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sur 249 notes
Immersion totale en Alsace à Tannenland avec Richard le grande les sept naines. c'est bavard comme une pie, comme les pies Tannenbaum qui piaillent, grondent chialent, insultent, culbutent dans la mauvaise foi et la bonne humeur, les engueulades et les roucoulades. Une famille atypique et pourtant pas tellement... c'est un roman attachant. On se surprend à lever les yeux au ciel, à tout bout de champ à sourire en coin ou à rire à gorge déployée... Quelle galerie de portraits hauts en couleur. C'est grouillant, plein de vie, irrévérencieux un peu, beaucoup fouilli. Cela ne laisse pas indifférent, j'ai aimé mais un poil tout much à moment donné on a une impression d'accumulation et de déstructuration du récit qui rend les rapports des personnages un peu artificiel et vole alors une part d'émotion. Mais c'est généreux comme un bon pain d'épices. Alors foncez pour goûter cette drôle de gourmandise de Noël.
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Richard est le seul "grand" de la famille Tannenbaum qui ne compte dans ses rangs que des nains. En pleine période de noël, la famille va vivre une véritable révolution, une remise en question qui va tout bouleversé de la moindre petites habitudes à la plus grandes des traditions.

J'ai ri mais j'ai ri des frasques de la famille Tannenbaum, j'ai eu un pincement au coeur, j'ai été ému, j'ai souri, j'ai grimacé, un tour de montagne russe lors de la lecture de ce roman, kitsch mais tellement doudou, tellement cosy. J'ai passé un super moment, je n'avais pas envie de laissé les membres de cette famille derrière moi, j'avais envie de goûter chacun de leurs biscuits, chaque personnage avait son importance, ils étaient tous exaspérants et attendrissant. J'ai vraiment passé un super moment au coeur de l'Alsace. A consommer sans modération !
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Vous cherchez un roman divertissant, plein dhumour, bouleversant avec une famille aussi rocambolesque qu'attachante ? N'allez pas plus loin, vous avez trouvé la perle que vous attendiez !

Avec une narration très intéressante, le lecteur est plongé dans un méli-mélo de digressions et d'anecdotes sur une famille hors du commun, les Tannenbaum. Leur particularité ? Ils ont le syndrome d'achondroplasie, une maladie qui les classes dans ce qu'on appelle le nanisme. Sept petites "nanas" gèrent donc le royaume de Tannenland, le lieu le plus prisé pour les fêtes de Noël. Au milieu de cet univers réduit, se trouve Richard, un garçon grand. Très grand. Particulièrement grand (et grincheux !).
J'en dis pas plus une fois encore, parce que l'histoire doit se découvrir d'elle-même.

On rencontre à travers ce roman familial un groupe tout à fait caractéristique de l'idée de ce que l'on se fait de la famille. Des personnes entassées sur le dos de chacun, à tout moment, pour le meilleur et le pire. Enfin, surtout le pire et je ne parle pas que de mauvais moments à passés. Mais bien de ceux que prise Monsieur Gêne, qui il semblerait, a trouver à Tannenland l'endroit parfait pour s'épanouir. du coup, qu'est-ce ce qu'on rigole ! Entre les plus jeunes et les plus vieux qui n'en loupent pas une pour sortir des répliques mordantes ou des autres qui ont le chic pour vous mettre mal à l'aise, impossible de ne pas rire devant des scènes truculentes et à se rouler par terre.
Puis à côté, vous avez également un récit touchant et plein de douceur. Vous y trouverez des propos justes et emplis de pudeur tellement Émilie Chazerand a su traiter des sujets assez difficiles à aborder avec une aisance presque déconcertante. Qu'il soit question de maladie génétique, de complexe intérieur ou extérieur, des non-dits parfois trop longtemps gardés pour soi ou bien la pression sociale. Vous avez de quoi trouver votre bonheur si vous cherchez quelqu'un qui pourra mettre les mots sur votre mal-être.
Nous avons également une oeuvre qui avec l'esprit des fêtes rappelle qu'on doit s'ouvrir aux autres et au monde. Qu'il faut faire preuve d'humanité mais aussi d'humilité face à ses erreurs ou ses torts.

