Le livre regroupe 3 romans :
1. La promesse du bonheur
J'ai passé un bon moment avec cette romance toute en douceur qui tire même très, très légèrement vers le mélo. Les deux personnages principaux sont attachants, chacun tentant de surmonter les blessures du passé (elle est veuve, il se remet d'un terrible accident). L'intrigue reste très classique, ce qui n'est pas pour me déplaire pas en fait.
Il n'y a pas grand-chose de plus à dire sur ce court roman qui m'a permis d'occuper agréablement quelques heures…
2. Séduite malgré elle
L'histoire se déroule en Sicile et c'est une information importante puisque cela explique en grande partie le cratère du héros, un macho italien qui entend bien imposer sa volonté, même à la femme dont il a fini par tomber amoureux sans trop s'en rendre compte alors qu'il pensait entretenir une relation purement physique. Il refuse d'admettre que quoi que ce soit ait pu changer, que la jeune femme désire plus qu'une liaison, etc.
Le plus gros du récit repose sur cette opposition entre les deux personnages : elle qui refuse de poursuivre une relation sans avenir, lui qui tient à la garder sous la main même s'il ne veut pas s'engager davantage. Et puis tout se résout d'un coup de baguette magique : une grossesse inespérée pour la jeune femme qui se pensait stérile, et lorsqu'il l'apprend enfin il est plus déterminé que jamais à épouser celle qu'il aime en fin de compte.
C'est une lecture facile, mais pas vraiment satisfaisante...
3. Un amour infini
Et nous voici avec l'histoire de la troisième veuve du recueil…
Le début de l'histoire ne m'enthousiasmait pas tellement, mais une fois que les deux héros, Lori et Carson, ont commencé à se rapprocher (et à se chamailler) je me suis prise au jeu. Les dialogues sont amusants et ils apportent un peu de piquant à une romance qui aurait pu manquer de légèreté sinon (elle est fraîchement veuve et enceinte, il est divorcé et en garde beaucoup d'amertume).
C'est une lecture sympathique même si certains aspects de l'intrigue manquent sans doute un peu de réalisme...
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– Faut-il donc toujours que tu aies le dernier mot ?
– Seulement quand j’ai raison, repartit-elle, les yeux étincelants d’humour.
– Et qui en décide ?
– Moi ! Et Dieu !