"La couleur de vermeil chinois que revêtaient les monts à l'automne était associée dans mon esprit à ce nom même de Chine. Pour qui connaît la séparation, il n'y a rien de plus poignant que l'automne où le coeur s'incendie comme feuillages empourprés ; ainsi en divaguant, je ne ressens plus qu'une grande lassitude." Japon, fin du XIᵉ siècle. Le moine bouddhiste Jôjin quitte son monastère pour effectuer, comme il en est la tradition, un long pèlerinage en Chine... >Voir plus