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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Il n'était sans doute pas facile de faire une biographie de Dali, ce peintre de génie aussi fantasque que la folie. Il est déjà bien introverti à l'extrême durant sa jeunesse. Puis, il va virer à l'extraverti durant ses années de jeune adulte. A noter qu'il est considéré de nos jours comme le plus grand peintre du XXème siècle.

Il est intéressant de voir sa rencontre avec le jeune Luis Bunuel, futur cinéaste et surtout avec Federico Garcia Lorca, le poète surdoué. A eux trois, ils représentent le génie ainsi qu'une nouvelle vague surréaliste prêt à déferler sur l'Europe des années folles.

Je n'aime pas trop le déchanté mais cette biographie a juste ce qu'il faut comme grain de folie pour ne pas succomber dans le n'importe quoi lyrique et poétique. Il pose juste les bases de tout ce qui est créatif et qui va marquer son oeuvre.

On suit surtout son éducation artistique académique à Madrid suite aux derniers voeux de sa mère qui succombera à la maladie.

Évidemment, le point d'orgue sera dans le second tome avec la rencontre de la femme de sa vie Gala qui deviendra sa muse. Cette dernière était alors l'épouse du poète français Paul Eluard. On sait qu'il ne cessera de la magnifier et de la représenter comme un mythe vivant et une icône moderne.

J'ai bien aimé cette première partie qui demeure assez captivante tant la vie de cet artiste touche à tout est exceptionnel. Il est vrai que j'ai toujours aimé la peinture de Dali bien que je suis très fortement influencé par l'impressionnisme de Claude Monnet.

Bref, au-delà de l'excentricité, il y a l'art dans toute sa splendeur et des thèmes exploités sujets à controverse.
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Une BD sympathique qui se lit d'un trait, recommandée pour les passionnés de l'artiste au parcours singulier.

L'histoire démarre dans l'atelier de Picasso, le lecteur est témoin d'une conversation entre Eluard et l'artiste impétueux. le premier est marié à Gala mais cette dernière a pris Dali pour amant, le second fustige et conseille au premier d'aller mettre une bonne raclée à l'amant! Mais Eluard est convaincu que sa femme ne fait qu'alimenter et épicer leur relation en prenant un amant, convaincu aussi qu'elle ne pourra jamais vivre sans son mari. Dans les deux cas on perçoit bien à quel point ces deux hommes collent à leur temps et combien ils se trompent au sujet de Gala qui ne fera que ce qui l'enchantera.
Mais ça ce sera certainement la thématique du prochain tome car le premier nous raconte l'histoire de Dali avant Gala.
Nous passons d'une conversation Eluard-Picasso à une autre entre Gala et Dali, ce dernier lui raconte son enfance à Figueras, sa scolarité un brin surréaliste, son entrée à l'école des beaux arts de Madrid qui se solde par un merveilleux échec (Dali n'écoute que son imaginaire), son inculpation pour gêne à l'ordre public (malgré lui), sa rencontre avec Bunuel, son refus des relations sexuelles (avec une femme ou un homme) et la réalisation du fameux Chien andalous.

Le dessin et les couleurs sont très soignés, le scénario atteste de la très bonne connaissance de la biographie de Dali et de Gala.