Pardonner, espérer, aimer... dis comme ça, on pourrait penser que Falalala est un énième roman coulant de guimauve et de bons sentiments. Mais comme écrit précédemment, au milieu de tout ces rires et petites morales qu'on trouve parsemées à travers toute l'histoire, c'est surtout un joli récit sur la famille avec ses problèmes internes. Sur l'envie d'émancipation qui est freiné par le sens du devoir et l'attachement aux êtres aimés. Les différentes approches qu'on peut avoir face à la différence et l'inconnu.
C'est un roman où l'on ressort avec un bien-être fou, quelque peu bouleversé, cest vrai, mais avec légèreté et un sentiment d'avoir également grandi.
Puis bon, petit bonus pour les alsaciens... n'est-ce pas non plus un joli éloge au terroir, ses traditions et cette mentalité qu'on trouve quasi exclusivement là-bas. Hopla geiss !
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Je suis petite mais bon , j aime la vie alors !!!!
Je suis grand , je suis le seul garçon et alors !!!
On se sent bien dans ce petit village nommé Tannenland crée spécialement pour les petites.
Ce livre est un hommage à tous ce qui est petit ,
J'ai souri , j'ai eu larme à l'oeil mais ce ne sera pas la lecture du siècle pourtant la fourmi rouge précédant roman à remporter beaucoup de succès.
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De quoi ça parle ?

Près de Strasbourg, dans un village à l'écart, une petite famille pittoresque s'épanouit loin de la société et des méthodes modernes. Cette tribu en Alsace, tout le monde la connaît : ce sont les Tannenbaum. Ensemble, ils constituent la plus grande attraction de la région après la cathédrale de Strasbourg.

Comment les décrire ? Pour tout vous dire, ce n'est pas simple, car cette famille hétéroclite est tout sauf conventionnelle.

Pour commencer, une mise en contexte s'impose : depuis trois générations chez les Tannenbaum, on est tous achondroplases et toutes filles. Achondro quoi ? Autrement dit, nos protagonistes sont atteints de nanisme.

Seulement, voilà que se présente le premier pépin : Richard, le petit fils de la matriarche de la tribu, Bettina, n'est ni de sexe féminin, ni petit. Il est même grand, très grand. Comment cela est-il possible ? Bonne question…

Maintenant, passons à la raison de cette popularité qui attire chaque année, et plus particulièrement pendant la période de Noël, des foules de touristes curieux et inquisiteurs, qui viennent s'agglutiner aux abords de la petite maison, telles des hordes d'abeilles vrombissantes autour d'un pot de miel.

Cela remonte à quelques branches de l'arbre généalogique, lorsque dans une famille alsacienne, naît un garçon nain. Son père est embêté, il ne sait trop que faire de son petit homme, maintenant d'âge mûr. C'est alors qu'il prend la décision de l'envoyer suffisamment loin, afin de le marier avec une autre femme atteinte de la même condition physique.

Délaissé, le jeune couple décide alors, à l'instigation du petit homme, de construire une maison rien que pour eux. Une résidence où tout est adapté à la taille des nains. Puis, ils poussent leur utopie encore plus loin et décide de monter une entreprise de spécialités alsaciennes et de créer un univers entièrement miniature, composé de petits animaux et de tout ce qui va avec. Ainsi, ils souhaitent attirer les grands dans le territoire de petits, imposer leurs méthodes, pour que les grands en viennent à se sentir mal à l'aise.

C'est ainsi qu'est née l'entreprise des Tannenbaum.

Maintenant, le petit homme et sa femme sont morts, léguant le business à leurs filles Bettina et Fritzi. Depuis ont vu le jour, les filles de Bettina : Katinka et Zella, qui ont elles-mêmes mis au monde leurs enfants respectifs : Richard, Leni, Ludovika et Herta.

L'entreprise est maintenant bien prospère, le public accourt ! Tous veulent goûter leurs fameux Bredeles et voir les animaux miniatures.

Mais la famille est confrontée à certains problèmes…

Le roman suit les bonheurs, les coups de gueules et les galères d'une famille cocasse et hors du commun.

