Revivre les épisodes de la conquête de l'espace du coté des coulisses, revoir les démonstrations maquettes à l'appui , rêver encore, imaginer le futur...et toujours pas comprendre pourquoi tout est resté en plan, collé au sol.
Enfin, si, toujours la même chose, le nerf de la guerre ( les finances) et la guerre des nerfs entre les puissants et leur égo.
Une satisfaction quand même, le système D et le contournement des règles, feront toujours partie de l'Aventure, et sont la marque des aventuriers.
Reste un Big problème, il faudrait trouver le carburant adéquate, ou une portance exponentielle, pourquoi pas les voiles solaires, imaginées par von Braun, parce que les exoplanètes qui nous narguent sont vraiment très très loin, il nous reste Mars, mais d'ici que nous résolvions tous les "petits" problèmes pour y séjourner durablement, elle sera vite devenue déjà trop petite...
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Je ne connaissais pas Michel Chevalet avant de lire ses mémoires spatiales. Ce journaliste s'est spécialisé dans les sciences spatiales et a couvert de nombreux événements dans ce domaine durant les dernières décennies. Bourré d'anecdotes, ce livre retrace la conquête spatiale vécue par l'auteur que cela soit du côté américain, soviétique et européen. Très intéressant à lire, on ressent toute la passion de Michel Chevalet ; une passion qu'il réussit à véhiculer au lecteur d'autant que ses mémoires sont très accessibles pour le grand public.
Un bon ouvrage pour nous aider à appréhender plus facilement les enjeux de la conquête spatiale d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
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Bringuebalé entre la rigueur des frimas moscovites et la chaleur parfois étouffante des étés texans ou floridiens, un bon journaliste spatial se doit de disposer - en plus d'un béret basque- d'une sacrée garde-robe.