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3,87

sur 372 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
« Puis les mâchoires de l'univers s'étaient refermées. »
Quel impressionnant voyage ai-je fait !
Enfermée dans un vaisseau à des années lumières d'une Terre qui n'est plus. Je flotte en apesanteur en compagnie de mes semblables dans le froid et le noir de l'espace, pour combien de temps encore ? si cette notion a toujours un sens.. La vitesse de la lumière nous emporte aux confins de nous mêmes. Nous sommes cinquante, combien serons-nous dans un an, dans une année-lumière, dans une révolution ? Dans une multitude de galaxies ? Notre vaisseau et nos âmes arriveront-ils à tenir le cap hors du temps ? Même les plus forts d'entre nous commencent à éprouver de la peine à nous maintenir droit au cap. Sauf un. Un roi sans couronne.
Un roman qui mêle science et aventures humaines pour un voyage inoubliable dans l'au-delà de Poul Anderson. Un petit bijou.
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En Résumé : J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman qui nous plonge dans le futur ou 50 astronautes, 25 hommes et 25 femmes, vont tenter de coloniser une planète lointaine. L'intrigue, qui parait classique, ne manque pas de s'avérer rapidement solide, prenante et entraînante. le format court du roman permet aussi d'offrir une tension efficace et trouve le juste milieu sans jamais donner l'impression de trop en faire. le premier point qui m'a fasciné, c'est justement ce voyage, cette notion d'émerveillement, d'évasion, de grandeur et de vertige avec en parallèle cette impression dans le vaisseau de cloisonnement, de huis clos, d'enfermement ou encore d'humilité. La travail social et l'étude que nous propose Poul Anderson ne manque pas non plus de faire réfléchir et s'avère passionnante et très bien construite. L'autre point qui m'a captivé c'est le côté scientifique. On est dans un roman de Hard-Science, certes plus compréhensible et moins, on va dire, « austère » que du Greg Egan par exemple. Pour ma part j'adore ce développement de théories et d'idées, qui pousse même parfois à se renseigner, mais je sais que ce point ne plaira pas à tout le monde. Pour autant je trouve que le récit ne se perd pas dans cet aspect scientifique, qu'il n'en fait pas le coeur de son histoire et l'ensemble reste fluide et entraînant. Alors après je regretterai le sentiment que sur les relations entre les personnages, le roman ait un peu vieilli. Je trouve aussi, toujours au niveau des personnages, que si le groupe est fascinant, chacun individuellement parfois s'avère légèrement archétypaux. Enfin concernant le côté sociologiques et principalement la façon dont son traitées les péripéties j'ai trouvé que ça sonnait parfois un peu trop juste, répondant parfois un peu trop à la logique. Rien de non plus trop bloquant tant j'ai passé un excellent moment avec ce livre, bien porté par une plume dense et efficace.


Retrouvez la chronique complète sur le blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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TAU ZERO
Poul Anderson
Le Belial – 1970/2012 (fr) – 347 pages

« Il lui faudrait trente et un ans pour traverser l'espace interstellaire, plus un autre pour décélérer lorsqu'il approcherait de sa cible. Mais cette affirmation est incomplète. Elle ne tient pas compte de la relativité. C'est précisément parce qu'il existe une vitesse indépassable (celle de la lumière in vacuo, et aussi celle des neutrinos) que l'espace, le temps, la matière et l'énergie sont interdépendants. le facteur tau entre dans l'équation. Si v désigne la vélocité (uniforme) d'un astronef et c celle de la lumière, alors tau égale (s'ensuit une équation). Plus v est proche de c, plus tau se rapproche de zéro (…) »

Bon, si vous n'êtes pas amateur d'astrophysique et de descriptions complexes qu'il faut relire deux ou trois fois pour essayer d'en comprendre l'essentiel, vous pouvez passer votre chemin. Ce bouquin (génial au demeurant) ne s'adresse pas aux adeptes de Leigh Brackett ou de Edmond Hamilton et ceux de A.C. Clarke vont devoir faire un effort supplémentaire en oubliant les descriptions poétiques des voyages intersidéraux. Ce Anderson est quasi un traité scientifique concernant les possibilités de voyager vers les étoiles. La postface de Roland Lehoucq, astrophysicien, qui dissèque le roman en pointant les bons à-propos et les petites erreurs, vous en ajoutera une couche pour la route.

