L'école zarbi déménage, numéro 258

Ce deuxième opus de l'école Zarbi (toujours aussi loufoque), n'a jamais vu ses autres tomes sortir en français, donc la prochaine fois que je parlerais de cette école bien étrange, ce sera avec un livre en anglais... Ca me frustre un peu, parce que je trouve cette histoire complètement barré et que ça m'a vraiment plu, mais bon, tant pis. En fait en soit, l'école Zarbi déménage présente de nouveau des histoires décalés ou personne ne fait comme tout le monde. On retrouve les personnages d'avant, et j'ai eut quelques fois du mal à me souvenir qui était qui mais c'était bien sympa quand même. En fait, comme avant on se rend compte que l'école est pas si zarbi que ça, mais que c'est implicite le fait qu'ils soient en fait "normaux". L'histoire du dix-neuvième étage est assez compliqué à comprendre et à la fois très simple, et ça m'a fait sourire, parce que j'adore vraiment comment Louis Sachar parvient à faire un univers réellement et complètement décalé. Les histoires s'enchainent sans mal, on découvre pleins de trucs, et surtout, on rit beaucoup parce qu'entre des histoires de chaussettes dans le frigo et de plats pas si mauvais que ça mais qui ont une surprise toute particulière, ben... C'est vraiment rigolo. C'est aussi très fluide au niveau de l'écriture, et j'ai vraiment adoré. C'est tout simple, et décalé, et trop mignon.

ce livre fait suite à histoires bizarres de l'école Zarbi et est tout aussi marrant. Quel plaisir de retrouver cette école, ces élèves et la maîtresse madame Bijou. Les histoires sont courtes et drôles, de temps à autres elles se font écho et les personnages quand ils réapparaissent gardent la même personnalité. La façon d'apprendre de madame Bijou est amusante (jeter un ordi par la fenêtre pour montrer ce que c'est que la gravité c'est assez incroyable). C'est un livre vraiment super amusant, j'ai passé un super moment, d'autant plus qu'il se lit très très vite. Je cherche encore comment prononcer le nom de Benjamin qui est : Zrtpqsdfghjklmwxcvbn. Et la classe du 19ème étage qui n'existe pas avec la maîtresse madame Zarbe qui n'existe pas non plus m'a vachement intrigué (même si j'avoue que j'aimerais pas aller dans cette classe, je préfère celle de madame Bijou). La fin explique le pourquoi du titre.
Il me semble que la suite n'a jamais été traduite en français, alors je lirai en anglais, car le langage est assez facile. Ces histoires loufoques remettent de bonne humeur !
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