En juin dernier j'ai causé de Streets Of New-York, le mois dernier j'ai lu Streets Of Los Angeles du même auteur,
Philippe Brossat. Je pourrai reprendre ma chronique passée et changer les noms mais ça n'aurait aucun intérêt. le livre possède les mêmes qualités (beaucoup) et les mêmes defauts (peu) que son prédécesseur, avec un peu plus de paillettes, un peu plus de drogues et un peu plus de morts. Une remarque cependant, ces pages sont clairement placées sous le signe des Doors et surtout de
Jim Morrison qui traverse littéralement le livre du début à la fin.
C'est une lecture idéale quand la paresse pointe son nez ou quand le temps vient à manquer. Une chose pourtant ne manque pas à l'appel, c'est le plaisir de lecture, et ça, il ne faut pas le bouder.