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Critiques de Yann Queffélec (628)
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Les noces barbares

Une bien triste histoire.



Les Noces Barbares, récompensées par le prix Goncourt en 1985 était dans ma bibliothèque depuis l’époque de sa sortie, j’étais persuadée l’avoir lu et ne plus m’en souvenir. Je viens de le relire, je ne me souvenais de rien et j’en suis à me demander si je l’avais vraiment lu.



Il s’agit d’une triste affaire, une histoire qui bouleverse. Nicole 13 ans, fille du boulanger du village, est violée par son petit copain, un soldat américain, mais pas que, ce dernier en fait profiter ses copains, c'est d'un viol collectif dont elle est victime. Pauvre Nicole, elle se retrouve enceinte et bien sûr l’américain, marié et père de famille, repart dans son pays sans se retourner.



Elle accouche d’un petit Ludovic, dit LUDO, qui bien sûr n’est pas le bienvenu. Pauvre Ludo, tout d’abord enfermé dans un grenier et privé d’amour maternel se débrouille comme il peut. Mais pour s’épanouir on en est tous conscients, il faut l’amour d’une famille et cet amour lui manque terriblement. Sa mère le dit fou : "il a le singe" !



Nicole finit par se marier, Micho son mari est affectueux avec Ludo et fait tout pour lui rendre la vie agréable, mais c’est trop tard !

Ludo arrivera-t-il à se faire accepter par sa mère ?



Ce livre est écrit en trois parties :

- Le grenier,

- La vie dans la maison de Micho,

- L’asile et l’après asile.



Ces trois épisodes sont aussi durs les uns que les autres. Quelle triste vie a eu Ludo qui malgré tout a toujours espéré être aimé !



C’est avec une belle plume que Yann Queffelec nous narre cette triste histoire, les mots sont justes et bien choisis, il nous entraîne avec Ludo et avec lui on espère ….

A travers ce roman on vit un drame, voire plusieurs drames car plusieurs vies sont mises à l’épreuve par Nicole (poussée par ses parents) mais elle, que va-t-elle devenir ? Un livre qui se lit bien !



Un prix Goncourt bien mérité.

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Le maître des chimères

Entre Yann Queffélec et moi, c'est toujours compliqué. J'alterne entre bonnes et mauvaises surprises et pour ce livre ci, on est plutôt du mauvais côté à tel point que j'ai failli l'abandonner ce qui ne m'arrive jamais.

J'aime m'attacher aux personnages d'un roman, or ici l'auteur nous trace le portrait d'un homme mythomane, lâche, fainéant, imbu de lui-même. Un menteur compulsif égocentrique, indifférent au sort des siens à l'exception de sa fille mais cela ne suffira pas à le racheter. On suit ses aventures et on le regarde s'enfoncer toujours plus. L'écriture de Yann Queffélec m'a également déçu même si elle accompagne au mieux les dérives de son personnage principal.

Il faudra attendre l'épilogue, les deux derniers chapitres pour que je trouve cette histoire intéressante, il est vrai qu'on se retrouve face à un virage à 180° mais c'était hélas bien trop tard.
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Et la force d'aimer

Je connaissais cet auteur car lu "la menace" et "les noces barbares" .

Ce roman est aussi bien écrit que les deux romans que j'ai lu de cet auteur.

L'histoire est peu banale mais peut arricver à n'importe qui. J'ai vraiment apprécié ce roman.

Le style est parfait. Le titre correspond à l'histoire. Auteur à suivre
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30 jours à tuer

J'ai beaucoup aimé ce livre plein de rebondissements une fin que nous prend par surprise.

Quand je l'ai lu je ne savais pas que c'était une nouvelle écrit par plusieurs auteurs. Tous les chapitres sont bien liés aux autres et l'on se croirait prise dedans avec le personnage.



Je te laisse le découvrir.



Belle lecture 🌺📖
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Les noces barbares

Déception... L'histoire de fond a du potientiel : Ludoviv né issu d'un viol, sa mère n'arrive pas à l'aimer et le rejette. De son côté il ne cesse de rechercher l'amour de celle ci.

