Le koala tueur et autres histoires du Bush

Pour ceux qui connaissent Gerald Durrell et "Ma famille et autres animaux", c'est tout à fait comparable.
Cook est amené à cohabiter avec des animaux qui ont des réactions imprévisibles, hostiles en général, et même parfois très dangereuses.
A moins que ce ne soient les humains qui les accompagnent qui soient pour le moins bizarres...

Avouez que pour adorer les serpents au point de s'enfermer avec eux dans leur vivarium, il faut être un peu... bizarre dirons-nous.
Mais Cook ne peut quand même pas laisser son voisin ivre mort avec toutes ces bestioles ?

Et que peut-il faire quand, en voulant tirer sur un cochon sauvage qui le charge, les points de suture de sa paupière lâchent et qu'il ne voit plus rien ?

Le plus drôle étant sans doute un mémorable tour en chameau que je vous laisse découvrir....
Ou comment se faire arnaquer en plein désert !
Et découvrir que l'haleine de chameau est l'odeur la plus pestilentielle du monde....

Ces récits vous parle de la nature et des animaux avec tendresse, car Cook aime son pays et sa faune, mais ses mésaventures sont un régal.
Et il dit lui-même qu'il ne les incorpore pas dans des romans car on ne le croirait pas !

Etre drôle est bien plus difficile que d'être sérieux. mais les louanges vont le plus souvent aux gens sérieux... Ce livre est d'un humour irrésistible. Il parle du bush australien, de serpents vénimeux et de koala. J'ai ri et voyagé sous la très belle plume de Kenneth Cook, mission accomplie capitaine!

Le plus dur pendant la lecture de ce livre fut de ne pas glousser comme une pintade dans le train où je le lisais. Car, franchement, ce livre est hilarant !
L'auteur affirme que toutes les histoires sont vraies... on peut le croire ou non. Pour ma part, je crois en effet qu'elles sont toutes vraies, mais l'auteur a su rajouter la petite touche de fantaisie et d'humour qui les rends "peu crédible". Et pourtant en lisant celle sur la sexualité des crocodiles, je me suis totalement reconnus dans la description qu'il fait de son ami biologiste. On aurai pu titrer cette nouvelle : "tu sais que tu es biologiste quand ...."
Et quelle aventure avec le koala ! je ne regarderai plus jamais cette petite bête paisible de la même façon ! Qu'est ce que j'ai pu rire !

C'est un très bon recueille de nouvelle, où l'on prend plaisir à lire les tribulations de notre auteur grassouillet, pas sportif pour un sous et avide de rencontre dans des bars devant une bonne bière. le style est simple et fluide, et les nouvelles courtes, ce qui permet d'en lire une pendant une petite pause pour se détendre.

Un petit tour en Australie aujourd'hui, un pays pour lequel j'ai une attirance très forte depuis la lecture de Bill Bryson et de son récit de voyage chez « Nos voisins du dessous » plein d'humour et de bestioles peu recommandables.

Le titre des nouvelles de Kenneth Cook du coup m'a immédiatement attiré, le bush, les grands espaces et ..les bestioles. Je ne suis pas une fan des nouvelles mais là vraiment je ne regrette pas mon achat.
15 nouvelles tirées de faits réels, des faits tellement incongrus, incroyables, loufoques, horribles ou terrifiants, que vous aurez du mal à les croire.

Au gré des nouvelles vous découvrirez la faune australienne, ses koalas plus dangereux que prévu, ses serpents tueurs, ses aventuriers buveurs de bière, et bien sûr le redoutable, l'énorme crocodile.
Le narrateur a vraiment le chic pour se retrouver dans des situations improbables, pas sportif ni aventurier pour un sous mais ne sachant rien refusé à ses amis, le voilà guettant les amours tonitruantes des crocodiles, plongeant dans des fonds sous-marins coralliens, visitant un peu longuement à son gré un puits de mine, où transformé en vétérinaire administrant un lavement à une éléphante.......

Vous l'aurez compris on ne s'ennuie pas une seconde j'ai retrouvé dans ces nouvelles la verve et l'humour de Gérald Durell et ses histoires familiales. Ce recueil a rencontré un énorme succès en Australie, Kenneth Cook sait se moquer gentiment des travers de ses amis et de lui-même.
Lien : http://asautsetagambades.hau..

