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Warhammer 40.000 - L'Hérésie d'Horus tome 30 sur 55
EAN : 9781780302416
374 pages
Black Library (16/11/2015)
3.25/5   12 notes
Résumé :
Après les événements du Massacre du Site d'Atterrissage sur Isstvan V, un groupe de survivants issus des Iron Hands, des Salamanders, et de la Raven Guard trouve refuge sur un monde hostile sans importance. Alors qu'ils repoussent les assauts des créatures féroces qui infestent la planète, ces alliés précaires trouvent une lueur d'espoir avec l'arrivée de réfugiés humains fuyant la guerre qui s'étend au travers de la galaxie. Mais alors que les space marines essaien... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
[lu en V.O.]
Ce 30e volume de l'Hérésie d'Horus marque clairement un temps d'arrêt après le grandiose diptyque consacré à la bataille de Molech.
Des rescapés d'Istvaan V de la légion des Iron Hands, avec quelques Salamanders et quelques Raven Guards, traquent une anomalie dans le Warp jusqu'à la planète Pythos, recouverte de jungle extrêmement inhospitalière peuplée de créatures sauriennes carnivores et très agressives. Alors qu'ils entendent se servir du système pour "lire le warp" et piéger les vaisseaux ennemis dans des embuscades, les légionnaires se retrouvent bientôt à babysitter des colons débarqués sur la planète Pythos où ils affirment avoir trouvé leur foyer. Lorsqu'on découvrira qu'il s'agit de davinites (habitants de la lune de Davin, ceux qui ont contribué à corrompre Horus), on comprendra vite que tout ceci ne va pas bien se terminer...

Autant le révéler tout de suite: ce roman ne fait absolument pas progresser l'histoire de l'Hérésie d'Horus. C'est la raison pour laquelle, malgré ses qualités, il est l'un des bouquins les plus détestés de la série. Bon, n'exagérons rien, ses qualités sont assez relatives, du fait d'une écriture honnêtement confuse et d'ellipses narratives visant à maintenir la tension du récit, qui au final ne font que brouiller celui-ci.

Je n'ai pas pris grand plaisir à lire ce bouquin, qui s'inscrit mal dans la saga. Les héros sont antipathiques, Atticus est l'archétype du type qui se fera piéger dans sa logique (et c'est ce qui se passe), Galba pourrait être un bon personnage mais il lui manque le petit plus qui lui donnerait un vrai relief, et quant au reste, j'ai simplement oublié leur nom alors que j'ai refermé le livre hier soir. C'est dire.
L'histoire est lente et tourne autour de l'opposition entre les Iron Hands extrémistes sur le sécularisme de l'Impérium face aux croyances clairement et évidemment religieuses (donc anti-impériales!) des colons. L'irruption du warp dans le climax du récit montre à quel point une légion comme les Iron Hands, dévoués à remplacer leur chair par de l'acier, est totalement dépassée par les événements de l'Hérésie.
Mais que c'est lent... et inutile! Au fond, en roman one-shot, ça aurait été très bien. Mais inscrit dans l'Hérésie d'Horus, ce roman n'apporte rien, à part un "répit" narratif après la bataille de Molech. Largement dispensable dans une saga de 54 tomes... Et ceci d'autant plus que le récit est maladroit, étant le premier travail important de l'auteur après ses premiers écrits à la Black Library.

Un roman moyen, donc, qui n'apporte aucune grande révélation, ne fait rien progresser, mais pose les bases pour d'autres romans (écrits plus de dix ans avant) situés eux dans le narratif 40k, et consacrés au système Pandorax.
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30ème tome de la série de romans et nouvelles décrivant les événements de l'Hérésie d'Horus dans l'univers de Warhammer 40K . Ce roman conte l'odyssée tragique un groupe de survivants du Massacre d'Isstvan V,principalement des Iron Hands, plus quelques Salamanders, et Raven Guard. Débarqués sur la planète Phytos , particulièrement rébarbative avec ses reptile géants (mais ils ne sont rien à côté de ce qui peut surgir de la porte Warp qui s'y trouve aussi) les rescapés pourront-ils prévenir Terra de la trahison ?
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
« Les cicatrices sont une chose de la chair, » avait dit autrefois Durun Atticus. « Elles sont révélatrices d’un matériau faible, qui se déchire facilement et se répare de façon imprécise. Si la chair peut porter des cicatrices, c’est qu’il faut l’exciser, et la remplacer par une substance plus parfaite. »
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C’était une cicatrice. Pas une cicatrice de surface, une marque de guérison, mais une cicatrice profonde, à l’endroit d’une douleur qui ne s’apaiserait jamais, d’une rage qui ne s’éteindrait pas. Est-ce une faiblesse ? demanda Galba à son souvenir d’Atticus. Comment pouvons-nous exciser cette chair déchirée, quand la blessure s’étend jusque dans notre âme
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C’était une blessure qui continuerait de suppurer jusqu’à ce que s’éteignent les dernières étoiles de la galaxie.
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Galba avait vu Atticus en pleine colère, bouillante comme du métal fondu ; mais en cet instant, sa rage était gelée, plus froide que le vide qui s’y reflétait.
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Son existence était le triomphe de la science
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