Je n'ai pas réussi à me plonger dans le récit. J'ai eu l'impression que les faits étaient simplement énoncés les uns après les autres, mais aucun sentiment ne ressort au travers des lignes. Je suis peut-être passer à côté de quelque chose ? Si vous l'avez lu, qu'en avez-vous pensé ?
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Les noces barbares

L'amour maternel n'est pas toujours inconditionnel...



C’est le genre de roman qui vous sort de votre zone de confort, et ce, dès les premières pages du livre, avec la description de ce viol insoutenable.

C’est l’histoire de Ludovic, conséquence d’un viol collectif sur une enfant de 13 ans, Nicole. Ludovic va passer les premières années de sa vie caché dans un grenier, tel un fardeau, une honte familiale à dissimuler.



Les personnages sont décrits comme simplets, dans le but de rendre la narration encore plus crue qu’elle ne l’est déjà, à mon sens.

Les parents de Nicole, boulangers de campagne, n’ont qu’une hantise : c’est que la réputation de leur famille ne soit ternie et ne soit une entrave à trouver un mari convenable pour leur fille. Il y a une certaine frustration du lecteur concernant Nicole, qui est toujours dans l’approbation de sa mère, ne cherchant pas à s’émanciper d’eux et à s’autoriser à éprouver des sentiments pour son fils.







Le lecteur est accroché à ce maigre espoir qui attise cette douloureuse lecture.

Ce roman pourtant très sombre, pourrait en faire abandonner plus d’un, mais la grande profondeur de ces sentiments refoulés, fruit d’un récit réaliste, tient en haleine, jusqu’à cette fin inéluctable, avec un Ludovic qui a environ 34 ans.

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Moi et toi

Moi et toi retrace les aventures d'un couple marie depuis vingt ans avec ses hauts et ses bas au quotidien.Jamais mievre ni longuet,toujours servi par une ecriture dynamique,ce livre reussi se lit vite et m'a procure un reel plaisir de lecture.Un ecrivain a decouvrir !
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Le soleil se lève à l'Ouest

Cela ressemble à une autobiographie puisque Yann Queffélec évoque son enfance. Il vivait dans le Finistère, plus précisément sur le littoral un peu au nord de Brest. Mais n’allez pas imaginer un livre à la Pagnol ou à quoi que ce soit d’équivalent breton. Disons que c’est plutôt délirant et spécial ou que ça peut plaire - peut-être - à certains !



Le style se complaît dans des envolées lyriques incessantes et sur le fond, ce n’est pas non plus la clarté du récit qui domine. Autant dire que je n’ai pas été conquis. Et pourtant ! J’aime la Bretagne, la mer, la pêche à pied, la navigation et même la langue bretonne (j’ai appris un peu, ce n’est pas facile mais cela vaut le coup ne serait-ce que pour comprendre l’étymologie de noms de lieux ou de patronymes). Alors j’y croyais bien fort. Aïe.



On peut aimer la Bretagne et ne pas apprécier l’auteur Yann Queffélec… Dans mon cas, parfois cela me semblait tenir la route pendant quelques phrases et je me disais qu’un petit passage était poétique et joliment tourné mais bien plus souvent, cela m’a paru plein d’autosatisfaction voire prétentieux. C’était mon 3ème livre de Yann Queffélec mais ce sera le dernier. La prochaine fois, dans la famille Queffélec, j’essaierai plutôt Henri (le père) ou Anne (la fille), mais surtout pas le fils.

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Demain est une autre nuit

Cher Vous,



Cela va faire presque 40 ans que les deux frères sont fâchés.

40 ans sans un mot, sans prendre de nouvelles, sans même donner signe de vie.

Et pourtant, quand le petit frère envoie un message pour dire qu'il est hospitalisé, le grand frère ne réfléchit pas et accourt.

Va alors suivre une nuit de souvenirs, de confidences, de mises au point...

Va alors suivre une nuit pour rattraper 30 ans de rancune, de silence et de douleurs.

Avec ce récit biographique, Yann Queffélec explore les relations familiales et surtout la difficulté d'être le frère d'un être que l'on n'a pas choisi !

"C'est un accident, l'amour, on ne s'y attend jamais, une question de secondes."

