En feuilletant ce livre avant de l'acheter, j'étais sûre qu'il me plairait, car il y avait tout ce qui m'intéresse: de la vulgarisation scientifique dans des thèmes variés, et des articles brefs pour ne pas noyer les novices.
Sauf que... j'ai été très déçue. Il faut avoir le coeur bien accroché: beaucoup d'expériences ont été faites sur des cobayes animaux ou humains, ce que le livre, même si les articles sont courts, prend bien soin de détailler avec une complaisance visible. Alors c'est vrai, la science n'est pas le pays des Bisounours, mais c'est tout de même un détail qui m'aurait fait reposer le livre. J'ai nettement plus apprécié les deux derniers chapitres, sur la terre et l'univers, mais je ne trouve pas non plus la façon de présenter les articles très passionnante.
Au final, je n'aurais jamais dû acheter ce livre, même si je suis une fanatique des ouvrages de vulgarisation: ce que j'ai appris dedans, j'aurais définitivement préféré ne pas le savoir (par exemple, qu'on avait utilisé des poussins de 2 jours à qui on avait mis une fausse queue pour étudier comment les dinosaures se déplaçaient. Les poussins ont été bien traités... jusqu'à leur mise à mort pour les disséquer et vérifier l'impact de cette fausse queue, bien sûr!).
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Un livre qui permet d'explorer les principales découvertes dans les domaines de la médecine, de la psychologie, la société, la Terre et l'univers.
C'est relativement bien fait même si les notions abordés sont pour certaines sont compliquées à expliquer en une petite page.
Chaque explication est recoupée par une légère biographie du scientifique, une explication plus fine de l'expérience voire une petite anecdote historique.
Une bonne manière de découvrir un domaine et de l'approfondir avec un autre ouvrage.
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En août 1825, William Beaumont entama une série d’expériences sur un trappeur canadien, Alexis Saint-Martin, qui avait reçu un coup de feu accidentel dans la poitrine. Contre toute attente, le blessé survécut, mais avec un fistule permanente, un trou sous le sein gauche qui communiquait avec son estomac. Beaumont fut stupéfait par cette occasion d’étudier l’estomac : « je peux voir directement dans la cavité de l’estomac, observer son mouvement et presque suivre la digestion. »