Un bon moment de lecture. En attendant les deux autres tomes qui composeront cette trilogie.
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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Avant Gala, premier tome de la série sur Dali.
Nous sommes en 1930 dans l'atelier de Picasso de la rue de la Boétie.
Arrive Éluard, radieux. Dali dîne enfin avec sa femme, Gala. « Éluard n'est pas jaloux ? ? Non. », répond le poète.
Picasso est sidéré et met en garde son ami : pour lui, Salvador Dali, du haut de ses 25 ans, est un drôle de coco, vieux et jeune à la fois, un peintre au talent sidérant, à l'intelligence vrombissante, prêt à tout..
Et Picasso de croquer Dali en chat Mephisto, un chat qui prend vie, se frotte aux jambes d'une Gala qui se baisse et le caresse, et le chat aussitôt de l'emmener avec lui dans son passé, sa jeunesse, et pour commencer à Figueras, ville de Catalogne.
Avant Gala est donc une bande dessinée sur le peintre Dali, présenté ici dans sa jeunesse, avant sa rencontre avec Gala. Celle ci est la femme de Paul Eluard et elle deviendra une muse pour Dali.
Mais avant, il va s'en passer des choses ;)
J'ai beaucoup aimé les dessins, la colorisation.
L'ambiance est très particulière, comme Dali l'était lui même.
J'avoue mal connaitre l'artiste et encore moins l'homme, d'où mon intérêt pour cet ouvrage.
Mon avis est toutefois un peu mitigé car j'ai beaucoup aimé les dessins, les couleurs ; mais j'ai trouvé ça un peu brouillon par moment.
Dali est un jeune homme difficile à cerner, je me suis parfois demandé où il allait m'emmener car il n'est pas facile de le suivre.
Quelle personnalité complexe, fascinante.
Quand à l'artiste.. je ne suis pas une grande amatrice d'art et je vous avoue ne pas trop savoir que penser de ses oeuvres !
Ce premier tome est très intéressant, surprenant mais à découvrir pour ceux qui ont envie de découvrir ou redécouvrir Dali.
Ce n'est pas un coup de coeur, mais je n'ai pas détesté non plus. Au contraire, je serais ravie de lire la suite quand elle sera publiée pour en apprendre plus sur cet homme complexe.
Ma note : quatre étoiles.
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Franchement, Dali jeune je n'y avais jamais songé! Trait émacié, yeux exorbités, cheveux longs et allure filiforme, voilà comment Julie Birmant associée à Clément Ombrerie le présente adolescent. Son physique s'assortit d'une intelligence précoce. Néanmoins timide et renfermé, Il est la risée de ces camarades. Il faut ajouter un comportement fantasque, une difficulté certaine à accepter l'autorité et la phobie des sauterelles.

Alors, renvoyé de son collège, son père, devenu veuf, accepte qu'il continue de peindre et de dessiner à condition de suivre l'Ecole des Beaux-arts de Madrid. Évidemment, Dali y fut admis de justesse, non pas, en répondant à la demande, mais en se distinguant par son génie précurseur. Néanmoins, son parcours ne cesse d'être chaotique. Son inadaptation est éclatante même si son intelligence est particulièrement affûtée.

Dès le début, le lecteur sait qu'il y aura une suite à ce tome, puisqu'une pleine page présente l'atelier de Picasso où le peintre met en garde le poète Eluard, sur la conduite de Dali, tout juste vingt ans, avec sa femme Gala. de plus, tout au long du roman graphique, c'est Dali qui raconte son histoire à Gala, dessiné par Picasso en chat.

Tour à tour, on croise Federico Garcia Lorca, Bunuel, Bello et Miro. Des éclipses ont été faites, notamment en passant très vite sur son premier, platonique, et son amitié avec Pétro Garfias et Eugénie Montés qui faisaient aussi partie de son clan à Madrid. Néanmoins, l'objectif de Julie Birmant est de poursuivre la vulgarisation de la vie des grands artistes, comme les quatre tomes consacrés à Picasso.

Une illustration soignée, des références documentées pour un artiste comme Dali dont les tableaux sont connus mais beaucoup moins sa biographie.
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Paris, novembre 1929; Eluard annonce à Picasso que sa femme Gala a un rendez-vous galant avec Dali; Picasso, qui n'aime ps du tout son compatriote, le dessine en chat Mephisto, à l'oeil cruel et à la célèbre moustache; il s'anime soudain et nous emmène dans sa jeunesse, avant sa rencontre avec Gala.
Né à Figueras, en Catalogne, d'un père notaire, c'est un adolescent fantasque, complexé, qui entre à l'académie des Beaux-Arts de Madrid; il s'en fera exclure pour avoir peint la Vierge sous forme d'une balance; il y rencontrera aussi Federico Garcia Lorca et Luis Bunuel entre autres qui deviendront des amis proches.
J'ai été attirée par cette BD car Dali est un peintre surréaliste dont j'apprécie l'oeuvre, en particulier picturale. Ce qui m'intéressait, c'est d'en savoir un peu plus sur lui avant qu'il ne devienne l'icône qu'il a été.
On découvre un homme névrosé, ayant peur de la sexualité (il est attiré par Garcia Lorca mais rejette violemment ce penchant), ayant des difficultés relationnelles avec les femmes. Mais il a une imagination débordante, des fulgurances qui en feront l'immense peintre que l'on connaît.
On retrouve un des thèmes récurrents de l'art, qui a toujours agité la peinture : les anciens contre les modernes, les classiques contre les "révolutionnaires". La plupart des mouvements picturaux se sont affirmés en réaction contre ceux qui les ont précédés.
Cette BD est pleine de références artistiques dont certaines m'étaient connues comme le tableau des Ménines de Diego Velasquez, ou le fameux "ceci n'est pas une pipe" de Magritte ou encore "Un chien andalou" mais j'avoue ne pas avoir compris certains passages en particulier à Paris, dans le milieu du cinéma. L'érudition de Julie Birmant est encyclopédique mais parfois absconse pour l'amatrice d'art que je suis. Dommage!
Cette BD foisonnante, pleine d'énergie, avec des petits clins d'oeil humoristiques ("sous les croûtes, la plage", anachronisme et pastiche du célèbre "sous les pavés, la plage"), nous offre de belles planches de dessin où on retrouve un peu l'atmosphère de Dali (le chat qui s'anime, la toile qui se soulève et des escaliers qui apparaissent qui conduisent à Figueras... Certaines sont comme des toiles du peintre.
Cette BD est la première d'une série annoncée de trois sur Dali; à suivre, donc....
#Dali #NetGalleyFrance
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Novembre 1929, quand Picasso, dans son atelier parisien, choisit de dessiner un chat noir appelé Mephisto pour représenter Salvador Dali, c'est pour mieux faire comprendre à Paul Eluard que laisser sa femme Gala dans les mains de ce maléfique animal n'est probablement pas une bonne idée...