C'est en effet un roman majeur dans le domaine de la hard science et probablement ce que j'ai lu de mieux dans le genre jusqu'à présent. On est assez loin de « La Patrouille du Temps » même si le temps, il en est bien question ici aussi. le vaisseau Leonora Christina fonce vers une étoile lointaine mais durant le trajet une collision avec une nébuleuse va contrecarrer tous les plans des quelque 50 futurs colons à bord. le voyage de 31 ans va… s'éterniser. La théorie de la relativité générale d'Einstein est à l'honneur. La Terre aura disparu depuis des milliards d'années quand l'équipage arrivera sans doute à se poser quelque part…. s'ils survivent au long voyage. Mais je m'en voudrais de dévoiler le final impensable que Poul Anderson à imaginé en admettant une théorie aujourd'hui controversée : celle de l'effondrement et de la renaissance de l'Univers.

Le romantisme n'a pas sa place dans ces pages et ce ne sont pas les quelques amourettes entre certains membres clés de l'équipage qui viendront infirmer ce que j'écris. C'est d'ailleurs et sans doute un peu dommage, une petite dose d'humanité aurait « aéré » un récit bien trop technique à mon goût (même si, je le répète, ce roman est une perle du genre). Il ne faut pas réagir trop vite non plus à des affirmations telles « l'univers est fini, tant dans l'espace que dans le temps ». On comprend au fil des pages, après un solide écolage de relativité générale. Et de toute façon, comme le dit Lehoucq en postface, la science d'aujourd'hui sera sans doute contredite par celle de demain, tout comme Stephen Hawking, avec son humour à lui, osait parier que les trous noirs n'existaient pas alors qu'il venait d'en faire la démonstration inverse (in : Une Brève Histoire du Temps) !

Il reste que Anderson nous a fichu le vertige en nous plongeant dans les affres de l'espace-temps à une vitesse proche de celle de la lumière et que ce voyage est bien plus réaliste et poignant que les sautes temporelles à la Star Trek ou même Battlestar Galactica (que j'adore). Je m'étais toujours posé la question : « comment un vaisseau peut-il voyager à une telle vitesse sans se planter dans une étoile et y exploser ? » eh bien, croyez-moi, la réponse réaliste est ici. La relativité, la masse et l'énergie, une fois de plus rendent cette chose possible. Ou devrais-je dire « rendrait », à condition d'avoir les moyens de construire un tel vaisseau, ce qui fut d'ailleurs trois fois à l'étude dès les années 80.

Je ne peux que trop conseiller la lecture de ce petit bijou de hard science. Mais donc, pour un lectorat averti. Les amateurs de E. Rice Burroughs feront mieux de passer leur chemin. Ils ne dépasseront pas les trois premiers chapitres ! El Jice.

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Avec Tau Zéro, Poul Anderson dresse un huis-clos spatial prenant, grâce à un setting hard-science (le huis-clos est donc justifié par le propos scientifique) qui confine les personnages à l'intérieur d'un vaisseau qui ne peut plus s'arrêter.
Lien : https://leschroniquesduchron..
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Une cinquantaine de personnes (25 hommes et 25 femmes) embarquent pour un voyage intergalactique pour coloniser une planète éloignée de 32 années lumières de la Terre, dans le système de Beta Virginis.

Le principe scientifique à l'oeuvre dans ce livre est basé sur l'indicateur "Tau zéro" : plus on se rapproche de la vitesse de la lumière, plus le facteur tau se rapproche de zéro. Et plus il se rapproche de zéro, plus le temps subjectif (celui des passagers à bord du vaisseau) s'écoule lentement par rapport au temps objectif (celui de l'univers en dehors du vaisseau). Les 32 ans du voyages n'équivaudront donc pas à 32 ans pour les personnes à bord du vaisseau, mais beaucoup moins! de même, plus le facteur tau tend vers zéro, plus la masse du vaisseau augmente. Voilà le principe qui sous-tend les quelques rebondissements du livre.

Grâce à leur très ingénieux moteur Bussard, le vaisseau est donc lancé à pleine vitesse dans la galaxie, et ne cesse d'accélérer, gagnant au fur à mesure l'énergie nécessaire à son accélération, et réduisant d'autant son facteur tau. Tout s'emballe -a priori bien-, jusqu'à ce que...

L'intrigue est passionnante, et j'ai beaucoup aimé la psychologie des personnages. Leur mise en place progressive et les relations se nouant entre eux, ainsi que le positionnement du gendarme, m'ont semblé très pertinents. Les explications scientifiques -parfois un peu complexes- n'empêchent pas de comprendre les différents rebondissement de l'histoire. Et la plume colorée et intelligente de Poul Anderson offre de supers passages entre les étoiles!

Seul bémol, on tourne un peu en rond à un moment... et l'histoire devient un poil répétitive. Et le final est un peu décevant, je m'attendais à être un peu plus surpris.
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Vertigineux...

Je crois que c'est le mot qui convient pour définir ce livre.

