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Critiques de Yves Sente (754)
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Blake et Mortimer, tome 24 : Le Testament d..

Pas mal du tout !



Ce n’est clairement pas mon format de lecture préféré surtout quand l’histoire est longue et qu’il y a une énigme à résoudre, énigme qui fait l’objet d’un duel très anglais.



N’empêche, j’ai apprécié les recherches historiques de l’auteur qui les a bien intégrées dans son mystère. Car pour certains, le mystère reste entier, William S. le fils du gantier de Stratford-upon-Avon est-il bien le génie littéraire qui a donné au monde des textes immortels ou s’agit-il juste d’un nom d’emprunt…



Une intrigue bien menée, bien rythmée et surtout une conclusion qui a le mérite de chambouler les idées reçues, j’ai adoré même si cela reste une belle fiction.
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Blake et Mortimer, Tome 18 : Le Sanctuaire ..

De tous les auteurs qui se sont accaparés l'univers de Jacobs, le duo Sente/ Juillard est probablement celui qui se sera permis le plus d'audace vis-à-vis du maître. le simple fait de vouloir humaniser ses protagonistes contribue à donner à leur passage une saveur particulière. de même, les auteurs auront tenté de donner une place plus importante à des sujets pas explicitement abordés, allant de la colonisation à la place de la femme en Occident. Si l'entreprise les condamne d'office à être dépréciés par les enfants ayant grandi avec les personnages, dans les pages du journal "Tintin", il n'en demeure pas moins que "le sanctuaire du Gondwana" constitue une belle conclusion à ce passage de flambeau, qui n'est au fond rien de plus qu'une parenthèse dans la saga. Une oeuvre qui ne révolutionne pas l'Histoire de la BD mais reste un bon divertissement, se lisant sans déplaisir grâce au soin graphique et à l'écriture sobre et raffinée... Reste que cela pose quand-même question sur le processus dans lequel sont faits ses nouveaux albums. Comme pour Corto Maltese, on a seulement envie de demander: "pourquoi?". de toutes les oeuvres qu'il serait intéressant de "rebooter", pourquoi déterrer "Black et Mortimer", soit un travail d'orfèvre aussi personnel à son auteur que l'était Tintin à Hergé, ou Gaston à Franquin? Il existe pourtant des reprises payantes, parvenues à respecter l'esprit des BD francophones en amenant une patte particulière, que ce soit les albums de "Clifton" signés Turk et De Groot, ou un personnage protéiforme comme Lucky Luke.



On a cependant la confirmation que continuer avec Black et Mortimer ne fait pas de bien à la franchise. Hormis le fait surfer sur un nom "bankable", ça n'apporte rien à personne, si ce n'est manquer de respect à la mémoire de l'auteur. Certaines bande-dessinées ne devraient pas être reprises, car trop liées à un certain contexte de création. Ce n'est finalement pas incohérent que ce triptyque soit centré sur la notion d'imposture!
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Blake et Mortimer, tome 26 : La Vallée des Im..

Après la ville, voici la jungle. Et après l’espionnage et le policier, voici le surnaturel … . J’aurais personnellement préféré que l’histoire continue dans cet Hong Kong des années 50 qui m’avait fait bonne impression dans le tome 1. Ou alors un petit tour à Macao, mystérieuse colonie portugaise !

Mais ces péripéties en foret sont finalement bien rendues et le dessin est agréable.



J’aurais également préféré une trame plus policière, plus … rationnelle ! Le côté aventureux est néanmoins sympa, entre avions, randos, emprisonnements, évasions, … ca bouge ! Mais le surréalisme du dénouement, bien que proche de la légende du premier empereur de Chine, me rappelle malheureusement deux albums d’Edgar P Jacobs que je n’avais pas du tout aimé : Le Rayon U (pour sa foret, ses animaux étranges, ses déserts) et l’énigme de l’Atlantide (pour ses décors et sa trop grande invraisemblance). Dommage, on aurait pu avoir un bel enchainement sur les deux tomes, mais cette légende farfelue gâche quelques pages. Vraiment dommage ... même si l'album reste agréable à lire.
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Blake et Mortimer, tome 25 : La Vallée des Im..

Hong Kong … . En voilà une bien bonne idée de décors qui va me rappeler des souvenirs de vacances. Nous revoilà donc avec nos amis « Jaunes » et dans le contexte du mythique Secret de l’Espadon, puisqu’il s’agit de la suite. A l’époque, cette première trilogie ne m’avait pas trop emballé. Mais là … . C’est vraiment sympa !