Je me suis demandé, en parcourant les pages de ce livre avec avidité, s'il s'agissait d'histoires vécues ou un peu "modifiées". En tout cas c'est croustillant, drôle, et on y rencontre des animaux australiens de toute sorte,serpents, koalas, chiens, crocodiles et de toutes ses anecdotes fort bien écrites, on retiendra que l'homme est encore loin de maîtriser l'animal sauvage. Et bien, tant mieux donc!

Comme toujours, Kenneth Cook est là pour me divertir!

Toutes ses aventures, plus incroyables les unes que les autres sont parfois dangereuses, parfois étranges mais toujours drôles. J'avoue avoir souvent sourit et même parfois rit en les lisant. Mais ces histoires ne seraient rien sans la plume de Kenneth Cook, car il faut bien le dire, sa façon de raconter y est pour beaucoup. Que ce soit des serpents très dangereux voire mortels, un koala, un chien, un chien ou simplement les habitués du pub, on trouve toujours de quoi être captivé.

Très bon moment passé loin du froid qui s'installe en France. Une petite partie de l'Australie s'est invitée chez moi ces derniers jours. Lire, et à relire!

A travers ces quinze nouvelles, plus hilarantes les unes que les autres, Kenneth Cook nous raconte ses (més)aventures dans l'outback australien. On y rencontre des crocodiles féroces, des koalas hargneux, des taipans redoutables qui en veulent tous à l'ami Kenneth, sans parler des mineurs bourrus que l'on croise dans les pubs, des aborigènes véreux et autres hurluberlus. Le dépaysement est garanti et les fous rires au rendez-vous !
Cook affirme que toutes ces histoires sont vraies même si l'on peut douter de leur véracité. Mais qu'importe, on a envie ce croire cet homme un peu siphonné.
Les histoires du bush de Kenneth Cook sont à l'Australie ce que les racontars arctiques de Jorn Riel sont au Groenland.
Avis aux amateurs, le Koala tueur fait partie d'une trilogie, les deux autres étant La vengeance du wombat et autres histoires du bush et L'ivresse du kangourou et autres histoires du bush.

Ce livre est un pur régal ! J'ai adoré toutes les péripéties auxquelles le narrateur doit faire face. Tout est raconté avec tellement de légèreté ! Et puis l'auteur ne se retient pas de se moquer de son physique, ce qui nous permet de nous représenter la situation tordante dans laquelle il est.
Kenneth Cook a vraiment un style d'écriture fin et de l'humour à revendre. Quand j'ai vu qu'il précisait que ce sont des histoires vraies, je me suis posée des questions. Parce que ces anecdotes ont beau être comiques, le narrateur est souvent en position de danger... Je pense qu'il a dû exagérer certains faits.

Un livre sous le soleil brûlant de l'Australie. Un livre pour un bon moment de plaisir !

Il s'agit donc d'un petit recueil de nouvelles qui se lis assez vite. Elles se passent toutes en Australie, dans le Bush.

Et plusieurs commencent même dans un pub.

J'ai passé de très bons moments de rigolade à la lecture de ce livre. Ce qui est marquant, c'est que chacune des nouvelles racontent une aventure vécue par l'auteur. Et c'est là que c'est drôle, car c'est juste dingue. Nous ne pouvons que mettre en doute la véracité des propos de Kenneth Cook. Franchement, lisez celle avec le Koala, je rigolais tout seul avec mon livre, c'est juste dingue. C'est donc ça qui est fort, au final qu'est-ce qui est vrai et qu'est-ce qui est faux ?

Bon, je m'attendais à découvrir un peu plus le bush, mais le côté loufoque prenant le dessus, ce ne fut pas trop le cas.

Je garderais de bons souvenirs de cette lecture car elle m'a bien fait rire.

Lien : https://readlookhear.wordpre..

J'adore l'humour de Kenneth Cook ! On apprend que les animaux sauvages d'Australie peuvent être dangereux, on s'en serait douté pour certains, mais pas pour le koala justement. L'auteur a compilé ici une quinzaine de nouvelles dans lesquelles il est aux prises avec des animaux, le point commun étant que c'est toujours l'animal qui gagne.
Toutes les histoires sont-t-elles authentiques ? On finit par ne plus s'en soucier, elles sont toutes drôles et c'est ce qui compte. A chaque récit on sait que ça va mal se passer, on ignore juste de quelle manière ça va dégénérer. Kenneth Cook raconte le tout avec autodérision, et c'est un plaisir de s'amuser à ses dépends.