Pour être honnête, j'ai lu ce bouquin en deux fois. Quand je l'ai commencé il y a quelques mois, j'arrivais pas à "entrer dedans". Je comprenais rien au côté science de la fiction, vraiment, j'ai pas pu. Alors je l'ai mis en pause. Je ne l'ai pas arrêté pour deux raisons : d'une parce que j'aime beaucoup ce qu'écrit l'auteur d'habitude, de deux parce que s'il dit que c'est un de ses meilleurs, je vais pas passer à côté, crévinguiou d'bon sang de bois !, et de trois parce que certains de mes potes dont les goûts sont proches des miens l'ont fort bien noté... Bon ça fait trois raisons, ok !

Alors quoi !? Un peu de hard science va me laisser collée au plancher des vaches ? Meuuuuuuh non... Car il y a peu, j'ai lu l'avis de Eric75, et miracle, j'ai commencé à comprendre quelque chose à ce qu'il se passait dans ce livre, ce qui m'a décidé à le reprendre... Or donc tout cela est "expliqué" dans la postface ! Mais que c'est bête ! Je vous le dis en vérité, ça m'aurait simplifié la lecture si la postface avait été une préface, même si ça déflorait quelque peu la surprise, je vous l'accorde.

Parce que ce bouquin est juste "soufflant". Vertigineux. Prodigieux. Rien que dans l'idée, déjà, dans les descriptions, et même dans les relations humaines qui me paraissent plutôt justes dans l'ensemble.
Ce n'est même plus un road-trip interplanétaire, mais un road-trip intergalactique et au-delààààààà !
Alors je vais continuer à planer un peu, si vous voulez plus de détails lisez les moult autres avis, moi je vais aller voir si je peux dégoter le fameux bouquin de Silverberg dont parle Fnitter... En volant, oui oui...

(Bon juste il faut pas tenir compte des 4 dernières pages, mdr...)

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Petit bijou de Hard Science, classique mais vertigineux. Un vaisseau spatial en constante accélération transporte des colons vers de nouvelles planètes. Malheureusement un incident technique fait que le vaisseau ne pourra jamais décélérer. le voyage change de dimension...

A lire absolument !!!
Lien : http://les-lectures-du-maki...
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Wow, je l'ai fini hier mais n'ai pas pu me résoudre à le critiquer avant car c'est un tel foisonnement d'informations physiques accompagné d'une chute romanesque vertigineuse que je n'ai rien pu faire d'autres que d'aller me coucher, totalement stupéfiée par ce que je venais de lire.

Alors tout d'abord Félicitations à Poul Anderson ! Ce livre est un chef d'oeuvre de la Hard SF, tous les faits scientifiques sont basés sur un raisonnement logique, sur des théories vérifiées et des hypothèses probables pour l'époque (1970). Rien n'est laissé au hasard de l'imaginaire et c'est en ça que le bouquin est passionnant. C'est une pépite d'anticipation possible (en fondant l'hypothèse d'une amélioration de la technologie existante).

La théorie de la relativité générale y est développée de manière compréhensible (j'ai pu en comprendre les fondements, enfin!) Toutes ces spéculations scientifiques sont rattachées à l'histoire et ne pose donc (pour peu que l'on apprécie l'astrophysique) aucunes lourdeurs.

Comme je disais, tout est extrapolation, rien n'est laissé au hasard. Même le caractère et la gestion du stress et des différents déconvenues par les scientifiques présents à bord du "Leonora Christina" présente un développement logique plausible.

L'attachement aux personnages ne vient pas mais n'est pas nécessaire car c'est l'attachement à l'histoire du Vaisseau tout entier voguant en accélération constante dans l'espace qui est palpitante. En conséquence, j'ai donc dévoré les 200 dernières pages(sur 240^^) en une seule journée ne pouvant plus lâcher ce récit, l'accélération des palpitations de mon coeur se rapprochant de celle du vaisseau sur les 20 dernières pages.

Pour en finir sur le récit, je dirais que son seul défaut est sa brièveté (240 pages), il aurait sûrement gagné à doubler son volume en développant le post-voyage.

En ce qui concerne la post-face, très bien écrite, elle nous explique tous les détails physiques des différents événements du récit (les développer dans le récit aurait sûrement créé des lourdeurs). Roland Lehoucq, astrophysicien, montre l'étendue des recherches de l'auteur et actualise les faits scientifiques (le récit datant de 1970, la post face de 2011). Cela permet un compréhension plus approfondie des sciences astrophysiques abordées dans Tau Zéro. Il pointe également les rares erreurs de Poul Anderson et les rectifie sans jugement.