Un chat noir qui devient fil rouge pour nous raconter la vie de Fali. Depuis son enfance à Figueras, sa scolarité difficile, les doutes sur une éventuelle déficience, jusqu'à son départ pour Paris en passant par sa rencontre avec Luis Bunuel et Frederico Garcia Lorca.

Le duo Birmant-Oubrerie se reforme pour raconter le parcours d'un homme curieux et original chez lequel on discerne déjà des teintes surréalistes dans son comportement, ses pensées, ses interprétations du monde qui l'entoure, des femmes notamment.

Après "Pablo" à retrouver dans une belle intégrale, on retrouve le trait de Clément Oubrerie avec plaisir, noir, assez épais, des compositions vivantes, artistiques, inspirées de la vitalité d'une époque en pleine ébullition. La vie d'un artiste singulier que je vais suivre avec plaisir !
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Une plongée fantasmagorique tout à fait plaisante et instructive, dans la tête d'un Dali jeune homme.

Cette bande dessinée nous plonge dans les premières années de Salvador Dali, du jeune garçon de Figueras , adolescent fantasque et très décalé, au jeune homme faisant ses débuts aux Beaux-Arts, ses premières amitiés, avec de jeunes garçons qui deviendront tout aussi connus que lui tels que Luis Bunuel ou Frederico Garcia Lorca, ses débuts et ses déboires, ses premiers émois très torturés, jusqu'à son arrivée à Paris, où il découvre les surréalistes.
Nous sommes donc juste avant sa rencontre avec Gala qui deviendra sa muse et sa femme mais qui pour l'instant est l'épouse de Paul Eluard..


Dali ne m'a jamais véritablement touché avec ses tableaux emplis de ses visions, de ses rêves. Je me souviens surtout de l'artiste fou à la moustache extravagante, un personnage théâtralisé, un peu trop excentrique pour moi.
Mais comprendre un tel personnage, et comprendre mes propres réticences voilà une chose qui m'intéresse.
Avant ou après Gala, je ne connaissais guère de choses de toutes les façons.
Alors , commençons la lecture....

La petite pirouette du début vous met tout de suite dans l'ambiance. La bande dessinée commence en 1929, à Paris, Paul Eluard et Picasso discutent dans l'atelier de l'artiste. La conversation porte sur Gala. Paul devrait se méfier de Salvador Dali qui dîne en ce moment même avec sa femme. Il prend son crayon et commence à le croquer sous les traits du chat Mephisto. Celui ci se frotte à Gala, puis prenant vie, l'invite à le suivre en Espagne, à Figueras, le village de son enfance.
Cette entrée en matière est formidable et m'a vraiment incité à poursuivre la lecture. Elle donne le ton, fantasque, fantastique, à l'image des oeuvres de Dali. La suite porte plus sur l'adolescence que l'enfance et passe rapidement à la vie de jeune adulte étudiant des Beaux-Arts.


Le visuel

Pas évident de dessiner sur un maître de la peinture. Clément Oubrerie s'en sort très bien. Des traits fins, une colorisation parfaite, de belles planches dont certaines illustrent les pensées farfelues de Dali avec brio.

Le scénario

Une fois n'est pas coutume, le scénario m'a séduite et complément embarquée. Beaucoup d'événements de la vie du peintre cependant, ne figurent pas ici ou sont à peine évoqués, ce qui ne plaira pas à tout le monde. Beaucoup de petites anecdotes y sont par contre présentes, réelles ou non ?

