Yu Aikawa sait globalement se saisir du roman pour bien découper l'histoire et les dialogues, de manière à rendre toutes les petites richesses de ce tome accessible. La tâche est lourde pour un tel arc, car un mauvais équilibrage pourrait mener à quelques incompréhensions. A ses côtés, Haruno Atori livre un travail graphique charmant, ce dernier parvenant à faire sien le character-design d'origine de Shinichirô Otsuka et à créer des planches claire, dynamique, et qui parviennent à faire le focus sur les émotions des personnages (ce qui constituera une part non négligeable de cet arc). L'alchimie entre les deux mangaka opère dans ce premier tome qui adapte Re:Zero de bonne manière.
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Ce premier tome fait donc office de lancement de cette nouvelle aventure, qui s’éloigne des intrigues de la "Succession au Trône", versant politique de la saga, pour s’intéresser aux origines de tout : les Sorcières du Péché, jadis exterminées par Satella, à la même époque où cette dernière détruisit la moitié du monde.
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