A lire absolument pour les mordus de Hard Science ou de science tout court. Amateur d'imaginaire seront sans doute déçus mais quoi de mieux que de la SF documentée et plausible pour se plonger dans le voyage spatial, élément certain de notre futur.
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Le Léonara Christina embarque des chercheurs, des astronautes et des ingénieurs, les meilleurs que la Terre à de plus intelligent, de plus brillant. Ils sont tous et toutes à la pointe de leur art. Ils partent tous vers Beta Virginis, une étoile de la constellation de la vierge. Un voyage de 36 années lumières de la Terre. Dans cette constellation on a découvert pas moins de 3 planètes qui pourraient accueillir des humains. En effet, le tau gazeux est excellent et semble pouvoir accueillir la vie. Mais il faut encore pouvoir y arriver sans encombre.

Beta Virginis (ß Vir / ß Virginis) est une étoile de la constellation de la Vierge située à 36 années-lumière de la Terre. Elle est aussi appelée Zavijava (ou Zavijah). C'est la cinquième étoile la plus brillante de sa constellation, bien que son nom soit ß.
Beta Virginis est une naine jaune-blanche de type spectral F9, sa taille est de 66 % et sa masse de 25 % supérieure à celle du Soleil. Cette étoile fait partie des 100 étoiles comprises dans le projet Terrestrial Planet Finder de la NASA qui a pour objectif de détecter et d'étudier des planètes telluriques.
Beta Virginis a été utilisée durant l'éclipse de Soleil du 21 septembre 1922 pour confirmer la théorie Einstein en déterminant la vitesse de la lumière par la mesure de son déplacement apparent due à la masse du Soleil. En effet, se situant près de l'écliptique, elle est occultable par la Lune, et quelques rares fois par les planètes. Elle sera occultée par Vénus le 11 août 2069.
Wikipedia

Pour cela, le Léonara Christina est propulsé par un moteur Bussard. le moteur collecte son carburant en se déplacent. Il fut décrit lors d'une publication en 1960 par Robert Bussard. Nous avons donc, ici, un vaisseau spatial doté de ce moteur qui se déplacera en toute autonomie et constante accélération.

La méthode de propulsion de vaisseau spatial de statoréacteur Bussard a été proposée en 1960 par le physicien Robert W. Bussard.
Il s'agit d'une variante d'une fusée à fusion capable du vol spatial interstellaire rapide. Elle utiliserait d'immenses champs magnétiques (de l'ordre de plusieurs kilomètres de diamètre) pour collecter l'hydrogène du milieu interstellaire et le compresser jusqu'à atteindre les densités nécessaire à la fusion thermonucléaire.
Il s'agit donc d'un statoréacteur utilisant des champs magnétiques pour collecter et compresser le comburant (au lieu du carénage dans un statoréacteur classique) et la fusion nucléaire en lieu et place de la combustion atmosphérique entre oxygène et carburant.
La puissance dégagée par la fusion alimente en énergie le vaisseau et les gaz produits par la fusion, éjectés à très haute température, servent à le propulser.
Wikipedia

Sauf, car il faut qu'il y ait un sauf, si non nous aurions ici, non pas un roman d'anticipation, mais une simple projection sur un avenir éventuellement crédible.... Donc tout n'est pas si parfait dans ce vaisseau parti à la conquête d'une nouvelle planète, puisqu'il va dévier de sa trajectoire par tout un ensemble de malheureuses circonstances. La trajectoire se trouvera totalement déviée et ils vont se perdre dans le confins de l'univers et même au-delà...

Un roman d'anticipation écrit en 1970 par Poul Anderson que je pourrais décrire comme le papa d'Avatar, en effet, le film est tiré d'une nouvelle « Call me Joe », n'a pas pris une seul ride, il aurait tout aussi bien pu être écrit hier par un maître de la SF on n'aurait pas vu de différence, peut-être dans les dialogues, mais il n'en reste pas moins une bombe !!!
Lien : http://tousleslivres.canalbl..
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Considéré comme l'un des récits ultimes du genre Hard S-F, Tau Zero aura mit pas moins de quarante ans avant d'être traduit en France, il n'en reste pas moins un excellent livre.
Le XXIIIè siècle, 50 hommes et femmes ont été sélectionné dans les meilleurs domaines du génie humain, afin de mener à bien un projet unique et sidérant, rejoindre l'étoile Beta Virginis (36 années lumières de distance de la Terre) et une nouvelle planète potentiellement habitable afin d'y établir une communauté humaine, à bord d'un vaisseau gigantesque le Leonora Christina.
Poul Anderson base son histoire sur l'idée d'un voyage relativiste afin de rallier la destination à des vitesses toujours plus proches de celle de la lumière.
L'auteur entraine le lecteur dans bien plus qu'une traversée scientifique, certes imaginaire, mais aussi et surtout vers une véritable aventure humaine, philosophique, théologique et psychologique, à la conquête du Cosmos.
Un livre dense, vivant et réellement intriguant, sa fin tout bonnement vertigineuse vous plongera dans des abîmes de considérations physiques et philosophiques.
Lien : http://www.reseau-colibris.fr
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