Bof quoi !
Une nouvelle que j'avais en stock en numérique. Pour conclure le challenge mauvais genre, pourquoi pas ?
Ben parce que pas. Cette histoire d'un jeune génie timide et quelque peu heurté par une société qui préfère penser avec ses gros bras plutôt qu'avec sa tête, et qui décide d'exploiter ce nouveau phénomène Aleph permettant de mélanger des réalités parallèles afin de générer un monde plus conforme à son imaginaire, aurait pu me plaire. Mais non. Ça fait vraiment trop fouillis.
Le seul personnage véritablement intéressant – quoique je ne l'inviterais pas à mon goûter d'anniversaire – est LA fille dont le narrateur aimerait trop faire sa princesse. Cette nana est aussi asociale que lui, mais est plus prête à creuser son chemin en mordant dedans.
Sans révéler les dessous de l'intrigue, je dirais que la phrase essentielle du héros est « Ça je ne l'avais pas vu venir ». Eh oui, le génie ne protège pas de la mouise.
Je répète, bof !
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À vue de nez, droit et science-fiction n'entretiennent guère de rapport. Pourtant, à creuser un peu, on se rend compte que nombreux sont les récits à prendre pour base le droit, en mettant en scène l'application de lois imaginaires ou en se déroulant dans un cadre judiciaire. le droit et la science-fiction font-ils donc bon ménage ? Les aspects juridiques présents dans la SF sont-ils juste du décor ? Comment faire correspondre le droit à l'évolution de la société alors que le monde ressemble de plus en plus à de la science-fiction ?
Jean Baret, avocat le jour et écrivain la nuit — Mort™, le dernier volet de sa trilogie Trademark, est sorti fin septembre —, et Olivier Caruso, auteur de la récente novella Symposium, Inc, vont tâcher de répondre à ces questions !
https://www.belial.fr/olivier-caruso/symposium-inc
https://www.belial.fr/jean-baret/mort-tm
Illustrations : Aurélien Police
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