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4,05

sur 781 notes
C'est l'histoire d'une famille meurtrie par le décès accidentel d'un enfant : Théo, âgé de huit ans , renversé par un chauffard sur un passage protégé .

Lisa, sa maman, professeur d'anglais à Paris, son mari Hugo, médecin et leur petite fille Émilie décident de quitter Paris pour s'installer à Véminam, petite commune du Périgord, près de Sarlat .

Hugo s'y installe et ouvre un cabinet médical, bien aidé par le maire de cette commune .
Émilie se fait rapidement à sa nouvelle vie, à l'école de Véminan se découvre une nouvelle amie ….

Lisa, actuellement en congé longue durée, grave dépression suite à la perte de son fils , dont elle se juge entièrement responsable ,…

Elle a perdu le goût de vivre…, On ne fait jamais le deuil d'un enfant , elle a vécu le plus violent traumatisme qu'une mère peut connaître, sa fille est attristée par l'attitude de sa mère, cloîtrée , emmurée dans sa douleur jusqu'au jour où un journal intime, retrouvé dans le grenier de leur propriété change tout: celui d'Alice qui a vécu là, quatre - vingts ans auparavant .
Page après page, elle y conte à Gabriel, son mari, exilé dans un stalag allemand, ses épreuves, les pires souffrances qu'elle a dû endurer pour assurer la sauvegarde de sa famille .

Lisa décide que ce sera son secret, elle n'en parlera à personne …

Et si cette rencontre virtuelle aidait à la reconstruction lente d'Alice ? .

L'auteur nous offre un ouvrage poignant, pétri de sensibilité, touchant, un très bel exemple de résilience et d'espoir : deux histoires, deux vies qui se croisent , Lisa, un mélange de fragilité et de sérénité après une longue léthargie, entre tristesse, renouveau et espoir , j'ai éprouvé une sincère admiration pour Hugo ,sa longue patience à l'égard de Lisa , où il a compris que c'était le moment de s'échapper de cette vie abîmée par le deuil, les douleurs d'Alice, ces lettres d'autrefois qui ouvriront les yeux à Lisa, l'aideront à surmonter sa douleur .

L'auteur nous offre une très bonne étude psychologique de chaque personnage , délicate, fouillée, j'ai été agacée parfois par l'attitude de Lisa et le début m'est apparu trop lent et laborieux.

La plongée dans le passé m'a interpellée, l'écriture est douce, fluide, poétique parfois , certaines situations m'ont laissée dubitative……
Un sujet douloureux, une superbe leçon de vie ou comment se reconstruire après un drame ? .

Serait - ce une part d'autobiographie ? .
Je ne connais pas cet auteur ,ouvrage emprunté par hasard à la médiathèque.

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Grâce à une adhérente de la médiathèque, j'ai pu continuer de découvrir la plume de Bruno Combes. Celui-ci avait su me séduire avec « Je ne cours plus qu'après mes rêves ». Hélas, ses autres ouvrages – des romances un peu trop naïves ou faciles à mon goût – n'avaient pas réussi à me combler, si bien que j'ai tardé la lecture de ce dernier prêt. Je ne vous ferais pas languir davantage : « La part des anges », que cette connaissance a pourtant adoré et chaudement recommandé, n'a pas su me convaincre. Cela dit, je persiste à dire que la plume de l'auteur est agréable : un style très fluide, poétique, simple et doux. On tourne les pages avec aisance, car Bruno Combes arrive aussi bien à retranscrire les émotions de ses personnages féminins que masculins. Je lui trouve une sensibilité rare et je regrette d'autant plus le fait que je n'accroche au contenu de ses histoires !