Parce que, oui, c'est lui le grand frère, celui qui accourt, plantant femme et invités venus dîner, sur un simple texto lui annonçant que le petit frère va mal.

L'occasion de revenir sur la construction de leur famille, sur comment la famille construit ou déconstruit chacun de ses membres, sur les relations qu'ils ont dues tissé quand lui, le petit dernier, est soudainement devenu grand frère.. sur les relations avec les autres membres de la fratrie et surtout sur tous les éléments marquant de leur famille.

"- Un drame, les étiquettes, dans les familles, va les décoller !

C'est collé pour toujours. Collé à l'amour, au non-dit, à la mauvaise foi."

Et si le petit frère questionne, le grand frère raconte... se raconte... donne sa vérité... et devra finir par admettre qu'elle n'est peut-être pas LA SEULE vérité.

"On ne ment à personne, en plus, quand on se ment à soi-même."

Parce que si les deux frères ont vécu la même histoire, ils n'ont bien entendu ni retenu les mêmes faits ni interprété les choses tout à fait de la même manière.

40 ans plus tard, est donc venu le temps d'accepter la vérité de l'autre...

Un récit à la fois tendre et colérique entre divagations, somnolence, rires et larmes.

En faisant le récit de cette nuit très particulière où le grand frère craint de perdre, pour toujours cette fois, son petit frère, Yann Queffélec rappelle qu'il n'est pas toujours facile de (re)devenir frères !




Lien : http://cecibondelire.canalbl..
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Les noces barbares

Ce fût une belle découverte. La langue était un peu ancienne à mon goût mais c'était tout de même agréable à lire. L'histoire est intriguante et très intéressante, et tout du long du livre on n'arrive pas à s'imaginer de réelle fin. Je recommande cette lecture vivement.
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La menace

Wouaouh ! Coup de poing au bide... Et comme si cela ne suffisait pas... Manchette sur la nuque alors que le corps surpris se pliait en deux par la douleur du 1er coup..

Attention pour les lecteurs ou lectrices de "fantasy bisounours" : ce livre est du réel de certains quartiers, de certaines villes, de certaines périodes où le fascisme se déploie parce que les gens du peuple baissent la garde... et avalent les discours simplissimes racistes, néo-nazis, populistes d'extrême droite revancharde... Et faut pas compter sur l'équipe aux commandes du pays pour empêcher que la gangrène néo-nazie ne prolifère... Le 49.3 n'a même pas été dégoupillé pour la loi immigration...

Bref,

A lire, pour ne pas avoir à dire : si j'avais su !?!

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L'amour est fou

Le récit mêle le présent mais également les pensées de Marc qu’il adresse à son père et les lettres qu’il ne lui a jamais envoyées. On ne sait jamais trop où on se situe ce qui est étrange et déroutant. L’histoire est bien écrite mais l’histoire est longue et n’avance pas. On s’ennuie autant que le narrateur dans sa vie oisive et monotone. Ce n’est qu’avec le retour d’Alba qu’on avance un peu et qui met un peu d’action dans le récit. Au final, on est autant perdu que Marc, qui ne sait pas ce qu’il veut et qui recherche une mère avec Aline.
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La mer et au-delà

Mais qui donc est Florence Arthaud ? Une femme libre, indépendante, obstinée, réfractaire, persévérante, courageuse, déterminée…



Elle et l’eau ne font qu’un. Tous les ans, jeune adolescente en juillet et août, elle faisait du bateau, entendons-nous, du voilier avec son frère ainé Jean-Marie. Ses frères Jean-Marie et Hubert étaient assez libre. Pour elle en tant que fille, les parents étaient plus stricts, dressaient des interdits. Son père, éditeur et passionné de bateau invitait des Tabarly et consorts à diner. Elle entendait les récits des invités et après le repas se retirait dans sa chambre pour lire les récits des navigateurs, bien décidée qu’un jour traverser les océans en solitaire, ce sera elle qui le fera. Elle sera la première femme qui aura gagné la route du rhum en 1990.



