Gabrielle Cluzel/5
1 notes
Résumé :
« Ce serait, dit-on, s'illusionner de regretter le passé, de l'idéaliser. Mais n'est-ce pas encore plus s'illusionner que d'idéaliser le progrès, de l'accueillir sans prudence ? »
Cet essai ne porte pas un regard nostalgique sur un passé révolu non exempt de défauts, mais rappelle ce qui peut encore unir la société française, sa langue, sa culture, ses romans familiaux, ses clochers et ses soldats que les Français plébiscitent, ses bonnes manières même !
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Cet essai ne porte pas un regard nostalgique sur un passé révolu non exempt de défauts, mais rappelle ce qui peut encore unir la société française, sa langue, sa culture, ses romans familiaux, ses clochers et ses soldats que les Français plébiscitent, ses bonnes manières même !
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Un essai assez court sur la déconstruction de la société.
Dis comme cela, cela peut paraître - très - barbant... Et pourtant, la plume incisive et enlevée de Gabrielle Cluzel nous entraine dans sa réflexion avec enthousiasme. Elle est claire dans ses propos étayés d'exemples, son analyse est fouillée, sa vision réaliste. Elle nous fait vivre des scènes de la vie quotidienne, hélas révolues, qu'ont connu nos grands-parents.
Et pourtant elle réussi à ne pas être défaitiste !
Merci madame.
Dis comme cela, cela peut paraître - très - barbant... Et pourtant, la plume incisive et enlevée de Gabrielle Cluzel nous entraine dans sa réflexion avec enthousiasme. Elle est claire dans ses propos étayés d'exemples, son analyse est fouillée, sa vision réaliste. Elle nous fait vivre des scènes de la vie quotidienne, hélas révolues, qu'ont connu nos grands-parents.
Et pourtant elle réussi à ne pas être défaitiste !
Merci madame.
Citations et extraits (5)
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La France est en effet mitonnée - elle ne s'est pas faite en un jour. Elle est bourgeoise - grande, moyenne ou petite - parce qu'elle est attachée à son bourg, c'est-à-dire à sa terre, à sa pierre, et surtout à l'univers culturel dont elle est héritière. Là est la richesse qu'elle voudrait transmettre à son tour.
"Il faut à la force, pour tenir son rang, un certain caractère", écrivait le général De Gaulle. On peut l'écrire aussi dans le désordre : "Il faut au caractère, pour tenir son rang, une certaine force." Qui fait défaut cruellement, dans d'innombrables strates de la société.
On est au-delà de l'enfant-roi : le dauphin de l'Ancien Régime lui-même avait un prénom d'une banalité crasse, porté par tous les petits paysans du pays, hérité des générations qui l'avaient précédé. Au point qu'il avait besoin d'un numéro pour être identifié.
Sans doute ne connaissent-ils plus la pauvreté matérielle, mais ils ont gardé la pauvreté culturelle.
Le secret de la blanquette de veau ? Sa sauce bien sûr, son liant. Le liant, c'est le vrai "vivre ensemble". Sans liant, on finit par "mourir seul".
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Conférence de Gabrielle Cluzel : "Féminisme : libération ou asservissement ?"
Conférence donnée à Lorient le 13 décembre 2016.
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Nous savons.
Nous savonnons (surtout à Marseille).
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