La continuité, d’abord, est rondement bien posée : les 2 dernières planches de l’Espadon (T3) sont reprises aux planches 8, 9, 14 et 17. Belle transition. Le dessin est moins réaliste que les derniers albums, les couleurs sont plus proches de ce que faisait Edgar P Jacob mais avec une dose de détails en plus. Chouette ! Quant à l’histoire, elle est bien ficelée, avec plusieurs méchants (les jaunes, les communistes, les nationalistes, les indépendants et … Olrik, il fallait s’y attendre). Bref, Blake et Mortimer sont donc bien posés, chacun à sa tache, au milieu de ce « Lotus Bleu » Hongkongais que la couverture introduit bien ! Un bel album, en attendant la suite ...
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Blake et Mortimer, tome 24 : Le Testament d..

Un jeu de piste historique et ésotérique (Shakespeare était-il ou n’était-il pas ?!?) mené par deux sociétés londoniennes rivales. Voilà comment résumer cet épisode. Et on saupoudre l’ensemble d’un Blake, d’un Mortimer, d’un Olrik ou bien encore d’une Miss Summertown sortie du Sanctuaire du Gondwana. Bref, l’histoire se tient, la trame policière est correcte, les méchants prennent place tranquillement au fil des pages, l’ambiance british est bien là avec un graphisme toujours aussi séduisant. Des passages italiens bien faits, des sections historiques fréquentes mais suffisamment courtes pour ne pas perturber le lecteur achèvent le tableau. Tout est là donc … et pourtant … . Et pourtant, la fin arrive et l’on reste sur notre faim.



Pour expliquer cette étrange sentiment, je dirais que le scénario est trop lisse, trop prévisible. On pointe quelques zones d’ombre, certes, mais l’on sait globalement où l’on va : les gentils trouveront toutes les énigmes et gagneront à la fin. Trop facile presque. Il en ressort un album linéaire, sans le dynamisme, le mystère, l’ambiance « Blake et Mortimer » que j’ai pu aimer dans le Serment des cinq Lords, pour rester dans la même catégorie.



Au final, un album plaisant, sans plus, largement porté par son graphisme.
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Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

Un album plutôt médiocre, presque bâclé, indigne du talent de l'auteur de la Marque Jaune. L'intrigue est sans grand intérêt et le dessin parfois approximatif: les visages peu expressifs ou par moments presque caricaturaux, certains éléments du décor (par ex. la fusée Soyouz, mal dessinée) peu crédibles.

En outre on répète à longueur d'album qu'il est impératif de développer un vaccin contre la bactérie tueuse ramenée de l'espace, alors qu'on sait qu'une bactérie se combat au moyen d'antibiotiques, les vaccins agissant eux contre les virus. De telles erreurs contribuent, elles aussi, à décrédibiliser l'ensemble de cet album.

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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

C’est un mélange surprenant que nous propose cette BD, le péplum et la science-fiction. Quand j’ai vu la couverture j’ai eut l’impression de lire un remake de la fondation de Rome, surtout avec les prénoms qui ressemble aux jumeaux Romulus et Remus. J’ai vu le vaisseau spatial et je m’attendais à une invasion extraterrestre peut-être ? Mais ce que j’ai découvert est totalement différent et inattendu, pas désagréable cela dit.



Deux histoires somme toute classique dans leur genre mais qui vont s’entremêler. D’un côté une société antique avec un roi bon et gentil dont le frère jaloux guigne le pouvoir et se l’approprie par ruse et méchanceté. De l’autre côté, une société technologiquement très avancée mais dont les ressources diminuent et qui cherche un autre monde à coloniser et qui envoie des scientifiques. On passe d’un univers à l’autre avec ses drames jusqu’à ce que les 2 survivantes des côlons débarquent. Une petite fille et son clone: Omula et Rema !



Bien que déroutant, les deux scénarios s’entremêlent très bien, les intrigues sont bien menées avec des styles de dessins communs mais qui basculent dans deux univers bien distincts. Honnêtement c’est bien fait, ça me donne envie de savoir la suite et forcément la fin de leurs aventures car il s’agit d’un diptyque. Ma curiosité a été piquée au vif et j’espère pouvoir lire le tome 2.
Lien : https://sambabd.net/2023/08/..
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Quel scénario original pour le récit que nous a concocté le talentueux scénariste Yves Sente, qui verra son dénouement dans un prochain album ménageant ainsi le suspense.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

La partie futuriste est particulièrement accrocheuse, avec des inventions civilisationnelles et scientifiques riches en potentiel narratif. Le versant préromain est moins original, plus convenu, entre soif de pouvoir, guerres intestines, assassinats multiples et secrets mal gardés.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Les enfants de la Louve



Yves Sente nous entraîne dans un univers fascinant où un groupe d’humains bénéficiant d’une technologie très avancée est envoyée en mission sur Ertha, leur planète d’origine pour voir si la vie y est à nouveau possible. Seules survivantes de l’expédition, la jeune Omula et son clone Rema parviennent tant bien que mal à se poser sur dans une région dominée par un roi mourant qui vient de désigner l’un de ses fils comme héritier, provoquant la colère du second, qui va fomenter un sordide coup d’état… L’arrivée d’Omula et Rema aller bouleverser le destin de ce royaume antique…