Ses parents, l’aimaient, lui voulaient le plus grand bien, prônaient la sécurité, une vie dans le haut de l’échelle sociale mais elle voulait mener une vie de marin, elle admirait les personnes du bas de l’échelle sociale parvenues par elles-mêmes. Elle avait deux « maitres à penser » : d’abord le navigateur Tabarly, ensuite Che Guevara.



Elle connut des épreuves. A dix-sept un accident en voiture qui fait sept tonneaux. Elle est éjectée, hospitalisée deux années et demi, six mois dans le coma, aphasique et amnésique. Le mat de son bateau qui se rompt juste avant la course, elle doit renoncer au départ. Elle est en pleur. Elle part enceinte à une course, elle fait une hémorragie qui la cloue en cabine, deux jours sous pilote automatique pour retrouver des forces. Elle a une bôme qui se rompt en cours de course. Elle perd son frère ainé qui se suicide. Elle tombe à l’eau à vingt kilomètres de la Corse en pleine nuit et lutte contre l’hypothermie durant trois heures avant d’être miraculeusement héliporté…



Florence meurt en Argentine où elle participait à un défi sportif. Deux hélicoptères vont entrer en collision et s’enflammer.



Avant de périr de façon stupide, elle prenait tous les risques pour arriver la première. C’était une gagnante. Son objectif était la première place.



On la disait finie ― son temps étaient passé ― d’autres qu’elle et même des femmes arrivaient à gagner, pourtant dans la vidéo : « Florence Arthaud, un jour, une histoire » on peut voir les innombrables marins skippers qui étaient ses amis qui ne l’oublieront jamais. Florence est morte en 2015 à l’âge de 58 ans.



Je suis époustouflé par tout ce qu’à pu faire Florence Arthaud. Mes regrets, ma grande déception se focalise sur l’auteur Yann Quefféllec, breton, grand skipper. Il ne met pas du tout le combat de Florence en valeur. Il parle trop de lui-même et des courses en général. Les chapitres sont mal agencés et mélange plusieurs thèmes. La chronologie n’est pas respectée.



Il existe une adaptation cinématographique : « Flo » 2023, réalisé par Géraldine Danon. Scénario G Danon et Yann Queffélec. Géraldine Danon est l’épouse du navigateur Philippe Poupon.



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La mer et au-delà

De la mer, il dit peu mais laisse entendre. Tout comme de Florence Arthaud, la navigatrice au long cours.

Je reconnais à Yann Queffélec un style, une manière de raconter, mais son récit m’a plutôt laissée de glace. L’impression forte que l’auteur parlait à des initiés de la voile, des « voileux », comme il aime les appeler. Bien sûr, le vocabulaire maritime y contribue grandement, mais aussi les apartés abscons, les « inside jokes », de même que la chronologie bousculée compromettant parfois la compréhension du texte.

La mer et au-delà relate un lien d’amitié qui unissait l’auteur à son sujet et ne constitue nullement une biographie conventionnelle. Là se situe ma déception. Peut-être ferais-je mieux de lire les écrits de Florence Arthaud pour en apprendre un peu plus…



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Moi et toi

J’ai tout de suite accroché. Je sais que beaucoup de lecteurs ici ne trouvent pas « l’histoire » accrochante, mais ce n’est pas à reprocher à l’œuvre ; en effet, d’où vient cette injonction à produire une intrigue ? Est-ce vraiment ça, la littérature ? Un plan bien rodé, qui passe de l’incipit à la montée des tensions, et ainsi jusqu’au dénouement ? Il est courant de préférer un roman avec une intrigue ; cependant, l’absence de celle-ci ne doit pas être reprochée au talent de l’auteur, car un auteur qui ne produit pas un livre « attendu » n’est pas nécessairement un mauvais auteur. Par ailleurs, la fin est plutôt inattendue, et j’ai trouvé les personnages très réalistes et bourrés d’humanité. Pour ma part, je pense que ceux qui n’ont pas aimé cette histoire ce sont tout simplement trompés de genre littéraire en fouillant dans leur librairie ; ce livre n’a pas pour fin de nous transporter, mais bien de nous mettre face à nous-mêmes, nos ridicules, nos contradictions, nos peurs, nos violences… Une vie conjugale n’est pas supposée avoir d’intrigue ; elle peut-être authentique, ou non, chaotique ou non, toxique ou non… En lisant ce livre, il ne faut pas s’attendre à de la magie, mais à un reflet brutal et sans détour d’une réalité complexe et souvent déchirante.
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L'amour est fou