Cet écrit aborde des sujets difficiles avec, en point central, la perte d'un enfant. En tant que jeune maman, je reconnais que je n'avais pas envie d'être confrontée à ce sujet… C'est également pour cela que j'ai repoussé ma lecture. Ici, la pauvre Lisa, la mère d'Emilie et autrefois de Théo, a perdu son fils à cause d'un chauffard. le garçon n'avait que huit ans. Il avait des rêves et toute la vie devant lui… Pour Lisa et ses proches, c'est la descente aux enfers. le lecteur assiste, impuissant, à la dépression de toute la famille : les grands-parents qui réagissent à leur façon, la petite Emilie qui encaisse tout le stress de ses parents, Hugo le papa qui m'a semblé assez exemplaire malgré la situation et Lisa qui n'arrive pas à relever la tête, car elle se sent responsable. J'ai aimé le fait que l'auteur n'apporte aucun jugement de valeur aux personnages. En dépit de ses erreurs, le mari est passé par toutes les phases, mais s'est toujours accroché pour sa compagne et pour leur fille cadette. Il va faire énormément d'efforts… Néanmoins, il constate avec amertume que son épouse s'éloigne inexorablement de lui et que c'est peut-être la fin de leur histoire… Peut-on alors lui jeter la pierre quand la suave Sarah vient lui faire les yeux doux ? Cèdera-t-il à la tentation ? Les sentiments pour sa femme peuvent-ils renaître avant qu'il ne soit trop tard ? Avant le drame, cette dernière était une mère géniale, enthousiaste, communicative, pétillante et pleine de vie. Mais comment lui en vouloir de ne pas remonter la pente ? Comme le souligne Bruno Combes, le deuil d'un enfant est impossible… On ne se remet jamais de cette épreuve. On doit simplement réapprendre à vivre, au moins pour l'enfant qui reste… Ce roman retrace tout le parcours de cette femme perdue : son chemin vers l'acceptation et la résilience…

Le contexte du livre est donc lourd. Chargé d'émotions. Je reconnais avoir trouvé la lecture trop pesante avec tout ce qu'il se passe en moment… En ce moment, la littérature est synonyme d'évasion chez moi. Lire de tels sujets me mine plus qu'autre chose. de plus, cette héroïne à la dérive ne m'a pas paru attachante. Certes, j'éprouvais de la compassion pour elle toutefois, je la trouvais trop molle, renfermée et pas spécialement passionnante. Hormis le fait qu'elle aide les gens à apprendre l'Anglais, Lisa n'a pas l'air d'avoir de loisirs ou d'intérêt particulier. Elle se laisse porter. Même lorsqu'elle ira mieux, sa personnalité n'a pas réussi à me toucher. Elle m'a semblé si transparente et concentrée sur sa douleur ! À l'inverse, son époux fut un personnage plus intéressant. On assiste vraiment à ses efforts au sein du couple, en tant que père, puis en tant qu'Homme. Malgré le deuil qui lui pèse sur les épaules, il ne cesse d'encourager sa femme ou de prendre soin de leur fille. Son travail l'occupe beaucoup toutefois, il ne va pas arrêter de chercher des solutions. Un homme plutôt idéal.

Comme le mentionne le résumé, Lisa va trouver un carnet datant de la Seconde Guerre mondiale. Or, c'est ce bel outil qui lui permettra de faire la rencontre d'Alice, la femme d'un soldat français. Aux côtés de l'héroïne, on va découvrir l'histoire du couple, leurs épreuves, l'attente, le travail dans les champs, les problèmes familiaux, … Quelques passages sont terribles cependant, je n'ai pas ressenti grand chose pour Alice et Gabriel. Des romans historiques sur 39-45 se déroulant sur le front, dans les camps, en ville ou dans les champs, j'en ai déjà parcouru plusieurs… Des destins sombres, poignants et révoltants, j'en ai malheureusement lu d'autres… Et c'était généralement plus fort émotionnellement que le quotidien de ce duo !… de ce fait, je n'ai pas eu le déclic lors de la lecture des carnets de lettres.

Malgré ma déception, « La part des anges » (dont j'adore l'idée du titre !) est un ouvrage correct qui saura trouver son public. S'il n'a pas été à mon goût, cela n'aurait peut-être pas été le cas il y a quelques années. Loin du contexte sanitaire et si j'avais lu moins d'oeuvres historiques sur la Guerre, j'aurais sans doute eu un ressenti différent !
Lien : https://lespagesquitournent...
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Ce roman m'a laissé un sentiment mitigé. D'une part, j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur que j'ai trouvé très poétique et très délicat dans la description des sentiments de Lisa. Cela m'a permis de comprendre et me mettre à la place de ce personnage.
Mais, j'ai trouvé par moment que ce livre n'était pas crédible. Je n'ai pas réussi à m'intéresser à certains personnages dont je n'ai pas compris l'intérêt dans cette histoire.