Porté par le dessin classique mais crédible et efficace de Jorge Miguel, le fascinant récit d’Yves Sente joue avec la légende de la fondation de Rome pour tisser un récit crédible et cohérent avant que ses gamines venues d’une planète située à des années lumières de la terre ne viennent bouleverser le cours des choses…



La Fin d’un Monde amorce un dytique fascinant et cohérent dont il nous tarde de lire la suite !
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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XIII, tome 25 : The XIII history

L'occasion était trop belle, Jigounov et Sente l'on magnifiquement saisie!

... Et voilà notre amnésique favori doté d'ancêtres depuis la fin du moyen-âge!

Il y a là une ressource inépuisable tout au long d'une histoire européenne agitée et déchirée par les guerres de pouvoir, de religion et de conquêtes!

La partie américaine est particulièrement gratinée, à partir du débarque ment des puritains du May Flower!

Et voilà donc XIII embringué dans THE complot au long cours: Le complot des complots.

The XIII history est donc le point d'étape bienvenu et presque indispensable, comme un GPS dans une saga ou le lecteur pourrait facilement s'égarer... Une sorte de XIII map, en quelque sorte...
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XIII, tome 20 : Le jour du Mayflower

Décidément, le pus de l'Amérique n'en a pas fini de sourdre à travers les aventures de XIII!

C'est donc reparti pour un nouveau cycle bien parano, avec l'équipe Sente - Jigounov aux commandes.

La conjuration des vingt? Ce n'était que la partie émergée d'un complot beaucoup plus vaste, ourdi par certains descendants des puritains débarqués du Mayflower!

XIII était enfin au sec? Et bien il va falloir le re-mouiller comme commode bouc-émissaire!... D'autant que les bribes de mémoires, retrouvées grâce à un traitement expérimental, vont révéler d'autre surprises!
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Cinq branches de coton noir

Retour sur l'histoire du drapeau américain, sur la participation de GI noirs au Débarquement allié, sur les (désormais) fameux Monuments Men mais surtout sur le racisme féroce et l'espoir, trop souvent déçu, d'une véritable égalité de droits pour les Noirs aux États-Unis : cette BD regarde vers le passé pour mieux montrer que les choses n'ont finalement pas tant changé. Un sujet riche et important, pour moi légèrement desservi par des graphismes un peu trop classiques. La couverture était pourtant prometteuse sur ce point. Une très bonne lecture quand même, et si je ne m'abuse, les auteurs ont emprunté les traits de quelques célèbres acteurs noirs pour leurs personnages principaux. Il m'a semblé reconnaître Denzel Washington et Forrest Whitaker notamment. Une chouette idée.
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Je ne lis que peu de bandes dessinées et je ne suis pas une grande experte en la matière mais j'ai vraiment adoré ! J'ai trouvé l'histoire très originale, elle m'a captivée et j'ai tout lu d'une seule traite. Par contre c'est un peu violent dans bien des facettes, et il y avait tellement de retournements de situation que je ne savais même plus où donner de la tête. Les illustrations sont aussi très jolies, et super bien réalisées. J'ai vraiment passé un bon moment avec cette BD mais il faut s'attendre à être dépaysé, à voyagé, à être étonné, choquée, déçue, triste. Ce toutes les émotions qui m'ont traversées durant ma lecture. Deux univers totalement opposés sont réunis dans ce roman et c'était vraiment bien fait ! C'est sûr que je lirai le tome 2 parce que j'ai trop envie de connaître la suite et notamment d'en apprendre plus sur Omula et Rema, ce sont les personnages principaux mais pourtant j'ai trouvé qu'elles restaient un peu en retrait dans ce premier tome. J'ai encore tellement d'attentes et de questions pour la suite que je ne révélerai pas afin de ne pas spoiler. ☺
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Wouch !

Tout d'abord, merci à Babelio Masse Critique et les Éditions Rue de Sèvres pour l'envoi de cette BD.



Si j'ai tant tardé pour poster mon avis, c'est que je l'ai reçu juste avant de partir en congés, et je ne l'ai pas amenée avec moi... Je voulais prendre le temps.

Qu'au final je n'ai pas pris tant que cela, mdr ! Parce que je l'ai lue d'une traite !



Pourquoi ?

Parce que l'alternance entre ce qu'il se passe sur Ertha et dans le vaisseau d'Omula est très bien tissée.

Parce que les personnages sont sympathiques - pour les sympathiques, évidemment - et qu'ils sont tous plutôt bien brossés, dans l'ensemble, même si un brin manichéens.

