Une idée intéressante mais répétée, répétée, répétée inlassablement : les institutions politiques donnant le pouvoir à peu de personnes entraînent la pauvreté du plus grand nombre.
C'est exact, mais est-ce tout ?
Acemoglu nie le rôle de la culture (il s'oppose vivement à
Huntington). Donc il ne parle pas des structure familiales, si importantes pour l'éducation, ni des relations entre les hommes et les femmes alors que les femmes font partie des productrices dont , dans certaines cultures, on ne demande jamais l'avis.
Mais dans ce livre, il n'y a ni femmes ni cultures.
Acemoglu passe allégrement sur les ravages de la destruction créatrice si chère à son coeur.
Au total 1 idée, à compléter par beaucoup d'autres.