Malgré tout, j'ai apprécié ce livre. C'est un roman fluide qui aborde un sujet plutôt difficile
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Mitigée et dubitative...
D'un côté, une écriture toute en douceur, simple et efficace. Une histoire que l'on a du mal à lâcher.
Et d'un autre côté, l'histoire est sans originalité, assez plate. On attend, on pense, on espère que quelque chose d'inattendu arrive...mais non. Écriture très linéaire et sans émotion. Personnages mollassons, même énervants.
En fait ce livre c'est tout et son contraire. Pas une daube mais ne mérite pas toutes les éloges que j'ai pu voir passer.
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Bruno COMBES. La Part des Anges.

La famille Guadet a quitté Paris, suite au décès accidentel de Théo le petit garçon, âgé de huit ans,, renversé sur un passage protégé par un chauffard. Ils se sont installés à Véminan, petite commune sise près de Sarlat dans le Périgord. le père, Hugo, médecin a ouvert un cabinet dans cette localité. Lisa est professeur d'anglais, actuellement en congé longue maladie, dépression provoquée par la perte de son fils dont elle se juge responsable. Ils ont acquis une grande demeure bourgeoise : « La Part des Anges ». Émilie, la petite fille, a intégré l'école primaire de la commune ; elle s'est bien intégrée, sympathisant avec Elvira. Hugo a une bonne clientèle et se plaît dans la région. Lisa s'adapte du mieux qu'elle peut. Il est difficile de faire le deuil de son enfant.

La famille s'insère dans la vie locale, fréquentant les voisins dont les parents de la petite Elvira, Sophie et Cédric, exploitant un domaine agricole, ,et produisant du fromage de chèvres. Sophie profitera des marchés pour demander de l'aide à Lisa. Cette dernière l'accompagnera, fuyant ainsi sa solitude. A nouveau, elle va avoir une vie sociale.

Dans le grenier de « La Part des Anges », Lisa va découvrir un carnet, journal intime d'une précédente propriétaire de cette demeure, écrit au cours de la seconde guerre mondiale. Elle va lire ces lettres et découvrir que Alice, a perdu un enfant lors d'une fausse couche et ironie du sort, elle ne pourra plus enfanter. Lors de douloureux épisode, l'époux d'Alice est prisonnier en Allemagne et ne rentrera que cinq ans plus tard dans son foyer. Lisa va s'investir dans ce récit et reconstituer la vie de ce couple, qui comme le sien a été malmené par la vie. Lisa saura-telle déjouer les pièges ? Faire face à ce malheur, inoubliable mais que le temps peut cependant adoucir ? Qu'en sera-t-il de son ménage ? Une femme fait les yeux doux à son époux. Hugo pourra-t-il résister à la belle anglaise ?

Une bonne étude psychologique des personnages, une étude bien menée sur les douleurs, les peines liées à la disparition d'un enfant. La reconstruction se fait pas à pas. Il est impossible de ne pas être meurtrie à jamais par un tel drame. L'analyse est fine. Les hommes et les femmes qui évoluent dans cette oeuvre nous ressemblent. Ils sont sensibles et se retranchent dans leur douleur. Un livre sur la résilience.( 20/04/2022).
Lien : https://lucette.dutour@orang..
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C'est un très beau livre, je suis contente d'avoir découvert cet auteur.
Nous suivons la vie de Lisa et Hugo qui viennent s'installer dans le Périgord suite à la mort de leur fils afin que Lisa puisse mieux gérer son deuil. On suit les étapes de sa lente reconstruction, les états d'âmes de sa famille et en parallèle une histoire poignante , celle d'Alice et Gabriel qui ont vécus pendant la seconde guerre mondiale, à travers le carnet que celle-ci a laissé derrière elle. J'ai beaucoup aimé l'écriture et la façon dont les sentiments sont exprimés. de même, chaque chapitre commence par un magnifique petit texte, qui fait profondément réfléchir.
Un coup de coeur !
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Un sujet douloureux, traité avec beaucoup de douceur et de respect.

