.



Dans la lignée de certains romans de Jonathan Coe et de David Lodge



Un bon trois étoiles et quelque pour moi
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La femme qui décida de passer une année au lit

En soi l'idée de départ est intéressante, voir amusante. Mais ici cela ne fonctionne pas. Dans cette famille, le dialogue est rompu depuis longtemps, les membres vivent les uns à côté des autres sans se confier ni se voir vraiment. Pourquoi ne pas avoir parler de cette lassitude de la mère ? Pourquoi ne pas expliquer sa position ? Car concrètement, elle agit sur un coup de tête, sans plus d'explications, sans mettre de mots sur son mal-être que du coup personne ne comprend. Admettons, qu'elle essaye tout de même, au cas où quelqu'un finisse par comprendre, mais devant l'incompréhension générale pourquoi ne pas avoir réagit ? Pourquoi imposer ce lourd fardeau à sa mère déjà vieille et souffrante, qui du coup ne peut prendre le temps de se soigner ?

L'idée originale du départ, c'est transformé en mur d'égoïsme, où l'auteur semble nous dire que cette femme est à plaindre. Certes elle l'était sûrement au départ.



(Chronique complète sur le blog)
Lien : http://www.lalecturienne.com..
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Dans la peau de Coventry

Dans la peau de Coventry avait fait pas mal parler de lui lors de sa sortie, l’an dernier, aux Editions Charleston. Des copinautes blogueuses l’avaient reçus et certaines comme Carnet Parisien ne l’avaient pas du tout aimé. Pourtant, j’avais toujours hâte de le lire, aussi, quand j’ai vu le titre aux Editions 10-18, je me suis ruée dessus. Mais vais-je le défendre ?



Commençons par les bons points : tout d’abord, sa couverture. Vous me connaissez maintenant et savez qu’une jolie couverture peut faire de moi tout ce qu’elle veut. Et ça, chez 10-18, je crois qu’ils l’ont bien compris. Coloré, pleine de pep’s, dans la fraîcheur du mois de Février, il faut avouer que ça fait du bien au moral. Deuxième bon point : Ses chapitres. Courts, concis. On pense lire un chapitre ou deux et au final, on se retrouve à enchaîner les pages sans s’en rendre compte. J’ai également apprécié la plume de Sue Townsend qui va droit au but, sans fioritures et autres chichis. Enfin, les personnages secondaires sont plutôt pas mal dans leurs genres. Excentriques voir complètement fous, ils apportent un peu de fraîcheur à l’histoire.



Mais pourtant, je suis globalement restée de marbre face à ce roman. On m’a annoncé un roman drôle et j’ai du rire une ou deux fois. Rien de bien folichon. L’héroïne est agaçante et je trouve son histoire bien trop peu exploitée. C’est un personnage qui, avant le meurtre, menait une double vie, avait une double personnalité. Son fils l’apprend, mais à aucun moment cela ne ressort dans l’histoire. A quoi ça sert alors ? Pareil, on apprend que potentiellement elle ne serait pas la cause de la mort du type qu’elle a tué. Mais c’est tout, on n’en fait rien de cette information. Pourquoi ? C’est ce que j’ai trouvé le plus dommageable dans ce roman. En plus, l’héroïne n’étant pas attachante pour deux sous, il est encore plus difficile de trouver un point d’accroche pour apprécier pleinement l’histoire.



Pour conclure, Dans la peau de Coventry m’a laissé un avis bien trop négatif même si j’ai apprécié le style de l’auteur, les personnages secondaires ou encore sa couverture. Un personnage principal pas attachant et une histoire bien trop plate aura eu plus de poids que les points positifs pour que je puisse être satisfaite de ma lecture. Dommage car ça aurait pu être un excellent roman à mes yeux…
Lien : https://popcornandgibberish...
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Dans la peau de Coventry

Un roman enlevé dont la lecture est plaisante, souvent drôle et pas bête. Toutefois, la trame s'avère trop légère.

Une critique plus détaillée et d'autres sur
Lien : http://le-blog-d-elisabeth-g..
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Dans la peau de Coventry

déçue ... très en dessous de la femme qui décida de passer une année au lit. a moins que ce soit la traduction française qui ne rende pas bien l'humour très "british" que l'on ressent pas loin sous les mots mais qui ne prend décidément pas.
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La femme qui décida de passer une année au lit

Ce livre retrace l’histoire d’Eva, mère de famille de 50 ans qui décide, une fois ses enfants partis de la maison, de se mettre au lit, pour une année. On y suit son cheminement personnel, car Eva a décidé de réfléchir à qui elle est réellement. Mais on verra que s’arrêter pour regarder la vie en face n’est pas sans risque.

En plus de l’aspect comique des situations et des personnages, ce livre amène à réfléchir sur différents sujets, et principalement sur les interactions sociales. Il démontre en effet que l’Homme est un être social par essence. Même en voulant se couper du monde, Eva reste totalement dépendante des autres et ne parvient pas non plus à empêcher les autres de dépendre d’elle. De la même manière, alors que sa décision amène dans un premier temps ses proches à s’épanouir, évoluer, ils finissent par en pâtir par la suite. On voit alors que l’équilibre d’une personne repose également sur son entourage, que l’on tient debout les uns avec les autres et les uns grâce aux autres. Un livre qui est donc léger mais qui permet aussi d’aller plus loin.
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Dans la peau de Coventry

Coventry est belle. C’est un fait.