Tout cela dans la joie et la bonne humeur évidemment. Et sans oublier un soupçon de Falalalala

Mon avis :

En un mot, ce livre est… génial ! Je pourrais le qualifier de véritable remède contre le cafard. Il se lit très rapidement et le style est fluide. Je ne me suis pas ennuyée et j'avais même hâte de retourner à ma lecture dès que je le pouvais.

Souvent, je trouve que les quatrièmes de couverture sont erronées, incomplètes, peu fidèles ou au contraire trop bavardes. Celle de Falalalala nous garantissait des torrents de fous rires et de larmes.

Pour le coup, je suis bien obligée d'admettre qu'elle ne mentait pas. Je me suis mise à rire toute seule ou à déprimer au gré des pages. Il m'est bien arrivé une fois ou deux, d'éclater d'un rire sonore au beau milieu d'un café ou dans le salon familial. Pourtant, cela m'arrive très rarement. En général, je forge mon avis après coup, après avoir ressassé et songé à la signification ou à l'interprétation de l'histoire. Ici, le sentiment est d'autant plus vivace qu'il me parvenait au fil de la plume de l'auteure.

Quant à la fin, qui est assez triste, elle nous réserve une dernière surprise, un ultime retournement de situation.

Les personnages, eux, sont délicieux, charmants, chacun doté d'un caractère bien marqué. On s'y attache très rapidement.

Maintenant j'en viens au point qui m'a le plus marqué dans ce récit. Au fond, l'intrigue du roman est à proprement parler inexistante : cet ouvrage n'est pas remarquable par l'action qui s'y déroule mais grâce à la description de cette famille de nains accompagnée d'un seul garçon de grande taille. le portait de cette tribu est si vivant, si coloré et burlesque qu'il suffit à faire vivre ce récit.

Petit bémol : le style de l'auteure est VRAIMENT TRÈS cru. Tous les sujets y sont abordés, à commencer par le sexe. Ceci pourrait donc déstabiliser certains jeunes lecteurs.

Mais Falalalala, qui est sûrement l'un des livres les plus drôles que j'aie jamais lu, m'a parfois fait rire aux larmes.

https://lirelandoulerevedunemontmartroise.wordpress.com/2020/01/05/falalalala-demile-chazerand/
Lien : https://lirelandoulerevedune..
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Si vous êtes nostalgiques du John Irving de la grande époque, si vous cherchez à retrouver l'étonnement à la fois ravi et incrédule ressenti en lisant cet ovni qu'était "Le monde selon Garp" à sa parution, lisez "Falalalala" ! Mêmes situations "too much" qui ne passent que grâce à la plume de l'écrivain, même humour cash et trash, mêmes personnages incroyables mais parfaitement crédibles, mêmes éclats de rire acides et attendris à la fois ... Bref, de la tribu Garp à la tribu Tannenbaum, les connivences m'ont rappelé le bonheur de lire un roman déjanté, parfois cru, mais où le rire se mêle à l'émotion.
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À l'occasion de la parution de ce titre j'ai découvert la plume délirante et hilarante d'Émilie Chazerand, tout d'abord dans son roman précédent La fourmi rouge. Mais rien n'aurait pu me préparer à l'avalanche de situations loufoques, de répliques fantasques et de fous-rires à en avoir mal au ventre que j'allais trouver dans ce roman qui, s'il en a l'air, n'est pas tout à fait un livre de noël.

Les Tannenbaum sont une famille tout à fait normale à quelques détails près. Et croyez-nous, ça n'a rien à voir avec le fait que tous le monde, à l'exception de Richard, seul garçon de la tribu, soit achondroplases, comprendre nain, et que la famille vive dans une sorte de faux atelier des lutins du père noël appelé Tannenland. Et tout à voir avec le fait que chacun dans la famille a des secrets, des désirs, des envies. Et aussi que c'est une famille de barjots.

Mon dieu ce que j'ai ri ! Et pleuré un peu aussi sur la fin parce qu'à force de rebondissements rocambolesques, de dialogues ubuesques et de scènes familiales plus vraies que nature, je me suis attachée à la famille Tannenbaum et à tous les gens qui croisent leur route en cette période un peu troublée pour ces gens dont le quotidien, surtout aux alentours de noël, est réglé comme du papier à musique.