"Restons des enfants car il n'y a rien de plus sincère que les cris d'un nourrisson quand il a faim, ou les éclats de rire d'un gamin quand il joue, et rien de plus hypocrite que le sourire d'un adulte quand il veut parvenir à ses fins."

Suite à la mort accidentelle de son fils, Lisa a perdu le goût de vivre et se laisse envahir par la culpabilité. Avec son mari et leur fille, ils partent s'installer dans une ferme isolée du Périgord : la part des anges.
C'est dans le grenier qu'elle tombera sur le journal intime d'Alice, dans lequel elle se plongera, avec la sensation que cette rencontre était prédestinée pour l'accompagner dans sa guérison...

C'est le deuxième roman que je lis de cet auteur, et j'avais beaucoup apprécié parce que c'était toi. Je me suis donc plongée avec envie dans ce livre qui parle d'un sujet si douloureux. Malheureusement je n'ai pas eu le même coup de coeur pour cette lecture (mais en même temps, on ne peut en avoir un à chaque fois...)
La plume de l'auteur est fluide et poétique et l'émotion de Lisa et de ses proches est abordée avec beaucoup de pudeur. J'ai ressenti au plus profond de mon coeur de maman sa douleur, son mutisme et sa culpabilité face à ce drame.
Mais j'ai eu une légère déception face à certains personnages, pas assez approfondis pour moi, et dont je n'ai pas compris leur utilité dans l'histoire, des situations trop vite "réglées" qui ont rendu ce livre par moment pas assez crédible ou trop vite terminé.
Il m'a manqué le petit plus, mais cela reste un joli moment livresque. Et je retournerai sans aucun doute vers cet auteur qui sait mettre beaucoup d'émotion et delicatesse dans des sujets habituellement traités par des femmes.
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Légère déception me concernant pour "La part des anges".

C'est l'histoire d'une famille frappée par la mort accidentelle de leur petit garçon de 8 ans.
Comment survivre à un tel drame ?
Chacun vit son deuil comme il peut. Chacun tente de faire face avec ses moyens.
Lisa et Hugo s'accrochent et tentent de maintenir un semblant de rythme et de vie "normale" pour leur fille.
Mais Lisa s'enfonce dans la dépression.
Ils décident de quitter Paris pour le Périgord en espérant se reconstruire loin des lieux qui abritent tant de souvenirs.
Leur couple est au bord de la rupture. Hugo et Lisa ne surmontant pas le drame ni de la même manière ni au même rythme.

En fouillant dans le grenier avec une de ses amies, Lisa va découvrir une boîte contenant un carnet et des correspondances. L'ensemble date des années 40.
Lisa se plonge dans ces documents et découvrent la vie d'Alice et Gabriel jeune couple percuté par la seconde guerre mondiale.
Elle y puisera la force pour se reconstruire et envisager un avenir.

J'ai trouvé parfois l'approche des évènements un peu superficielle et certains personnages pas suffisamment développés.
Certaines situations me semblent peu crédibles et de fait un peu mièvre.
Je m'attendais à quelque chose de plus fort dans l'intégration de l'histoire d'Alice et Gabriel dans la vie de Lisa et Hugo.
Reste, un très beau titre, et une part d'autobiographie dans cette histoire qui est peut-être à l'origine d'une retenue dans l'expression des personnages d'Alice et Gabriel.



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J'ai vu ce livre passer sur mon fil Instagram avec des avis très positifs, c'était l'occasion, pour moi, de connaître Bruno Combes que je n'ai encore jamais lu et j'ai été agréablement surprise par cette lecture que j'ai beaucoup aimée, pas loin du coup de coeur il faut bien l'avouer.

