Le dernier texte de Christian Bobin, "Un bruit de balançoire " [L'Iconoclaste, 2017] ne met pas seulement à l'honneur les Lettres, mais aussi la joie ineffable des manuscrits...la magie et la puissance de la "Main" , et d'autant celui d'un écrivain ou d'un poète calligraphe, en la personne du moine- poète, Ryôkan, découvert grâce à ce dernier opus de l'auteur du "Très-bas" !...
"Alors c'est vrai que désormais on ne verra plus d'écriture manuscrite, plus de main humaine et qui danse, nulle part, c'est vrai ? (p. 47)"-------------------------------------------------------
Cela me fait songer aux belles expositions savourées au Musée
parisien, des Lettres & Manuscrits ....malheureusement définitivement fermé...
****3 septembre 2017