L'amour est fou - Yann Queffélec



Après le départ de son amie Alba, Marc 25 ans se met en relation avec la mère d’Alba, Aline 41 ans. Marc a perdu sa mère à 18 ans. Il est aujourd’hui sans emploi ; ne voit plus sa sœur aveugle, ne voit plus Tim son éternel copain et essaye tant bien que mal de rétablir un dialogue avec son père.

Est-ce pour cette raison qu’il voit en Aline une relation à toute épreuve ?

Mais si Alba revenait ? Aline reste sur ses gardes et pose la question à Marc.

Et puis un matin, après cinq ans, Alba téléphone à Marc…

Histoire mélo-dramatique tangible où la voix effacée de Marc parvient à faire parler davantage son corps. Perturbé, perdu, éperdu dans des rêves masochistes, de fantasmes refoulés, les vérités s’invitent dans un orgueil insensé.

La relation mère-fille ne vaut pas mieux. Le comportement jaloux de chacune d’elles se réfléchit dans les pensées critiquables. Leurs imaginations désenchantées, leurs failles, dans l’extase des peaux marqueur de maux, les odeurs du sexe sont portées jusque sur la grève.

Car la mer reste toujours aux côtés de l’auteur, comme l’amour, ce sentiment absent entre lui et son père.

Un roman partiellement autobiographique qui n’est pas la plus belle des histoires d’amour, mais j’avoue que j’avais oublié son écriture travaillée où l’attirance reste en proie à ses grands thèmes.

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La menace

Charlie enfant NOIR adopté,mais pas accepté par sa famille adoptive …À t il gagner au change en ayant été adopté ???un frère skinhead qui lui mène la vie dure(humiliation,passage à tabac),une mère qui ne le croit pas et qui est cul comme chemise avec son vrai fils et un père qui se fiche de lui…Récit court mais dur d un enfant de couleur qui n a pas sa place ds cette famille et qui va morfler…
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La puissance des corps

On reste sur sa faim : quelques doses de scandales politico-économico-financiers, des personnages qui ont fait la une des journaux ces dernières années, un peu de sexe, quelques mecs imbuvables, de la jalousie, on secoue le tout, et hop on a un bouquin qui ressemble plus à une ébauche d'un bon gros best seller comme savent les faire les anglo-saxons, quel dommage !
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Demain est une autre nuit

Si un livre est censé être une porte vers l’imaginaire, grande fut ma déception en lisant ce "roman". jusqu'ici j'étais assez séduite par l'écriture de Yann Queffélec mais j'ai dû, dans ce cas-ci, m'appliquer pour terminer la lecture, espérant un dénouement inattendu, hors du commun qui, en quelques pages, me sauverait de l’ennui … Confinement, huis-clos sur fond de chambre d’hôpital et de beuverie ; (pseudo) infirmière assimilée à un cerbère ; unité de lieu dans des tons passés, sans relief … Le tout laisse très peu de place à l’imagination du lecteur, puisque tout est écrit, décrit … Bref, je me demande à quelle forme de littérature il faut assimiler cet ouvrage … Un roman, une autobiographie, une introspection, un essai ??? Au mieux, c’est un mea culpa ou une auto-flagellation de l’auteur … Au pire, de l’égotisme …
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La menace

Petite nouvelle de Yann Queffelec qui m’a bouleversé.



Charlie est noir et orphelin. Il vit a l'Institution jusqu'au jour ou Bob et Mado viennent l'adopter. Eric, fils des parents adoptifs, est raciste et chef d'un groupuscule néo-nazi. Ils agressent et raquettent régulièrement Charlie.

Jusqu'au jour où il y a un mort…



Les phrases courtes et incisives, le vocabulaire cru donnent au texte toute sa vérité.



Même si la fin est inéluctable et presque prévisible, l'épilogue est surprenant et la conclusion me laisse un sentiment de mal-être.



Je vous laisse faire votre opinion…
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