Lisa est à la dérive, elle a perdu son fils accidentellement et culpabilise, pensant que si elle ne lui avait pas lâché la main une petite seconde pour regarder son téléphone, rien ne serait arrivé. Elle décide de fuir Paris et de s'installer avec son mari Hugo et sa fille Emilie dans le Périgord, elle a eu un coup de coeur pour une ancienne bâtisse isolée qui s'appelle « La part des Anges » elle va pouvoir reconstruire sa vie et apaiser ce chagrin qui la tenaille chaque heure du jour et de la nuit.

Hugo a tout de suite trouvé ses marques dans son nouveau cabinet, le village avait besoin d'un médecin généraliste et son arrivée ne pouvait pas mieux tomber. Emilie se fait, elle aussi à sa nouvelle vie, elle a déjà une meilleure amie et son école lui plait beaucoup. Elle est cependant attristée que sa mère, emmurée dans sa douleur, ne lui prête pas assez d'attention. Lisa n'y arrive pas, elle essaie mais en vain, et son psychiatre finit par se demander si un jour elle arrivera à surmonter la perte de son enfant et à retrouver une vie à peu près normale.

C'est un journal intime qui va tout changer, celui d'Alice qui a vécu à la Part des Anges durant la seconde guerre mondiale, Lisa va s'attacher au personnage, s'y identifier, parce qu'Alice a, elle aussi, vécu de terribles drames. Désormais Alice fait partie intégrante de la vie de Lisa, mais bien sûr, personne ne comprend pourquoi Lisa a absolument besoin de connaître la vie d'Alice et de s'attacher à un journal trouvé dans le grenier. Alors Lisa décide que ce sera son secret et qu'elle n'en parlera plus à personne. Elle fait des recherches, lit attentivement chaque page du journal, elle ressent même parfois la présence d'Alice dans la bâtisse.

Et si cette rencontre virtuelle avait le pouvoir d'apaiser Lisa et de l'aider à aller de l'avant ?

Bruno Combes nous livre un roman très poignant, une histoire de la vraie vie qui n'arrive pas qu'aux autres. Les personnages sont attachants. Hugo d'abord qui est d'une patience à toute épreuve et qui ne lâche jamais la main de sa femme, une femme qu'il aime profondément. Emilie qui est dans la résilience, elle tente de garder la tête hors de l'eau et ne comprend pas toujours le monde des adultes, elle souffre pourtant elle aussi d'avoir perdu son petit frère. Lisa enfin pour qui on a énormément de compassion mais qui parfois agace, on a envie de la secouer et on aimerait qu'elle sorte de sa léthargie, on se rend compte que la famille s'adapte et vit à son rythme, ça ne peut pas durer longtemps, Emilie a besoin de s'épanouir, Hugo a besoin de retrouver sa femme.

Il y a enfin Alice, son ombre plane sur le roman, on a énormément d'admiration pour tout ce qu'elle a vécu, pour son courage et son abnégation, elle ne se plaint jamais, elle va de l'avant malgré la douleur, la fatigue, les privations. Cette femme est un modèle, Lisa ne sait plus faire sans elle qui désormais semble la guider dans tout ce qu'elle fait.

Quel magnifique roman, pour une première fois avec cet auteur je suis gâtée, j'ai adoré ce livre entre tristesse et espoir, parce que le soleil n'est jamais loin, si tant est qu'on veuille l'apercevoir.


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[SERVICE PRESSE]

❤❤❤❤❤
{La part des anges / Bruno Combes}
Je referme ce doux roman avec une grande nostalgie.
Lisa va me manquer terriblement, Alice également...
J'ai pensé à ma grand-mère énormément, à mon grand-père passionnément.
Une histoire triste mais belle, pleine d'amour et de joie au détour des générations, du temps qui passe...
Je remercie Bruno pour ce cadeaux, sa confiance en me confiant son bébé... j'ai passé un merveilleux moment auprès de ces personnages .
Ce livre magnifique sera disponible le 4Juin alors allez y n'hésitez pas ! Et tout comme moi , dévorez le , savourez le !!!!
Bonne lecture à vous 🥰
Lien : https://m.facebook.com/story..
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