Parce que le pitch de la "Destinée" est tellement surprenant, aussi, scénario vraiment prenant (tout le long de ce tome on se demande où ça va, pour comprendre dans les deux dernières pages !)...

Et enfin parce que le dessin, au trait net et précis, me plaît énormément, que ce soit sur les personnages ou les paysages, et ils sont magnifiquement colorisés.



Bon, le tome 2, quand est-ce prévu pour, maintenant ?

Je suis impatience !!! :)))
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Le chassé-croisé planète lointaine – monde antique fonctionne bien, les luttes au sein du pouvoir dans la cité du Latium prenant peu à peu le pas sur la quête spatiale.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Une histoire classique de civilisation post apocalyptique servie par un scénario et un graphisme tout aussi classique.

Mais ne boudons pas notre plaisir.

La lecture de ce premier tome donne au lecteur les picotements agréables qui le poussent à vouloir lire absolument le Tome 2.

Les deux auteurs ont installé le virus de la lecture chez celui qui, s'aventure à ouvrir les premières pages de ce livre après avoir douté de son intérêt.

Dans un futur lointain, sur une planète occupée par les descendants des anciens habitants de la planète Ertha, détruite par une météorite il y a 4 milliards et demi d'années (ils ont fait fort là) !

L'histoire de "la grande évacuation d'origine" fait partie de l'enseignement des jeunes.

L'une d'entre elles, Omula, fille d'un architecte renommé est en pleine crise d'adolescence. Elle rejette le modèle proposé par les dirigeants de la nouvelle planète. Elle est écolo, s'inquiète de la surpopulation, de la place grandissante des robots, de la qualité discutable "des pilules nutritives écologiques et sans goût."

Les aventures commencent pour la famille lorsque le Président Iavis et le Conseil, prennent à l'unanimité la décision d'organiser un voyage sur Ertha, la planète abandonnée...

"Votre objectif sera de retourner sur la planète Ertha pour voir si elle est redevenue habitable depuis la grande évacuation d'origine."

Je ne saurais aller plus loin dans la présentation au risque de spoiler l'histoire.

Disons que le voyage retour se complique...

Les auteurs jouent à merveille de la relativité des voyages à très grande vitesse et de la théorie de l'espace temps.

Sur Ertha, alors que les voyageurs sont encore à bord de leurs vaisseaux, une civilisation qui n'est pas au même niveau que celle des nos personnages (au bout de 4 milliards d'années ils ont eu le temps...) a pris en charge la planète.

La rencontre entre les deux cultures va se faire d'une façon inattendue. Et là, le lecteur reste sur sa fin, d'où son envie de connaître la suite.

Merci Babelio et les Éditions Rue de Sèvres pour l'envoi de cette BD dans la cadre de la dernière Masse Critique graphique.

Aucune info sur la date de parution prévue pour le tome 2
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Thorgal, tome 34 : Kah-Aniel

Après la glace, le sable... Thorgal arrive au Proche-Orient, toujours à la recherche de Aniel.

Bon, j'étais plutôt optimiste avec les premiers épisodes signés Sente. J'y retrouvais ce que Van Hamme n'y mettait plus. Mais, maintenant que la passation de flambeau de Thorgal vers Jolan n'est déjà plus qu'un souvenir j'avoue que je commence de nouveau à ne plus prendre vraiment de plaisir à la lecture. Trop de personnages, une histoire alambiquée, des facilités scénaristiques et puis la fin de quelque chose... .

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Thorgal, Tome 33 : Le Bateau-sabre

Après un bref passage auprès de Jolan et de ses compagnons (on se demanderait presque ce que ces quelques cases font là...elles auraient été plus à leur place dans le tome précédent) on retrouve Thorgal qui est toujours à la recherche de Aniel.

L'histoire est assez sympa. Un bateau qui lutte contre la glace, une orque revancharde qui n'a rien à envier à celle de Orca, un trafic d'esclave et le retour d'un visage du passé.

Le rythme est bon, l'histoire bien menée et ce tome est au dessus de la moyenne des derniers consacrés à Thorgal, avant la reprise du scénario par Sente.
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Thorgal, tome 32 : La bataille d'Asgard

Ce tome se déroule sur deux trames narratives. D'un côté nous suivons Thorgal qui part à la recherche de Aniel et, de l'autre, Jolan nous entraine dans la suite de ses aventures auprès de Menthor. Et ça nous emmène loin : à Asgard, afin de ramener une pomme de l'éternelle jeunesse afin que Vylnia retrouve la jeunesse et l'éternité.

J'ai été moins convaincue par ce tome que j'ai trouvé relativement niais. Que Jolan soit un peu candide, je le comprends, mais que les dieux le soient autant que lui m'a paru peu cohérent. Les rebonds de l'histoire sont sans grande originalité.

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