Tous ces maux dérivent de la recherche du bien-être poursuivie par chacun pour soi et contre tous, nous voulons leur donner une solution en remplaçant la haine par l'amour, la concurrence par la solidarité, la recherche exclusive du bien-être par la coopération, l'oppression par la liberté, le mensonge religieux et pseudo-scientifique par la vérité.
Le danger le plus grand qui menace le mouvement ouvrier est la tendance du leader à considérer la propagande et l'organisation comme un métier.
*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* :
Errico Malatesta, _Un peu de théorie,_ Bruxelles, Administration, 1899, 13 p.
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