Mais Coventry a aussi tué un homme. Son voisin.

Il faut dire qu’il l’avait bien cherché …



Coventry, la mère de famille presque exemplaire, serait dont une meurtrière. Une meurtrière en fuite qui plus est ! Car oui, une fois son méfait accompli, Coventry a fui. Loin de chez elle, loin des siens, loin de ses responsabilités. Et vu qu’elle a agi sur un coup de tête, elle a fui sans rien. Pas d’argent, pas de vêtements de rechange … pas de produits de toilette (oui, c’est très important dans l’histoire). Rien.



Elle se retrouve alors à Londres, prise pour une clocharde, une prostituée, une moins que rien. Il lui faut gagner de l’argent. Honnêtement ou pas. Coventry va alors rencontrer de drôles de personnages qui ne vont pas toujours lui simplifier la tache.



Pourtant elle s’accroche. Et petit à petit, un plan (presque) infaillible se dessine. Coventry va alors mettre toute son énergie à s’en sortir, même si pour cela, elle doit abandonner sa vie d’avant.



Je suis facilement rentrée dans l’histoire. Une histoire légère et divertissante, qu’il ne faut vraiment pas prendre au premier degré.



L’histoire se situe à la fin des années 1980, la femme n’est pas encore tout à fait l’égale de l’homme et Sue Townsend appuie bien sur cette différence dans son roman.



Elle nous décrit une femme « normale », qui a des relations « normales » et une vie « normale ». Si ce n’est qu’elle vient de commettre un meurtre. Et que sa vie « normale » n’est pas si satisfaisante que ça pour elle.



Et si commettre le pire des crimes était finalement la chose dont Coventry avait besoin pour enfin exister ? Pour enfin s’affirmer et laisser court à ses véritables envies ?



Parce que c’est aussi et surtout de cela dont il s’agit. Une succession de rencontres qui vont permettre à Coventry de se découvrir, de prendre enfin confiance en elle, d’enfin oser dire ce qu’elle veut, d’enfin oser vivre ce dont elle a toujours rêvé. Et même s’il faut faire des concessions, laisser des choses derrière elle, elle prend ses responsabilités comme jamais elle n’aurait imaginé.



« Dans la peau de Coventry » est un roman qui s’apprécie et qui divertit. Une lecture agréable et pleine de surprises !
Lien : http://vudemeslunettes.fr/20..
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Dans la peau de Coventry

Par où commencer… Déjà, je me suis ennuyée pendant cette lecture. Coventry est une femme somme toute assez banale, en dehors de son extraordinaire beauté qui lui vaut de ne même pas avoir besoin de se maquiller. Ok, soit. Mais sa beauté ne la sauvera pas, elle a commis un crime, elle est en fuite, et elle doit s’en sortir. Seule.

Je n’ai pas très bien compris l’intérêt d’insister sur son extrême beauté, à part dans la scène du parc avec l’inconnu édenté (une scène qui m’a un peu répugnée, la facilité avec laquelle Coventry fait une croix sur sa vertu et son intégrité n’ayant pas été suffisamment développée à mon goût). Pour moi, l’histoire n’était simplement pas cohérente : une mère de famille se retrouve en fuite et à aucun moment nous n’avons vraiment accès à ses émotions. Coucher avec un inconnu pour de l’argent – même pas, pour un Kitkat ! – ne semble lui poser aucun problème moral ni vis-à-vis d’elle-même, ni vis-à-vis de son mari, et encore moins vis-à-vis de ses enfants.



J’ai trouvé l’intrigue assez pauvre. Après avoir commis un meurtre, Coventry déambule dans les rues de Londres et rencontre différents types de population. Il y a ce couple de fous que j’ai adoré, un petit moment loufoque qui m’aura fait rire. Malheureusement, Coventry est vite chassée de ce foyer et doit trouver un autre moyen pour survivre. Elle fait la rencontre de Dodo on ne sait pas comment, qui l’invite chez son frère, lui-même corrompu politiquement. Ok, et alors ? Rien n’est vraiment creusé, tout est survolé.

Même le tableau des sans domicile fixe est survolé, alors qu’avec un tel sujet, il y avait tant à dire et à dénoncer ! Bref, aucun des personnages ne m’a plu, ni l’inspecteur de police, ni les parents de Coventry, ni ses enfants, ni ses amies, ni même son frère et sa belle-soeur…



Pour faire simple, je le disais précédemment, je me suis ennuyée. Je n’ai pas trouvé la réelle satire sociale à laquelle je m’attendais, et je trouve ça dommage. Je pense que c’était une intrigue avec du potentiel, mais qui est clairement mal exploité et qui est loin de m’avoir passionnée. Je n’ai pas aimé les personnages, il n’y avait pas vraiment d’attente quant au dénouement, qui est de ce fait un peu plat et ne m’a pas vraiment surprise.



En conclusion



Pour moi, ce roman n’est clairement pas représentatif de la richesse du catalogue Charleston. Ce n’est donc pas un livre que je recommanderais ! Arrêtez-vous plutôt sur les belles romances historiques qui représentent, à mes yeux, les meilleures publications de la maison
Lien : https://carnetparisien.wordp..
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