Il est clair que la toute première force de ce roman ce sont ses personnages. Richard, le seul garçon et le seul « grand » de la famille qui a bien compris qu'on est tous le bizarre et le différent de quelqu'un ; Bettina, la matriarche dragon de la famille ; Fritzy, sa soeur barrée ; Zella, la mère de Richard et Katinka, soeur de Zella, coincée entre leur mère et leurs enfants ; Lulu et son coeur en vrac ; Leny et son bide en vrac ; Herta et son cerveau en vrac ; Hazim qui déboule là un peu par hasard ; le fantôme du mari de Katinka ; le voisin con et son fils amoureux ; Daphné, à qui Richard plait bien ; Pravda qui ment comme il respire... Et bien d'autres encore qui entrent, qui sortent, qui foutent le bazar pour notre plus grand plaisir.

Deuxième force de ce roman : ses rebondissements qui jaillissent de partout comme des balles rebondissantes un peu folles, dont on est incapable de prédire quelle sera la prochaine histoire. Avec autant de personnages il est bien évidant que l'on suit plusieurs arcs narratifs en même temps et que l'on est emporté dans le tourbillon bouillonnant de cette famille qui si elle est petite par la taille ressent et vit tout de manière exacerbée. Mention spéciale au dialogues qui m'ont fait mourir de rire, particulièrement la discussion de la chute dans les orties et du cou d'autruche. J'en ris encore en écrivant cette chronique, c'est dire !

Mais c'est bien beau de rire et de se divertir, ça ne fait pas tout. Emballés dans cette jolie fable familial et de noël, Émilie Chazerand glisse des messages aussi forts qu'essentiels sur la tolérance, la différence, l'amour, la famille, la maladie et la mort. L'autrice nous rappelle que l'on est tous le différent de quelqu'un, que chacun de nous a le droit à l'amour et d'autres sujets aussi forts que beaux.

Enfin la véritable force de ce roman ce sont toutes les émotions et les sensations par lesquelles Émilie Chazerand nous fait passer : la joie, la tristesse, la surprise, la colère, la nostalgie, la tendresse. Comme les personnages ont est embarqué dans ce tourbillon de sentiments mais aussi dans celui des sensations parce que l'autrice a une écriture très visuelle qui rend les dialogues naturels et les perceptions vivaces : on sent l'odeur des épices dans la cuisine, celle des sapins dans la forêt et du bois coupé dans l'atelier de Richard, on entend le bruit des casseroles, des pas dans la neiges… ce qui nous entraine un peu plus profondément encore dans ce roman.

C'est donc un conte de noël ubuesque et absolument génial que nous raconte Émilie Chazerand. Mais derrière la farce l'autrice nous livre également de tendres sentiments et émotions qui nous rendent un brin nostalgique des noël d'antan. Nostalgique on l'est aussi à la fin de l'histoire, parce qu'on s'était vraiment attaché à cette famille de doux dingues et qu'on a un peu de mal à se séparer d'eux. Il me tarde à présent de découvrir quelle sera la prochaine création loufoque et géniale d'Emilie Chazerand.
Lien : http://mabibliothequerose.bl..
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LE bijou de cette fin d'année

Vous avez peut-être vu ma story en ultrasons sur IG pour le #falalalachallenge
Je vous y conseille de vous précipiter dès demain chez votre libraire (qui chantera aussi, oui oui) pour acheter le tout nouveau livre de Emilie Chazerand.

Alors, Falalalala ça parle de quoi ? Rhaaaa compliqué de te résumer ce petit bijou.

Nous voilà en Alsace. Son marché de Noël, ses manneles, ses décorations, sa cathédrale... et son autre arrêt obligatoire : Tannenland.


Une petite maison avec des petits coeurs sur les volets, des mini poules, des petits poneys... et surtout ceux qui font tourner cette machine à rêves de Noël : les Tannenbaum.
Trois générations d'achondroplases ça donne 7 naines. Et Richard aussi, seul garçon et seul grand.

Prépare-toi à prendre une rafale de bons mots. Mais version mitrailleuse. J'adore, j'adooooore le style d'Emilie Chazerand. C'est tellement drôle !!!

J'adore ces livres où tu t'arrêtes pour prendre des notes « rho elle est trop bonne celle-là, faut que je note » .