Mon avis

Plus qu'une biographie, cette BD est surtout une tentative de percer le mystère Dali, d'entrer en quelque sorte dans sa tête. Ce personnage fantasque n'a eu de cesse de brouiller les cartes et de se murer derrière une nuage de fumée, obscurcissant tout volonté de percer sa personnalité hors norme. Les auteurs nous donnent leur vision, une approche sans doute très personnelle qui s'éloigne peut-être de ce qu'on pourrait attendre d'une biographie mais qui pour ma part m'a vraiment séduite. Certains passages sont très intéressants comme cette analyse par Dali du tableau l'infante de Velasquez.
Les petites anectodes, très nombreuses peuvent sembler un peu inutiles et font parfois passer l'artiste pour un simple d'esprit, voir un fou. Il faudrait peut-être que je relise Freud mais pour ma part, il me semble qu'elles sont de petites pièces d'un grand puzzle, celui du cerveau de Dali, une tentative donc comprendre les mécanismes qui l'ont amené à devenir Dali. Une belle entrée en matière qui m'incite fortement à lire le tome 2 .



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Dali n'a jamais été un être banal. Artiste dans l'âme, il est complètement dans son monde et seule sa mère le comprend. Sur son lit de mort, elle demande au père de Dali lui permettre de faire des études d'art. Dali va alors aller à la découverte du monde.
Ce roman graphique me laisse sur une drôle d'impression que je ne saurai définir .
Je m'y connais très peu en peinture mais étant très connu, je souhaitai en découvrir plus sur ce personnage.
Dali est complètement loufoque. Il a une vision du monde surréaliste, il a une obsession pour les insectes. Dès l'école, ses camarades profitaient de son esprit hors du commun pour lui faire faire des choses pour se moquer de lui. Quand il arrive à l'école d'art, même ses professeurs n'arrivaient pas à le comprendre. Dans sa naïveté Dali, fédère les autres sans vraiment le vouloir.
Puis Dali, va s'intéresser aux femmes et aux hommes et lutter contre ses émotions. Puis adulte, il va prendre pour maîtresse la femme de Paul Éluard. On le voit lutter pour se conformer à la société mais sans jamais y parvenir.
Il m'a été parfois compliqué de comprendre le cheminement de pensée de Dali.
J'ai aimé les dessins qui sont comme coloriés au crayon de couleur.
Il y aura sûrement une suite à ce tome car celui-ci se termine que une fin ouverte.
Ce roman graphique est une jolie découverte.
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Visages oblongs et yeux en amande à la Brancusi, sourcis et cils esquissés, pupilles rondes, nos personnages évoluent dans un environnement souvent riche et précis, à la perspective savamment imparfaite. Les traits fins confèrent à l'ensemble un supplément de fragilité, un caractère enfantin. le réalisme des scènes se fracasse sur la réalité des imperfections recherchées dans le dessin.

Difficile de commenter ces sublimes cases d'Oubrerie sans mettre en avant le remarquable travail de coloriste de Sandra Desmazières. La palette chromatique utilisée est large. Des couleurs sombres et profondes au plus subtile des tons crème, le réalisme dans les couleurs y est troublant tout en s'attachant à créer une homogénéité dans les planches successives.

Gala sert d'étalon dans cette biographie. En effet, ce 1er tome relate la jeunesse de Dali avant sa rencontre avec Gala.

Une succession de clins-d 'oeil d'expert sur la vie de Dali contribue à attribuer un caractère exhaustif et savant à cette biographie. le caractère loufoque et excentrique du peintre, y est décortiqué dans un contexte historique appuyé.

Un plaisir de lecture.
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Merci à @netgalleyfrance  et @dargaud
pour le service presse.
#dali #bandedessinee

Une lecture très différente de ce que je lis habituellement. Mais une bande dessinée mettant un scène la vie de cet artiste, je ne pouvais pas passer à côté !
J'avoue que lire sur liseuse en noir et blanc a un peu gâché mon plaisir. Dali, c'est la profusion de couleurs, retracer sa vie en tons de gris est un peu un non sens. Je l'aurais encore plus apprécié dans sa version papier.

Ce tome retrace le tout début de sa carrière et nous permet de découvrir son caractère déjà farfelu. Nous rencontrins quelques grands noms de l'époque : Luis Bunuel, Garcia Lorca, Paul Eluard, Picasso... Toute une époque qui a vu naître tant de grands talents.

Même sans connaître l'oeuvre du peintre, il est très intéressant de le découvrir à travers ces pages.

Une lecture que j'ai vraiment appréciée et qui me donne envie de découvrir la suite, en couleurs cette fois.
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