La première chose qu'il y aurait à dire à l'autrice de ce livre, c'est que la femme fatale n'existe pas.... elle n'est que plus ou moins putain manipulatrice... qui joue d'une réputation.... osons le dire... pour que les choses changent!
Les 100 romans qu'il faut avoir lus ? Non, les cent romans qu'il faut au moins connaître car ils ont laissés une trace sur notre société française, mais hélas pas toujours dans le bons sens du terme :
Il y a des romans qui oui, sont sélectionnés ici et ont eu un effet désastreux :
- Manon Lescaut, qui contrairement aux Liaisons dangereuses, idéalise une putain larmoyante qui ne rentre dans le rang que déporté... et à mon cours de Français de seconde, on m'a expliqué qu'elle était celle qui se réempâtait face aux jeune homme de bonne famille qui lui, se pervertissait de plus en plus... mais Manon Lescaut déportée, pouvait -elle encore jouer de ces charmes ? Ce qui la sauve ? Mais certainement une meilleure compréhension de leur déchéance... et l'on prête encore à ce roman des intention de sainteté... alors que cela perverti le rôle de la femme en France, il faut bien le reconnaître
- le diable au corps : qui met en place dans le pôle de la femme infidèle et des hommes (même les plus fidèle) dans des fantasmes assez inadmissible, jusqu'à leur faire croire que le Lauréat est une ôde à l'intiatrice, alors qu'en fait Mrs Robinson se venge sur celui qui pouurrait être son gendre de tous les autres hommes, et tant pis si c'est une faute qui fait qu'elle a épousé un homme qu'elle n'aime pas.... et encore qui provoque aussi une histoie de fantasme masculin digne de la Vengeance àà deux Visages, alors que non il n'y a pas cela dans Vertigo, Vertigo de
Hitchcock c'est à travers une machination de polar, une critique de l'illusion du mensonge dans le couple, que malgré se mensonge tout peu aller! le Héros cherche une femme qu'il ne trouve pas, parce qu'en fait, il n'arrive pas à comprendre qu'il chercche une femme qu'il n'a jamais rencontré, qu'il se trouve en face de la femme qu'il cherche... cela n'a rien avoir avec un fantasme, cela avoir avec la manipulation d'une femme qui sen mord les doigts, quand elle se rend compte qu'elle est amoureuse...le pire c'est que oui... elle tombe amoureuse de l'homme qu'elle manipule alors que ne peut y cédé car le personnage qu'elle joue est marié à un homme riche... Il s'agit comme dans les Grande Manoeuvres du manipulateur pris à son propre piège, et de la victime qui essai de comprendre se qui se passe tout en voulant croire à l'amour... et le pire c'est que le Diable au corps est autobiographique écrit par un jeune sot... inconséquent par se jeunesse du mal qu'il peut créer... le mari m'a mère me l'a dit quand j'étais jeune c'est tué! Il est inadmissible qu'au non de la jeunesse on soutiennent tant d'inconséquence juste parce que c'est autobiographique, c'est céder à la facilité de l'écriture... on écrit toujours mieux ce qu'on a vécu!
- Autant d'inconséquence avec Bonjour Tristesse, écrit par une femme qui est devenu visiblement écrivain pour éviter de passer son bac et vaincre la page blanche n'ont pas par le dure travail et l'observation mais par la drogue en ne gérant pas son argent dépensant sans compter et ne payant pas ses impôts juste pour coucché sur le papier ses propres sentiments.... et l'on crit à la justesse dans Bonjour Tristesse parce que comprend la jeunesse... mais normal, c'était une gamine... et l'on a crié au génie d'une irresponsable... un écrivain responsables a quand même plus à nous dire... je suis si choqué que oui, je refuse aussi de lire l'Amant dont le film m'a laisser vraiment perplexe... peut-on en France sortir des drames qui passent de la putain irresponsable dépensière à la femme trop vertueuse, même si peut être j'ai quand même envi de lire les histoires de Mme de Clèves et de Mme de Langeais, cela m'attire plus... même si 'ai apprécié Notre Dame de Paris et les inconséquences d'une bohémienne car là il y avait plus d'excuse à l'innocence et l'inconséquence d'une bohémienne certainement sans éducation...
