Lorelei Lee et Dorothy Shaw sont deux jeunes femmes aussi belle l'une que l'autre et meilleures amies. Pour découvrir Paris, elles s'embarquent sur un paquebot en compagnie du futur mari de Lorelei et d'un détective privé. L'histoire tourne principalement autour de l'argent, de l'amour et sur le caractère diamétralement opposé des deux femmes.
J'ai vraiment été très déçue par ce livre soit disant incontournable. Certes l'action ne se déroule pas à notre époque, mais l'image de la femme est vraiment dégradante. Pour preuve cette phrase : "Les diamants sont les meilleurs amis des femmes". L'esprit du livre est résumée dans cette seule citation. Les deux femmes sont motivés par la richesse et les bijoux, peu importe qu'elles doivent repousser les hommes dont elles pourraient tomber amoureuses et vivre heureuses même en ayant moins de moyens financier.
Alors peut-être que ce livre fait la satire des 20's et que je ne l'ai pas saisi, mais en tous les cas, je ne lirais pas Les hommes épousent les brunes qui est la suite.
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Ce livre trouvé dans une brocante m'a un peu déçue. Je n'ai pas lu les critiques de Babelio avant de le commencer, histoire de ne pas me faire de fausses idées.
Malheureusement, j'ai trouvé ce livre mou et insipide. L'héroïne principale est une peste, croqueuse de diamants et pas très intelligente. Les années 20 qui sont décrites ne m'ont pas fait rêver où la femme n'est bonne qu'à être jolie (moi utopiste? non !), à rester chez elle à attendre son mari, très peu pour moi. L'héroïne ne cherche qu'à trouver le moyen de se faire offrir des cadeaux et tous les moyens sont bons. Elle démolit sa "meilleure amie" comme elle l'appelle tout le long de l'histoire, c'est affligeant.
Gros bof en tout cas pour ma part.. Je ne sais pas si je me laisserais tenter par le deuxième tome..
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Un monsieur de mes amis, avec qui j'ai dîné l’autre soir au Ritz, m'a dit que si je prenais un crayon, du papier, et si je mettais sur ce papier toutes les pensées qui me viendraient, cela ferait un livre. J'ai à peine pu m'empêcher de sourire : mes pensées ? mais ça remplirait bien une encyclopédie en trente volumes ! Moi, voyez-vous, je suis comme ça : je n'arrête pour ainsi dire pas de penser. Je peux bien dire que penser C'est ma distraction favorite ; la preuve c'est que je reste parfois assise des heures durant sans qu'on me voie m'occuper d'autre chose que de penser.
Un homme riche c'est comme une fille jolie. On n'épouse pas une fille rien que pour sa beauté mais ça aide.
Je peux avoir de l'esprit quand c'est important mais la plupart des hommes n'aiment pas cela.
Le baise-main c'est vrai ça en jette mais les diamants sont le meilleur ami de la femme.
Nous sommes donc allées hier soir aux Folies-Bergère : c'était vraiment divin. Moi, je trouve ça très, très artistique. Figurez-vous qu'il y avait des femmes nues !
Les hommes préfèrent les blondes (vo "Gentlemen prefer blondes") 1953, bande-annonce