Suite de cette série consacrée à la montée d'al Qaïda avant les attentats du World Trade Center.
1997 Ben Laden est de retour en Afghanistan. Il finance l'entraînement de ses fidèles dans des bases protégées par les Talibans. Ces derniers menés par le molah borgne Omar ont pris le pouvoir à Kaboul et subissent une pression internationale. C'est l'année où sont menés par al Qaïda des attentats à Nairobi et Daar es Salam contre des occidentaux. L'agent du FBI Cindy Mayer jusqu'alors ignorée par les autorités dans son obsession de Ben Laden commence à être entendue.
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D'après ce que je lis, Ben Laden était indésirable partout. Pourtant il est arrivé a ses fins. Je ne comprends pas.
De toute évidence les pétrodollars étaient plus puissants que la politique.
Et tout cela me fait m'interroger sur certaines"crises" actuelles.... Ça ne rassure pas
A suivre
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Quatrième tome où le puzzle des attentats se développe petit à petit.
Ben Laden multiplie les attaques contre les américains, toujours plus organisées, toujours plus mortelles...
Les États-Unis commencent à se réveiller, à réagir mais leur intérêts économiques, les problèmes personnels du Président et surtout leur croyance à leur surpuissance vont les desservir.
Le récit est encore très prenant et la montée en puissance d'Al-Qaïda est justement décrit par la BD qui n'hésite pas à égratigner au passage les États-Unis.
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Les ambassades est la quatrième partie de la série 9/11 qui ressemble à un documentaire mais qui se lit comme un excellent thriller.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Et ce libidineux de Clinton va dans leur sens, ne serait-ce que pour faire oublier ses frasques sexuelles !
Triste histoire... notre Président devrait d’ailleurs faire sa confession télévisée dans quelques minutes en direct de la Maison Blanche... bon, vivement que l’équipe de Bush et Cheney revienne au pouvoir ! Avec eux, le business pétrolier ne sera jamais sacrifié sur l’autel de principes foireux !
Le Moyen-Orient est une poudrière... Kaboul est une bombe à retardement...
...il nous appartient de la désamorcer avant qu’elle ne nous explose à la figure ! Merci !