- Que dire des Claudine encore, ne peut-on voir la révolte des femmes autrement que dans le sexe ! Quand ce n'est pas parfois dans leur impossibilité même bisexuel à choisir un compagnon, pour construire quelque chose... car oui, comme on dit à Benjamin Raterri , le bonheur, ce n'est pas de papillonner c'est de construire seul ou à deux (même si au passage on fait quelques erreurs comme
Marie Curie, face à un collègue incompris par sa femme en a fait une dans une société rétrograde qui n'admet pas le divorce... car il manquait la pilule pour obliger la femme de faire face à ces obligations de citoyenne pour n'être que la mère... et pourtant travailler si le mari est pauvre... e préfère les Misérables et la mère de l'héroïne... cela me parle plus!
Et si je lirai peut-être un jour Madame Bovary, ce n'est pas pour la voir en victime, mais come bourreau d'un bonheur simple qu'elle refuse courant après des fantasmes... fuyant la réalité... Car oui, la dame au Camélia, ou la victime de la prostitution est bien plus rare aujourd'hui... et peut être qu'elle n'a représenté qu'une minorité des femmes ! Regardez la Montespan dont on vente encore le comportement ignoble... ou la Madame de Pompadour... abjecte... e préfère Mme de Maintenon... et pour cela, on retiendra le père Goriot comme une leçon... une lecture peut être dure quand on nous vente tant l'indulgence pour nous priver de gagner notre vie... si on réfléchit mais qui servira d'avertissement face à la réalité de certaines femmes qui c veulent féministes, mais ne le sont pas... elles profitent de leurs esclavage... et ce veulent oisives... ne comprennent-elles pas qu'elles sont l'objet de leurs propres souffrances ? Car aujourd'hui, la pilule et la meilleure santé des nourrissons nous donnent le choix... même si nous devons reconnaitre que égalité... c'est peut être aussi qu'à ce moment là comme une Ukrainienne nous devons donner notre tribu à la guerre, c'est de notre responsabilité devoir d'une liberté gagner... et prendre notre part de labeur... même si cela ne correspond pas exactement à nos rêves... les hommes ne lle font-ils pas ? Ils le font de moins en moins, et c'est notre faute et la faute d'une littérature qui s'accroche à ses classiques... quand on pourrait vanté d'autres livres.... piocher un peut dans la mythologie nordique et la littérature anglaise pour retrouver un équilibre homme femme!
Belle de jour, encore quelque chose qui me révulse, l'idéalisation du fantasme... mais le fantasme, même sans passage à l'acte ne résous rien... il vaux bien mieux un monde fait de réalité décrite par la philosophie l'abstraction des maths ou de la fantasy, la réalité de la science que de s'accrocher à des fantasmes stériles! On court après on n'en sort pas! Ce qui ne veux pas dire ne pas décrire les noirceurs de lla société sans y mettre toute cette idéologie fantasque qu'on crue y voir par erreur les lecteurs de l'Accroche coeur ou de Sur la Route...
Malgré tout ce serait une erreur de ne pas lire ce livre à la sélection imparfaite... pour en faire une meilleure... car il y a des livres quand même à découvrir... et qui peuvent à voir des effets positifs sur nous... même si on se gardera bien de faire quelques erreurs d'appréciation comme nos aînés! Mais force est de constaté encore la variabilité des rôles des hommes dans les romans... quand trop souvent nous ne sommes que perfide Milady.. et pas assez Joe March ( qui a le tord d'être écrivain... pas femme ingénieure ou femme d'affaire!) dans les sélections des romans!