De sacrées nanas ces Tannenbaum ! Une grand-mère qui fête sa ménopause avec une fiesta pour la retraite de ses ovaires ça pose déjà l'esprit de famille.
La boutique Etsy d'insultes alsaciennes brodées m'a carrément inspirée (mais Elora risque de me demander pourquoi il y a « bite de mouton » ou « cul mou » au-dessus de la cheminée).

C'est hilarant donc, mais pas seulement. J'ai pleuré aussi. Parce qu'il y a des thèmes forts dans ce livre, traités très très intelligemment.

Je ne peux pas vraiment parler de ces thèmes, histoire de ne pas spoiler mais ce roman est bien plus profond que ce qu'il voudrait nous laisser croire.

Et j'ai eu de grands moments de nostalgie... de Noëls en famille... de moments complices avec nos anciens...
Bon sang les Toffifee de mon enfance... si j'en voyais une boîte, là, maintenant, je pourrais pleurer...

Bref, je ne peux pas te résumer ce livre comme il se doit mais je peux juste te dire que c'est un gros GROS coup de coeur. Je n'avais pas envie de quitter cette famille un peu dingue et terriblement attachante.

Un vrai bonbon ce livre ! Une crotte en chocolat de Noël : ça croque et après ça fond dans la bouche. Et tu tapes encore et encore dans la boîte.

Bravo et merci Emilie Chazerand pour ce bijou d'humour et d'humanisme !

Alors, demain tu mets ton libraire au défi de te chanter Falalalala ?
Lien : https://demoisellesdechatill..
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Falalalala est un livre qui sent bon Noël ! Richard, 19 ans, vit avec toute sa famille, 3 générations de naines au caractère bien trempé. Tannenland, leur maison, est une attraction pour les touristes en Alsace, et propose des gâteaux traditionnels et des Casse Noisettes 100% faits maison et même des spectacles de Noël. Un véritable paradis fait pour les êtres miniatures où Richard, seul "grand" de sa famille, se sent mis à l'écart. Tout aurait pu continuer ainsi si le coeur de Lulu, la cousine préférée de Richard, n'avait pas fait des siennes. Et si celui-ci devait lâcher avant l'heure, Lulu compte bien vivre à fond tous les rêves et permettre à Richard de se réaliser également.

Ce livre plonge le lecteur dans l'ambiance de Noël, on arrive presque à sentir l'odeur du pain d'épices lors des séances de cuisine collective des Tannenbaum. Les personnages ont un franc parlé où on reconnaît bien l'humour d'Emilie Chazerand.

Bref, un livre loufoque, drôle, parfois triste aussi mais surtout falalalalesque !
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La rencontre n'a pas opéré.
Autant j'avais adoré "la fourmi rouge" autant je suis complètement passée à côté de celui-ci. Je n'ai pas compris.

J'ai lu les 100 premières pages et puis ai abandonné.
J'ai fait une indigestion de mots, de phrases tirées par les cheveux qui à force de se vouloir "drôles" ne l'étaient plus dutout...j'étais trop occupée à chercher le sens des phrases.
J'ai eu la sensation d'être face à une personne qui parlait trop et trop vite...j'ai trouvé cela fatiguant et jamais amusant...
D'ordinaire, la vulgarité ne me choque pas...mais quand elle est "gratuite", qu'elle n'apporte rien à l'histoire cela me gêne. L'auteur aurait, à mon sens, très bien pu s'en passer.

Ce n'est que mon avis. Visiblement il est très différent de la majorité des lecteurs. Peut-être que l'histoire devenait agréable et décollait à partir de la 101ème page...Pour ma part, je n'ai pas réussi à aller au-delà. J'ai bien trop de livres qui me donne envie que pour me forcer à lire un livre qui ne m'accroche pas.

Dans le genre d'histoire où le personnage principal est dans une famille "bizarre" j'ai largement préféré "Dysfonctionelle" chez le même éditeur. C'est même un de mes coups de coeur. L'écriture était meilleure à mes yeux, moins boulimique, plus profonde, des mots mieux choisis...

À chacun de se faire sa propre opinion. Je vous ai juste partager la mienne.











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